Le brevet, un bar sans histoire, juste une bagarre à chaque coupe du monde de football.
Le directeur René Drink, un homme du troisième âge, une femme, six enfants et une dizaine de petits-enfants. La retraite? plutôt se jeter dans le vide puis avec un arrêt brutal à la fin. Sa femme, une chiante de première, la femme de sa vie.
Vendredi 13, table 13, 13ème fois qu'IL entends le mec à côté de lui faire craqué ses doigts. Chance ou malchance, Il repasse sa journée pour savoir si IL doit se méfier de ce chiffre. Finalement non.
Puis IL la vit.
Chance.
Elle. IL l'aime, ELLE le déteste.
Malchance.
Ses copains se lèvent et les laissent seul pendant qu'ELLE s'assoit.
Chance.
-Qu'es-ce que tu veux, lui demande t'ELLE d'un ton froid, me brisé le cœur? Peut-être? Où le faire une 2ème fois ne t'amuse plus.
Malchance.
ELLE me fixa longtemps, comme IL ne disait rien. ELLE repris.
-Bon, dit-moi ton plan, je t'écoute.
Chance.
-Viens, pas ici, dit IL d'un air assuré.
ELLE hésite, ELLE n'a pas confiance.
Malchance.
Puis, ELLE se lève et met sa main dans la sienne qu'IL lui tend.
Chance.
ILS marchent, jusqu'à un parc.
Le parc Pissarro, IL se connait ce parc comme sa poche et surtout cette petite grotte charmante.
ILS prirent l'allée de l'amour.
Chance.
Elle ricane en voyant le panneau.
-C'est une allusion? Lui dit ELLE d'un air sceptique.
Malchance.
-Euh… ça dépend comme tu veux, si tu veux que se soit une allusion, s'en ait une mais si tu veux pas, s'en ait pas.
ELLE ne dit rien... ELLE ne conteste pas.
Chance.
Mais ELLE ne dit pas qu'elle veut que se soit une allusion mais avec ce qu'IL lui a fait, IL ne peut pas lui en vouloir.
Malchance.
IL l'a conduisit dans cette petite grotte.
C'était une grotte simple avec une petite cascade qui se terminait par un ruisseau. De la mousse poussait et les rayons du soleil s'étalait sur le sol. Cela rendait le tout très romantique.
IL pressa sa main afin qu'ELLE se retourne. Ce qu'ELLE fit.
Chance.
IL l'a prit dans ses bras afin que même si ELLE se débat, Il pourrait la retenir.
ELLE se débattit.
Malchance.
ELLE s'arrêta à bout de souffle.
-Nan mais tu joue à quoi!! S'offusqua t'ELLE.
-Hey, veux tu bien te calmer!!
-Me calmer!! Nan mais tu te fous de moi.
-Écoute moi laisse moi t'expliquer, je t'en pris, lui dit IL sur un ton suppliant.
Elle s'arrêta et le regarda.
Chance.
Mais ELLE replia ses bras de manière à mettre le plus possible de distant entre lui et ELLE.
Malchance.
-Je t'aime, avoua-t-il
-Tu m'aimes? TU M'AIMES!!! Hurla-t-elle les larmes aux yeux, COMMENT OSE TU ME DIRE CA APRES CE QUE TU M' AS FAIT!!!
-Je t'en pris écoute moi et ne m'interrompe pas
Voila, je me souviens au début lorsque je récoltait le plus d'infos sur toi, tout le monde. J'étais soulagé car niveaux sentiments vous aviez tous l'air d'être froid au possible. Mais les photos c'est pas la réalité et quand je t'ai vu… Logiquement je devais juste entretenir une relations amical, juste amical afin que lorsque Tania te contacterait tu accepte et qu'elle puisse te prendre les clés mais tu a changé la serrure et l'a je savais qu'en te révélant tout je mettait fin à tout avenir entre nous, quand j'ai vus que tu réagissait comme je l'avais prévu, ça m'as permis 1 chose, que je m'en sorte ou que je me fasse prendre ça changeait plus rien, puisque je ne t'avait plus.
IL et ELLE gardèrent le silence alors qu'ILS s'observait.
-Sara, je peux comprendre que tu m'en veuil…
-Je t'aime Michael.
-…Tu… tu quoi?!!
Sara ria et s'empara de ses lèvres avec envie, amour, désir et passion.
A bout de souffle, ILS s'arrêtèrent.
-Chance, murmura-t-il
-Pardon?
-Rien, dit ILS en l'allongeant sur l'herbe.