Une fanfic sur le Seigneur des Anneaux et les US marines

L'Épreuve des Armes

Synopsis : Lors de la deuxième guerre du golfe, la 3é DB de L'US Army se retrouve transportée sur les terres du milieu et doit participer à la guerre de l'Anneau. Attention !!!! Si le contenu vous choque, sachez que je n'admire pas la politique de macaque de W. Bush, je n'aime pas la guerre. En fait, mon héros, Ryan, va apprendre ce qu'est la guerre est que ça n'a rien de drôle ou de cool, et que tuer est pas si fun, même des orcs, qui sont eux aussi les victimes du mal. Je ne hais pas les USA non plus. C'est un pays où les gens sont souvent sympathiques et simples. Il n'y a QUE Georges que je n'aime pas.

Si vous êtes pas content, allumez-moi.

Disclaimer : I own nothing, this is an amateur work only meant to have fun and it should not be used to earn money on the original story.

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Prologue:

            Trois mois. Trois mois perdu dans ce desert. A attendre le signal d'aller leur latter la gueule. C'était l'état d'esprit de la plupart des mecs de la 3ème division blindée de L'US Army, perdus dans les sables du Koweit. Ryan était enthousiaste, plein du courage et du patriotisme des gamins qui ont jamais vu de morts sous leurs yeux, ceux qui se sont enrolés pour venger la blessure infligée par des imbéciles, ou pour l'honneur de l'uniforme.

            Sa première vrai guerre. Il avait voulu aller en Afghanistan, mais n'avait pas terminé ses classes à l'époque. Comme tous les soldats des États Unis, il voulait avoir lui même l'occasion de tuer ceux qui ont meurtris sa nation, son honneur d'américain. Il était plein de la haine qui fait les guerriers, et les pires meurtriers, ceux qui perdent tous discernement.

            Tous le monde s'était longtemps préparé, et ce soir, les soldats avaient décidés de se détendre un peu : musique, courrier, lectures… On pensait à autre chose avant d'aller risquer sa vie.

1 – Une étrange tempête :

            Contrairement aux plans données à la presse, la guerre du golfe 2003 commença par un bombardement net et précis sur le centre présidentiel de Bagdad. L'offensive terrestre eut lieu deux jours plus tard, et Ryan était aux premières loges ! Tous alla assez vite : d'abord l'attaque du port d'Oum Qasr, puis la course à travers le désert pour arriver au portes de Bagdad de la 3ème DB. Ryan pensait que c'était ça la guerre. Il ne savait pas que les anglais devaient réduire les poches de résistance du sud de l'Irak, rien sur les accidents du aux tirs amis, et rien, évidemment, sur la population irakienne paniquée par les fous de Saddam et les soldats étrangers.

            Pendant la traversée du désert, il ne se passa rien de bien passionnant : des bédouins impassibles, des escarmouches sans gravité, un ou deux soldats ennemis qui jouent les héros. Et bien sûr, des kilomètres de sables… Youpi, se dit Ryan.

            D'un coups, alors qu'il était assis en tant que passager dans un des Bradleys, il entendit la radio crépiter :

- CentCom Quatar à Horse 3 (surnom de la 3ème DB). Tempête de sables en direction de ouest, force3, fit une voix féminine mais néanmoins vide d'émotion.

- Horse 3 à CentCom, bien reçu, répondit le colonel Drengist, chef de la 7ème brigade, celle de Ryan, appelée brigade Charlie.

- Ordres à toutes les unités de l'avant de revenir vers le gros de la troupe, on campe et on attend le grain, fit la voix du Général Rubbish, le chef de la division.

La tempête s'abattit d'une façon étrange. On aurait dit un rideau de pluie, mais bientôt le vent en fit une mur de papier de verres. Les machines s'encrassèrent et les hommes devaient subir la griffure du sable.

La brigade Charlie était en retard, elle roulait encore vers le campement quand elle fut soudain surprise par la tempête, et dût s'arrêter sans avoir de liaison radio. La tempête dura des heures. Ce qui nous permet de décrire le dispositif de la brigade Charlie : 20 Bradley, 18 chars d'assaut Abrams, et tous le toutim logistique pour le fuel, les munitions. On compte en plus des 134 membres d'équipages des blindés, quelques 1500 soldats, transportés par les transport de troupes ou les jeep Hummer. Bref une armée bien fournis.

Finalement, la tempête s'arrêta au alentour du petits matin l'aube était glorieuse, plein d'espoir de victoire et de retour rapide chez soi après avoir mis sa branlé à Saddam, et enfin quitter ce pays plein de sables, de chaleur moite, de… ?? plaine herbeuse ???!!! des montagnes !!! ???

Ryan était de garde cette nuit, et le matin et le calme soudain ayant suivi la tempête lui révélèrent un paysage irréel : une grande plaine, verdoyante, un climat tempéré, et des montagnes aux sommets enneigés au loin. Ca n'était pas possible, il devait être victime d'une hallucination, due à la fatigue, aux vaccins.

Un doute le prit soudain : et si c'était une attaque au gaz  de Saddam ?? Il enfila son masque en toute hâte et se précipita vers la tente du colonel Drengist. Celui-ci s'écrasa de son lit en entendant hurler Ryan dans sa tente. Il se releva et afficha une mine d'une humeur massacrante :

- Bordel ! Mais qu'est-ce qui se passe, O'Lorin ?

- Dehors !… yay yay ydes  …

- …Marins qui chantent ? plaisanta de façon peu amusante le colonel.

- Non ! mais ya ... ya… plus de…

- Assez ! on va voir ça ensemble, l'arrêta le colonel, et il le suivit dehors

Le colonel avait une expression de cartoon, la mâchoire au sol. Et tous le camps avec lui. Les cris du garde avait réveillé tous le campement et maintenant tous restaient comme statufier devant le soleil en train de se lever et le paysages qu'il offrait.

Plus de sables, plus de dunes, plus de désert. Ca n'était même plus l'Irak. Personne ne comprenait. Et l'idée d'une attaque au gaz chimique n'existait plus, car tous le monde voyait la même chose.

Une voix calme mais ferme fit entendre soudain :

« - Bienvenues ! »

Sur un rocher se tenait un vieillard, vêtu d'une robe aux couleurs changeantes

- Je suis Saroumane le Multicolore ! et je viens vous offrir richesse et exaucer vos vœux ! mais…

Sans même le laisser finir sa phrase, il se fit braquer par une centaine de mitrailleuses.

- Qui êtes-vous ? Où on est ? C'est quoi ce bordel ? Aboya le colonel au magicien

- Voyons… est-ce ainsi que l'on accueille un messager de paix ? lui répondit d'une voix posée et rassurante l'étrange individu.

Alors tous furent pris comme sous un charme et burent ses paroles de mensonges, et de tromperie :

« - Je suis le magicien le plus puissant de mon monde, la Terre du Milieu, et je requiert votre aide et vos connaissances de guerrier pour protéger mon peuple d'une horde de cavaliers sauvages ayant pris une des villes sous ma protection. Je vous renverrez sitôt votre aide finie, et je vous en récompenserez de tous ce que vous me demanderez »

Et tous ceux qui l'entendait le crurent. Seul Ryan, coincé dans son maque, ne fut pas pris dans le charme, car la voix du magicien lui parvenaient déformés. Il comprit bien vite qu'on lui mentait mais ne sut comment. On aurait dit qu'une voix le prévenait des mensonges de ce Saroumane. Le vieux parla encore :

« - Vous pouvez choisir : soit vous me donnez votre aide, soit vous restez ici jusqu'à la fin des temps. Je reviendrai ce soir », termina t'il brusquement. Puis disparut.

Tous le monde sorti de la transe et se demanda ce qui c'était passé, sauf Ryan, grâce à son masque à gaz.

2-Fuite dans la nuit :

            La nuit vint, et aussi, une intuition incontrôlable et puissante. Ryan se mit à rassembler munitions, armes et vivres. Il le faisait, comme si c'était vital, mais sans savoir pourquoi. Au crépuscule, il partit rapidement loin du camps discrètement, et se dirigea vers une colline, sans comprendre pourquoi celle-ci en particuliers.

            Il y eut la surprise de rencontrer onze autres soldats, harnachés comme lui et tout aussi perdus. Et ils attendirent.

            L'étrange individu revint, et les douze déserteurs furent surpris de voir leurs compagnons d'armes le suivre, les blindés se mirent en branle et partirent là où le vieux leur montra le chemin, lui-même debout sur un Bradley.

            Les douze, qui ne se connaissaient pas, partir prestement dans la direction opposée et cheminèrent péniblement, car ils avaient amassé beaucoup de choses : des mitrailleuses, plus que pour douze, des caisses de lance-missiles, des gilets pare-balles, et beaucoup de munitions.

            Après quatre jours, perdus, ils s'arrêtèrent, comme libérés de leur hâte inexplicable. Ryan ne les connaissait que de vu, et ne leur avait jamais parlé. Ils se regardaient tous, perdus, fatigués. Leurs chargement énorme les pesait. Ils pouvaient tous aller avec 40 kg sur le dos. Là, il y en  avait plus ! Et ils furent surpris d'avoir eu la force de les porter !

            Pire que tous, ils n'avaient plus de rations de combats. Ils s'arrêtèrent et finir leurs réserves. Mais ils se serraient les coudes. Ils avaient eu le temps de faire connaissance. Chuck Bolger était un jeune soldat comme Ryan, il venait aussi de la même ville que lui, Chicago. Il rencontra aussi le sergent Will Shepard, un homme à la carrure énorme, une machine à tuer selon ses amis, mais un homme d'une infinie gentillesse quand on le connaît, un nounours pour ses enfants, qui lui manquait encore plus dans cet endroit perdu. Il y en avait un, plutôt petit, Crazy Mike, en fait Michael Stock, un nom bien étrange. Il était un petit comique, et il détendait l'atmosphère. D'habitude. Là il était très sombre et perdu. Il y avait deux femmes : le caporal Melissa Harper, chargée de la logistique dans la compagnie. Ici, elle ne faisait rien. L'autre était Samantha Cooper, une infirmière. Elles étaient toutes les deux perdues, comme les autres. Parmi les six autres, ne se trouvait que des hommes, tous des jeunes qui découvraient la guerre, mais qui avaient eu l'étrange destin de se retrouver en un endroit inconnu : le gros Gary, le petit Gary, un duo plutôt comique, sachant que l'un était grand et l'autre plus ramassé. Stu, Alan, Hank et Patrick ou Pat complétaient le groupe. Will était le plus officier et c'est lui qui commandait. Melissa lui faisait office de second. Ryan, et les autres n'y trouvaient rien à redire, Will étant un homme ferme, et juste, et ils le suivaient comme leur seul espoir, un espoir qui commençait à montrer des signes de désespoir :

- W… Will ? Où on est, merde ? lança Mike.

- T'en demande des choses ! Chuis pas un devin ! Je sais pas ! alors Voilà ! répondit Will. Je sais même pas comment on s'est retrouvé là, à se trimbaler des caisses d'armes et de munitions !

- Calmez-vous, mon sergeant, intervint Melissa, on est peut etre là pour une bonne raison ? J'ai cru entendre une voix plus forte et plus honnête pendant que le drôle de vieux nous parlait. Vous avez pas eu la même impression de devoir vous barrer le plus vite ?

- Ouai, une sensation bizarre, répondit Chuck. Ca m'a fait bizarre…

Ryan les écoutait sans rien dire mais était d'accord avec eux.

            Il fût décidé de se reposer, voir de dormir. Un sommeil agité, troublé par des rêves étranges, et une voix, que tous entendirent dans leur sommeil :

« Vous n'appartenez pas à ces terres. Celui qui vous a mené ici vous trompe. Vous êtes en danger, ainsi que vos amis égarés par l'ennemi. Vous serez amenés à vous affronter, je le craint, mais cela sera nécessaire, car les ténèbres se coulent déjà en eux, car leur haine, qu'ils ont emmené avec eux depuis votre monde, est un terreau fertile pour les rendre aveugles à toutes raisons.

Vous me rencontrerais bientôt. Très bientôt, je vous le promet. Et je vous aiderais à accomplir votre quête et rentrer en vos contrés. Allez en paix et soyez courageux, car des temps plus sombres qu'en votre monde se prépare ici… »

            La voix s'effaça doucement. Ils révèrent d'une lumière belle et bienveillante au loin, et leur sommeil en fût plus léger et doux.

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A suivre… si vous le voulez. Alors R&R please.

Les insultes et les compliements sont tous bienvenu !!