Mes débuts

Note de l'auteur: L'histoire ce situe après le jeu, après la prise des Terres Désolées par la Légion. Le texte suit bien sûr les idées de Fallout, mais j'ai su mettre ma touche et mes propres modifications. Alors je vous remercie de lire mon texte et je vous souhaite une bonne lecture!

Une simple mise en contexte, mon nom est Creig Vohanstein et je suis un ancien habitant de l'abri 13. Les abris (sous le nom de Vault-Tec) son la création d'américain pour nous protéger des bombardements de bombe atomique en 2077, mais cette histoire est celle que nous raconte le Vault-Tec ce qui ne prouvent pas vraiment leur véracité. Il reste tout de même que ce sont tout de même les seul informations que je connaisse sur les vestiges supposément glorieux de cette «Amérique» grand mère fondatrice, pilier des nations passées. J'ai commencé ma vie ainsi, sous une éducation douteuse et vint le jour de mes dix-huit ans, le pilier, le VRAI commencement de ma vie..

L'abri 13.13 était une abri plus particulière que les autres- d'ailleurs elle est la seule abri dont le numéro est composé de décimaux,les autres abris servant habituellement à protéger et l'abri 13, elle, cherchait plutôt à nous «analyser». Nous étions sujet à de nombreux test, examinant nos réactions à certains médicaments et examinant l'influence qu'il pouvait produire grâce à certaine radiation. L'on était selon eux «L'avenir de l'évolution», mais pour moi nous étions que de ridicule victime, de vulgaire patient dépourvu de réel existence à leurs yeux, qui devions subir leur folie et idée destructrice. Un certain vieillard -dans la quarantaine surement- ma dit un jour: «J'ai lu un livre autrefois qui me fait penser exactement à notre état il parlait d'une guerre appelé 2ième guerre mondiale et où des personnes appelé «juif» avait été sujet à des test par des «médecins maudits».Pour moi j'ai l'impression que ces scientifiques qui nous font des test sont des générations lointaines des «médecins maudits» et qu'il nous amènent tout droit à une régression vers leurs ancêtres. Si j'étais toi . Petit gars, je ficherais le camp et je partirais loin d'ici. Cherche toi une nouvelle famille ou plutôt une famille.»

Cette insinuation viens du fait que tout les habitants de l'abri 13.13 ne connaisse pas leur famille grâce au merveilleux projet « No Familly» visant à enlever tout lien parental et à créer une population plus objective. Le problème avec ce projet, c'est que ne sachant pas nos liens avec les personnes, cela finit par faire de l'inceste et de la consanguinité sans le vouloir. La seule personne à détenir cette information est le superviseur qui la cache si bien depuis tant d'année.

Un superviseur est le chef de l'abri, le ministre, le roi, peut importe comment vous l'interprétez, mais il reste tout de même le dirigeant. Personne ne peut contester son autorité sous peine d'être condamnée à mort. Il arrive parfois que l'autorité est renversé, mais l'on n'est aucunement au courant de comment cela a pu être réussi.

Les expériences

À cette étape là j'avais déjà subit énormément de test et le dernier était le pire, j'étais le sujet d'une nouvelle génération de PIP-BOY -sous la langue traditionnelle des américains, l'anglais, ce qui est devenu en quelque sorte une langue morte- . Le PIP-BOY est un engin relier directement à son corps et fournissant une tonne d'informations pour la plupart inutile, mais le nouveau modèle était plus «évolué» que ça. Ce modèle n'était plus fait pour les «boy»(garçon) mais bien pour les «man»(homme).

Il prit alors le nom de PIP-MAN, un appareil vouer à la survie et à destruction. Ce nouveau système relié au corps lui-même, fonctionnait pour améliorer le corps humain et le rendre plus apte à la survie. Ayant transformer ou changer toutes les organes du corps, le besoin de nourriture, le besoin de boire et de respirer n'était plus utile -mais encore possible-, le tout avait été remplacé par la simple injection occasionnelle de «stimpak»(objet de médecine très commun). Le «stimpak» fournissant un nettoyage et un entretien régulier du mécanisme. Je n'avais plus de cage thoracique, le vide était comblé par un cylindre de métal imitant un corps humain - pas très réussi évidemment c'est une première génération de ce nouveau modèle- et où y était inscrit «PIP-MAN I», le tout était contrôlé par un bracelet attaché

- il n'était pas simplement attaché, «fusionné» aurait été un meilleur terme- à mon poignet qui me permettait l'adaptation de mon corps «humain» à tout situation.

Le sujet peut consommé n'importe quelle produit( alimentaire ou autre) sans en subir les effets négatifs, mais il peut soutirer des effets positif des drogues. Le jet, par exemple, qui redonne en quelque sorte un augmentation temporaire des sens,mais qui cause des chutes émotionnels si il n'est pas consommé régulièrement. Avec le PIP-MAN I, l'augmentation des sens est doubler performance et en temps. De plus, le système annihile les effets négatifs ne laissant que de grande performance positif.

Je dois admettre que c'était une sacrée évolution, mais ce reste tout de même une création faite pour la destruction. Justement, sans s'en rendre compte il avait donné l'objet manquant à leur ennemi pour pouvoir les tuer.

Le ticket de sortie

Je voulais fuir cette endroit et voir le monde extérieur nommé « Terres Désolées», il y avait si peu d'information sur ce territoire et pourtant je voulais le découvrir. Pour sa il me fallait la carte du superviseur qui permettait d'entrer et de sortir de l'abri. Je décida de frapper le soir, pendant les heures de sommeil des habitants pour avoir le moins de témoin possible( le couvre-feu étant à dix heures). Je frappa à minuit trente-six pile, heure où le superviseur s'attardait à sortit de son «domaine» pour aller faire son inspection quotidienne de l'abri.

Je connaissais exactement son itinéraire et chaque cachette potentiellement, je décida de prendre la cachette la plus discrète pour empêcher l'arrivée de renfort au lieu prendre la cachette la plus simple à son élimination( le pont supérieur, un simple balancement au-dessus du pont et «hop» une mort avec un grand «BAM» sonore).

Il était minuit vingt à cette instant, je me préparais encore tandis qu'il me restait encore seize minutes avant de frapper. D'ailleurs je n'avait pas de grand chose, un simple couteau faisait l'affaire et j'avais simplement eu à faire un petit tour à la cafétéria vers onze heures pour trouver l'outil requis – de toute façon si il m'aurait été impossible de m'en procurer j'aurais pu facilement me procurer autre chose-. Alors à minuit trente je me faufila à ma cachette en quelques minutes et l'attendit.

L'attente ne fut guère longue et je l'entendit finalement marcher d'un pas nonchalant dans ma direction. Je étais accroupis dans le couloir le plus sombre qu'il traversait toujours avec un brin d'hésitation et justement son pas ralentissait. Quelques secondes après et il fut à moins d'un mètre de moi, ce fut l'instant où je bondis sur lui d'un saut presque exagéré et m'agrippa à son cou pour l'égorger d'une simple et courte pression du couteau sur sa gorge pour qu'il s'enfoncer profondément dans les artères. Il produisit un gargouillis étouffé et immonde, pendant que sa gorge crachait tout le sang qu'il lui était possible d'extraire en ce cas si. Le spectacle dura quelques instants pour finir par un superviseur étendu sans vie dans son propre sang.

Je fit une fouille systématique de ce qu'il possédait sur lui, rien d'important mis à part mon «ticket de sortie» et une carte permettant l'accès à son «domaine». Par une trop grande curiosité je décida de visité son refuge infranchi par nul autre que le superviseur en personne.

Le monde interdit

Arrivé devant l'interdit, une simple utilisation de la carte me permit de rentrer et je découvris, à cette instant, avec incompréhension l'intérieur d'un monde qui m'était totalement inconnu. Les murs étaient recouvert d'un homme à la moustache rectangulaire et de croix noir avec quatre branches identique formant un L que je n'avais jamais vu à ce jour. Je ne comprenais rien, alors je décida de fouiller en profondeur le «domaine». Mes yeux se posèrent sur un livre rouge ornée de la même croix. Le livre semblait contenir plusieurs et décida de parcourir rapidement les pages. N'y comprennent rien en parcourant si vite je commença du début:

« Dans le message confidentiel destiné aux superviseur qui me fut hérité par le précédent superviseur, le président américain( celui d'avant-guerre même si aujourd'hui il n'en existe plus) disait que nous servirions à continuer les recherches commencé durant la deuxième guerre mondiale. Nous devions continuer les recherches d'un certain Hitler qui permettrait des êtres pouvant s'adapter au nouveau monde extérieur(surnommé par eux-même :« The New- America) . Les habitants de l'abri 13.13, serait les sujets de test des expériences, mis à part les gardes pour empêcher une rébellion de leur côté. Avec de tel avancé pour pouvoir retourné à l'extérieur et permettre la création d'une nouvelle civilisation américaine «amélioré». J'étais emballé à cette idée et je commença imédiatement les recherches.»

Ce premier jour ce terminait ainsi(séparé en paragraphe), le second semblait expliqué les recherches à faire et les autres semblaient être les analyses des expériences. Je tomba finalement sur le 158ième jour qui indiquait l'emplacement d'une armurerie caché dans le «domaine» lui même, personne n'était au courant que l'abri possédait des armes(mise à part les matraques des gardes) et non plus de la présence d'une armurerie. Je suivis les indications du livre et réussis à enclencher l'ouverture d'une trappe au centre de la pièce grâce à un enclencher discrètement camouflé derrière l'une des pancartes du moustachu appelé «Hitler».

Je pénétra l'armurerie, l'intérieur était rempli d'armes de toute sorte. Je jugea qu'il m'était utile d'en prendre pour ma sortie dans le monde extérieur. Je pris le sac en bordure décoré d'une sorte de camouflage vert feuille et commença à rechercher de tout objet utile. Grâce au étiquette je pus identifié leur noms, je pris une «winchester», un «Desert Eagle .50», un gros marteau et les munitions reliés aux armes en question, je mis le tout dans mon sac. Je remarqua dans un coin reculé une géante armoire, elle contenait de grande quantité de drogue et de stimpak. J'en remplis le restant de mon sac jusqu'à ce qu'il ne puisse plus en contenir. Le tout était lourd, mais supportable. Je chercha encore un quelconque objet utile et décida d'enfiler «L'armure des soldats américains» et une veste «pare-balles» qui semblait d'une certaine utilité pour ma protection.