Cher Journal,

Aujourd'hui, le 9 octobre 1979, moi, petite, chérie par sa mère malade qui avait fini par m'abandonner, emportée par sa maladie et enfant unique, je suis morte... Malgré mon jeune âge, je ne regrette en rien ma vie ni même ma mort car ce n'était pas le fruit du hasard mais le coup du sort. Sang pur, j'ai été envoyé à Serpentard alors que j'entamais ma première année à Poudlard. Ma soit disant famille durant quatre ans mais que je haïssais plus que tout.

J'ai toujours eu ce don, le don de percevoir ce temps que tout homme consideraient comme le temps qui leur rapporterait, le futur. J'étaits médium, un don maudit, je ne souhaite à pressone d'en hérité. On peut en tiré des avantages au début certes mais au final, ça se finbit toujours mal. J'aidais, à contre coeur, mon père, un vrai aristocrate pur et dure, son couer n'avait d'égal que la pièrre. J'aurais tout fait pour gagner son esprit mais en vain. Jamais je n'aurais eu son amour mais desormais je m'en contre fiche, grâce à lui, j'ai pu mettre un terme à ce cercle vicieux. Pourant, au moment de ma mort, papa j'ai une petite pensées pour toi et toutes les atrocités que tu m'as fait...

Ma seule et vrai famille, je l'ai trouvé en la seule et unique personne d'Albus Dumbledore, le directeur et grand sorcier de Poudlard. JE sais que ma mort le marquera à vie, j'étais indirectement sa fille mais il s'avait que tout comme moi, le destin est inévitable. J'ai essayé mais j'ai échoué. Albus, sache que pour moi, tu as toujours était la personne qui comptait le plus, tu étais comme mon père et si j'avais pu choisir je serais née en étant ta fille mais les choses ne sont jamais ce qu'on voudrait qu'elle soit. En tout cas prend soin de toi. Ensuite, j'aimerais vous dire à mes amis de l'Ordre du Phénix que je ne les oublirais jamais, vous etiez cette famille que je n'ai jamais eu. Je vous emporte avec moi parce que même au paradis, on a besoin d'avoir de l'espoir.

Ma famille s'est alors agrandie de deux autres membres, raccourcisant alors ma ligne de vie mais je suis heureuse de l'avoir fait. Malgré le fait que mon plus grand souhait ne se soit pas réalisé, tu as desormais mon sang sur les mains. Toi, l'homme que j'ai toujours aimé, je n'ai fait que t'attendre ma vie durant. Je ne t'aurais jamais abandonné si ça n'avait été pour sa propre sécurité, je suis désolé. Tu m'as tué et je sais que tout au fond de toi, malgré la facade dur et insensible que tu montres aux autres, tu ne te le pardonneras jamais. J'aurais au moins tout fait poour que celà ne se produise jamais. Je ne pourrais pas tenir ma promesse, je te laisse...

Tu m'as bléssé, je t'ai bléssé, on s'est aimés, tu m'as tué...

Mon cher journal, je te laisse aux bons soins de mes amis, ils en feront bon usage pour qu'elle ne grandise pas dans l'ignorance,

Aprés tout je ne suis pas totalement morte tant que je vivrais dans l'amour de quelqu'un,

Chioné Orionum