[Résumé] Raphaël a toujours été une tortue plutôt gourmande.

[Rated] M (et ça faisait trop longtemps)

[Disclamer] Rien n'est à moi, je ne possède aucunement l'univers des Tortues ninja.

[Note de l'auteure] Léo a eu droit à sa série de lemon avec Bienvenue à la maison, et je me suis dit que Raph devrait y avoir droit aussi x'D

Ça fait un moment que je n'ai pas écris de lemon, étant donné que je travail sur des grosses fic, alors ça me manquait c: Voilà voilà, juste du T-Cest tout plein d'amour, et pour cette fois le thème sera la nourriture (alors là, ne me demandait pas pourquoi, mais je me sentais trop inspirée sérieux xD)


« Il fait tellement chaud ! » s'exclama Donatello en entrant dans la cuisine.

Raphaël était en train de terminer de faire la vaisselle et l'odeur du liquide vaisselle qui flottait dans ses narines fut aussitôt remplacée par celle du métal de la graisse de moteur. Il tourna la tête vers Donnie, couvert de tâches en tout genre. Il ne faisait nul doute qu'il sortait tout juste du garage.

« En même temps, si tu bois du café ça va pas te rafraîchir, Don. »

L'été dans les égouts était toujours éprouvant, la chaleur et l'humidité ne faisait pas bon ménage. Le génie était en face de la cafetière, s'apprêtant à refaire sa boisson favorite pour la cinquième fois de la journée. Raphaël n'avait pas besoin de le voir pour savoir ce qu'il faisait, il connaissait son frère par cœur. Donatello avait le doigt posé sur le bouton et il hésitait à présent à appuyer dessus.

« J'ai besoin de café pour vivre, » statua finalement le génie en mettant l'appareil en marche.

« Si tu le dis, » répondit Raph en esquissant un sourire. Ils pourraient vivre au Sahara, Donatello continuerait quand même à boire son café aussi brûlant que la surface du soleil. Ce n'était pas étonnant qu'il ait chaud.

Il s'essuya les mains et se dirigea vers le réfrigérateur pour y prendre une canette de bière.

« Avec cette chaleur en tous cas, moi je ne boirai rien de chaud, » statua-t-il.

« Tu sais quoi, tant que tu es debout, tu peux me prendre une glace, s'il te plaît ? »

Raphaël ouvrit le congélateur et sentit l'air frais qui s'en dégageait lui caresser la peau avec délectation. Il saisit la première glace qui lui tomba sous la main – un esquimau au chocolat blanc – et la tendit à Donnie.

« Merci. »

La tête chaude hocha la tête et s'appuya contre la table, observant l'autre tortue ouvrir l'emballage de sa glace et commencer à la manger.

Il remarqua que la peau de Donatello était luisante. Avec cette chaleur, ça n'était pas étonnant. Don était une tortue qui bougeait beaucoup alors la sueur s'était rependue sur sa peau d'un vert saillant. Les tâches d'huiles étaient avant tout présentes sur le haut de son plastron duquel Raph n'arrivait pas décoller ses yeux.

Même comme ça, il continuait à trouver le corps de Donatello absolument parfait. Il avait beaucoup moins de cicatrices que ses frères et sa musculature était très discrète. Sa poitrine se soulevait doucement alors qu'il mangeait avec délectation l'esquimau au chocolat blanc.

Raphaël sentit le rouge lui monter aux joues lorsqu'il leva son regard vers le visage de Donnie. Celui-ci était en train de sucer à pleine bouche sa friandise, les yeux mis-clos.

Il ne devait probablement pas s'en rendre compte, mais il offrait une vision terriblement érotique. Il devait en avoir extrêmement envie, de cette glace, pour la manger avec autant de gourmandise. De léger filets blancs débordèrent de sa bouche et coulèrent sur son menton pour finir leur course sur son plastron.

Raphaël ravala difficilement sa salive puis sourit malicieusement en croisant les bras.

« Hé ben, Donnie-boy, tu as l'air d'apprécier ta glace... »

Donatello n'entendit même pas le ton enjoué dans la voix de son frère. Il n'avait rien mangé de la journée et la caresse sucrée de la glace sur sa langue le mettait presque en transe. Il ne prenait presque pas le temps de respirer en dévorant son bien et il lâcha dans un souffle : « C'est trop bon ! »

C'en était trop pour Raphaël. La vision extrêmement délicieuse de son frère, le visage recouvert de chocolat blanc et de glace à la vanille, suçant littéralement son esquimau... Il sentait son pénis durcir sous son plastron.

Il se contenta de soupirer, hypnotisé par le spectacle se déroulant devant ses yeux.

Lorsque Donnie arriva à la fin de sa friandise, il s'en était mis partout. La glace avait coulée sur sa main – celle qui la tenait – et il avait de la pâte sucrée sur le menton, une partie des joues et du plastron.

« Mince, » maugréa-t-il en constatant le désastre.

« Quel petit cochon tu fais~ » souffla Raphaël.

Donatello posa alors les yeux sur son frères et les écarquilla quand il réalisa que ce dernier était visiblement très excité. Il pouvait le voir à ses yeux qui scintillaient d'une façon particulière, mais aussi à son langage corporel et surtout à la petite bosse – invisible pour la plupart des gens mais belle et bien là pour les regards avertis.

Le ton dans sa voix lui indiquait aussi que la tête chaude avait envie de lui. Il le regardait avec son petit sourire du « j'ai envie de sexe ».

Don fronça les sourcils avec un air perplexe.

« Quoi ? T'as envie de moi alors que je suis tout sale et que je viens de manger comme un... Un... »

« Un cochon, » termina Raphaël. « Donatello, je crois que tu ne te rends pas compte à quel point tu es désirable... »

Le dénommé cligna des yeux et jeta un œil vers son corps luisant de sueur, couvert de graisse et de glace.

« Tu te moques de moi, c'est ça ? »

« Absolument pas, » répondit Raph en s'approchant de lui, tel un chasseur approchant sa proie.

Donatello ne bougea pas lorsque son frère caressa doucement ses côtes du bout des doigts. Son regard de braise le faisait rougir malgré lui. Raph lui faisait toujours cet effet là. Il sentit ses joues chauffer, créant une étrange sensation se mélangeant avec le froid des résidus de glace se trouvant sur sa peau.

« Je trouve ta naïveté très excitante, Donnie-boy... » murmura Raphaël avec une voix plus grave que d'habitude.

« Ma naïveté ? »

Raph s'approchait lentement de lui, passant ses mains autour de ses hanches. Il caressa la tempe du plus jeune du bout des lèvres, se noyant entre toutes les odeurs qui imprégnaient ses narines. Le sucre, le métal, même celle du gazole... Elles étaient toutes délicieuses. Elle faisaient toutes parties de Donnie, même si elles étaient différentes.

« Tu pensais vraiment que j'allais rester de marbre en te voyant dévorer cette pauvre glace ? Tes gestes étaient tellement... Érotiques. »

Il sentit Donatello frémir contre lui. Ne résistant pas une seconde de plus, il plongea vers sa nuque et embrassa la peau couleur olive qu'il convoitait tant. Il serra fermement le corps de Donnie contre le sien dans un mouvement brusque, comme pour lui montrer qu'il lui appartenait.

Le génie lâcha un gémissement et se tortilla un peu, mais il ne pouvait s'échapper de cette étreinte.

« Raph, arrête ! Laissa-moi au moins prendre une douche, je suis dégouttant... »

« Non, tu ne l'es pas, » répondit autoritairement la tête chaude.

Il se mit à mordiller sa peau, remontant doucement vers le menton. Il ne mordait jamais assez fort pour laisser une marque, il ne voulait pas gâcher la perfection de ce corps si pure. Il ne mordait que parce que c'était excitant, et il savait que Donnie aimait ça.

« Raph, » tenta encore la pauvre tortue, « je suis sérieux, je devrais au moins essuyer la glace avant qu'on... Ah... »

Raphaël savait qu'il avait déjà gagné. Donatello gémissait, et ça ne le trompait jamais.

« Je suis sale, » murmura-t-il une dernière fois avant de finalement fermer les yeux et de se laisser aller dans les bras puissants de Raphaël.

« Tu es parfait, » corrigea-t-il.

Il le pensait vraiment. Donatello était parfait. Quelle autre personne dans ce monde pouvait associer deux parfums aussi différents que ceux du sucre et de l'essence ? Donnie était un savoureux mélange de douceur, de naïveté, mais aussi d'intelligence et de débrouillardise.

Et Raphaël voulait lui montrer à quel point il l'aimait.

Il l'aimait autant quand il sortait de la douche et sentait la savon à l'eucalyptus que lorsqu'il revenait du garage couvert de sueur.

Donnie ne résistait plus et gémit un peu plus fort lorsque la langue de Raph s'aventura sur sa joue, suçant, mordillant, embrassant sa peau.

Une chance que maître Splinter ne soit pas là pour les surprendre.

Raphaël scella enfin ses lèvres à celle de Donnie. Sa langue était étrangement froide, dû au fait qu'il venait juste de manger, et Raph songea qu'il allait l'embrasser jusqu'à ce qu'elle retrouve sa température normale.

Ses mains glissèrent sur le corps du génie, massant le haut de ses cuisses et ses fesses.

Donatello aurait voulu repousser Raph mais il ne le pouvait pas. Avec Raphaël, c'était toujours pareil, c'était comme une tornade d'amour qui lui tombait dessus et chassait toutes les pensées négatives de son esprit. Avec n'importe qui d'autre, il n'aurait pas pu se sortir de la tête qu'il était couvert de sueur, de graisse et de tout un tas d'autre chose, mais Raph le faisait se sentir si parfait...

Il lui faisait oublier qu'il ne s'aimait pas entièrement, qu'il se trouvait des défauts. Il se sentait submerger par l'amour de Raphaël.

« Je vais te manger... Comme tu as mangé cette glace... » lâcha la tête chaude entre deux baisers.

« Quoi ? » demanda Donnie avant de lâcher un sursaut sonore car son corps fut soulevé et déposé sans ménagement sur le plan de travail de la cuisine par Raphaël. « Qu'est-ce que-... » commença-t-il.

« Pose pas de question, » fit autoritairement l'aîné.

Après quoi il se pencha vers Donnie pour l'embrasser encore sur les lèvres et descendre petit à petit vers le menton, le cou, puis les épaules.

Raph s'évertuait à goûtait chaque centimètres de sa peau tout en caressant la bosse qui se formait entre les jambes du génie. Il léchait, embrassait, ne se lassant jamais des goûts qui s'entremêlaient sur sa langue.

Donatello était un plat savoureux.

Raphaël finit par s'agenouiller devant lui. Il avait son visage juste au bon endroit et sourit malicieusement en relevant le museau vers Donnie. Celui-ci était essoufflé et ses joues étaient rouges. Il baissa les yeux vers Raphaël avec un regard incertain.

« Je continue à penser que je devrais aller me laver. »

Pour toute réponse, Raphaël embrassa le bas ventre de Donatello, ce qui provoqua chez ce dernier un frémissement incontrôlable.

« Tu es sûr que tu veux t'arrêter maintenant, Donnie-boy ? »

L'entre-jambe de Raphaël était en feu. Son érection s'était libérée de son plastron, mais pour le moment il se refusait à y prêter attention.

Le seule chose qui comptait, c'était Donnie.

Il passa ses bras musclé autour des cuisses de son partenaire et plongea sa tête entre ses cuisses pour venir lécher l'ouverture au milieu du plastron. Il leva les yeux vers Donatello qui avait les paupières closes et se mordillait les lèvres. Il pouvait également sentir ses cuisses trembler contre son visage, signe que ce qu'il faisait lui plaisait énormément.

Son érection se manifesta au grand jour, rattrapé presque immédiatement par la bouche de Raphaël. Faire des fellations n'était pas la partie que Raph préférait, mais là c'était différent. Il voulait goûter Donnie, il voulait connaître toutes les saveurs que son corps pouvait offrir.

Et aussi, ça l'amusait de s'imaginer que son pénis était un bâton de glace.

Il s'évertua donc à sucer, câliner la verge avec sa langue et son palais. La position était parfaite. Même à genoux, il se sentait puissant. Il n'avait qu'à lever les yeux pour voir dans le visage de Donatello qu'il se donnait entièrement à lui.

À vrai dire, Raph avait presque du mal à décoller ses yeux de son amant. La lumière de la cuisine l'éclairait en contre jour et lui donnait presque un air divin, créant un doux halo blanc.

Les mains de Donatello étaient crispées sur le bord du plan de travail, mais bientôt il vint en placer une sur la tête de Raphaël, cherchant vaguement à contrôler les vas-et-vient qu'il aimait tant.

« Oh mon dieu... Raph... »

Il n'en fallait pas plus à la tête chaude pour comprendre que Don était prêt de son orgasme.

Sans avertissement, il cessa la fellation et se recula de l'entre-jambe pourtant si désirée. Donnie grogna, les yeux un peu perdu dans le vide, et Raph sourit malicieusement en essuyant son menton humide de salive et de liquide pré-liminal.

« Ne t'inquiète pas, » murmura-t-il avec un sourire carnassier, « le meilleur est encore à venir. »

Donatello porta instinctivement sa main à son érection, attendant docilement que Raph ne le guide pour la suite des événements . Ce dernier se releva malgré son excitation qui rendait ses jambes molles. Il se pencha vers le plus jeune pour l'embrasser encore.

Il n y avait désormais presque plus de glace sur le visage de Donnie, tant on l'avait embrassé.

Raphaël poussa le corps de son amant vers l'arrière, l'allongeant sur le plan de travail. Son érection devenait très douloureuse et il n'en pouvait plus d'attendre. Il plaça sa verge contre celle de Donnie et les deux tortues gémirent l'unisson. Leurs deux mains s'entrelacèrent autour des piliers de chair, les caressants langoureusement.

Une fois que ses doigts furent couvert de liquide pré-séminale, Raphaël dégagea sa main et la descendit entre les cuisses de Donatello. La petite tortue frémit en sentant quelque chose se poser contre son anus. Raphaël le pénétra doucement avec son doigt, prenant bien soin d'observer son visage, prêt à arrêter au moindre signe de douleur.

Donnie soupira et gémit lorsque le doigt de son partenaire fut entièrement en lui. Dans son empressement, Raph n'avait pas été chercher de lubrifiant et il se montrait donc plus précautionneux que d'habitude. Enfin, si c'était possible.

« Ça va ? » demanda-t-il avant d'entamer proprement la préparation.

« Oui... Plus... Raph, donne moi plus ! »

Le dénommé sourit en se léchant les lèvres. Voir Donatello se tortiller sous lui et le supplier était un spectacle délicieux. Peut-être même plus délicieux que de le voir manger sa glace au chocolat blanc.

« Putain, Donnie... Tu es tellement sexy, » lâcha-t-il en amenant son autre main à sa propre verge.

Il remua son doigt comme il en avait l'habitude, cherchant les zones qui faisaient réagir Donnie, étirant doucement les anneaux de chair. Le sentir autour de son doigt était déjà délicieux.

Il cessa la préparation quand il n'en put vraiment plus. Sa pauvre érection réclamait à tout prix sa délivrance et Raphaël se plaça donc debout face à Donatello. Ce dernier écarta docilement les cuisses, désirant la chose autant que Raphaël. La tête chaude plaça les jambes du plus jeune de part et d'autre de ses épaules, s'assurant que la position de Don était confortable avant de se lancer dans le coït.

Donnie porta une main à son érection, attendant patiemment que Raph ne le pénètre enfin, mais celui-ci faisait durer le plaisir. Il observa son amant attentivement, mémorisant chaque centimètre de sa peau, s'imprégnant de son odeur qu'il ressentait à travers toutes les autres.

Et lorsque enfin il entra en lui, Donatello gémit bruyamment et sa main libre chercha derrière sa tête un endroit où s'agripper.

Raphaël ferma les yeux pendant quelques secondes, son esprit étant complètement brouillé par le plaisir qu'il avait à être submergé ainsi par Donnie. Il ouvrit vite les yeux, ne voulant pas perdre une miette de ce nouveau spectacle qu'était le génie en pleine extase.

Raph commença doucement les vas-et-vient, se montrant d'abords doux et délicat pour laisser le temps au corps qu'il pénétrait de s'adapter au sien. Ça ne prenait jamais très longtemps. Le corps de Donnie épousait parfaitement le sien, l'étreignant dans une caresse qui l'envoyait au paradis.

Avec Mikey et Léo, il lui fallait toujours attendre un peu plus longtemps, comme si le corps de Donatello était simplement fait pour l'accueillir lui en particulier.

Et ça l'excitait.

Il ne lui fallut donc pas très longtemps pour accélérer le rythme. Il attrapa les hanches de Donnie pour le maintenir en place pendant qu'il entrait et sortait de lui. Il lui fallait les tenir très fermement pour que la tortue vert olive ne bouge pas, et il devait faire attention à ne pas planter ses ongles trop fermement pour ne pas le blesser, mais ça en valait la peine.

Donatello laissa des cris d'extase s'échapper de sa gorge. En générale, ils essayaient de ne pas faire l'amour ailleurs que dans les chambres à coucher, mais des dérapages de ce genre pouvaient arriver. Mikey se moqueraient sûrement d'eux plus tard pour avoir fait autant de bruit, mais pour le moment, Raphaël s'en fichait complètement.

« Ah, Donnie~ »

Il se mit à pilonner Don de plus en plus vite et il ne faisait aucun doute que son orgasme approchait. Heureusement, il semblait que celui de Donnie aussi. Il pouvait le dire parce qu'il l'entendait dans son souffle.

Il se pencha un peu plus au-dessus de lui, et ses jambes glissèrent de ses épaules. Il aurait voulu joindre sa main à celle de Donnie pour le masturber également, mais si il lâchait ses hanches il avait peur de gâcher leur position.

C'était trop bon pour s'arrêter là. Aussitôt qu'il sentit Donatello jouir, Raph se laissa aller et il ne lui fallut que quelques coups butoirs supplémentaires pour atteindre lui aussi le septième ciel. L'entre chaude de Donnie se resserra autour de lui alors que des spasmes secouaient tout son corps. Pendant l'orgasme, il se pencha, s'allongeant complètement sur Donatello.

Celui-ci le prit dans ses bras et embrassa sa tempe tandis qu'il jouissait. Raph ne put réprimer un long râle qui s'échappa de sa gorge. Il était à nouveau envahit par l'odeur de Donnie...

Il tâcha de retrouver assez rapidement ses esprits afin de se relever et de ne pas laisser son partenaire s'étouffer sous son poids. À peine se fut-il redressé que ce dernier se rassit sur le plan de travail et prit son visage dans ses mains pour lui offrir un long, tendre baiser d'après sexe.

Raph l'accepta avec plaisir mais fut forcé d'y mettre fin assez rapidement car ses jambes menaçaient de le laisser tomber. Il s'assit à côté de Donatello et le prit dans ses bras en attendant d'avoir assez de force pour se lever.

« J'arrive pas à croire que t'ai fais ça, » murmura paresseusement Donatello contre sa nuque.

« Arrête. Je sais que tu as adoré. »

Le dénommé se redressa pour plonger son regard das celui de Raphaël. « Oui, mais ça ne change rien au fait que je suis tout sale, » insista-t-il, « je peux comprendre que me voir manger une glace peut être excitant mais-... »

« Oh, s'il te plaît Don, » le coupa Raph, « tu la mangeais pas, tu lui faisait une fellation, oui ! »

Le génie resta silencieux quelques secondes, puis il frappa gentiment son amant avant de reposer sa tête contre sa poitrine.

« T'as vraiment l'esprit tordu, » murmura-t-il sans pour autant le penser.

Raphaël câlina son museau contre la tête du plus jeune. Il aimait le sentir contre lui après le sexe. Il aimait son odeur, son esprit... Il l'aimait en entier.

« Je t'aime, Donatello, » murmura-t-il doucement. « Je t'aime, je t'aime, je t'aime. »

C'était comme une prière. Raphaël ne disait pas « je t'aime souvent », mais quand il le disait, il s'assurait de faire en sorte que le message soit compris.

Donnie leva les yeux au ciel, mais sourit. Les endorphines libérées après le sexe le rendait trop heureux pour qu'il ne boude réellement, de toute façon.

« Je t'aime aussi, mon petit pervers de Raph. »


Et ceci est mon premier lemon Raph/Donnie mesdames et messieurs ! Ouvrons tout de suite une bouteille de champagne !

Mon dieu, comme ça m'avait manqué d'écrire des lemons ! Pourquoi j'ai pas écris ça plus tôt ?!

Si vous trouvez ça un peu niais... C'est parce que j'ai écouté des chansons d'amour culcul pendant que j'écrivais ! XD J'avais envie d'amour, voilà =p et puis j'aime bien voir Raph et Donnie comme ça. Je pense qu'ils ont une super dynamique x')