Alexander The Great

Résumé : Fiction n'ayant pas pour personnage principal Harry Potter mais plutôt un OOC créer de moi.- Alexander est tout sauf un charmant garçon, sadique, froid, méchant et de surcroît, mangemort, il aura la mission de pourrir la vie de Harry Potter ; chose qu'il fera à merveille. Préfet en Chef en compagnie de son homologue Hermione Granger- Fiction avec de l'action de la tête au pied et un peu de romance- Violence et meurtres en perspective-

21-7-356

Prologue

Un jeune homme à la carrure fine, toutefois musclé, et aux cheveux bruns ondulés lui tombant élégamment sur les épaules s'habillait dans un silence qu'on aurait presque décrit comme religieux, enfilant une longue cape noire à capuche et prenant sous une lame du parquet un masque tout aussi noir que la cape mais d'autant plus effrayant… surtout pour ceux qui connaissaient ceux qui les portaient; les mangemorts, serviteur de Lord Voldemort. Ceux qui semaient la terreur partout où ils passaient, utilisant les sortilèges impardonnable, le Doloris, l'Avada Kedavra et le dernier, mais non le moindre, l'Imperium, sans aucun remords ou craintes et avant tout, les pions de Lord Voldemort, le seigneur des ténèbres. Le masque, qui se composait aussi d'un capuchon noir était fait de tissus ayant pour seule trace deux petite fentes permettant la vision.

Ce dernier, ayant retrouvé la vie il y a de cela trois ans, lors du tournoi des trois sorcier, il convoquait maintenant tous les aspirants mangemorts en ce soir du 31 octobre et en bon futur mangemort, Alexei se devait d'y être.

Alexander Metikulov était tout sauf un garçon ordinaire. Tout d'abord, il n'était pas Anglais mais Russe. En effet, il était née de parents sorciers, qui était eux aussi Russe, selon les renseignements qu'il avait obtenu. Née à Togliatti, il devint rapidement orphelin, ses parents se faisant brutalement assassiner par des moldus dès le lendemain de sa naissance.

Il avait alors grandit, à partir de ses 11 ans en orphelin, errant dans les rues et trouvant abri sous les ponts ou encore dans les poubelles. Il devait voler sa nourriture, ses vêtements et tout ce qu'il avait de besoin pour survivre dans les rues infâmes et malpropre de Togliatti, sa ville natale. Pendant des années, il fut laissé à lui même, personne ne se souciant de sa santé mentale ou physique, ni de quoi que ce soit le concernant. Peu à peu, son état mental s'en fit ressentir. C'est alors que vint le jour, la journée exacte de son anniversaire, où il se fit emmener par un sorcier au ministère de la magie de la Russie, à Moscou. Il apprit alors qu'une erreur administrative était à l'origine de son abandon; son fichier de naissance avait mystérieusement disparu en même temps que sa famille.

Il reçut alors les milles et une excuse du premier ministre Russe lui même et une petite fortune, non, en fait, une énorme fortune de compensation dans un coffre à Gringotts, la banque des sorciers. Puis, il engagea un professeur privé du nom de Alberforth Dumbledore, le frère de Abus Dumbledore. Mais alors que son professeur lui enseignait les impardonnables, il valait mieux les connaître pour mieux s'en protéger disait-il, les exerçants sur une chèvre, des représentants du ministère anglais les surprirent, mais seulement son maître en écopa; ils brisèrent sa baguette devant ses yeux et il plusieurs années en prison; sentence diminué par l'appui de son frère qui possède une très forte influence au ministère, puis, plus personne ne l'avait revu

D'ailleurs c'était pour cette raison qu'il était venu continuer ses études à Poudlard, fautes de maître pour lui enseigner l'art de la magie. Sous les ailes d'Alberforth, Alexander put maîtriser grand nombre de sorts beaucoup plus rapidement que ce qu'il était enseigner à Poudlard ; tout ce qu'il voyait en sa 2er année d'étude(en 7er année), cela faisait longtemps qu'il le savait.

Il enfila sa longue cape noire et ses bottes de cuir de dragon, elles aussi noire. Puis, regardant avec satisfaction son allure dans le miroir qui lui conférait ,avec son masque et sa cape, un aspect très effrayant et lugubre.

D'un geste vif, en sortant de sa chambre, il saisit la plume doré qui devait lui servir de moyen de transport et la fourra dans sa poche.

Puis il dévala silencieusement l'escalier en colimaçon qui lui permettait d'accéder à la salle commune des deux Préfets en Chef, en occurrence, Hermione Granger et lui même. Cette dernière, il ne la supportait pas et l'évitait le plus possible. Résultats finals, il ne la voyait pas en dehors des réunions de Préfets ou en cours, et il en était bien content. Il ne supportait pas son air de miss je sais tout qu'elle avait et il supportait encore moins ses amis Potter et Weasley. Supportait était un euphémisme, il haïssait Potter.

Il retomba dans le monde présent lorsqu'il vit et entendit avec horreur que miss-je-sais-tout ne dormait pas encore, elle travaillait, confortablement ancrée dans la chaise en cuir devant son espace de travail. Seul le bruit de la plume grattant par intervalles les parchemins parvenait à ses oreilles.

Putain! Elle n'arrête donc jamais de travailler ou quoi… pensa-t-il, furieux. Il ne faut surtout pas que je sois en retard, oh non, surtout pas… je n'ose imaginer les conséquences que cela aurait…

Plusieurs minutes passèrent, où, inlassablement, la Préfète en Chef fit parcourir le bout de sa plume sur la surface des nombreux parchemins qui, de l'endroit où il était, formaient maintenant une jolie petite montagne. Vint alors le moment où elle monta dans ses appartements, emportant avec elle sa montagne de papiers et de livres.

Soupirant de soulagement, il sortit de la salle commune privée, qui était situé tout près de la classe de Trelawney, et courut silencieusement jusqu'à l'extérieur, seul le bruit de sa cape frôlant le sol témoignant de son passage. Une fois dehors, il prit une bonne bouffé d'air et continua son chemin jusqu'à Pré au lard, ouvrant la grille du parc qui permettait d'accéder au château, d'un sortilège de magie noire.

Longeant la cabane hurlante, il sortit la plume d'or de sa poche, et une fois arrivé complètement derrière la bâtisse en ruine, donna trois petits coups de baguette sur l'extrémité, tout en murmurant trois fois la clé d'activation, c'est à dire, Basilics.

Aussitôt, un bruit caractéristique se fit entendre et Alexei ne vit qu'un tourbillon de noir et de blanc reflétant le sombre de la nuit et les minces lueurs d'espoir que les réverbères apportaient se diffuser tout autour d'un point qui était quant à lui, tellement noir que l'on aurait dit du néant. Puis, plus rien, ce fut le noir total et il tomba à la renverse dans ce qui semblait être un fossé. Lâchant un juron, il se releva, mais il ne put compléter sa manœuvre qu'il fut happé à la hauteur des jambes par quelque chose qui semblait être un humain et il se retrouva étendu de tout son long sur celui, ou celle, qui l'avait fait trébucher. Si près qu'il sentait son souffle contre son visage, la chaleur de ce dernier se diffusant sur ses joues.

À ce qu'il pouvait ressentir, collé contre l'inconnu, c'était une fille. Finalement, il n'était pas pressé de se relever, elle pouvait bien attendre encore quelques minutes… Feintant l'inconscience, il resta immobile, profitant le plus possible de cette position pour le moins confortable.

C'est alors que l'inconnue se dégagea en le poussant sur le côté. Il la sentit se lever et épousseter ses vêtements. Il était couché sur le dos et il ne pouvait la voir en raison de l'obscurité mais il aurait juré qu'elle s'apprêtait à sortir sa baguette.

Il passa un bras sous lui et pointa sa baguette sur elle tout en camouflant sa baguette, ne laissant dépasser que le bout, sous un pan de sa cape.

-Voyons voir sur qui nous avons tombé… murmura-t-elle en s'approchant, faisant craquer les feuilles sous ses pieds.

-Je te déconseille de faire cela, si tu tiens à la vie ,dit-il durement et sèchement alors qu'elle s'apprêtait à dévoiler son visage.

Il la sentit sursauter et reculer de quelques pas alors que lui même se relevait, sa baguette toujours pointé sur la menace potentielle. Puis il fit appel à la légilimancie pour intercepter les pensées qui se dégageaient ,tel du feu sur une torche, autour de sa tête.

Il capta des pensées tel que la peur, la crainte et…l'attirance ? Intrigué, il éclaira grâce au sortilège Lumos, découvrant avec stupéfaction, sentiment qu'il ne montra pas le moins du monde, une fille qui était habillé exactement comme lui, à quelques détails près. Il abaissa sa baguette tout en lui faisant un petit signe de tête.

-Euh… désolé de t'avoir bousculé ,dit-elle après un long moment de silence où ils se jaugèrent du regard.

Alexander ne répondit pas, il n'avait pas le temps, il devait trouver le lieu de la réunion. Il escalada le petit fossé dans lequel ils étaient tombé tout en ignorant les questions que lui posait la mangemorte.

-Non, mais tu vas répondre oui! S'énerva-t-elle au bout d'un moment, n'ayant toujours pas eu de réponse à ses nombreuses questions.

-Non mais tu vas te la fermer oui, on a pas le temps de bavarder imbécile, s'énerva-t-il à son tour, tout en lui assénant une gifle. Il n'était pas du tout d'humeur à bavarder, alors non pas du tout d'humeur à bavarder.

Elle se releva, chancelante et essaya à son tour de le frapper. Usant de ses réflexes il lui saisit la main et lui glissa à l'oreille qu'elle ferait mieux de se tenir tranquille si elle ne voulait pas subir les colères du maître.

Une fois le fossé escaladé, il scruta l'horizon dans l'espoir d'y trouver quelque chose, mais rien, seulement un petit sentier qui ondulait jusqu'à ce que la vue le permette, c'est à dire pas très loin. La vison était troublée par la profondeur de la nuit.

Sur sa droite s'étendait une énorme chaîne de montagnes dont les sommets enneigés faisaient rêver certains et en répugnaient d'autres. Sur sa gauche, l'embouchure d'une forêt terrifiante se tenait , n'invitant personne à y entrer par son aspect lugubre et effrayant.

Alors qu'il recommençait à marche le long du petit sentier qui menait à la forêt, et certainement au point de rendez vous, un tourbillon de couleur apparut dans un «plop» caractéristique et un bruit sourd suivis de hurlements se fit entendre. Apparemment, ceux là ne connaissent pas la discrétion… pensa-t-il avec ironie.

D'un signe de tête il fit comprendre à la mangemorte de le suivre. D'un pas rapide et silencieux ils s'approchèrent des 5 silhouettes qu'ils aperçurent. Apparemment, aucun ne les avait vu ou entendu approché car ils n'esquissèrent aucun mouvement pour se défendre.

Il pointa sa baguette vers l'un d'entre eux et murmura, juste assez fort pour qu'ils l'entendent :

-Décidément, aucun d'entre vous ne connaît la discrétion… je suis certain que l'on vous a entendu à des km à la ronde, bande de crétin. Puis, sans un mot de plus, il repartit à pas rapide vers la forêt, souhaitant ne pas avoir à faire face à la colère de leur maître.

Les autres, encore ébahie de se faire surprendre ainsi, ne comprirent pas ce qu'il voulait dire et le suivirent sans se poser de question.

Alexander soupira devant la stupidité de ses compagnons…Et dire qu'ils veulent devenir mangemort…ils ont intérêt à changer s'ils veulent survivre, pensa-t-il avec cynisme.

Après quelques minutes de marche, qui lui parurent des heures, ils débouchèrent, car les autres l'avaient suivit et parlaient maintenant plus loin derrière, sur un immense château.

Un château sombre et sans lumière à peu près aussi grand que celui de Poudlard, mais franchement moins accueillant avec ses immenses tours en ruines et ses fenêtres barricadés. Ce château était terrifiant et il paraissait abandonné depuis longtemps. 15 ans en fait, pensa Alexander avec un sourire. Exactement 15 ans, depuis la chute du maître…

Il jeta un coup d'œil à ses compagnons, et il fut surpris de voir ou ressentir que certains d'entre eux étaient complètement terrifié à l'idée de pénétrer les murailles de ce château.

Levant les yeux au ciel devant tant de peur pour si peu, il s'avança et se prépara à entrer lorsqu'il fut projeter quelques mètres plus loin, heurtant douloureusement un mur de pierres, s'égratignant au passage sur des bout de métal de la muraille.

Il se releva, titubant, ignorant les éclats de rire un peu plus loin. S'ils pensaient qu'ils se laisseraient faire par une minable porte, c'était qu'il le connaissaient mal….Enfin plutôt normal puisque je suis sous une cape…ria-t-il silencieusement.

Il s'approcha de la porte en question et lança plusieurs sorts de magie noire pour en venir à bout. Malheureusement pour lui, le sortilège de fermeture avait été fait par quelqu'un d'extrêmement puissant, puisque la porte ne broncha même pas, comme si les sortilèges qu'il avait utilisé n'avait aucun effet… C'est légèrement vexé et plutôt énervé qu'il dut abandonné la lutte.

Les autres l'avaient regardé faire, assit confortablement sur des fauteuils qu'ils avaient fait apparaître, se moquant des efforts qu'il faisait, en vain.

Alors qu'il commençait vraiment à être énervé, la porte s'ouvrit pour faire place à 5 silhouettes noires, 5 mangemorts.

-Suivez nous, et silence ordonna-t-il avec véhémence.

Ils furent encerclés par les 5 mangemorts, ces derniers craignant sans doute qu'ils essayent de s'échapper. Ils empruntèrent nombre de couloir sombre et de passage secret pour finalement arriver au pied d'un escalier en colimaçon. L'escalier, tout comme les couloirs et le reste du château n'était éclairé que par quelques torches, ces dernières faisait miroiter leur lumière incandescente dans les ombres. Certains auraient trouvé le château cynique, d'autres, comme lui, l'aurait presque trouvé accueillant. Toutefois, il y régnait un sentiment mystérieux, un peu comme à Poudlard.

Les cinq mangemorts leur firent signe de monté, ce qu'ils firent tous en hésitant, redoutant ce qu'ils allaient rencontrer à la fin des marches…

Enfin, après plusieurs minutes d'escalade, parce que s'en était presque, ils débouchèrent sur une grande salle où une immense cheminé diffusait une douce chaleur, que chacun apprécièrent à différent niveau. Certains même, se jetèrent sur le feu pour se réchauffer… malheureusement pour eux, ce fut le moment ou Voldemort entra, sa cape noire flottant derrière lui tel un drapeau dans le vent, claquant les portes de chêne avec grand fracas. Apparemment, il n'a pas que ça à faire se dit Alexander, analysant chaque recoin de la pièce. Trop occupé à enregistrer la moindre information, il n'avait pas vu que tous étaient maintenant agenouillé devant leur maître.

-Toi là bas, qu'est ce que tu fais ?! Ait au moins l'obligeance de me montrer le respect que je mérite, cracha-t-il sèchement.

-Si vous voulez mon respect, va falloir que vous me respectiez aussi Seigneur des Ténèbres, sincèrement , c'est vous qui vous vous êtes surnommé ainsi ? Franchement ridicule… Et dois-je respecter celui qui m'a laissé dehors pendant au moins 45 min… franchement, non.

Tous, à présent le fixait avec de la pitié dans les yeux, et il sut qu'il avait été trop loin. Mais s'il croit que je vais m'excuser, en plus… il rêve en couleur.

-Endoloris , sombre petit crétin, tu vas comprendre que tous ici, y compris toi, me doivent le respect et servir sous mes ordres s'ils ne veulent pas mourir.

Ce n'était pas la première fois qu'il subissait le sortilège, l'ayant endurer mainte fois au cours de son entraînement, mais cette fois, la douleur était trop forte, il hurla, hurla jusqu'à ce le sortilège se dissipe et qu'il n'en ressente plus les effets.

-Maintenant, excuse toi et nous n'en reparlerons plus, cracha avec ironie son maître, faisant dépasser sa langue fourchu de ses lèvres.

Mais si Alexander avait un défaut, en fait il en avait plusieurs, mais son principal était le fait qu'il était entêté comme une mule et que jamais il ne ferait des excuses à celui qui venait de lui lancer le sortilège.

Il se réveilla un peu plus tard, sentant encore les effets des sortilèges que lui avait fait subir le maître. Il n'avait osé, se blessant dans son orgueil, s'excuser pour son insolence qu'au cours du cinquième Doloris. Les os en feu et du sang dans la bouche il se releva, et fit face au mage noir, qui le regardait étrangement. Ce dernier détourna la tête et d'un mouvement de baguette les torches s'allumèrent dans un crépitement sonore.

Deux mangemorts apportèrent un grand coffre en métal, dont les décorations et sculpture en or massif en faisant rêver plus d'un. Mesurant plus d'un mètre de long et quelques dizaines de centimètre de largeur, par estimation, il pouvait contenir un corps humain sans problème.

Le mage noir alla s'asseoir dans son grand fauteuil, tout en le fixant étrangement, comme s'il le jugeait du regard.

Ils ouvrirent le coffre et en sortirent deux tige de fer de forme bizarroïde. Ils plongèrent ces derniers dans les flammes de la cheminé, qui, maintenant, était orange pur, couleur qui lui conférait un aspect étrange et mystérieusement envoûtant.

-Maintenant, prêter le serment ou disparaissez d'ici immédiatement. Puis voyant que personne ne bougeait dans l'intention de partir, il ajouta : Maintenant, approchez…

C'était l'heure de vérité, il ne pouvait plus reculer. Il allait devenir mangemort. Des idées meurtrières se formèrent dans sa tête alors qu'il avançait vers son maître.

Voilà, terminé pour ce chapitre, j'espère que vous avez aimé.