Et voilà comme je l'avais promis, mon histoire adapté de l'univers de « The last of us » et de « Resident Evil ». Je n'en dis pas plus et vous laisse juger par vous-même !
Bonne lecture !
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Chris Redfield était un militaire. Un homme droit, qui avait vécue toute sa vie contre le mal, pour défendre son pays et sa patrie. Il était un jeune homme de 23 ans, plein de rêve et de projet pour l'avenir. Il avait, pour commencer, une adorable femme. Jill, une merveilleuse soldat tout comme lui qu'il avait rencontré lors de leur formation militaire. Cela faisait plus de huit ans qu'ils se connaissaient et bientôt deux qu'ils avaient passé la bague aux doigts de l'autre. Il aimait sa femme, il aimait son travail et il aimait cette nouvelle maison.
Ils venaient de s'installer, dans une banlieue chic avec un voisinage des plus accueillant et charmant. Des cartons étaient encore éparpiller un peu partout dans la maison, mais il ne regrettait en rien le calme de la campagne. Loin de la ville et de tout, permettant à ses permissions d'être un véritable repos et non pas une insupportable prise de tête avec le voisin de son appartement du dessus qui avait décréter que le mardi, le jeudi et le weekend, étaient des journées ou ils étaient obligatoires de faire la fête et d'y inviter toute la ville. Et oui Chris Redfield détestait la ville. Il fallait dire qu'il en avait tellement vus dans son travail que la population en masse lui filait de sacré coup frison dans le dos. Ce fut donc sans aucune hésitation qu'il accepta de déménager dans cette charmante demeure, même si les travaux étaient encore à faire et qu'il lui fallait plus d'une heure de voiture avant d'atteindre la ville la plus proche.
C'est aux environs de onze heures du soir qu'il quitta le garage, après avoir fini de ranger la cave, qu'il retrouva sa femme assoupie sur le canapé. Elle avait certainement due tomber de fatigue et s'assoupir là sans en attendant qu'il finisse ses propres tâches. Chris s'approcha d'elle et lui caressa les cheveux.
- Debout ma belle, murmura-t-il.
La jeune femme papillonna des yeux avant de les ouvrir en grand et de sourire à son époux.
- Hey salut toi, répondit-elle.
Elle se redressa pour venir s'assoir et se frotta les yeux.
- Il est quelle heure ?
Chris regarda sa montre et s'affala sur le canapé à côté de sa femme.
- Il est minuit passé.
Elle attrapa son bras pour regarder sa montre et s'allongea sur lui, la tête sur ses genoux.
- Tu l'aimes bien ta nouvelle montre ?
- Bien sur puisque c'est un cadeau de ma superbe femme.
Jill sourit et ferma les yeux avant de plonger dans les bras de Morphée. Son brave époux la porta tel une princesse jusqu'à leur lit, mais avant de se glisser sous la couette et de rejoindre sa femme dans un profond sommeil, son téléphone sonna. Il attrapa son portable posé sur la commode et sans même regarder le nom de son interlocuteur, il décrocha.
- Chris ?! J'arrive enfin à te joindre, s'exclama une voix de femme à l'autre bout du fil.
Chris reconnaissait cette voix entre mille.
- Claire ? Qu'est-ce qu'il se passe ?
- Tu te moque de moi, tu n'as pas vus les informations ou quoi ?
- Non j'avais d'autre chose à faire aujourd'hui. Tu veux bien abréger et me dire ce qu'il se passe de ci important pour que tu m'appelles au beau milieu de la nuit ?
- Je n'aie pas le temps de t'expliquer, reste enfermer chez toi, n'ouvre à personne et attend que je vienne vous cherchez Jill et toi.
- Quoi tu vas venir ? Maintenant ?
Mais Claire raccrocha, laissant son frère dans l'incompréhension la plus totale.
- Chris ? Qui c'était ?
- Ma sœur.
- Claire ?
Elle regarda l'heure sur le réveil et se redressa.
- Qu'est-ce qu'elle te voulait ?
- Je ne sais pas trop je n'ai pas compris ce qu'elle…
Un bruit étrange à l'étage en dessous attira leur attention. Chacun se précipita sur leur table de nuit, récupérant leur arme de service. Certainement une déformation professionnelle, mais il valait mieux être trop prudent que pas assez et ce fut d'un hochement de tête commun, que le couple descendirent les escaliers en quête d'un éventuel danger qui pourrait roder dans leurs salon.
Il faisait sombre et si je soldat émérite qu'était Chris n'était pas habituer à ce genre de filature nocturne, il n'y aurait certainement rien vue. Pourquoi n'allumait-il pas la lumière ? Tout simplement pour éviter que ce cambrioleur ou autre individus qui s'était peut-être infiltrer chez eux ne soit alerté de leur présence et ne prenne ses jambes à son cou.
Les nuits en plein été n'était jamais aussi noir, et pourtant, aucune lumière n'éclairait le ciel. Ni étoile, ni lune ni même les réverbères de la rue. Qu'est-ce qu'il se passait bon sang ?
Il fit signe à Jill de tenir sa position et de couvrir ses arrières sans même une parole. Chris regarda dans le salon et fit un tour sur lui-même mais il ne vit personne. Il sentie une légère brise lui caresser les épaules et c'est alors qu'il vit la porte fenêtre de son salon grande ouverte. Il s'en approcha au son des rideaux volant aux grés du vent et se trouva bien stupide d'avoir eu peur pour si peu. Claire avait réussi à lui flanquer la trouille avec toutes ces conneries. Il rangea son arme dans la ceinture de son pantalon et soupira.
- Comment me faire passer pour un crétin fini devant ma femme ? Marmonna-t-il. Bravo Claire tu as fait fort.
Il referma la porte lorsqu'un homme vint se jeter sur la vitre à toute allure, ornant la fenêtre de multitude de fissure. Chris recula de stupeur tandis que Jill pointait l'homme de son arme. Le cœur battant la chamade, le capitaine observa l'homme du mieux qu'il put dans cette pénombre.
Le coin de sa bouche était en sang et un troisième œil avait poussé sur son front. Un œil tout blanc, sans paupières ni pupille. Une partie de son corps était recouvert de cloque et de pustules, comme si cet homme était porteur de la peste. Mais le plus dérangeant était cette mutation étrange sur son visage comme si une plante avait commencé à germer sur son crâne.
- Qu'est-ce que c'est que…
L'homme franchit le seuil de leur maison et tourna ces trois yeux vers Chris.
- Mr Anderson ? Putain mais qu'est-ce que…
L'homme n'attendit pas la fin de la phrase et se jeta sur lui. Un coup de feu retenti pour mettre cette chose à terre, tandis que Chris avait retrouvé son arme dans ses mains. Seulement le cou de venait pas de lui et ce fut en se retournant et en voyant la fumée sortir du canon du neuf millimètre de sa femme qu'il comprit qu'elle venait de lui sauver la vie.
- Bordel mais… c'est quoi ça ?
Chris secoua la tête.
- … C'est…Mr Anderson… le voisin.
Jill s'approcha de lui et observa les dégâts physiques que cet homme avait subis.
- Je l'es vus ce matin même avant qu'il ne parte travailler il… il allait très bien, murmura la jeune femme. Je n'avais jamais vus une chose pareille c'est…
- J'ignore ce qu'il se passe, commenta Chris, mais je crois qu'on devrait contacte la basse. Eux devraient nous dire quoi faire.
Jill s'empressa de prendre son portable et de composer le numéro d'urgence.
- ça ne répond pas ! S'exclama-t-elle. Le numéro d'urgence ne répond pas !
Ce qui était quasiment impossible puisque le numéro d'urgence était fait pour qu'en toute situation de crise, quelqu'un réponde. Chris attrapa sa femme par les bras et la fit la regarder.
- Doucement Jill, c'est surement un bug du réseau on va attendre que ma sœur ne vienne et on ira tous les trois à la base.
Il regarda autour de lui et attrapa la télécommande de la télé pour y mettre la chaine des informations. Même s'il était tard, il devrait forcement trouvé quelque chose.
Et il avait raison. Il ne lui fallut pas plus de deux chaines à zapper pour trouver ce qu'il cherchait. Des images de la ville en plein chaos. Tous deux travaillaient dans le bioterrorisme mais jamais ils n'avaient eu à faire à un tel cauchemar. Toute la ville était toucher et cette souche semblaient se rependre plus vite qu'une trainé de poudre. Des images plus insolites les unes que les autres déferlèrent sur leur téléviseurs comme le plus horrible des films d'horreur qu'ils aient pus voire de leur vie.
Le bruit d'un moteur les fit sortir de leurs torpeurs et Chris se précipita vers la porte d'entrée. Claire se garait en trombe devant chez eux et sortait de la voiture pour se diriger vers son frère.
- Tu as vus ce qu'il c'est passer on dirait, fît-elle remarquer en montrant les giclures de sang sur ses vêtements.
Il acquiesça et s'enquit d'un ton qu'il se voulait calme.
- Tu sais ce qu'il se passe ?
- Qu'ils y a des milliers d'infecter là dehors qui se jette sur tout ce qui bouge et qui les bouffes, ça je le sais. D'où ça vient et comment ça se propage j'en ai aucune idée.
Elle leurs fit signe de monter en voiture et continua.
- D'après ce que j'ai entendus ça viendrais de la ville.
- Heureuse d'avoir déménager, répondit Jill à l'arrière de la voiture.
- Oui, quoi qu'il en soit j'ai essayé de contacter des amis de la basse, mais rien. Silence radio. Tu as pu joindre quelqu'un ?
- Personne, répondit Chris en secouant la tête.
Ils roulèrent un moment sans que personne ne prenne la parole avant de se retrouver coincé devant un immense embouteillage.
- Et merde, jura Claire. On dirait qu'ils ont tous eux cette même foutue bonne idée.
- Qu'est-ce qu'on fait ? S'enquit Chris.
Claire réfléchissait à toute allure, tandis que Jill les interpella.
- Ho mon dieu… regarder ça.
Les deux Redfield suivirent le regard de la jeune femme pour venir voire l'hôpital au loin, brûler et laisser s'échapper, patient et personnel en pleine panique. C'est alors qu'un autre groupe sortit pour venir se jeter sur le premier et les dévorer vivant.
- Putain de merde, cracha Chris. Démarre !
Claire n'eux pas à se le dire deux fois et fit un demis tour aussi sec que possible. Elle dériva sur une petite route pour venir rejoindre une autre partie de la ville plus accessible. Des milliers de gens couraient dans tous les sens, bloquant les rues et les allées de tout passage en voiture.
- Fonce ! Ordonna Chris.
- Mais ils sont devant nous ! Contra la jeune femme au volant.
- Alors fait demi-tour mais ne reste pas là !
Elle dévia passa dans une ruelle plus petite éraflant les côtés de la voiture et défonçant un grillage au passage. Cette ruelle semblant se rétrécir à vus d'œil était interminable, mais ils finirent par en sortir pour déboucher sur la rue principale.
- Attention !
Mais il était trop tard, un 4x4 les percuta et renversa la petite voiture de fonction de Claire. La faisant se retourner et rouler sur elle-même dans un nuage de fumé.
Jill se réveilla la première et ce fut dans une quinte de toux qu'elle se redressa en se frottant la tête. Elle jugea de la situation avec la rapidité que lui avait procrée son métier et vit Chris à terre. Elle se précipita vers lui en le secouant.
- Hey ! Chris réveille-toi !
Chris ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il vit Jill sur la banquette arrière et se redressa d'un coup.
- Jill, ça va ? Tu n'es pas blesser.
- Non ça vas, mais je suis coincer, la portière ne s'ouvre pas.
Chris voulu s'inquiété du sort de sa sœur et mais la place à côté de lui était vide la portière grande ouverte. Il se faufila par l'ouverture et se retourna pour aider sa femme à en sortir. Une fois à l'air libre, elle se serra dans les bras de son époux.
- Chris attention derrière toi !
Le soldat se retourna et n'eut même pas le temps de voir ce qu'il se passait qu'un infecter se jeta sur lui. La bouche grande ouverte les dents en sang et les yeux injecter il cherchait à tout prix à le mordre. Il usa de toute sa force pour attraper le visage de son agresseur et de le frapper sur le côté. Et ce fut le talon de Jill dans sa tête qui acheva cette chose.
- Putain de merde ! Jura Chris.
- ça va ? Tu n'as rien ?
Il secoua la tête et essuya le sang qu'il avait sur le visage.
- Chris, Jill ! Claire s'approcha d'eux, une arme à la main. On doit partir, j'ai trouvé un chemin par-là, venez vite !
Sans même poser de question le couple la suivit et s'éloignèrent de la ville. La nuit était à son apogée et la pluie commençait à tomber, comme si ils avaient besoin de ça pour ternir leur morale et leur vision. Une lumière rouge au loin attira leur attention et ces trois soldats savaient aussi bien les uns que les autres qu'ils s'agissaient d'un viseur. Jill s'avança vers cette lumière pointée sur sa poitrine et s'exclama d'une voix forte.
- Je suis le capitaine Jill Valentine et je suis en présence du Capitaine et du Lieutenant Redfield.
- Ne bouger pas ! Ordonna le milicien en les pointant toujours de son arme.
- Nous de somme pas infecter, intervint Chris. Contactez vos supérieurs ils sauront vous dire que…
Mais le soldat s'emporta lorsqu'il remarqua que Chris s'approcha de lui.
- J'ai dit n'avancez pas !
Il pointait cette fois-ci Chris et avait les mains qui tremblaient.
- Doucement mon grand tu ne voudrais pas faire quelque chose que tu regretteras n'est-ce pas ?
- Alors reculez monsieur.
Un bruit déchirant les fit tous se retourner et chacun sortirent leurs armes mais ce n'était pas un infecter ce n'était qu'un homme qui portait sa fille dans ses bras et qui fuyait le chaos de la ville. Seulement, le soldat déjà à cran tira sur eux. Claire se précipita vers eux et vit avec effroi la jeune fille blesser mortellement. Elle faisait dans l'humanitaire et avait plus d'une fois soignée les blesser sur les champs de bataille pour savoir qu'il n'y avait rien qui pouvait la sauver. Le père vit sa fille mourir devant lui et c'est avec rage qu'il sorti son arme pour tirer sur le milicien. Le soldat dans sa chute appuya sur la détente et laissa un chargeur de sa mitraillette se vider dans une ligner bien droite partant du sol jusqu'au plafond. Chris tira son arme et tua le père fou qui avait pointé son arme sur lui pensant qu'ils devaient être ensemble.
Il s'approcha de sa sœur lorsque celle-ci pointa son doigt en sang sur Chris. Ou plutôt derrière lui car lorsqu'il suivit la direction qu'elle lui indiquait, il vit Jill, les genoux à terre, se tenant le ventre. Il court vers elle et la prise dans ses bras avant qu'elle ne percute le sol. C'était des balles de mitraillettes. A vus d'œil, il y en avait plus d'une dizaine qui avait touché son abdomen.
- Non… non Jill non…
Il regarda son corps sans savoir quoi faire.
- Claire ! Cria-t-il. Claire !
Il l'appelait désespérément, sans même voire qu'elle était depuis longtemps à ses côtés, à essayer de compresser les innombrables plaies de son amie et belle-sœur.
- Jill, tient bon !
- Claire, murmura la jeune femme blonde.
- Economise tes forces ma belle, Chris appuie ici et ici. Il faut que je m'occupe de cette balle dans son poumon et que je…
- Claire, répéta la blesser en attrapant ses mains des siennes. Arrête… je ne sens plus mes jambes et… je sais que je ne m'en sortirais pas…
- Ne dit pas ça ! Hurla Chris.
- Vous devez fuir… Chris tu dois trouver ce qu'il se passe et essayer d'arrêter tout ça…
- Jill non…
Chris pris sa femme dans ses bras et la berça contre son cœur.
- Ne me laisse pas… ne me…
- Chut… ça va aller…. Ça va aller…
Et ce fut finalement à celle dont les minutes étaient comptées et dont la vie s'échappait d'elle à petit feu, que revint la tâche de réconforter et de rassurer ceux qui restait. Et ce fut dans le calme et la sérénité qu'elle s'en alla, comme dans un sommeil profond.
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10 ans plus tard
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- Tu sais très bien qu'on a besoin de ces armes, on doit absolument accepter ce job.
Chris passa sa main dans ses cheveux. Il avait vécus tellement d'évènements marquant durant ces dix dernière années que les trais sur son visage paraissait plus vieux que ses dures années écouler.
- Je sais Sheva, mais cette mission est du suicide. Amener quelque chose hors de la ville c'est juste… fou !
La jeune femme de quelques d'années sa cadette s'approcha de lui et posa sa main sur son bras. La peau sombre et les cheveux noirs, ses origines Africaines étaient sans équivoque. Elle possédait de magnifiques yeux bruns qui la suppliaient du regard.
- Josh c'est ce qu'il fait. Il fait peut-être partie d'Umbrella mais on peut lui faire confiance.
- Je sais, tu le connais depuis que tu es gamine, mais je n'aime pas me frotter à eux c'est tout. Ce ne sont que des rebelles qui n'hésitent pas à tuer pour se faire entendre.
Il s'assit sur son lit. S'il pouvait appeler cela un lit. Il vivait dans moins de quatre mètre carré et le partageait avec sa nouvelle compagne. Ils vivaient comme ça depuis tellement d'années qu'il ne savait même plus quand est-ce qu'il s'était résigné à mourir ainsi.
Sauvée le monde ? Comment ? Et à quoi cela servirait-ils ? Les humains étaient devenus bien plus dangereux que ce que les murs de cette ville pouvaient bien renfermer. Non, il n'aimait pas ces rebelles, seulement ils avaient besoin d'arme pour son boulot.
Et oui, le grand Chris Redfield n'était qu'un mercenaire. Il acceptait des boulots de contrebande, de récupe et parfois même de livraison comme ce matin même. Sheva s'approcha de la seule commode de leur demeure et en tira le dernier tiroir. Chris soupira et détourna la tête.
- Un Neuf millimètre…
Elle sorti le chargeur de l'arme et en compta les balles.
- Douze, énuméra-t-elle. Un Magnum Desert Eagle, quatre, un fusil…
- ça va, ça va, la coupa Chris, j'ai compris… on est à sec.
La jeune femme le rejoignit et s'accroupie devant lui.
- Ecoute Chris, je sais que tu n'aimes pas ça mais on n'as pas le choix. On a besoin de ces armes et de ses munitions et pas seulement pour le boulots, mais également pour notre survie.
- Ils ont encore franchie la barrière ? S'enquit Chris inquiet.
- Oui et Sam ne s'en est pas tiré.
Sheva baissa les yeux à cette annonce. Sam était un bon ami et quelqu'un de bien, Chris était peiné d'apprendre que cet homme avait connu une fin aussi triste. Il posa sa main sur celle de la jeune femme et soupira.
- Très bien, j'accepterais cette mission.
- Tous les deux Chris, c'est bien trop dangereux pour que tu y ailles seul, contra-t-elle aussitôt.
- Justement ! Si c'est aussi dangereux que tu le prétends, il est dans ce cas hors de question que tu m'accompagne.
Sheva secoua la tête d'un air lasse.
- Quand est-ce que tu vas comprendre qu'on est une équipe ? On travaille ensemble, tu pas, je parts, tu restes, je reste.
Chris fut soudainement attendrit par ces mots. C'est vrai qu'à l'époque où il avait connu Sheva, il n'avait cessé de la traiter comme une faible chose à protéger. Mais au finale cette femme lui avait sauvé bien plus de fois la vie qu'il ne l'aurait voulus.
Quelqu'un frappa à la porte et il partir ouvrir à son invité, même si il savait déjà qui s'était et qu'il n'était de loin pas enchanté par cette mission. Josh se tenait dans l'embrassure de la porte et le salua d'un signe de tête. Il s'approcha de Sheva et la prise dans ses bras.
- Je suis vraiment ravie que tu acceptes ce job ma belle. Tu n'imagines pas à quel point cette mission peut être importante.
- Justement, intervint Chris dans leurs accolades amicales. Tu peux nous dire ce que vous tenez tant à faire sortir de la ville toi et tes copains ?
Josh regarde autour de lui comme si les murs décrépis de leurs logis avaient des oreilles.
- Je vous dirais tout ce soir. Rejoignez-moi dans l'entrepôt près des docks.
- Bin voyons.
- Chris, coupa la jeune femme.
- Arrête de le défendre Sheva! Tout ce mystère est louche tu as un truc à cacher.
Il donna un coup de pied dans la porte et fit volte-face pour tenter de calmer sa rage et de frapper le meilleur ami de sa partenaire.
- Umbrella à toujours un truc à cacher !
- Umbrella n'a rien à voir dans cette histoire, avoua Josh.
Chris se retourna vers lui, profondément intrigué, une expression figé entre l'incompréhension et l'énervement.
- Si ça ne concerne pas ton groupe de rebelles belliqueux, je peux savoir pourquoi tu en fais tout un secret d'état ?
Josh observa Chris la bouche ouverte et poussa un soupire.
- J'aimerais vous le dire vraiment, mais… ici n'est ni le moment ni l'endroit.
Il vit le regard las de Chris et capitula.
- Très bien, vous n'avez cas venir maintenant. Préparez-vous et je vous conduirais là où je pourrais tout vous racontez en détails.
Il ne fallut pas plus d'une heure pour les deux compagnons de se préparer et de suivre Josh jusqu'à un entrepôt aux extérieurs particulièrement douteux et profondément sinistre. L'avantage de cette position c'est que les remparts de la ville étaient juste à côté. Il pouvait sentir la poudre et les mégots des soldats d'ici. Cette vie ne lui manquait pas, bien que la plupart des combattants actuels n'était pas d'ancien soldat de l'armées mais des petites frappes qui avait endossé un uniforme et décider de faire leurs lois parce qu'ils avaient des armes.
Un coup de feu retentie, mettant fin aux pensées de Chris. Il tira son arme de son holster et vit Josh un genou à terre, se tenir le flanc. Sheva était déjà sur lui et le couvrait avec son arme. Il savait qu'elle n'avait que quatre balles et qu'elle était à découvert.
- Umbrella ! Cria un des soldats qui s'avança avec sa mitraillette et son masque sur le visage.
Chris en profita pour se dissimulé derrière une petite caisse. Cet homme ne l'avait pas vu. Il regarda Sheva et lui fit signe qu'il faisait le tour. Elle allait devoir servir d'appât, une fois de plus. Elle redressa son arme et leva les mains.
- Je ne suis pas d'Umbrella.
- Mais vous êtes avec un de ces membres, contra un deuxième soldat.
Chris avait réussi à les contourner et à se retrouver derrière eux. Ils étaient cinq. Pas facile. Même s'il parvenait à en tuer un rapidement et silencieusement, les quatre autres poseraient de sacré problème.
Il chercha une idée, lorsqu'il vit le cadavre d'une bouteille en verre à ses pieds. Il attrapa l'objet et eu son coup de génie qu'il attendait. Attendant le bon moment, il lança la bouteille de telle façon à ce que les soldats viennent vers lui.
Et cela fonctionna.
Deux des soldats partirent en éclaireurs. Chris attrapa son fidèle couteau et fit preuve d'une patiente incroyable. Il fallait entendre le bon moment avant d'attaquer.
- Je ne vois rien, expliqua un des soldats qui se trouvait en réaliser juste devant Chris, parfaitement cacher derrière une énorme caisse.
Avec discrétion il attendit que le soldat ne se retourne pour surgir avec la rapidité d'un éclair et attraper la nuque de cet homme afin de la claquer le plus silencieusement qu'il put. Il tira le corps derrière l'énorme caisse et se diriger vers le deuxième soldat afin de lui offrir le même traitement.
Seulement, cela ne se passa pas tout à fait comme prévus, car à la dernière seconde, il se retourna et s'apprêta à lui tirer dessus. Un coup de feux parti, mais cela ne venait pas du soldat, ni même de Sheva qui se retrouvait clouer au sol par ces deux brutes qui rejoignirent leurs compagnons en tombant au sol. Chris se redressa étonner. Il rejoignit la jeune femme l'aidant à se relever.
- Quel bande de débile parasité ! S'exclama-t-elle en shootant dans un des deux cadavres.
- Mais… qui à tirer ?
La porte de l'un des entrepôts s'ouvrit et laissa place à un jeune homme portant un… un sniper dans le dos !
Chris faillit s'étouffer en voyant ça. Ce gamin ne devait pas avoir plus de seize ans et il portait une arme ! Josh se redressa, une main sur sa blessure, compriment du mieux qu'il put sa plaie. Le gamin se précipita vers lui, profondément inquiet.
- Ho merde Josh ! Est-ce que ça va ?
- ça vas, tout vas bien, le rassura son ami.
- Vous les recruter à la sortie de l'école maintenant ? S'enquit Sheva.
Josh secoua la tête.
- Il ne fait pas partie d'Umbrella, il…
- Quoi ? S'énerva Chris.
Josh hésita puis ce jeta à l'eau.
- C'est lui… la marchandise.
- C'est une blague ?!
Sheva s'interposa, empêchant Chris de frapper son ami.
- Chris arrête !
- Cet enfoirée nous à entubé !
- Allez-vous faire foutre ! Cria le jeune homme en s'interposant lui aussi.
Il se tourna vers son ami et l'aida à se maintenir debout.
- Et puis c'est qui eux ?
- Eux ? Répéta-t-il en regardant Sheva droit dans les yeux. Ce sont eux qui vont t'amener dehors.
- Quoi ? Certainement pas, je reste ici…
- Piers !
L'homme à la peau foncé attrapa l'adolescent par les épaules et le fit le regarder.
- Tu sais ce que tu dois faire.
Piers fit la moue et fini par se dégager de l'étreinte de Josh.
- Pff fait chier.
Sheva avait entrainé Chris un peu plus loin et essayait tant bien que mal de le calmer.
- Ecoute-moi, on n'as pas le choix, que ce soit de la nourriture, un claqueurs ou un être humain on doit le faire sortir de la ville. On récupère nos armes et on se casse. Comme si de rien n'était.
Chris passa sa main dans ses cheveux et réfléchie. Il avait beau tourner le problème dans tous les sens, il ne voyait pas d'autre choix. Il devait accepter cette mission.
- Très bien, commença Chris en rejoignant Josh et Piers. Mais on doit être payé en avance au quel cas nous ne dépasserons pas les remparts.
Josh hocha la tête et serra la main de Chris dans une poigne annonçant le scellement de leur pacte. Mais Piers passa entre eux pour les séparés et croisa les bras d'un air mécontent.
- Je n'irais nul par Josh et tu as besoin de moi tu es blesser !
L'agent d'Umbrella soupira.
- Piers… nous en avons déjà parlé, il n'est plus question de ce que tu veux mais de ce que tu dois faire.
L'adolescent ragea et shoota dans un gros braille qu'il renversa.
- Fait chier p'tain.
- Piers ! Appela Josh mais le gamin avait ramassé son arme et s'apprêtais à partir.
L'homme à la peau foncée voulu le rattraper mais sa blessure le lança lorsqu'il amorça un mouvement et il retomba un genou à terre.
- Josh doucement, commença Sheva. Reste calme.
- Pourquoi tu « Dois » faire sortir ce garçon ? Demanda Chris plus préoccupé par sa future mission que par l'état de son commanditaire.
Josh hésita avant de se jeter à l'eau.
- Il y a un groupe appartenant à Umbrella qui vous attendra à l'extérieur de la ville près des remparts…
- Umbrella ? S'exclama Chris, je croyais que ça n'avait rien à voir avec eux !
- J'ai menti, avoua Josh. Ecoutez votre job c'est juste de traverser ces foutue murs et de vous vous assuriez que ce gosse est toujours en vie au moment où l'échange se fera.
- Quel échange ? S'enquit Sheva.
- Les armes, ce sont eux qui les ont, pas moi, ou je peux vous assurez que je me serais occuper moi-même de cette mission.
Chris sentait que tout cela allait mal finir. Toute cette histoire était bien trop louche. Mais si il n'y avait que cette chance pour gagner ces foutues armes alors il attraperait ce gamin de force et lui ferais franchir les murs.
- On accepte mais je te préviens, après ça tu m'en devrais une.
Chris s'en alla, rejoignant Piers qui se retourna en l'entendant.
- Qu'est-ce que tu…
Chris l'attrapa par la taille pour le balancer sur son épaule.
- Sheva on y va !
- hey ! Cria Piers, lâche moi putain. Espèce de vieux merdeux, j'te jure si tu ne me lâche pas je…
- Tu quoi morveux ? Coupa Chris. Ferme là maintenant.
La jeune femme aida son ami à se relever qui lui fit signe de partir. Elle hésita et rejoignit son partenaire. Cette mission allait vraiment être plus compliquée que les autres.
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Il faisait nuit lorsqu'ils sortirent de leur planque. Il avait bien fallut une heure pour calmer Piers et le résigné à coopérer. Il était désormais à la traine et fulminait intérieurement. Sheva s'en rendit compte et ne supportant plus cette ambiance, elle décida d'intervenir.
- Psst, Chris, murmura-t-elle en le rejoignant. Tu devrais lui dire quelque chose…
- Je n'ai rien à lui dire et je ne suis pas payer pour ça.
Sheva avait beau adorer son partenaire, elle ne supportait pas son caractère lorsqu'il réagissait ainsi. Ce garçon venait de tout perdre et il le traitait comme un paquet à livrer. Pas étonnant que Piers le fusillait du regard depuis qu'ils étaient partie.
- Chris, insista Sheva. Il a seize ans, ce n'est pas un enfant, mais un jeune homme.
- C'est la même chose pour moi.
Sheva l'arrêta et le regarda droit dans les yeux.
- Chris ! Cela suffit tu vas immédiatement t'excuser auprès de ce gamin avant que vous ne nous fassiez tuez tous les trois.
Elle le poussa vers l'arrière et Chris faillit foncer dans le garçon qui levait les yeux vers lui, légèrement apeuré.
- Quoi ? Demanda-t-il en essayant de garder une certaine contenance.
Chris se retrouva comme un idiot devant ce gamin, ne sachant quoi lui dire.
- Vous avez perdu votre langue ?
Chris en profita pour l'observer. Il avait l'air plus jeune que son âge, ses cheveux châtain claire couper court lui donnait un air enfantin. Il ne savait pas pourquoi ce gamin était aussi important, mais il était encore bien jeune pour qu'il soit d'une importance quelconque. Peut-être ses parents étaient-ils dehors et avait payé une fortune pour le retrouver. Il soupira et s'apprêta à ouvrir la bouche lorsque Sheva s'exclama.
- Des soldats !
Chris attrapa le gamin par le bras et le fit se mettre à couvert. Il chercha Sheva dans le noir et la vit un peu plus loin. Elle lui indiquait un caniveau un peu plus bas dans lequel ils pourraient s'infiltrer afin de quitter la ville. Chris attira le gamin contre lui et lui indiqua leur porte de sortie.
Piers hocha la tête et attendit le signal pour y foncer, Chris sur ses talons. Ils arrivèrent devant le conduit et s'y engouffrèrent, restant un moment à l'abri, cacher des soldats.
- Sheva ? Murmura son partenaire.
Mais personne ne lui répondit. Piers était particulièrement nerveux et faillit crier en voyant une ombre passer devant l'entrée de leur conduit. Chris fut plus rapide et plaqua sa main sur la bouche de l'adolescent pour le faire taire.
Effrayer, Piers vit l'ombre s'approcher et une voix familière murmura.
- Chris ? Tu es là ?
L'ancien soldat relâcha le bras du garçon et soupira de soulagement.
- Oui on est là.
La jeune femme en fut soulager elle aussi et passa sa main dans ses cheveux.
- Il y a des soldats partout, j'ai eu du mal à passer, s'il y en a autant à la sortie de ce tunnel on est dans la merde.
- On ne peut pas rebrousser chemin de toute façon, alors continuons.
Il regarda Piers qui semblait de plus en plus paniquer. Ce pauvre gamin n'était pas au bout de ses peines. Dehors des murs, les horreurs étaient bien plus effroyables que ces soldats. Il lui donna une tape dans le dos afin de le ramener à la réalité et de lui indiquer qu'il devait continuer.
Piers sursauta mais s'exécuta. Il fut le premier à avancer dans ce conduit interminable. L'odeur ici était horrible et les murs semblaient se rapprocher de lui à vus d'œil. Piers avait horreur de rester enfermer dans des endroits confiner et sentait qu'il avait de plus en plus de mal à respirer mais pour rien au monde il n'aurait fait par de cette faiblesse-là à ces deux guides. Ce vieil homme le prenait déjà pour un gosse, il n'avait vraiment pas l'intention de rajouter de quoi le décrédibilisé encore plus. Cependant, lorsqu'il vit la lumière au bout du tunnel, annonçant la sortie et la fin de son calvaire il ne put s'empêcher de se précipité vers la sortie.
- Gamin! Appela Chris.
Mais l'adolescent ne l'écouta pas et sortie à l'air libre.
- C'n'est pas vrais, grogna l'ancien soldat.
- Chris, renchérie Sheva. Tu veux bien le lâcher cinq minutes ?
Il s'arrêta et regarda sa partenaire.
- Ce n'est pas un gamin et il a un prénom. Piers et que tu le veuille ou non, on doit l'escorter jusqu'au point de rendez-vous. Il est seul ici et coincer avec nous, tu pourrais faire preuve d'un peu plus de gentillesse à son égard. Plus tu chercheras à le contrôler, plus il voudra te défier. Alors cool ! Ok ?
Le soldat haussa les épaules et acquiesça en se frottant la tête.
- Je n'ai jamais été alaise avec les gamins. J'essayerais d'être un peu plus cool. Promis.
Sheva acquiesça afin d'approuver et lui donna une tape dans le dos pour le faire avancer.
- Aller avance ou il va s'inquiéter qu'on ne remonte pas !
Chris s'exécuta et arriva près de la sortie lorsqu'une ombre se jeta sur lui pour le mettre à terre, une arme sur la tempe. Sheva suivit et il vit le gamin lui aussi menacer d'une arme. Quatre soldats se tenaient devant eux, dans leurs uniformes.
- Je savais bien que tu n'étais pas seul gamin, répliqua l'un d'eux.
Il s'approcha de Piers et lui donna un coup de crosse dans le ventre. Piers en eu le souffle couper et cracha de la bille.
- Hey ! Cria Chris en essayant de se dégager. Frapper encore ce gamin et je…
Un coup de crosse le fit taire. Le coup avait été tel qu'une plaie sur son visage s'était formé et qu'il saignait.
- Chris… murmura le garçon.
Un autre soldat sortie une machine étrange de son attirail et s'approcha de Sheva. Il fit signe a son compagnon qui l'avait maitrisé et relever son col et il planta les quatre aiguilles de la machines dans sa peau. La machine afficha un négatif vert et le soldat passa à Chris.
- Ecouter on veut juste quitter le mur et retrouver les parents de ce gamin, on ne cherche pas d'ennuie ni à vous nuire.
- La ferme la garce.
Il posa la machine sur la nuque de Chris et s'assura également qu'il n'était pas infecté. La machine afficha à nouveau négatif. Il s'approcha du gamin et recommença l'opération. Mais tandis que la machine analysait son sang, Piers mordit le bras du soldat de toutes ses forces, transperçant sa combinaison et en venant au sang.
Chris en profita que son assaillant attrapait son arme pour viser le gamin et se jeta sur lui pour venir lui craquer la nuque. Sheva lui fit une prise aux jambes et le mis à terre. Elle enfonça son couteau dans sa nuque et le lança sur le troisième qui s'était retourné vers elle. Chris se jeta sur celui que Piers avait mordu et qui avait frappé le garçon au visage avec violence. Il se débâtie un moment avant que Chris ne retourne l'arme du soldat contre lui et n'appuie sur la détente. Son corps tomba au sol et l'ancien soldat se redressa pour venir s'approcher de Piers, toujours au sol. Il avait le visage meurtri, ce qui fit monter une puissante colère en Chris. Comment pouvait-on frapper un gamin ?
- Hey gamin… tu vas bien ?
Il posa sa main sur sa joue et analysa sa blessure. Il avait la lèvre fendue et saignait de la bouche. Il cracha du sang lorsqu'un bruit d'arme que l'on engage ne retentisse derrière eux. Chris soupira et se retourna près à se battre à nouveau lorsqu'il vit que ce n'était autre que Sheva qui menaçait Piers de son arme.
- Sheva ? murmura l'ancien soldat. Qu'est-ce que tu fais ?
- Qui es-tu ? Demanda-t-elle au garçon.
- Sheva qu'est-ce qu'il te prend ? S'exclama Chris.
Elle tenait dans son autre main la machine du soldat et la montra à son partenaire qui pouvait voire s'afficher en rouge un « positif ».
- Qu'est-ce que…
Il se retourna vers le garçon dont la blessure à la lèvre s'était atténuer. Il se tourna vers eux les bras levés.
- Attendez… je peux vous expliquer.
- Tu es infecter qu'y a-t-il à expliquer ? S'emporta l'ancien soldat.
Il remonta la manche de son bras droit et leur montra le début d'une infection. Des cloques étaient apparus sur son avant-bras et se rependait de son poignet jusqu'à son coude.
- Sale enfoiré, menaça Chris, Josh c'est bien foutue de notre gueule.
- Combien ? Demanda Sheva. Depuis combien de temps es-tu infecter ?
- ça fait un mois, répondit-il.
- C'est impossible, contra la jeune femme. Tu devrais être complètement transformé depuis. Il ne faut pas plus d'une heure pour complètement être infecter… Je répète ma question, quand as-tu été vraiment mordu ?
- Je vous l'ai dit ! S'exclama-t-il.
Il montra sa joue sur laquelle le soldat l'avait frappé et qui ne montrait à présent plus aucune marque n'y figurait.
- J'ai été mordu il y a plus d'un mois par un infecter qui s'était infiltrer entre les murs. Je l'es cacher à tout le monde en espérant qu'ils ne me tueraient pas, mais le temps passait et au bout d'une semaine je n'avais toujours rien. Mon ami, Tomas, qui s'est fait mordre en même temps que moi c'est transformer en moins d'une heure et moi je n'avais rien toujours après une semaine, puis deux. Je l'es finalement montrer à Josh et il m'a mis en contact avec des scientifique d'Umbrella pour essayer de mettre au point un antidote !
Sheva baissa son arme.
- Sauver ce monde ? Seigneur… C'est pour ça qu'on doit t'amener à Umbrella ?
Des lumières aux loin attira leur attention et Chris attrapa le gamin par le bras.
- Quoi qu'il en soit, on ne peut pas rester ici !
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Et voilà pour ce premier chapitre. J'espère sincèrement qu'il vous plaira ! J'ai longuement hésité avant de le poster n'était jamais contente de ce que ça donnait et a force de le réécrire je me suis lancer !
Si ça plait à au moins quelqu'un je continuerais mais je dois avouez que je suis septique ! ^^'
Sur ceux, bonne soirée !