Bonjour à toutes !
Après avoir repris, puis abandonné plusieurs de mes fictions, me revoici avec une toute nouvelle ! J'espère qu'elle vous plaira autant que je prends plaisir à l'écrire.
Deux petites choses : j'ai ouvert un tumblr, inspiré de la fiction (tenues, style …)
Lien new-yorkcalling . tumblr . com
Une playlist y sera intégrée progressivement.
Résumé : Quittant tout juste son Forks natal, et après une adolescence mouvementée, Bella débarque à Columbia University. Entre une colocataire blonde et sa meilleure-amie mi fusée-mi lutine, un beau gosse aux cheveux cuivrés et au regard vert en pleine rébellion, une nouvelle vie pleine de rebondissements attend Bella à New York.
N.B . : étant une fanatique incontestée de la grosse Pomme, et voulant me démarquer des fictions basées principalement à Seattle, Phœnix … New York est au cœur de cette nouvelle fiction. Je tiens à m'excuser d'avance des erreurs au niveau des lieux, et des noms O.C. sortant tout droit de mon imagination (et vous verrez que parfois, elle peut s'avérer peu élaborée). J'essaie de faire au mieux grâce à un semblant de recherche. Merci d'avance pour votre indulgence )
Bonne lecture à toutes (et à tous ?)
NEW YORK CALLING
I.
*(Cup of Coffee– Skip the Use)
« Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue à Columbia en cette rentrée 2013 ! Je me présente : Harry Brighton, doyen du domaine Lettres et Sciences Humaines et directeur de cette illustre faculté. Je tiens à vous présenter tous mes vœux de réussites au cours de cette nouvelle année, qui je l'espère vous sera riche en connaissances et en résultats ! Columbia est heureuse de vous ouvrir ces portes et d'accueillir cette nouvelle génération d'étudiants. Les doyens et professeurs référents situés derrière moi vont vous répartir aux différentes réunions d'informations. Je vous souhaite une bonne journée et une belle année au sein de notre université ! »
Des applaudissements s'échappèrent peu à peu de la foule d'étudiants amassés devant l'estrade en bois vieilli de la fac. Ma faculté. Une des grandes et illustres de notre pays. Moi, Bella Swan, 18 ans depuis quelques jours, j'avais rejoint l'une des facultés les plus réputées d'Amérique, rendant les habitants de ma ville natale de Forks pas que peu fiers. Après trois longues années au sein du lycée de Forks High, j'avais réussi à m'en extraire par une quelconque force divine pour atterrir à NY, rien que ça. Mon père avait même tenu à encadrer le courrier de Columbia au-dessus de la cheminée, entre tous les portraits de photo de classe peu reluisants, révélant mes phases avancées dans l'âge « traître » qu'est l'adolescence. Charlie, mon père, était un homme revêche et quelque peu grognon. Un peu « brut de décoffrage », vous voyez ? Mais c'était un homme foncièrement gentil. Shérif de la ville de Forks (je vous laisse donc tout naturellement entrevoir mes rapports avec la gente masculine et les fiestas alcoolisées de mes camarades), il avait refait sa vie il y a seulement quelques mois avec Sue, une femme typée indienne au regard débordant de gentillesse et sacrée plusieurs années de suites « meilleure cuisinière de tarte aux pommes » à la foire de La Push. Et oui, on rigole pas chez les Swan. Ma mère, éternelle écervelé, habite Phœnix avec son nouveau compagnon, mais je n'ai plus aucun contact avec elle. Partie en mauvais terme de la maison, je ne m'entendais pas avec Phil, son « conjoint ». Laissons sous-entendre qu'il avait le droit facile. Le pied aussi. Après six mois à me frapper dessus, j'ai décidé d'en finir, et utilisant dans leur dos le compte bancaire commun, j'ai sauté dans un avion jusque Portland pour retrouver mon père, homme esseulé par le départ de ma mère 16 ans auparavant. Et je n'y suis jamais retournée. Ma mère se taisant et ne s'étant que très peu comporté comme tel, j'ai fait une croix dessus depuis bien longtemps. Et à force de travail et de patience, me voilà nouvelle élève de Columbia cette année, départements Lettres, section classique. Que demandez de plus ? Je ne vous cacherais pas mon angoisse depuis mon arrivée hier, une petite provinciale qui débarque d'une ville aussi tranquille que Forks, en plein New York, ça remue ! Mon dortoir était situé au deuxième étage d'une résidence contigüe au petit « centre commercial » (déjà bien plus grand que celui de Forks, c'est pour dire), à l'angle de la 114è et de Amsterdam Avenue. Les chambres étaient vraiment superbes, simple, mais au lit plus moelleux que tout ceux dans lesquels j'avais dormi, avec un grand bureau en bois blanc et une salle de bain de roi. J'avais eu la chance de trouver une place dans la résidence Lincoln, l'une des plus authentiques du campus. J'avais installé mes quelques effets, veillant à ne pas trop prendre de place, ma colocataire n'étant pas encore arrivée. Un cadre comportant une photo de Jacob, mon meilleur ami et ex copain à l'occasion, trônait sur la petite étagère au-dessus de mon lit, retenant avec le mur les exemplaires de mes livres favoris : Orgueil et Préjugés, les Hauts de Hurlevent, Jane Eyre, Au Bonheur Des Dames, Macbeth, Emma et Roméo & Juliette. Je n'étais pas en parcours lettres classiques pour rien voyez-vous. De part et d'autre de la porte, on pouvait trouver un placard coulissant comme dressing. Avec mes quelques affaires, j'en remplissais à peine le tiers. La nuit avait été courte, et je m'étais préparé en vitesse pour arriver sur le green de Columbia, où la nouvelle promotion de la fac se tenait. Après le discours succin du directeur, une femme à l'allure stricte et hautaine se posta devant le micro, nommant la répartition du corps professoral aux différentes sections. Je devais donc rejoindre l'amphi 7, pour une matinée réservée aux informations. Me mettant en route, je remontais mon sac sur mon épaule quand on me tapa l'autre. Je me retournais vivement. Une jolie brune à lunettes, plus grande que moi d'une tête me sourit :
« Salut, je suis arrivée ce matin et je suis un peu perdue … Je cherche l'amphi 6. »
« Tu es en lettres parcours moderne ? Et bien tu es dans celui à côté du mien, je t'accompagne si tu veux j'ai un plan, lui répondis-je. Au fait, moi c'est Bella. »
Elle me sourit et serra ma main en retour.
« Angela. Effectivement, je suis en moderne. Et toi ? »
« Classique. »
« Ah oui, c'est bien ce que j'ai cru entendre dire pour l'amphi 7 durant la transmission d'infos de toute à l'heure. »
Nous marchions l'une à côté de l'autre, traversant la pelouse éclatante de vert. Nous discutions d'où nous venions, jusqu'à notre arrivée au sein du bâtiment des amphis 6 à 10. Nous convenions de manger quelque chose ensemble ce midi, histoire de faire plus ample connaissances. Il n'y avait pas foule dans l'amphi aux sièges rouges qui m'avait été désignés. Peut-être une cinquantaine d'élèves ? C'est l'avantage d'être sélectionnée dans une fac aussi classe : les gens étaient motivés et le nombre s'en voyait donc réduit. Je me trouvais une place à côté d'une blonde platine froide comme la glace, au troisième rang. Mr Platter, notre professeur référent, fit son entrée quelques minutes plus tard, dans son costume trois pièces et son cartable vieillit.
« Bonjour à toutes et à tous. Je suis Mr Platter, votre professeur référent et professeur de littérature classique. Aujourd'hui, je vais vous distribuer vos emplois du temps et vous expliquer le fonct… »
Il s'interrompit. En effet, un garçon venait de faire son apparition par la petite porte de gauche. Et quand je dis garçon, je devrais plutôt dire dieu-vivant. Ouais, rien que ça Bella. Une main dans les cheveux, tirant sur ses cheveux cuivrés, une autre tenant fermement quelques livres contre sa hanche, il se confondait en excuse devant Mr Platter. A vrai dire, je ne saurais vous dire ce qu'il se disait, je suis bien trop obnubilée par le corps de cet Adonis pour m'en soucier. Je perçois seulement sa voix rauque. Arrête de baver ma fille, et réveille -toi un peu ! Je secouais ma tête pour faire sortir la petite voix de ma tête. Je réalisai alors mon égarement et observé le-dit demi-dieu s'installer au deuxième rang, juste quelques sièges sur ma gauche. Bon dieu respire Bella, t'as l'air d'une quiche là. Concentre-toi sur la réunion.
« Quelqu'un aurait un stylo par tout hasard ? » s'enquit le rouquin-aux-yeux-verts-maintenant-que-je-les-vois- de-plus-pres-canon-superbe-parfait.
Respire gamine, respire. Par tout hasard, la moitié des filles de notre partie de l'amphi vidèrent leurs sacs, et l'autre moitié restèrent scotcher devant ses faussettes et sa gueule d'ange. Moi incluse. Excepté la blonde à ma droite. Ce fut elle qui lui tendit son crayon à papier, non sans un soupir :
« En retard, pas de crayon, tu vas me dire que tu t'es trompé d'amphi aussi Edward ? » S'enquit-elle.
Et il s'appelle Edward en plus, achevez-moi.
Son sourire Colgate se fendit en coin, - la réunion Bella, détache ton regard mielleux et retourne à cette foutue REUNION-, et il lui répondit :
« Détends-toi Katie, c'est la rentrée ! Relax. »
L'intéressée leva les yeux aux ciels.
« Mouais … N'empêche que t'avais promis d'être sérieux pour une fois. Papa Cullen ne sera pas toujours là pour sauver tes fesses, et tu le sais ! »
« Arrête toi là avec tes grandes tirades, on est le premier jour cousine … »
« Est-ce que je vous dérange peut-être monsieur Cullen ? Ou bien mademoiselle Denali ? J'aimerais pouvoir finir ceci sans encombre, je vous remercie de votre compréhension. Un retard, bavardages … c'est ce qui s'appelle bien commencé l'année. Mais revenons à nos moutons … »
J'avais fixé du coin de l'œil ce petit échange entre l'homme parfait-au-cheveux-cuivrés et la blonde reine-des-glaces, sans me soucier du professeur. Bien Bella, tu commences bien. Je me décidais donc à suivre sagement.
*(Summertime Sadness – Lana Del Rey)
La réunion s'était terminée à midi. Nous avions reçu nos emplois du temps : je commençais généralement entre 8 et 10h et s'en suivait des cours entrecoupés de trous. Mon emploi du temps m'informa que j'avais été reçu au séminaire sur le théâtre gréco-romain, ainsi que mon option sur la littérature française. Angela et moi avions mangés ensemble à l'un des « corners » à hot-dogs et autres mets américains, assise sur les bans du campus, à discuter. Elle venait de Philadelphie, et son copain étudiait le commerce international en deuxième année à NYU. Nous avions vraiment sympathisés, elle me paraissait être une fille foncièrement gentille et elle était de bonne compagnie. Nous nous séparâmes sur les coups de 13h30, et je décidais de rejoindre le dortoir pour me reposer un peu avant de me rendre à la bibliothèque emprunter les quelques livres inscrit sur une des listes que j'avais reçu ce matin. Montant les escaliers doucement, je sortis ma clef, mais la porte de la chambre que j'occupais, la 1306, était déjà ouverte. Je la poussais et vit de dos, une blonde dorée aux allures de Doutzen Kroes, moulée dans un slim et pourvues d'escarpins à semelles rouges. Elle se retourna vivement en m'entendant, et me sourit pleinement :
« Oh tu dois être ma nouvelle colocataire ? Je suis Rosalie Hale ! Je me suis permise de commencer à ranger mes affaires vu que tu t'étais installée tout ça … » me décrit-elle avec des gestes.
« Bien sûr ! Je m'appelle Isabella, mais tout le monde m'appelle Bella. Bella Swan. »
« Tu portes un très joli prénom en tout cas. »
Cette fille avait la bonté dans le sang, rien qu'au regard ça crevait les yeux.
« Merci beaucoup. »
« Tu es arrivé quand ? »me demanda-t-elle, continuant de ranger tranquillement ses affaires.
« Hier dans l'après-midi, je me suis permise de prendre le lit de droite, mais si tu veux on peut toujours changer ou … »
« Non » me stoppa-t-elle. « Ça me va tout à fait. Pour tout te dire, quand j'ai vu tes affaires, ça m'a rassuré, j'avais peur de tomber sur une folle, ou genre une metaleuse fan de Ramstein, tu vois le genre ? Une littéraire, ça me va tout à fait. »
« Je vois le genre, en effet… »
Je souris. De son bon mètre soixante-quinze, cette fille était tout bonnement sublime. Longues jambes, décolleté avantageux, yeux azur et boucles dorées, le portrait parfait.
« Et toi, tu es en … ? »
« Deuxième année de médecine –Et intelligente, de surcroit.- … Mais j'ai été transférée. J'étais à l'université de Pennsylvanie, mais je m'y plaisais moyennement… enfin, longue histoire tu vois, et ayant réussi ma première année avec un très bon classement, j'ai réussi à déménager ici. A la base, je suis de Seattle. »
« Effectivement, t'es pas tout près de ta famille, ça te manque pas trop ? »
« J'ai coupé tout contact avec eux depuis deux années déjà … et ça me va. Et toi, d'où tu viens ? »
Son ton était passé de haineux à jovial. Je compris donc que parler de son passé ne l'enchantait guère.
« De Forks. Etat de Washington. Comme Seattle. »
« Wow, tu viens de loin aussi alors… La pluie, c'était pas ton truc non plus au moins ? »
« Pas vraiment … »
Elle avait fini d'enfiler sa couette aux motifs liberty et de positionner les quelques photos qui décorait sa table de nuit durant notre discussion. En pivotant, je pus voir que là où je n'arrivais pas à remplir mon dressing, le sien n'était définitivement pas assez grand. Je tiltais sur la robe rouge qu'elle sorti de son armoire. Ma coloc occupée à quatre pattes devant son armoire, les bras enfouis dans une recherche à tatons, je touchais la soie qui composait l'étoffe.
« Où tu vas ce soir, pour porter une merveille pareille ? » m'enquis-je
« Oh ça ? Je dîne au Four Seasons avec mon oncle éloigné et sa famille, qui réside à NY. Un truc un peu barbant je t'avoue, mais je vois ça comme l'avantage de porter une tenue digne de ce nom. »
« Elle est vraiment superbe en tout cas … oh et si il te manque de la place, y'a une vide dans mon dressing… »
« Oh c'est vrai ? «
Ses yeux de biches me firent rire.
« Oui, j'ai pas vraiment un sens de la mode très prononcé… »
Elle fille coulissé la vitre fumée et écarquilla les yeux.
« Tu n'as même pas … une robe ? »
Elle parut pour le moins choquée. Je rougis quelque peu… La mode n'était pas mon passe-temps favori à Forks.
« Et bien ce week-end c'est shopping ma belle, tu n'y couperas pas. Une jolie fille comme toi
doit se montrer, surtout à New York »
« C'est que … »
« C'est que rien du tout » me coupa-t'elle d'un coup sec. « New York, loin de tout, nouvelle vie, tout ça. Eh bien nouveau style. Et il n'y a pas de mais qui tienne »
J'avais vite acquis l'idée de ne pas contredire Rosalie.
« Ok, soit. Shopping Samedi, mais je finis à 10h. »
« Aucun problème, même si moi, je me languirais de ma grasse matinée. La deuxième année est un peu relax»
Pendant notre conversation, elle avait essayé différents bijoux en face de la coiffeuse en bois craquelé taupe qu'elle avait disposé entre son lit et son dressing, après avoir déniché des escarpins. Je tiltais sur l'absence de bureau…
« Il n'y avait pas un… bureau hier ? »
« Oh si, mais je ne travaille que rarement dans ma chambre. Je passe énormément de temps à la bibliothèque de l'université. Sinon, dans ma chambre, je passe plus de temps à compter mes Manolo Blanhik plutôt qu'à apprendre mes schémas d'anatomie et de quoi est composé la bactérie responsable de la gastro-anthérite. »
« En effet … palpitant. Tu as choisi médecine générale ? »
« Oui, je veux être pédiatre. Les enfants, c'est une vocation » dit-elle en posant un rouge à lèvre chair M.A.C., si j'en reconnaissais correctement le packaging assez neutre.
Rosalie se leva et se rendit à la salle de bain.
« Quelle heure est-il au fait ? me demande-t' elle
« Trois heure moins le quart »
« Déjà ? J'ai promis à ma cousine d'aller dévaliser Bendel's avec elle ! »
Elle sortit de la salle de bain en trombe, sa brosse à cheveux à la main. Elle empoigna ses bottes à talons cloutés et pris son sac. Je la regardais, bras ballant.
« Tu te dépêches ou t'attend que le messie débarque par la fenêtre ? Tu viens avec moi, allez, on avance la séance shopping » me lançât' elle.
Le temps que l'info se rue à mon cerveau, j'enfilais mes ballerines noires et pris mon sac de sur le lit. Rosalie me détailla.
« Définitivement besoin de shopping. » Puis elle me tint la porte et nous partîmes.
*(Crown on the ground – The Sleigh Bells)
Nous quittâmes la résidence en vitesse, et rejoignirent la cinquième avenue en deux temps trois mouvement. Je connaissais très peu New York, voire pas du tout, alors je suivais Rosalie, scotchée à ses Louboutins. Elle m'expliqua que depuis Columbia, la 5ème était à environ 45 minutes à pied. On décida de héler la première cabine jaune qui nous passait sous le nez, et par chance, le flux routier était dégagé, si bien qu'en moins de quinze minutes nous nous trouvions en plein Manhattan.
« Alice vient de m'envoyer un texto, elle est déjà chez Bendel, au rayon lingerie. » m'appris-t 'elle.
« Ok… »
« Je suppose que tu ignores ce qu'est Bendel » dit-elle en me souriant
Nous avancions jusqu'à un magnifique magasin. Un majordome nous sourit à l'entrée et nous ouvrit la porte
« Bons achats mes demoiselles »
« Merci à vous » lui répondis-je
Alors que Rosalie se contenta de lui envoyer un sourire flamboyant. Durant quelques fractions de secondes, ses yeux se perdirent dans celui du vigile brun et carrément dans le stéréotype de l'armoire à glace. Alors que je rentrais dans la boutique, mes pieds foulant la moquette rouge sang, Rosalie jetait encore un regard à travers son épaule et lança un merci bourré de sous-entendus et un peu trop charmeur pour être qualifié de banal. Je souris et m'aperçut sur la pancarte de gauche, que la lingerie était en sous-sol. Rosalie me coupa dans mes pensées :
« Sainte-Marie mère de dieu, est-ce que tu as vu le vigile Bella ? Il est juste … wow. A tomber. »
Elle paraissait complétement envouté.
« Tu crois au coup de foudre ? » s'enquit-elle
« Je pense que c'est comme rencontrer Johnny Depp en allant acheter du lait au supermarché. Totalement improbable et un peu déstabilisant. »
« C'est sûr que celui-là, t'es pas prêt de le croiser dans l'état de Washington, mais qui sait, à New York tout est possible ? Allez, viens ! » Me dit-elle en se dirigeant vers l'escalier en marbre descendant sur notre gauche. « Allons rejoindre la pile électrique qui me sert de cousine ! »
Voilà pour le premier chapitre. 7 pages Word, c'est sûrement un peu court, mais je suis pas fan des longues « mises en bouches » de certaines fictions. J'espère que ça vous donnera envie de suivre la suite ! N'hésitez surtout pas à laisser des reviews, j'aime avoir un avis sur mes personnages, bien que j'ai dans la tête le caractère précis que je vais faire adopter à chacun. Avec la fin des vacances j'ai un peu de temps pour écrire, le prochain arrivera sous peu si un peu d'encouragements se font présent aussi
Bonne semaine à toutes !
Xx
Aliiice15
