Disclaimer : Soul Eater appartient à Atsushi Ohkubo

Explication du principe : Je cherchais un moyen de me motiver à écrire un peu sur divers personnages et j'ai eu l'idée de me lancer le défi d'écrire 100 mots sur tous les personnages de Soul Eater !

Bonne lecture, voici nos sept personnages "principaux" pour commencer.

Maka

Étudier à Shibusen permettait de vivre des aventures incroyables, parfois passionnantes, parfois effrayantes ou éreintantes. Maka aime l'action, sentir son sang bouillonner dans ses veines, son souffle se faire plus rauque et ses muscles fatiguer sous l'effort. Les victoires sont réjouissantes parce qu'elles en valent la peine.

Cependant Maka aime aussi le calme, les sons étouffés à l'intérieur d'une bibliothèque et la chaleur du chocolat au lait qu'elle se prépare avant de s'installer confortablement pour une soirée de lecture.

Parfois elle aime découvrir des aventures qui ne sont pas les siennes, admirer une magie qui n'existe pas dans son monde.

Soul

Il ne s'est jamais senti l'âme d'un meneur. Peut-être parce qu'il est un petit-frère, habitué à suivre son aîné dans la vie et la musique. Soul déteste avoir l'impression qu'il est un suiveur, un imitateur mais il n'aime pas s'affirmer non plus. C'est pourquoi il se sent à l'aise avec Maka ; ils sont sur un pied d'égalité, chacun apporte une part de lui même dans leur partenariat. Soul n'est plus un suiveur ni un meneur mais quelque chose entre les deux, une position confortable.

La folie lui rappelle ses anciennes peurs ; ses doigts attaquent le piano pour oublier.

Black Star

Partout, on dit qu'il n'y a rien sur Terre de plus puissant qu'un Dieu. C'est pour cela que Black Star cherche à dépasser ce niveau puisque tant qu'à viser un but, autant chercher à atteindre le sommet. Moins que ça lui semblerait dérisoire.

Le jeune assassin a rejoint Shibusen parce qu'il y a été élevé, qu'il y recevra un bon entrainement et de nombreux combats. Seulement, avant de gagner il faudrait déjà qu'il arrive à se faire connaître. Vaincre les dieux en restant un anonyme ce serait encore plus décevant. Aussi, ce sont ses cordes vocales qu'il entraine en premier.

Tsubaki

Death City était terriblement différent du Japon et si Tsubaki avait arrangé leur appartement de manière japonaise traditionnelle et que sa cuisine reflétait celle de sa mère, elle ressentait de temps en temps le mal du pays. Elle aimait pourtant bien découvrir de nouvelles cultures et coutumes —qui se mélangeaient d'ailleurs beaucoup à l'institut de Shibusen— et s'adaptait très bien à cette nouvelle vie.

Seulement, il est impossible ici d'aller, par exemple, déjeuner en famille à l'extérieur sous des cerisiers en fleurs. Qu'importe, se dit-elle, je n'ai qu'à organiser un pique-nique sur les toits de l'école avec mes amis.

Kid

Cela pouvait sembler étrange vu l'aspect particulier de l'école mais Shibusen rapportait de l'argent à maître Shinigami. Comme celui-ci y vivait et n'était pas dépensier, il lui en restait encore beaucoup, même après avoir payé ses employés. L'argent en trop revenait donc à Kid et celui-ci l'utilisait à sa guise. Au début il le faisait sans trop réfléchir, commandant des repas chics, meublant son manoir de manière sobre et de bon goût ou achetant quelque vêtement superbement bien taillé pour remplir sa garde-robe.

Et puis il avait remarqué que son compte en banque passait d'un chiffre asymétrique à un autre.

Liz

La peur des monstres en tout genre de Liz avait commencé par la vision d'un film d'horreur un peu trop tôt dans sa courte vie. Mentir sur son âge lui avait toujours été facile mais il s'agissait d'une des rares fois où elle le regrettait. Combattre des bandits, meurtriers et autres criminels du même acabit ne l'effrayait pas le moins du monde mais dès que le surnaturel était invoqué, elle sentait ses jambes la lâcher.

Cela pourrait s'avérer très dangereux dans le cadre des missions qu'on leur donnait mais elle faisait confiance à ses partenaires pour qu'ils s'en sortent tous.

Patty

Patty aimait sa chambre. Kid n'avait pas le droit d'y entrer si bien qu'elle pouvait la ranger —ou plutôt la déranger— n'importe comment. C'était moins marrant quand tout était propre et à sa place aussi faisait elle en sorte de laisser trainer ses «jouets» un peu partout.

Elle possédait un grand bureau recouvert de feuilles de papiers où elle pouvait s'amuser à dessiner ce qu'elle voulait. Il lui arrivait de devoir en entreposer dans la cave du château par manque de place mais elle ne se séparait pas de ses favoris, représentants les exploits de ses partenaires et amis.