Il était une fois une plante ver... euh un adolescent du nom de Ulquiorra et qui vivait à la lisière de la forêt. Sa mère, Gin, l'adorait et sa grand-mère... pas vraiment mais sa ne comptait pas.
Un beau jour, sa mère lui offrit un chaperon tout vert
(allez savoir pourquoi vert) et un panier et lui dit :
- Va porter
à Grand-maman qui est malade, J'ai fait ce matin des galettes que ta
grand-maman aime tant, sois gentille, va donc les lui porter avec ce
fromage
et ce petit pot de confiture.
- Mais j'en ai rien à
cirer de la vielle, et qu'elle se bouge de temps en temps !
-
Ulqui, Ulqui , Ulqui, Ulqui, nous souhaitons tous la mort de...
enfin, le départ agréable de granny (question d'héritage) mais si
tu vas lui porter ça, ça veut dire plus d'héritage et donc plus de
robes !
- Mais quand vas-tu comprendre que je suis un gars ?
-
Bordel, va juste porter ce panier à la con pour que ton père et moi
on puisse s'amuser un peu !
Elle claqua la porte au nez de son
fils qui s'éloigna en pensant au meurtre parfait. Tandis que notre
plante verte nationale gambadait dans les bois (dû à un caillou
dans sa chaussure), un loup l'observait en pensant à son prochain
festin (steak avec des bonnes patates).
Le jeune homme innocent
(on va juste dire pas-au-courant-de-la-situation) ramassa le temps
d'une pause des fleurs pour sa grand-mère (réaction au pollen à
coup sûr). Le loup en profita et se jeta sur sa proie... qui lui
brisa son envi de l'attaquer (dans les deux sens).
Il découvrit
que le loup était en faite une homme aux cheveux bleus qui s'était
déguisé sûrement pour pouvoir faire des trucs avec Ulquiorra.
Quand le pseudo-loup remarqua que le petit chaperon vert avait
découvert son identité, il partit en pleurant et cria :
-
Ouuiin, je vais le dire à Aizen !
- Rien à foutre
Quand le
jeune homme arriva à la maison de sa grand-mère, le loup avait
caché l'aïeul dans le grenier et avait revêtu de ses vêtements
(qui sentaient la mort) et attendait sa proie (les hormones, je vous
jure !)
Ulquiorra, après avoir tenté de cacher des serpents dans
le panier, arriva à contrecœur à la porte. Il frappa quelques
coups et se préparaient à s'enfuir quand la voix de Grimmjow
version féminine lui annonça :
- Tire sur la chevillette et la
bobinette chèra.
- C'est quoi ce charabia à la con. Yé hors de
question que je rentre. Je dépose votre panier idiot au bas de la
porte et vous allez vous démerder toute seule !
Le narrateur
(ou plutôt la narratrice en colère) prit Ulquiorra par le col et le
poussa dans la maison à travers une des fenêtres
- Bon ben tant
qu'on est là... Voilà votre panier vielle gâteuse.
- Ooh mais
ma petite fille, approche donc que je contemple ta beauté !
-
Premièrement, je n'ai pas envi de choper votre truc, deuxièmement,
je suis un gars bordel !
- Mais non, aller approche, dit-il en
faisant signe de la main (faut dire aussi que la narratrice se tenait
derrière Ulquiorra avec une batte de baseball)
Donc, Ulquiorra se
rapprocha prudemment du lit.
- Oh grand-mère, que vous avec des
grands bras ! (Ben voyons comme si s'était important)
- C'est
pour mieux t'enlacer mon enfant.
- Oh grand-mère, que vous avez
une grosse voix ! (Mais qu'est-ce que je dis là)
- C'est pour
mieux te parler mon enfant.
- Oh grand-mère, que vous avez de
grandes dents ! (Bon ça y est, je me barre)
- C'est pour mieux te
manger mon enfant mwouhahahahah !
- N'importe quoi. Moi je me
casse.
- Là c'en est trop ! s'exclama Grimmjow à bout de
nerfs.
Il sauta du lit, arracha ses vêtements (en gardant
quelques petits trucs quant même) et se mit à genoux devant
Ulquiorra (même pas étonné).
- Mais pourquoi t'es aussi méchant
avez moua ?!
- Parce que tu es con, bleu, obsédé de baston (vous
pensiez qu'il allait dire autre chose mes petits coquins) et qui
n'aime que le sang, dit-il avec son calme légendaire.
Grimmjow
le fixa un instant avec des yeux de chiens avant de dire :
- Bah,
on peut pas être parfait, tu veux sortit avec moi ?
- Non.
-
Pleeeeaaaasssse.
- Sauf si tu me rends un service.
C'est ainsi
que Grimmjoe jeta les deux parents d'Ulquiorra dehors de leur maison
et qu'ils vécurent (plus ou moins) heureux pour quelques temps, en
tout cas.
