CHAPITRE UN
Point de vue de Nami.
Il était exactement, 9 h 30 du matin. Je venais tout juste d'émerger d'un sommeil profond, lorsque je me leva, le lit, de Robin, était déjà, soigneusement, bordé. Nôtre archéologue, était toujours la première debout. Je m'avança, vers mon armoire, et je me choisis, une tenue, au hasard, qui était, un short, blanc, et d'un haut, court, qui s'arrêta au nombril. Je sortis de ma cabine, et fit accueillis, par Sanji, qui me tendait gracieusement, une tasse de café. Sanji, était un très bon cuisinier, ayant de bonne manière, malgré, son défaut, d'être, le plus grand pervers, du monde, il en reste, un gentil homme serviable et galant. Juste devant, Robin, était assise, sur un transat, bouquinant, un énorme bouquin, comme à ses habitudes, je me rendis, près d'elle, et pris place. Son regard ne quitta, pas les lignes, de son livre, mais cela, ne l'empêcha pas, de m'adressait, la parole, en me questionna, sur la nuit que j'avais passé. Robin, et moi sommes, les deux seules, filles de l'équipage, nous partageons beaucoup de moment, à papoter. Je me confie, à Robin, comme je le faisais avec ma grande sœur, Nojiko. Mais, elle en reste mystérieuse, et j'avoue avoir beaucoup de mal, à déceler, ces émotions. Quel matinée, silencieuse, quoi de mieux, pour commencer, une bonne, journée, allonger, sur un transat, sirotant, le café devenu tiède, qui était la température parfaite, le heurtement, des vagues, sur la coque, du navire, m'apaisait, alors, que le calme, était olympien, un trouble faite, viens gâcher ce plaisir exceptionnel, nôtre capitaine.
Quand Luffy, se levait, le calme, ne tarder, pas à décamper. J'entendais, déjà ses ricanements, depuis, le couloir, quand la porte, s'ouvrit, en grand, Luffy, le sourire, jusqu'au aux oreilles, leva les bras, et nous salua, en hurlant, suivit de Usopp, qui arriva par derrière. Un vrai cauchemar, j'observa, la réaction de Robin, mais, ce phénomène, était tellement, quotidien, que plus personne, ne trouvait cela, étrange. Il n'y avait que moi, qui trouvais ce rituel matinal insupportable. Luffy sautilla, ce Renda, jusqu'à à moi. Il m'adressa, un large sourire, puis, ce rua, sur Sanji, pour lui réclamait, son déjeuner. Alors que Luffy, dévorait, des morceaux, de viande, dès le matin, la musique, de Brook vînt, accompagné, la matinée, ensoleillée. Les notes, de son violon, était douce, et harmonieuse, il était vraiment, née pour jouer, du violon. Le bruit, des claquements, d'altère, de Zoro, commencèrent, à s'assemblaient, avec la musique. Nôtre bretteur, couvert de sueur, enchaîné, les pompes, et soulevait, de poids, dépassant, les 1 tonnes, cet homme, n'avait plus rien d'humain, soulevait, un poids, si colossal, avec seulement, un bras, je me sentais, ridicule, à côté. La voix rauque, de Franky, m'interpella, il venait, tout juste, de terminer sa nouvelle, invention, ingénieuse, d'après, ce que j'apercevais, entre, les têtes, de Sanji, et d'Usopp, il s'agissait, d'une voiture volante. Quand Luffy, entendit, le moteur, de la machine, tournait, il quitta, la cuisine, et vînt, ce plaçait au premier rang pour admirait, la création, du cyborg. Puis, j'entendis, le claquement de petit sabot ceux, de nôtre médecin, de bord. Il tenait, entre, ses pattes, un plateau, sur laquelle, était posé, méticuleusement, des plantes, médicinal. Il, observa, le ciel, et les déposa, face au rayonnement, du soleil. A bord, de cet équipage, j'étais heureuse et épanoui, nous nous aimions tous, et nous nous considérions, comme une famille soudée. Cette amitié, aucune, chose, ne pourra, la détruire.
_ Nami, quel est l'île la plus proche ?
_ D'après, le Log Pose, si tout reste, conforme, nous devrions, apercevoir une île d'ici, deux jours.
_ Vraiment ? C'est génial.
Luffy, ne me quitta, pas du regard, son expression, était si réjouissante, qu'il me transmettait sa joie, à travers, son sourire. Cet homme était exceptionnellement. Alors que je bouquinais, le journal, du jour, bêtement, je fis attiré, par l'envie, d'observer, Luffy. Je baissa, discrètement, le page, du journal, et je fixa, mon Capitaine, qui était allongeait sur le planché, mon regard glissa, sur son torse, puis sur son visage, qui était, neutre. Il avait les yeux, fermé, et la bouche close, ses cheveux, noir, suivit, le rythme, du vent, il était si détendu, et calme, le chapeau, à bout, de bras, jamais, il ne le quittait. Je ne comprenais pas mon attitude, que m'arrivait t-il, à contemplait, Luffy. Je devais sans doute, avoir chaud, à la tête, je me leva brusquement, pour m'enfermer dans la cabine. Je m'assis devant mon bureau, et plaça, ma tête, entre mes deux mains. Je lâcha un long soupir, puis, mon regard, fut captivé, par les croquis, que j'avais réalisé, à la veille. Mes cartes, était mon plus cher trésor, pour ne pas, les abîmés, je les rangea, dans mon tiroir, puis, je nettoya, la plume, qui était couverte, d'encre. Quand tout, à coup, la porte, s'ouvrit, je vis Luffy, entrait, dans la pièce, il arriva face à moi et me tendit, son chapeau :
_ Tiens, j'ai vu qu'il y avait, ce petit défaut, tu pourrais l'arranger ?
_ Montre-moi ça ? Hum, oui, laisse, moi deux minutes, et il sera comme neuf.
_ Merci beaucoup Nami.
J'alla cherchait, mon matériel, de couture, dans l'armoire, et je m'installa, sur le fauteuil. J'étais la seule, dans cette équipage connaissant, les bases, de la couture, les garçons venait de toujours me voire, lorsqu'il avait des problèmes de vêtements.
Je commençai, à réparai, le trou, qui était plaçait, sur le côté, du chapeau. Luffy, n'était pas partis, il était, debout, plantait, comme un imbécile, à me fixait, il ne bougeait, pas, il ne disait, rien. Son regard insistant, m'étais gênant, pourtant, cela, ne m'étais jamais, arrivé venant de Luffy .Perturbée, je leva la tête :
_ Dis, tu ne voudrais pas attendre dehors ?
_ Pourquoi, je suis bien ici.
_ Hum Usopp, doit sans doute, avoir besoin de ton aide.
_ Non, il prépare, ces billes, il à demander, d'être déranger par personne.
Décidément, j'allais devoir, rester avec lui, jusqu'au ce que je répare, son chapeau. Je me dépêcha, de finir, mon travail, quand il fut terminé, je le tendis, à Luffy, en lui adressant, un léger sourire, sympathique. Luffy, pris, le chapeau, inspecta, le trou, puis, sauta dans mes bras, en hurlant, de joie. Il me plaqua, contre, son torse. J'avais les deux, mains, sur ses deux bras, pour tenter, de desserrer, cette étreinte embarrassante, qui n'avait pas l'air de le déranger.
_ Merci Nami, Merci. Heureusement, que tu es là, pour le soigner.
Luffy, parlait de son chapeau, comme d'u humain ou d'un animaux, il veiller, sur lui, comme, pour ses propres, amis. Quand Luffy, quitta, la pièce en sautillant, de joie, je resta, allongeait, dans une position masculine, les jambes, écarté, Jamais un garçon, m'en avais fait voir, tant de couleur. Alors que je tirais, une tête, de déprimée, Robin, entrât subitement, dans la pièce. Je ferma aussitôt, mes jambes, et j'effaça, l'expression, déprimé que j'avais. Mais tous mes effort, à camouflé, mon humeur, tombèrent à l'eau. Robin compris, que je n'étais pas dans mon assiette, aujourd'hui, on ne pouvait rien lui cacher.
_ Un problème chère navigatrice ?
_ Pas du tout, tout va très bien.
_ Convaincant.
_ Hum, je t'assure Robin, si j'irais mal, je te ferai part de mon soucis.
_ Luffy est venu te voir.
_ Oui, il m'a apporté, à réparer, son chapeau.
_ Tu ne te serais, pas disputez, avec lui ?
_ Non, tout c'est bien passé.
Robin, posa, son livre, puis, en repris, un nouveau. Elle se dirigea vers la porte, et s'arrête devant moi, et me demanda, de venir l'accompagnait s'asseoir. Robin se souciait, toujours de moi, se sentiments, ne m'étais pas inconnu. Je partis alors, de ma cabine pour m'asseoir, près d'elle sur le transat. Le temps est parfait, pour se baigner. Je huma, la délicieuse, odeur, qui s'échappait, de la cuisine, Sanji, préparait, le repas. Luffy, était assis, la tête, en l'air, bavant déjà. Alors que je parlais tranquillement avec Robin. Je sentis, un regard insistant, je tourna légèrement, la tête, et vis Luffy, qui me fixait. La conversation, entre moi et Robin, fut coupé, tant j'étais surprise, de l'attitude, de Luffy. Quand nôtre capitaine croisa mon regard, il baissa, le regard et partis, rejoindre Sanji dans la cuisine. Je redoutais les questions de Robin :
_ Tu ne me cacherais pas quel chose concernant Luffy ?
_ Robin, on en déjà parlé, et je t'ai dit, que tout aller bien.
_ Vraiment ? Ce n'est pas ce que j'en témoigne, en vous observant tous les deux.
_ Sinon, revenons, à nôtre conversation, la marine.
Mon attitude, changeant, ne passer, pas inaperçu, aux yeux de Robin, je me devais être plus discrète. Le regard que m'avais porté, aujourd'hui Luffy, n'était pas celui, de d'habitude, il était sérieux, aucune, stupidité, y était dedans. Etrange.
