Alors voilà le prologue de cette toute nouvelle fiction dont l'idée me trotte dans la tête depuis un bon moment ! J'espère qu'il va vous plaire ! Il n'y a pas de rythme particulier en ce qui concerne la publication des chapitres, j'essayerai de prendre de l'avance tout en publiant.
Le soleil brillait plus que d'habitude, annonçant la fin du rude hiver dans lequel ils étaient plongés.
Qui sont « ils »?
ce sont les hooligans, habitants de Beurk, fier village viking résistant encore et toujours à leurs opposants, les dragons.
Mais dans un maison légèrement a l'écart, un homme n'avait rien du fier viking qu'il était autrefois. Stoik ''la brute'', chef de la tribu, était assis devant le feu, seul réconfort contre le froid qui abritait l'habitat. Il regardait sans vraiment voir les les flammes qui dansaient, crépitaient en rythme. Sur son visage, une expression peu utilisé par les viking en temps normal.
La tristesse.
Cela faisait maintenant 10 ans que le dernier membre de sa famille avait disparu.
Son fils.
Son fils, qui aurait dû avoir 25 ans à présent, avait passé la journée de ses 15 ans à se balader dans le village, enchaînant las allers et retours entre sa maison et le port. Personne ne savait pourquoi il faisait sa à l'époque, personne ne voulait vraiment savoir, tous s'en fichaient. Mais à présent, tout le monde sais...
Le soir, à son retour chez lui, stoik s'attendait à voir son fils assis sur sa chaise, affalé sur la table, lui en voulant probablement pour son absence le jour de son anniversaire, mais il n'en était rien. Aucun signe qui aurait put prouver que son fils était passé par là pour quelque raison que ce sois.
Cela aurait dû faire ''tilt'' dans la tête de stoik, mais non. Il pensait sûrement que son garçon était a l'étage, dans sa chambre recroqueviller sur son lit tel le faible qu'il était.
Mais il fut forcé d'admettre que quelque chose n'allait pas lorsqu'il remarqua la veste de son fils, une veste en fourrure marron sans manche, pendu sur le porte-manteau prévu pour cet effet.
Alors bien sûr, n'importe qui aurait pu passer par là à cet instant et dire que c'était normal, sauf que sa ne l'était pas. Pas plus que le couteau que stoik lui avait offert lorsqu'il était petit, alors que le père avait encore espoir que le jeune devienne un tueur de dragon. Ce même couteau qui se trouvait à l'instant planté dans le mur, ce qui surpris encore plus le chef. Le jeune adolescent ne laissait jamais ses affaires traîner, les emportant toujours dans sa chambre.
Stoik eut des sueur froides et un sentiment de pur peur le pris a la gorge. Il monta l'escalier quatre à quatre et rentra brusquement dans la chambre du plus jeune en hurlant son nom. Mais il n'y avais personne, et pire encore aucune des affaires auxquelles l'adolescent tenait le plus.
Tout le village fut réveillé, stoik organisa des recherche toute la nuit, sans succès. Ce ne fut qu'au petit matin que stoik retrouva un semblant d'espoir, avant que celui-ci ne s'évapore complètement. L'un de ses homme venait de lui annoncé qu'ils avaient peu être une idée d'où se trouvait le jeune enfant, avant de lui déclaré qu'une des barque avait disparut et qu'aucun membre du village ne manquait à l'appelle.
Sauf son fils. Son fils qui avait pris le large. Son fils qui devait être mort.
Les larmes tombaient d'elles même, sans qu'il ne puisse les arrêter. Se remémorer les événement de cette nuit tragique provoquait en lui un sentiment de profonde solitude, et surtout, une tristesse indomptable. Il aurait tant voulu changé les chose, remonté le temps pour prendre son fils dans ses bras et lui dire combien il est désolé... Combien il l'aime...
Mais on ne peut pas remonté le temps, et il ne pourra pas enlacé son fils.
Car Harold Horrib'Haddock troisième du nom n'est plus
Voilà donc le prologue, j'espère qu'il vous aura plus, n'hésiter pas à me le faire savoir pour que la suite arrive plus vite;) (oui c'est une sorte de chantage...) Si vous trouvez une faute trop flagrante ou des incohérences n'hésiter pas à me le faire remarquer !
Bisous !
