Salut à tous ! :) Un petit OS surprise parce que parfois, j'ai besoin d'être dans ma bulle et que dans ces moments, j'écris ! Enfin petit… ça dépend du point de vue ! Il fait un peu plus de 12000 mots (Hors Notes et blabla...). Je l'ai divisé en deux partie. Mais pas de panique ! Je poste la seconde partie soit aujourd'hui soit demain ! ;)

J'espère que tous le monde va bien et que la tragédie qui a toucher Nice vous a épargner. Si se n'est pas le cas, je suis de tout cœur avec vous. Et j'espère sûrement naïvement que ces quelque mot vous aideront comme ils l'ont fait avec moi. Écrire est mon refuge peut-être lire est le votre.

Quelque mot sur cet OS : D'abord, si certain me lise déjà dans Revenir, vous savez déjà que j'ai deux manière d'écrire, mais je le rappelle comme même. Un point de vue interne qui sera ici celui de Lexa pour ce qui se passe dans le présent. Plusieurs points de vus omniscient pour ce qui se déroule dans le passé.

Ces instants chocs, d'une rare intensité. Des moments invisible qui sont capable de faire naître l'univers au creux de notre estomac. Parfois insignifiant comme une goûte d'eau dans l'océan mais au finale terriblement insolent dans la perception du réel. Ils sont ceux qui nous définisse.

Partie 1: Les obligations de l'amitié.
Partie 2: La nécessité d'aimer.

Les personnages de la série The 100 ne m'appartient pas.

Je vous souhaite une bonne lecture et je vous retrouve en bas ! :)

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Aperçu d'instants chocs

Partie 1 : Les obligations de l'amitié

Les hurlements se font entendre dans tous l'appartement. Suivit de près par un soupire, une lamentation, un corps qui se retourne, une éteinte chaleureuse avec mon oreiller. Mais le bruit ne cesse pas, la réalité est foudroyante. Il est temps de se lever.

J'allume la lumière de façon mécanique, geste que je regrette amèrement des que mes doigts presse l'interrupteur. Je protège mes yeux un peu comme je peux. Je finis par de nouveau fermer les paupières. Juste une seconde, pas plus. Je me rallonge même.

Puis un mouvement de l'autre côté du lit m'encourage à définitivement me lever. Ma main qui glisse sur son bras. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Je vole un baiser et mes pieds avancent seul vers l'entrée.

Je jette un dernier regard pour la personne que j'aime plus que tout au monde. Une pression sur la poignée et les cris m'atteignent encore plus. Je referme méticuleusement la porte derrière moi. Et je rejoint une autre chambre.

La lumière jaillit de nouveau. Mes pas traînant s'avancent avec un bruit de fortement. Je me dirige vers la provenance du bruit devenu insoutenable.

Mon regard ne reste pas fixe. Il s'arrête sur un foutu cadrant avec des aiguilles. C'est à ce moment et seulement à ce moment là que je réalise qu'il est plus de quatre heures du matin. Je jure malgré moi entre mes dents.

Mais la plupart du temps, je m'en fiche. Je finis mon avancer vers l'habitant de la chambre. Je pose mes yeux sur cette être criard avec un sourire niait. Je tends les bras et tous s'arrête.

Le silence.

Voilà ce que veut dire être parent. On le sait tous. On l'oublie parfois. Mais c'est ne pas dormir pendant des mois. Pourtant on continu tous de faire ce choix étrange, de concevoir. D'accueil un petit être chez soi. Une personne de plus dans son cœur.

C'est le choix qu'on a fait avec Clarke il y a de ça dès mois. Et maintenant, le sommeil se fait rare pour un petit bonhomme d'à peine deux mois.

Mes iris couleur émeraude contemple l'enfant redevenu calme. Je berce doucement mon enfant tout en descendant les escaliers. Je fais ce que je m'étais promis de ne jamais faire. J'accomplis des grimaces toutes les plus stupides les unes que les autres dans le but de tirer un sourire sur cette bouille que j'aime tant.

Je dépose l'enfant dans un transat, aussitôt, il recommence à hoqueter. Les pleurs ne sont pas loin. Je monte le berceau sur le plan de travail pour ne pas le perdre de vue. Sans vraiment m'en rendre compte, je commence même à chanter des parole qui on bercer ma propre enfance.

Je prépare le biberon, mets l'eau à bouillir pour le faire réchauffer en bain marie avant de revenir vers mon fils. Je chatouille doucement son ventre ce qui le fait éclater de rire.

Avec précaution je le prends dans mes bras. Je cale bien sa tête contre mon épaule. Mon indexe frôle le petit nez de mon fils qui sourit de plus en plus. Je récupère le biberon chaud, vérifie à deux reprises qu'il est à bonne température et lui donne son repas.

Je finis par m'installer sur le canapé. Je lutte contre le sommeil qui essaye de me ramener à lui. J'aimerai avoir une nuit tranquille mais en même temps, pour rien au monde je ne renoncerais à mon nouvel amour.

Je ne renierais jamais ma famille. Contrairement a ce que beaucoup pense, Clarke et moi, ça n'a pas toujours été une évidence. Encore aujourd'hui c'est difficile par moment. Je me souviens de notre première rencontre. Je l'avais à peine regarder. En faite je ne l'ai même pas vu.

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Une moto s'arrête presque brusquement devant un Starbucks. Le moteur s'éteint et la béquille vient s'entre choquer avec le sol. Des mains viennent se poser sur le casque et laisse échapper une magnifique chevelure brune. Les yeux d'un vert émeraude se pose sur la file d'attente.

La jeune fille soupire avant de descendre de son véhicule. L'attente va être longue. Elle retire son blouson, il commence à faire trop chaud pour le porter mais la sécurité avant tout. Le temps de mettre l'antivol et elle rejoint une marrée de personnes convoitent leurs café du matin.

Elle détestait attendre surtout quand les gens là reconnaissait comme aujourd'hui. Une dizaine de paires de yeux la fixaient ce qui la gênait énormément. En réponse elle prend son téléphone pour regarder l'actualité. S'était une façon comme une autre d'éviter la curiosité mal placer de tous ces inconnus.

Il n'était pas étonnant que tous la regarde. Elle faisait une nouvelle fois la une de plusieurs magazines. Que cette situation pouvait l'agacée. Elle se lassait vite de la notoriété. Elle avait penser que s'était une passade. Oui, elle était la plus jeune lieutenant de toute l'histoire de cette ville. Mais ceux qui avait suivit l'affaire du « L'Horloger » le savait, non ? Elle ne comprenait pas que ça fasse toujours scandale.

S'était de la faute des journalistes si ce monstre avait eu l'occasion de tuer autant de personnes. S'était un tueur en série qui aimait jouer comme tous les autres mais ce qu'il aimait le plus, s'était d'avoir son surnom écrit en grosse lettre sur tous les journaux. Donc il tuait plus, encore plus, toujours plus. Et sans faire d'erreur.

Du moins s'était le cas jusqu'à ce qu'il y a trois mois. Cinq goûtes de sang. C'est tout ce qui avait suffit pour l'identifier. Et le jeune inspecteur Alexia Thomas avait ensuite trouver sa trace grâce aux centaines de caméras en ville.

Ça n'avait rien d'un exploit. C'est pour cette foutu raison qu'elle ne comprenait pas l'engouement que les habitants avait pour elle. Elle avait juste fais son travail. Rien de plus !

En outre, cette histoire comme quoi elle avait faillit perdre la vie pendant l'arrestation était plus qu'exagérer ! Deux balles dans le ventre, se n'est pas si grave. Pas de quoi la nommer héro de la ville.

Polis était une grande ville mais contrairement à New-York ou Chicago, elle était rester presque familial. Tous le monde se connaissait. Aujourd'hui, la femme la plus importante de la ville selon les grand lignes du Poliz avait un rendez-vous avec son grand patron Marcus Kane et le chef des pompier Thelonious Jaha.

Elle avait du mal a concevoir qu'elle puisse être une des seules femmes importante de la ville. Même le chef des médecins et le maire étaient des hommes, respectivement Dante Wallace et Charles Pike. La parité s'était elle mit sur pause dans cette ville de bord de mer ?

Ses yeux découvraient avec horreur qu'un foutu journaliste l'avait suivit jusqu'à chez elle. Il avait ensuite interroger plusieurs de ses voisins a son sujet. A croire qu'elle n'avait vraiment plus le droit a aucune intimité. Certain disait même qu'elle était complètement dépravée parce que vivant avec trois hommes sous son toit !

Les gens était fou, il n'y avait pas d'autre mot. Oui, elle vivait avec trois hommes mais s'était ses colocataires ! Il fallait que cette situation cesse au plus vite. Elle ne le supportait plus. Depuis qu'elle était sortit de l'hôpital, sa vie était sans dessus dessous.

Alexia - mais elle préférait Lexa - se reconnecta a la réalité après avoir été bousculer. Ses yeux croisèrent ceux bleu d'une inconnue. Presque aussitôt une moue désolée se forma sur le visage de celle qui venait de la déranger.

-Je suis désolée.

-Se n'est rien.

Voilà, elle avait été polis et il n'y aurait aucun scandale, fin de l'histoire. Sauf que lorsqu'elle leva de nouveau les yeux, la blonde était toujours là avec un sourire de dessiner sur les lèvres. Sans un mot, Lexa se mit a la fixer pour essayer de faire comprendre a cette inconnue qu'elle pouvait disposer.

Mais la seule chose qui s'en suit se fut un rire. Étrange. Puis, l'autre femme lui tend ses deux sac remplit de café en tout genre. Elle déclare :

-Choisissez en un. C'est pour me faire pardonner. J'en prends toujours quatre en plus au cas où. Alors allez y et se n'est pas une négociation. Vous n'avez pas le choix.

Lexa ne pu s'empêcher de se demande ce que pouvait faire cette blonde de trois boisson en plus chaque matin. Elle croisa le regard déterminer de cette dernière et comprit qu'elle n'avait définitivement pas le choix.

Elle ouvrit un peu plus grand le sac et choisie un café caramel. Elle se sentait un peu gêner mais murmura comme même un :

-Merci.

-De rien. Bonne journée !

Un peu halluciner la brune retourna vers sa moto. Elle coinça le gobelet en sécurité dans son coffre. C'est a ce moment qu'elle remarqua le nom d'inscrit sur le plastique blanc : Clarke. Elle hocha simplement les épaules en se disant que s'était juste un moment étrange.

Ce moment étrange s'était vite fait oublier. La journée s'était dérouler normalement. Elle avait été agacée tout au long de celle-ci. En faite, si on l'avait pousser vers le rôle d'inspecteur, se n'était que pour un choix politique. Ils s'attendaient tous a son soutiens. Mais en réalité, elle n'en avait rien à faire.

Et finalement la belle blonde s'était effacer de sa mémoire. Comme un doux rêve qui nous échappe après notre réveil.

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Voilà ce qu'a été notre première rencontre. Juste un instant dans une vie. Il est vrais que s'était plutôt hors du commun et je me suis longuement poser des questions sur cette blonde un peu spéciale. Mais en vérité le longuement ne représente que mon court chemin pour me rendre au poste depuis le café. Rien de plus.

Parce qu'après l'autoroute de ma vie a reprit son court. J'ai de nouveau été submerger. Je n'avais pas le temps pour m'interroger plus sur cette blonde certes magnifique. J'ai du affronter de nombreux entretiens. J'ai du faire de nombreux hochement de tête. J'ai même poser pour quelque photographe. Encore aujourd'hui, je trouve que c'était un grand n'importe quoi !

Le petit bonhomme dans mes bras vient de finir son repas. Je le redresse en faisant très attention a sa tête. Il a les yeux grand ouvert. Je ne suis pas prête de pouvoir me recoucher moi !

Je dépose le biberon sur la table basse avant de me redresser. Je berce mon fils doucement en faisant les cent pas. Si je ne bouge pas, je vais vraiment finir par m'endormir. Je m'arrête devant une photo en noir et blanc qui est accrocher dans notre salon.

Un sourire étire doucement mes lèvres. Je continue mes attention pour calmer le petit Lucas. Mes yeux se perdent sur mes traits en noir et blanc. C'est la première photo que Clarke a prit de moi. Après avoir capturé le clicher, elle s'est avancer vers moi et nous nous sommes rencontrer un nouvelle fois.

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Lexa détestait plus que tout ce genre de réunion. Elle ne comprenait pas ce qu'elle faisait là, vraiment pas. S'était un gala de charité et elle avait à peine de quoi payer son appartement ! Mais les gens friquer aimait pouvoir lui serrer la main. Ils aimait pouvoir raconter à qui veut bien l'entendre qu'ils avaient rencontrer un héro local. Ridicule !

Lexa soupira une nouvelle fois alors qu'elle venait de réussir a fuir une discutions politique. Elle détestait qu'on demande son avis. S'ils savaient…

Parce que concrètement, ils ignoraient tous d'elle. Lexa était parvenu a garder sa vie privé secret. Il y avait des rumeurs mais s'était tout. Que se passerait-il le jour où les gens en apprendraient plus sur elle. Son grand patron en personne était venu lui demander de ralentir sa vie privée le temps que l'enthousiasme autour d'elle s'essouffle.

Concrètement, Kane ne voulait pas qu'on apprenne qu'elle avait tendance a aimer un peu trop les femmes. Comme s'était joliment dit comme ça. Elle haïssait les gens pour leurs divers appropries ! S'ils ne voulaient pas d'une lesbien pour héro, ils n'avaient qu'à choisir quelqu'un d'autre !

Elle n'avait pas été la seule à être blesser ce jour là. Mais l'histoire de la pauvre orpheline qui grimpe les échelons plus vite que quiconque avait plus. La presse s'en était aussitôt emparer.

Lexa était seule, loin de tous les hommes et femme riche qui parlaient argent, politique et association lorsque Clarke la repéra. Comme toujours ou presque son œil était figer dans le viseur de son appareil. Elle reconnu tout de suite la brune rencontrer il y a un mois de ça.

La blonde avait parler de cette étrange rencontre a ses deux meilleurs amies. Elle s'était fait charrier pendant des heures. Et comme la brune en question avait eu le malheur de choisir le café de Raven, cette dernière l'appelait sans cesse « Café Caramel ». Et bien sûr, Octavia la suivait dans son délire.

Clarke fit quelque réglage dont un zoom. Son inconnue n'avait vraiment pas l'air d'être a sa place. Elle saisit donc l'occasion et laissa son appareil retomber sur son épaule. Elle allait aller lui parler. Elle se dirigea donc vers cette magnifique fille. Elle essayait d'éviter un maximum de personne mais beaucoup la connaissait comme étant la fille de Jack Griffin un astronome innovateur mais surtout hors paire et de Abigail Griffin un des meilleur médecin de l'hôpital de Hope Street Police.

Clarke s'arma donc de patience, elle sera des mains et sortit des sourire tous plus faux les uns que les autres. Du moins ce fut le cas jusqu'à ce qu'une main se glisse dans son dos. Elle leva les yeux pour découvrir avec un grand plaisir son père. Il commença alors une conversation sur la possibilité de trouver de l'eau sur Mars. Sans que ceux qui l'écoute ne s'en rende compte, il fait un clin d'œil a sa fille.

Cette dernière comprend tout de suite le message et s'éloigne. La brune n'a toujours pas bouger. Mais maintenant elle lui tourne le dos. La blonde arrive donc et demande avec le sourire :

-Voudriez-vous vous enfuir avec moi ?

Lexa qui elle était perdu dans ses pensée se retournant lentement. Elle fronça les sourcille devant cette blonde qui lui disait vaguement quelque chose. Puis elle prononça :

-Pardon ?

-Vous n'avez pas l'air a votre place. Je vous offre une porte de sortie.

-Vraiment ?

-En effet.

-Ne vont-ils pas remarquer mon absence ?

-Qui s'en soucis ?

La première alarme qui est venu jouer avec le cerveau de Lexa fut : mon parton ! Mais l'opportunité était trop belle. Elle acquisse doucement avant de dire :

-Sûrement personne.

-Raison de plus. Je vais donc vous apprendre a fuir ce genre d'endroit.

-Parce que vous le faites souvent ?

-Plutôt oui.

La blonde chercha quelqu'un parmi la foule. Ses yeux s'arrêtèrent sur son père. Sa mère était de garde ce soir. Elle le pointa du doigt en expliquant a la brune :

-Là, c'est mon père.

-Je comprends.

-Alors, vous allez voir, c'est un plan infaillible. Il n'y a qu'un point important.

-Lequel ?

Un grand sourire énorme barre le visage de la blonde. Elle plisse des yeux avant de s'avancer vers l'autre femme. Elle se met très légèrement sur la pointe des pieds pour murmurer :

-Courir !

Dès que la fin du mot fut prononcer. La main de la blond vient agripper celui de la brune. Et alors les deux femmes s'enfuit à toute vitesse par la première porte. Lexa pense instantanément que c'est complètement fou. Elle ne peut pas faire ça. Qu'elle le veuille ou non, elle a des responsabilités. Mais l'autre à l'air déterminer mais aussi de connaître tous les couloir par cœur. Donc elle la suit sans un mot. En fait, pour une des première fois depuis l'incident, elle ne se sent pas agacer.

Clarke ouvre en grand une baie vitré et laisse celle qui la suit découvrir ce qui les entoure. Plus de huit mètre carré de verdure. Les jardins sont très bien entretenu et magnifique. La brune s'avance jusqu'à un banc pour s'y installer. Elle prend une profonde inspiration et se sent subitement beaucoup mieux.

La blonde l'observe avec fascination. S'en est même déroutant si elle doit être honnête avec elle-même. Jamais elle n'aurait imaginer apprécier a ce point un café caramel. Mais le plus étrange était qu'elle ignorait tout de cette fille. Pourtant… oui, son visage lui était familier.

En silence, elle cherchait ou elle avait bien plus voir cette fille auparavant. Sans quitter ses songe, elle approcha sans bruit. Elle pointa son appareil vers l'inconnu. Elle cadra, ajusta la lumière, fit un mouvement de de zoom avant de se figer.

S'était parfait, restait a attendre le moment avec un grand M. Ce dernier ne se fit pas trop attendre. La jolie brune leva les yeux vers le ciel. Elle était définitivement magnifique. Une pression de doigt et l'instant était figer a jamais.

Clarke observa l'image sur son pavé numérique. Elle s'installe près de celle qu'elle vient de sauver d'une soirée mortellement ennuyeuse. Elle lui passe son appareil et commente :

-Vous avez l'air si triste.

-Je ne le suis pas.

-Se n'est pas ce que montre cette image.

-Vous ne devriez pas faire des supposition sur un seul moment.

-Les photographies ne mentent jamais.

-Vous êtes qui, Sarah Moon ?

-Je serai peut-être, un jour, aussi connu qu'elle. Clarke Griffin, enchantée.

-Enchantée.

Clarke fit un légèrement froncement de sourcilles. Cette fille était définitivement étrange. Elle l'aimait bien. Elle s'informe avec le sourire :

-Vous ne comptez pas me donner votre nom ?

En réponse elle reçu un air presque choquer. Clarke perdit alors tout de suite son sourire. Elle se mit alors a paniquer. Il y avait des gens très important a cette soirée. Si ça se trouver cette fille était une princesse ou un truc dans le genre. Ça craint.

Elle bégaye comme même :

-Pour… pourquoi ? Je de… devrais ?

-Théoriquement non mais beaucoup font une fixation sur moi depuis un certain temps.

-Ah oui ? Je me sens nul toute à coup…

-Il ne faut pas. En faite, ça me rassure. J'imagine que ça veut dire que j'ai une chance de retomber dans l'anonymat. Je suis Alexia Thomas.

Alexia Thomas, se n'était définitivement pas n'importe qui pensa Clarke. Comment se faisait-il qu'elle ne l'ai pas reconnu sur le champs ? Cette fille était LA célébrité de Polis. Mais comprenant qu'elle ne pourrait pas l'approcher en parlant de passer, elle demande amuser :

-Donc si je tape votre nom sur Google, je peux savoir tout ce que je veux ?

-Ne faites pas ça…

-Pourquoi pas ? J'ai un smartphone sur moi. On peut tout faire avec ces petites choses sauf de bonne photo, ça c'est un mensonge.

-Je… je… quoi ?

Clarke se mit a rire à gorge déployer. Alexia était de toute évidence facilement impressionnable. Elle décide donc de calmer le jeu.

-Je vous charrie. Je ne vais pas vous googler. Je sais exactement qui vous êtes. Mais je m'en fiche. Je veux juste discuter. Moi aussi je m'ennuie pendant ces soirée. Je sais pourquoi je suis là, mon père m'a demander de l'accompagner. C'est quoi votre sentence ?

-Mon… patron.

-Lequel ? Parce que théoriquement il y a deux personnes qui peut vous donner un tel ordre : notre chère chef de la police, Marcus Kane ou Monsieur le maire, Pike.

-L'ordre venait de Kane mais je pense que c'est Pike qui a fait la demande.

-Je ne l'aime celui là. Maman dit qu'il a une incompatibilité naturel avec tout les Griffin !

Un léger rire échappa a Lexa. Un sourire qu'elle cacha immédiatement de ses mains. Clarke trouva cela dommage, parce que l'autre femme était belle et la voir rire devait être quelque chose de grandiose.

Elle observa la jeune lieutenant qui avait le regard perdu, accrocher au ciel. Son sourire s'était évanouie depuis longtemps. Elle semblait calme mais toujours triste.

-Vous voulez en parler ?

-De quoi ?

-De ce qui vous rends si triste.

-Je vous l'ai déjà dis, je ne suis pas triste.

-Se n'est pas ce que dis votre visage.

-C'est juste que je ne suis pas a ma place.

-Vous voulez qu'on s'enfuit encore plus loin ?

-Et pour aller où ?

-Qu'importe.

Lexa semblait réfléchir ce qui faisait réellement plaisir à Clarke. Il est vrais que comme tous ceux vivant a Polis, elle avait suivit avec horreur les méfaits de celui qu'on appelait aujourd'hui l'Horloger. S'était un monstre on ne pouvait définitivement pas le comparer a un homme. Comment quelqu'un appartenant au genre humain aurait pu faire de tel choses ?

Clarke avait été devant son écran pendant la course poursuite. Elle avait vu de ses yeux mourir trois officier et cinq autres être blesser dont cette inspecteur Thomas. Tous ceux qui avait les yeux clouer sur un écran l'avait vu se relever après avoir prit deux balle. Elle a tirer, trois fois. Une fois dans le genou droit, une autre dans l'épaule du même côté et une dernière dans l'autre genou. Elle l'avait clouer au sol l'empêchant de s'enfuir.

Son geste que beaucoup qualifiait d'héroïque avait permit a beaucoup de famille d'obtenir un jugement et d'avoir le plaisir de voir ce tueur finir sa vie derrière les barreaux.

Les journalistes ne s'étaient pas arrêter de filmer. Ceux qui étaient rester envoûter par ce moment d'horreur regardait impuissant les reste de la cavalerie arriver. Plusieurs fonçaient sur le suspect pour le menotter. D'autre s'arrêtait près de leurs collègues blesser ou mort. Ils parlaient a leurs radio. Puis il y a eu les hélicoptère et l'attente… tous espéraient que la jeune inspecteur survivre. Mais les médecins ne pipaient pas mot.

Le maire avait alors pris les choses en mains, distribuant les honneurs, des médailles et des promotions. C'est ce qui explique que Alexia Thomas est sombre en étant un simple inspecteur et que lorsqu'elle a ouvert les yeux elle soit devenu lieutenant. La plus jeune qui soit. Ce qui encouragea l'engoument autour d'elle.

-J'aurai aimer aller à la foire, celle à TonDc.

-J'ai des clefs !

-Et moi une moto.

-Non, non, non ! Tu n'as pas compris, il nous faut un plan infaillible !

Lexa eu un rire moqueur. Bien sûre, elle avait remarquer qu'elle ne se faisait plus vouvoyer mais elle ne s'en plaignait pas. Elle enquêta donc :

-Un plan infaillible ?

-Exactement !

-Comme de s'enfuir en courant j'imagine.

-Hey, s'offusqua la blonde, ça a fonctionner ! On est toujours seul je te signale.

-En effet. Donc, quel est ton plan infaillible ?

La blonde réfléchi un instant avec un air des plus sérieux sur le visage. Lexa ne pouvait pas croire que cette dernière pensait vraiment a les sortit de là. S'était complètement insensé ! Et bien plus encore, elle risquait d'être virer si elle ne retournait pas a son poste.

Puis, Clarke tapa dans ses mains avec fracas avant de lever les bras en l'air de toute évidence victorieuse. Elle se tourna vers Lexa avec un immense sourire. La brune ne pu s'empêcher de penser qu'elle était adorable et même a tomber.

Oui… tomber dans la folie. Lexa était entrain de perdre toute façon rationnelle de penser à cause d'un simple sourire. Non il n'était pas sommaire plutôt épatant !

-C'est plutôt évident ! On part avec ma voiture.

-Je ne peux pas, je…

-Shhhh ! J'ai pas fini ! Je t'embarque de force s'il le faut, ça fera plus vrais.

-Pardon ?

-Tu sais, on ne refuse pas un caprice a la septième plus grande fortune de Polis. Tous le monde sait que me dire non revient a se mettre mes parents a dos. Quand on te demandera, tu diras que je ne t'ai pas laisser le choix. Que se n'était rien d'autre qu'un caprice de gosse de riche. Crois-moi, personne ne dis "non" au Griffin.

-…

-Aller, c'est un plan génial !

-…

-Sérieusement, je passe même pour une méchante… je ne ferai pas ça pour n'importe qui !

-…

-Dis oui !

-…

-Aller !

-D'accord.

oOoOo

Je ris doucement en repensant a cette soirée. Une des meilleurs de ma vie. Je me suis rarement autant amuser. Clarke était très drôle et rafraîchissante. Elle m'a fait un bien fou. Elle a fini par me raccompagner chez moi a plus de trois heure de matin.

Le lendemain, j'ai cru a un rêve. J'avais certainement tout imaginer. Mais dès que j'avais poser un pied dans le bureau, je me suis fait convoquer par Kane. J'ai donner l'explication qu'avait inventé Clarke et aussi fou que ça puisse paraître ça a fonctionner.

Lucas s'agite dans mes bras. Je lui demande tout bas de se calmer. Je lui explique même que ses deux mamans ont besoin de dormir. Mais il n'y a rien a faire. Le petit monstre aux cheveux blond a décider qu'il avait besoin de s'exprimer. Dans ces moment là, il pouvait avoir une voix très puissante !

Je soupire en réalisant que je ne vais pas m'en sortir si facilement. En plus, je ne veux pas qu'il réveil Clarke, elle a une exposition importante qui commence demain. Je réfléchis a toute vitesse avant de me diriger vers le garage. Je prends les clefs sur un meuble en passant.

Je dépose délicatement mon petit prince sur la machine à laver. Avec Clarke, on a décidé d'y installer une petit matelas, c'est pour mieux fuir la maison avec Lucas. J'attrape son manteau avant de lui enfiler. Je pense que ça va suffire, c'est bientôt l'été.

Je reprends les clef que j'avais confier a mon fils. Il n'y a rien de mieux pour l'occuper. C'est soit ça, soit mes cheveux. J'avoue avoir une préférence pour un objet qui ne ressens pas la douleur. En plus j'en ai marre de trouver de la bave un peu partout sur mes boucles.

Je sors avec la poussette déjà dépliée. Il faut dire que je commence a être organiser. Parce que s'il est vrais que j'arrive a démonter et remonter une arme facilement. Cet engin de transport est un vrais casse tête !

Je me dirige a pas lent vers le parc. J'ai l'impression que Lucas n'a plus du tout envie de pleurer. Non, il gazouille tranquillement. S'était bien l'à peine. Quel sale gosse !

Il arrive déjà a tout obtenir de moi. Qu'est-ce que se sera quand il sera capable de prononcer des mots ? Je suis mal ! Déjà que je n'arrive pas a résister a sa mère. S'en ai définitivement fini de moi. Je suis morte…

Je m'installe sur un banc en face d'une air de jeu. J'imagine ce que sera ma vie dans quelque année. Quand Lucas sera capable de monter sur ces structures. Ça me fera mourir à petite feu de peur.

Je fais des gestes d'avant en arrière pour berce le petit. Je vais rester là jusqu'à ce qu'il s'endorme. De toute façon, il y a aucune chance que je retrouve mon lit avant ça. Je me replonge donc dans mes souvenirs.

oOoOo

Pour Lexa, les semaine suivante avait été le même enfer. Conférence de presse, réunion, événement… elle était partout et n'avait plus une seconde à elle. Elle commençait a trouver tous cela frustrant. En faite, elle faisait tous sauf son boulot.

Elle servait de mascotte a la police. De dissuasion politique pour le maire. D'exemple des soins médicaux exceptionnelles que pouvait procurer le Hope pour le chef d'hôpital. Elle devait même aller dans les écoles avec les pompier pour parler sécurité.

Elle se lassait de toute cette situation. Elle commençait même a penser donner sa démission. Elle en avait même déjà parler avec sa meilleur amie, Anya. Il n'y avait qu'une chose qui l'en empêchait. Mais s'était plutôt une personne : Clarke. Depuis leurs fuite lors de cette soirée, elle ne l'avait pas revu. Mais elle n'arrêtait pas de penser à elle.

Cette blonde était la seule a la convaincre de rester. Elle ne voulait pas partir et risquer de ne plus jamais la voir. Elle ne savait pas pour quelle raison stupide elle se sentait attacher a elle mais s'était le cas.

Clarke arrêta sa voiture devant sa maison avec le sourire. Elle avait hâte de revoir sa famille mais surtout Lexa. Ça allait maintenant faire un mois qu'elles ne s'étaient pas vu. Elle avait du partir le lendemain de leurs fugue pour un reportage photo. Elle s'en était voulu de ne pas avoir prévenue la jeune lieutenant. Mais se n'est pas comme si elles avaient pensées a échanger leurs numéros.

Leurs escapade avait été comme hors du temps. Clarke se surprenait parfois a se demander si tout avait été réel. Alors elle fermait les yeux et revoyait les rares petits sourire qu'elle avait réussit a lui décrocher. Non, ça avait été réel !

Mais avant de pouvoir la voir, il fallait qu'elle se rendre au bureau pour développer toutes ses photos. Elle les enverrait ensuite a celui qui les lui avait commander. C'est seulement après qu'elle pourrait de nouveau se permettre un caprice.

Elle se sentait déjà tout exciter a cette idée. Elle avait hâte de revoir Lexa. Elle jeta un œil a sa montre. Elle avait encore le temps pour passer au Starbucks. Alors qu'elle attendait patiemment qu vienne son tour, le bruit d'une moto lui fit relever les yeux.

Il faut dire que depuis que Lexa lui avait dit qu'elle en possédait une, elle levait les yeux sur chacun d'entre eux en espérant voir la brune. S'était ridicule mais elle ne pouvait s'en empêcher ! Quelle ne fut donc pas sa surprise quand elle découvrit belle et bien Lexa sous le casque.

Sa mâchoire en tomba presque. Elle était encore plus belle que dans ses souvenirs. Elle était vraiment dans la merde ! Encore plus que Salim dans Slumdog Millionaire. Elle était entrain de tomber amoureuse…

Sauf qu'il y avait un gros problème. Toute sa vie était déjà écrit d'avance. Elle avait déjà un fiancé, s'était quelque chose d'arranger voir même de politique. Ça ne l'a dérangeait pas plus que ça. Wells était son meilleur ami après tout. Il l'a laisserai faire le métier qu'elle veut.

Mais par contre, il n'accepterait pas d'être humilier et elle non plus. Donc pas de tromperies. S'était le contrat entre les amis. Pourtant, rien ne l'empêchait de devenir amie avec Lexa. La situation allait être des plus dangereuse mais elle était a un stade ou elle pensait que le jeu en valait la chandelle ! Elle n'avait pas encore peur de se brûler les ailes.

Clarke sortit alors de la foule avec un sourire immense et s'approcha discrètement de Lexa. Elle plaça ses mains sur les yeux de la belle brune. Cette derrière sursauta, inconsciemment, elle posa sa main sur son arme de service. Elle aurait pu se retourner et dégainer si la douce voix qu'elle n'attendait plus ne murmura pas :

-Devine qui c'est ?!

-Clarke ?

-Je confirme !

Elle retire lentement ses mains et Lexa se retourne. Aussitôt, toutes les tensions qu'elle a pu accumulé ces dernières semaines s'évanouisse. Elle appréciais vraiment cette blonde a la bonne humeur contagieuse. Lexa la détailla un instant, elle avait presque oublier ses traits parfait. Elle se moqua de son absence en affirmant :

-J'ai faillis lancer un avis de recherche, tu étais introuvable pendant presque un mois.

-Les risques du métier ! J'ai eu une mission !

-Tu étais où ?

-C'est top secret ! Si tu veux le découvrir, il faudra que tu vienne a une de mes expos.

-Sérieusement ?

-Évidement ! J'ai tellement peu de notoriétés que je suis obliger d'acheter ceux qui vienne. Tu en fais partie, désolée !

-Tu es folle…

-Merci ! Donc, tu viendras ?

Lexa fit mine de réfléchir avant de répondre avec un clin d'œil :

-De toute façon, je n'ai pas le choix.

Puis, elle s'éloigna pour laisser le temps de réfléchir à Clarke. Elle patienta à peine dix secondes seule avant que la blonde ne revienne a ses côté. Elle convoite une réponse en quémandant :

-Qu'est-ce que tu veux dire ?

-Exactement ce que je viens de dire.

-Je ne comprends pas.

Un sourire échappa a Lexa. Ça lui faisait du bien. Même avec Anya elle avait du mal a avoir des moment serein comme celui là. Elle aimait jouer et taquiner la blonde. Elle retrouvait sa force de vivre et même par moment sa joie.

Elle regarda la carte des café étant parfaitement consciente que Clarke attendait sa réponse. Elle allait peut-être prendre un moka aujourd'hui. Après restait a savoir quelle saveur elle allait choisir.

-Lexa ! Réponds moi tout de suite !

-Comment tu m'as appeler ?

-Lexa, c'est plus sympa que Alexia.

-Qui a décider ça ?

-Moi. Tu te souviens, je suis une gosse de riche. Donc, par décret de moi à moi, à partir d'aujourd'hui et à jamais, tu seras Lexa a mes yeux.

-C'est une blague ?

-Non et n'essaye pas de changer de sujet. Pourquoi tu n'aurai pas le choix ?

Clarke se met devant Lexa et continue d'avancer en arrière. Elle fait comprendre par ce geste qu'elle n'abandonnerai pas. Elle voulait savoir et elle saurai !

-C'est à cause de ton plan stupide de l'autre soir.

-Hey ! Ça a très bien fonctionner. Et on a passer une super soirée ! Tu me l'a même avouer.

-Je sais

-Alors, il est où le problème.

-J'ai du me justifier devant Kane.

-Et ça a marcher. Ça a forcément marcher. S'était infaillible.

-Oui.

-Alors où est le problème ?

-Il a estimé que notre amitié pourrait être très fructueuse pour le poste.

Clarke fit alors la plus belle tête de poker-face de tout les temps. Elle passa une main dans ses cheveux, soudain mal à l'aise. Elle demande avec une voix semblable a celle d'un robot :

-Tu te fous de moi ?

-Malheureusement, non.

-Putain, je déteste la politique ! On ne peut pas juste être amie ?

-Bien sûre que si.

La réponse du lieutenant rassura quelque peu la blonde. Leurs amitié ne serait pas factice. Elle avait malheureusement habituer a ce genre de relation. Tous était faux dans sa vie. Elle avait besoin de quelque chose d'authentique.

-Merci Lexa.

-Pourquoi ?

-D'être mon amie.

-Je suis sûre que tu en as beaucoup. Tu es très gentil.

-Tu seras la première que je me fais seule, je veux dire sans l'appuie de mes parents ou de leurs entourages ou de mon école prestigieuse et ridiculement chère.

-Je vois le principe !

-Ne te moque pas, s'il te plaît.

-Je ne me le permettrais pas Clarke, enfin pas sérieusement.

Elles se séparèrent une fois leurs café en main. Puis, elles rejoignent chacune de leurs côté vers leurs lieu de travail respectif. C'est à cause de cette jolie blonde que pour la première fois depuis des mois, Lexa arriva au poste avec le sourire. Plusieurs de ses collègues le remarquèrent mais ne lui fit aucune remarque. La plus part était trop heureux de la voir ainsi.

Les choses sont devenu définitivement suspect pour les enquêteurs en milieu d'après midi. Parce qu'ils ont tous vu la jeune Clarke Griffin traverser les couloirs comme si de rien n'était et se diriger tout de suite vers leurs collègue anormalement heureuse.

Lexa qui remplissait malgré l'ennuie attentivement un de ses dossier ne remarqua pas la blonde tout de suite. Quand elle leva les yeux, la première chose qu'elle vu fut Clarke. Aussitôt un nouveau sourire se dessine sur ses lèvre. Sa nouvelle amie lui demande de l'attendre juste une seconde.

La brune regarde alors la photographe impuissante frapper à la porte de son patron. Elle faillit bien partir dans un fous rire quand elle vit Kane presque se mettre au garde à vous devant le blonde. Elle lui parla pendant ce qui paru a Lexa être une éternité avant qu'elle ne revienne devant son bureau.

Clarke joua un instant avec l'agrafeuse du lieutenante. C'était comme si cette situation était complètement normal. Puis elle lâcha de but en blanc :

-Je viens de t'offrir une semaine de congé. Tu viens avec moi, sur le champ !

oOoOo

Je ris doucement a ce souvenir. Clarke était complètement et définitivement folle. Mais cette semaine m'avait fait un bien fou. Elle devait faire une reportage sur la migration des oiseaux. On avait donc voyager jusqu'en Islande où ses parents avait une maison de vacances.

Moi qui n'avait jamais quitter Polis, j'avais été servit ! La paysage était déroutant. Il y avait beaucoup de désert et quelque lac que Clarke m'avait fait visiter. Et il faisait froid, très froid ! Je ne me souviens pas que le thermomètre est afficher une seule fois plus de dix degrés. Mais j'avais adorer. Et elle avait pu avoir de magnifique photo de ces oiseaux. Des oies, je crois. Il me semble qu'elle m'avait expliquer qu'ils migraient de vers les Pays-Bas.

C'est avec ce voyage que notre amitié a vraiment commence. On a passer une semaine coller ensemble. Elle m'emmenait partout avec elle. J'ai pu voir des centaine d'envolés incroyables. Mais se dont je me souviens le plus s'était le mercredi. Il était deux heure du matin quand elle m'a réveiller, exigeant que je la suive.

Je l'ai fais en bougonnant mais je l'ai fais. Et là, elle m'a annoncer qu'on allait sortir. Je l'ai insulté de folle mais elle ne s'est pas démonter. Elle m'a même habiller elle-même et m'a pousser dehors. J'ai cru que j'allais mourir tellement il faisait froid.

Lucas recommence a pleurer. Je le rouspète doucement en lui demandant s'il ne veut pas dormir. Évidemment, je ne reçois aucune réponse. Je le détache et le prends dans mes bras. Aussitôt il arrête de gémir. Je suis sûr qu'il complote contre moi.

Il a toujours les yeux grand ouvert. Je souris en lui racontant que ce jour là, à cause de sa tarée de mère. J'ai vu une des plus belle chose qui soit. La lune était pleine et des centaine, que dis-je des millier d'oiseaux sont passer devant nos yeux.

Au bout d'un moment j'ai remarquer que Clarke ne prenait pas de photo. Elle m'a alors expliquer que certain moment devait rester simplement sauvage. En faire une photo en aurait dénaturer la beauté. C'est ce jour que je suis irrémédiablement tomber amoureuse d'elle.

Mon petit prince semble complètement subjuguée par mes mots, ou plutôt ma voix, alors je continue d'explorer mon passer et le lui conte d'une voix douce.

oOoOo

Un an et demi, voilà depuis combien de temps le lieutenant et la photographe était amie. La seule chose qu'elles ignoraient c'est qu'elles étaient toutes deux dévorer par des sentiments bien plus profond.

Les filles ne pouvaient pas passer une semaine sans se voir minimum deux fois. La plupart du temps, elles prenaient leurs café au même endroit depuis leurs première rencontre a la même heure. Elles discutaient pendant une dizaine de minutes avant de se séparer pour la journée.

Elles étaient aussi partie plusieurs autre fois en vacances ensemble. Lexa avait rencontre les amies de Clarke et visse versa. Le moment le plus difficile pour la jolie brune avait été lorsqu'elle s'était retrouver face à face avec Wells pour la première fois.

Le pire pour elle c'est qu'elle savait. Clarke lui avait tout dit pour ce faux mariage. Ça l'avait mit hors d'elle. Lexa n'avait pas supporter que son amie se fasse marcher sur les pieds de la sorte. Tous ça pour une histoire d'argent. Elle ne pouvait pas renoncer au bonheur et a l'amour pour un échange politique. S'était stupide.

Pour la première fois, elles s'étaient disputer. Elle ne s'étaient pas parler pendant plus de deux semaines. Lexa n'en démordait pas, s'était idiot. C'est donc Clarke qui fit un nouveau pas vers elle. La brune se rendant compte qu'elle ne pourrait plus vivre sans cette merveilleuse blonde avait accepter cette situation absurde.

Mais tous ça s'était passer il y a une éternité. Elles étaient de nouveau les meilleurs amies du monde et avaient presque oublier cet incident. Aujourd'hui, on était le trente et un décembre. Comme l'année dernière Clarke avait invité Lexa chez ses parents qui invitait un million de personnes.

Le lieutenant commençait doucement a être à l'aise dans ce monde où il valait mieux être un requin qu'un petit poisson clown. Mais elle avait toujours du mal a comprendre que certaine personne la reconnaisse comme étant l'héroïne de Polis. Elle trouvait toujours ça bête.

C'est pourtant ce jour là que leurs amitié c'est définitivement écrouler. À minuit, Wells a déposer un genoux a terre pour demander officiellement Clarke en mariage. La blonde a de suite accepter. C'est ce qui était convenu mais quand elle s'est retourner, plus de Lexa.

oOoOo

Voilà pour cette première partie. J'espère qu'elle vous a plus ! Dites-moi ce que vous en avez pensez, n'hésitez pas ! J'espère toujours que se n'est pas trop "nul" par rapport a Revenir parce que j'ai écris cette histoire dans un état second après les événement du 14 juillet...

Les Notes :

(Pour ceux qui ne me connaisse pas, c'est une habitude que j'ai...)

Note n°1 : Starbucks, la société a été fondé en 1971. Il se démarque par leurs propre café moulu mais ils se sont diversifier au fur et à mesure, en ajoutant a leurs gamme du thé (qui est a tomber si vous me demandez mon avis) mais aussi des pâtisserie. Après, je sais que l'entreprise était au début à Seattle. Et je pourrai vous parler du logo pendant des heures ! J'ai même un cours dessus. Oui, oui, un cours ! Je vais juste dire et comme ça si on vous le demande, vous pourrez frimer que c'est le designer Terry Heckler qui a dessiner la fameuse sirène a deux queues.

Note n°2 : Pourquoi Thomas est-il le nom de famille de Lexa me demanderez vous ? Bonne question ! Tous simplement parce que c'est le nom de famille d'un enquêteur que j'apprécie particulièrement d'une série de James Patterson. Bon après théoriquement c'est une journaliste mais je n'y peux rien si toutes les journalistes de Patterson son cool ! XD

Note n°3 : Sarah Moon est une grande photographe de nationalité française. Avant de se destiner a la photo, elle était mannequin. Elle a fait de bien plus beaux clichés que ses confrères masculin sur des modèles. Pour la simple et bonne raison qu'elle avait été des deux côté, devant et derrière l'objectif.

Note n°4 : Slumdog Millionnaire est un film qui est sortie en 2008. Il a été réaliser par Danny Boyle. Il a été adapter d'un livre de Vikas Swarup, je crois, je ne suis plus sûre du nom de famille. De mémoire, il a remporter quatre Golden Globes et huit Oscars. Je suis feignante… je pourrai aller voir dans ma chambre, sur mon DVD mais non ! :p

Note n°5 : L'Islande se situe dans l'Océan Atlantique côté Nord. Où comme je dis souvent parce que je suis nul en géo, quelque part par là bas ! C'est près de la Norvège, non ? Après, on connaît surtout les Islandais pour leurs équipe de Handball (2ème au dernier JO) et au foot j'étais pour eux ! Les français ont été méchant avec eux… qu'est-ce que je peux dire d'autre ? Ah si ! L'islandais est devenu une langue officielle, seulement en 2011.

Note n°6 : Les oies dont je parle pour la migration sont celle à bec court. Les pauvres… elles sont considérer comme une sous espèce ! En tout cas, elles migrent de l'Islande vers les Pays-Bas ou l'Angleterre et parfois la Belgique. Mais pourquoi je sais ça moi ?

Note n°7 : Les Pays-Bas sont situer en Europe. C'est un pays monarchiste, version constitutionnelle. J'adore cet endroit et j'y suis retourner il n'y a pas longtemps ! Les maisons, les moulins, toutes l'architecture est a tomber ! Et il y a des Basilique a la structure unique. Si un jour vous avez l'occasion d'y aller, foncer !

Note n°8 : Qui a capter le clin d'œil au Monde de Némo à la fin ? Personne ?! C'est pas grave ! XD En passant, j'ai adorer le Monde de Dory ! ;)

Je vous laisse, et vous dis à bientôt ! Théoriquement, dès que j'ai fini de retranscrire les Notes de la deuxième partie ! ;)

GeekGirlG.