OS 365 jours – 21 janvier.
J'attendai le médecin depuis presque une demi-heure, et l'homme en face de moi poireautait depuis sûrement plus longtemps encore. Nous nous jetions des oeillades depuis un moment quand, en quelques secondes, tout bascula. Il se leva, m'attrapa par le bras et m'amena dans une salle de consultation vide. Il ferma la porte à double tour et se jeta sur mes lèvres. Instinctivement, je plongeai mes mains dans ses cheveux, et les tirai légèrement. Il grogna et empauma mes fesses pour me soulever et me poser sur la table d'auscultation. Il releva ma jupe et, sans me demander mon avis, plongea ses doigts dans mon intimité complètement trempée. Je criai de surprise, et gémis alors qu'il triturait mon clitoris avec son pouce tandis que ses doigts faisaient toujours des va et vient dans mon antre.
J'explosai en quelques minutes autour de ses doigts agiles. Ma respiration était erratique et complètement ravagée. L'homme sourait, apparement content de lui.
Le temps que je récupère, son pantalon ainsi que son boxer avaient disparus. Il me fit descendre de la table et m'embrassa avec force. Il me retourna et me fit me pencher en avant. J'écartai légèrement les jambes, me penchai et attrapai le bord de la table. Il caressa mon dos, puis mes fesses. Il glissa encore sa main entre mes cuisses. Je gémis. Il sourit.
Il attrapa son membre raidit par le désir et le plaça à proximité de ma fente. Il le fit entrer, puis le ressortit. Il jouait avec moi, et avec mes sensations. Je me cambrai pour lui faire comprendre que j'aimais ce qu'il me faisait. Je poussai même mes fesses vers son corps pour lui intimer de me rendre folle. Il ne se laissa pas attendrir par mes actions. Il voulait me dominer.
Il posa une de ses mains sur mon épaule et s'enfonça en moi durement. Son autre main se posa à son tour sur mon autre épaule. Pour que ses coups soient plus forts que les précédents. Toujours plus fort. Je criai. Il grognait. Son corps claquait contre mes fesses avec un bruit assourdissant.
Nos râles de plaisir résonnaient dans le cabinet et nos cris, que nous ne tentions même pas de masquer, rythmaient notre partie de jambes en l'air torride.
Le rythme s'accéléra et je sentis mon bas-ventre se contracter à nouveau. Mon orgasme se construisait à nouveau, dangeureusement. Le sexe de mon partenaire s'activait en moi de plus en plus vite et la respiration de l'homme était hachurée. Il allait bientôt jouir et mon corps s'apprêtait à recevoir toute sa semence.
Putaiiiiiiin ! jura-t-il alors qu'il se déversait en moi et que je sentais son liquide chaud m'envahir.
OooooOO
Je me réveillai en sursaut, les jambes tremblantes. La sueur perlait sur mon front. Ma main était enfouie dans ma petite culotte, laquelle était trempée. Mon corps était encore secoué après les spasmes qui s'étaient abattus sur lui.
Waouh ! Quelle sensation! Jamais je n'avais éprouvé du plaisir en dormant, sans m'en rendre compte.
Ca avait été une super expérience, que j'espérait bien renouveler un jour, si c'était possible.
Mais pour l'heure, j'avais rendez-vous chez mon médecin...
