Pierre ou la découverte de l'amour
Pierre se frottait les yeux en tiraillant son gland;
Il n'avait plus très faim, se leva en pétant.
Son pantalon troué laissait voir son braquemard
La bouffe de Pokémon lui donnait le cafard.
Gentiment assomé, il entre dans sa tente
Eteint la lampe à huile, se couche, ferme les yeux
A côté dort Ondine, l'air innocent et pieux
Oh ! que de pensées malsaines encore le tentent !
Il se vide l'esprit en pensant à Onyx
Et à son Racaillou, fidèle ami de galère
Qui le sucèrent tant, lorsqu'au fil de ses rixes
Il avait perdu sa foi en la planète Terre
Il y a un tel nombre de Pokémon sauvages
Beaucoup sont bien jolis, et sont seuls bien souvent
Pierre voudrait les lécher, il mate leurs images
Dans le Pokédex de Sacha en se doigtant
Ondine est certes belles, et toujours presque nue
Elle a un beau sourire, des jambes magnifiques
Sacha n'est pas trop mal, non plus - Pierre les entend
Lorsqu'ils croient se cacher, et qu'alors ça nique.
Au terme de son rêve, Pierre n'en peut plus et cède
Arrose la demoiselle de semance parfumée
Ondine se réveille et râle alors mais de
Ses plaintes Pierre n'a cure, tant il est excité
Et se jette sur elle, et déchire ses habits
Et mort sa poitrine, la tète jusqu'au sang
Lui dévore l'entrejambe, mastique son pubis
Enervé par ses cris et ses supplications
Il l'achève d'un coup, croquant son périné
Mais déjà vient Sacha qui, attiré par le bruit
Se voyait déjà prince d'un plan improvisé
Il voit la dépouille nue - alors, déçu, se dit :
"Ce n'était qu'un banal violeur", mais déjà Pierre
Le saisit par les jambes, lui découvre les fesses
Y mord, y croque, y lèche, leur déclare la guerre
Insulte son jeune ami tandis qu'il le fesse
Sacha implore l'ancien champion d'Argenta
Mais Pierre est intraitable ; et pensant au Prof Chen
Il bande avec énergie, pénètre en fracas
Etrangle sa victime au moment de l'hymen
Alors se relevant, et libérant ses Balles
Racaillou et Onyx, émus jusques aux larmes
Contemplent les vestiges d'une amitié durable
Attendent les ordres du maître aux yeux de flammes
Pierre reprend son souffle, se lance en une tirade :
"Mes amis n'étaient rien, ils n'étaient qu'une entrave
Je les ai testés là, et alors rien de grave
Ils ne valaient pas un clou, leurs anus étaient fades
Dorénavant je sais ce que c'est que l'amour
C'est le sexe violent, et très très illicite
Avec vous Pokémon, je veux être toujours
Dans cet état de rêve, alors sucez ma bite !
Exécutez vous là, comme vous ferez toujours !
Vous n'êtes que mes esclaves sexuels ! Acceptez le !
Je ne vous libérerai que par un crime d'amour
En atteignant l'excase, je vous tuerai tous deux !"
