Ceci est la première fiction que je fais sur la série Sherlock BBC. Une Sherlock/Molly vous êtes prévenus ! Oui je me lance dans cette aventure! Il y a peu de fan de ce couple dans la communauté française et c'est bien dommage parce qu'ils sont très bien tout les deux! Ceci est une AU (Alternative Universe), c'est-à-dire qu'elle se situera en dehors de la série, toujours avec les mêmes personnages mais le contexte est différent : dans mon cas, Molly Hooper est encore à étudier la médecine, elle a à peu près 26 ans et étudie à l'université de Stanford. Pour le reste, vous le découvrirez en lisant ce chapitre (mais voui je vous laisse un peu de suspense !) Je suis une grande Sherlolly fan ! Et cette saison 3 m'a laissée de grands espoirs sur leur futur, c'est d'ailleurs très frustrant de devoir attendre aussi longtemps avant d'avoir une suite.
Je vous laisse lire cette histoire. Bonne lecture!
Elle n'en pouvait plus. Elle en avait plus que marre. Le monde semblait s'acharner sur elle. Comment allait-elle vivre sans lui ? Comment ?! Les couleurs lui semblaient si ternes maintenant qu'il était parti.
Molly Hooper se trouvait devant la tombe de son père dont l'enterrement avait eu lieu dans l'après-midi, des larmes coulants sur ses joues rougies par le froid. La pluie résonnait sur le parapluie noir qu'elle tenait au dessus de sa tête, chantant sa tristesse à tue tête. Son père est, était … La personne avec qui la jeune femme était la plus proche, avec qui elle partageait ses doutes, ses peines et ses joies. Il la rassurait, lui redonnait de la force, à chacune de ses peines de cœur il avait été là, les bras grands ouverts à l'écouter sans demander de détails. Il lui redonnait le sourire, tandis que les autres ne la voyaient pas, elle qui se cachait derrière le masque souriant de l'étudiante studieuse, Molly Hooper. C'était un homme bon, un modèle de charme, d'intelligence et de gentillesse qui malheureusement avait un vice : la cigarette. Et ce défaut lui avait valut la peine capitale : un cancer des poumons. Une pathologie si commune pour un homme aussi extraordinaire. Molly aurait tant aimé profiter de lui encore quelques années mais cela n'avait pas été possible. Les meilleurs partent toujours les premiers comme on dit.
- Molly, appelait une voix tremblante derrière elle. Viens ma chérie, on retourne à la maison.
Elle ne répondit pas à sa mère mais s'agenouilla au pied de la tombe à la place –elle se fichait royalement de noircir sa robe noir, ou de déchirer une jambe de son collant-, elle déposa un doux baiser sur sa main puis la posa sur la plaque de marbre sur la pelouse. « Beloved husband and father », lisait-elle à voix basse avant de se relever et rejoindre sa mère qui lui tendait le bras tendrement. Molly s'avança vers elle sans se dépêcher, malgré qu'elle soit la dernière à rendre hommage à son père, et s'engouffra dans les bras de sa mère qui l'entoura chaleureusement. Elle posa sa tête contre son épaule et avancèrent vers les voitures en pressant un peu le pas.
Son réveil résonna dans les oreilles de Molly, comme à son habitude vers 6H30 du matin, il était temps de se préparer pour aller à la fac. Elle tourna la tête vers le cadre photo posé à côté d'elle et rencontra le visage pétillant de son père qui souriait à pleines dents Une semaine avait passé depuis l'enterrement. Des larmes lui montèrent aux yeux, il valait mieux se souvenir de lui comme ça, souriant au lieu de … Son regard fatigué par la chimio et souriant pour voiler sa douleur. Elle caressa doucement le cadre puis se releva avec hâte : il était beaucoup trop tôt pour pleurer et puis elle avait cours à 8H à Standford et elle détestait être en retard. Molly sélectionna ses habits pour la journée puis s'avança dans la douche.
Elle en sortit 30 minutes plus tard, habillé d'un jean sombre et d'un de ses pulls à manches longues préférés, ses cheveux étaient raides, coiffées d'une queue de cheval – c'était beaucoup plus pratique pour prendre des notes. Elle prit son sac posé sur la chaise de son bureau et s'élança dans les escaliers pour aller prendre le petit déjeuné où sa mère avait déjà commencé.
- Bonjour ma chérie, la salua-t-elle en levant les yeux de son journal, je t'ai cuit des œufs et ton bacon, pour que tu ailles plus vite.
- Merci maman. Bien dormi ? demanda Molly en s'installant à table.
- Les somnifères font un peu d'effet donc je ne me plains pas. Pas trop stressé pour aujourd'hui ?
- Pour quoi ? la questionna sa fille en mettant son petit déjeuné dans son assiette, intriguée.
- Pour le premier jour de ta septième année voyons ! Mais Molly, où as-tu donc la tête ? Il faudrait que tu te connectes à notre monde si tu veux être médecin un jour.
« Merci Maman. Toujours les mots pour faire plaisir.» pensa Molly. Oui, en effet, elle commençait sa 7e année d'étude de médecine ce matin mais elle n'avait pas de quoi s'inquiéter. Cela allait être un jour comme les autres, elle reverrait ses amis –qui étaient plus amiES que amiS- comme les années précédentes et mangerait à la même table etc. Le seul paramètre qui allait être différent serait le fait qu'elle allait être dans une classe un peu différente. Vu qu'elle avait choisi une spécialisation tournée vers la médecine légale –elle rêvait de devenir pathologiste depuis longtemps- elle devait suivre des cours tournés vers la chimie (beaucoup plus poussé que les années précédentes) et le droit, ce qui la fera se trouver dans un bâtiment tout à fait à l'opposé de celui où la médecine plus générale était enseignée pendant plusieurs heures de cours. Très peu pratique en sachant que ses amis étaient restés dans des spécialités beaucoup plus classique et … Moins macabre.
- Et fais-toi de nouveaux amis Molly, c'est important une bonne sociabilité pour s'épanouir et être bien dans sa peau, continua sa mère.
- Maman, c'est à quelques mots près ce que tu as dis à une de tes clientes il y a deux semaines.
- Les chiens ne sont pas si différents de nous ma puce. S'ils ne sont pas avec d'autres chiens, ils peuvent devenir agressifs, tous comme les humains !
- T'inquiètes pas pour moi, tu ne risques pas de m'emmener chez le véto pour me faire piquer, s'amusa Molly en lui faisant un clin d'œil taquin.
- Je ne rigole pas Molly.
L'intéressée leva les yeux vers sa mère, elle avait un regard plutôt grave et inquiet. Molly devina où cette conversation allait les mener.
- Je suis inquiète pour toi ma chérie, s'il t'arrivait quoi que ce soit je ne pourrais jamais m'en remettre. Si tu te sens mal il faut que tu en parles …
- Je vois déjà ton psy pour ça.
- ET, insista-elle, ce n'est pas en te refermant sur toi-même que ça s'arrangera.
- Papa est mort je ne vois pas en quoi parler arrangera les choses.
Ça soulagera ton cœur.
Elles s'échangèrent un long regard avant que les yeux de Molly ne rencontre la pendule au dessus de la gazinière : 7H20. En sachant qu'elle avait environ 20 minutes de métro pour rejoindre sa fac, si elle ne partait pas dans les 8 minutes elle risquerait d'être en retard. Elle se leva d'un bond de sa chaise et posa ses couverts dans le lave-vaisselle. Avant de s'élancer vers la salle de bain, elle fut interrompue par la voix de sa mère qui releva son journal pour lire la suite des nouvelles du jour :
- Tu as rendez-vous avec le Docteur Jones ce soir je te le rappelle c'est à …
- 18H ! Comment pourrais-je l'oublier ?
Elle avait murmuré cette dernière phrase pour ne pas que sa mère ne l'entende, avant de monter se laver les dents en escaladant les marches quatre à quatre. Patricia Hooper était comportementaliste canin et elle avait tendance à passer son temps à comparer les attitudes humaines et animalières ce qui pouvait être aussi intéressant qu'insupportable. Elle était complètement absorbée par son travail, passionnée par ses cas, aussi diverses soient-ils. Elle racontait constamment ses séances en rentrant le soir à la maison, ce qui avait plaqué un grand sourire sur le visage de son mari. Molly avait beaucoup appris de ses histoires, comme le fait que le problème venait très souvent des maîtres par exemple. On pouvait être relativement sûr que les conversations à table étaient tournées vers ses compagnons à quatre pâtes. La famille Hooper n'avait d'ailleurs pas de chien mais un chat que Molly avait trouvé avec son père un soir en rentrant chez eux. Il était caché derrière une poubelle avec la queue cassé, affamé et seul. Il devait avoir quelques semaines pas plus et sa petite bouille sale avait fait craquer Molly qui avait décidée de le prendre sous son aile. Elle l'avait nommé Toby, l'avait soigné et depuis il s'était bien rétabli. Peut-être trop puisqu'il ne s'empêchait pas de réveiller sa maîtresse à 4H du matin pour avoir de la nourriture.
Elle n'appréhendait pas cette première journée de cours pour les cours en eux-mêmes mais plutôt à cause du regard de pitié et de tristesse que ces amis seraient susceptibles de lui lancer. Elle qui n'aimait pas se faire remarquer … Heureusement pour elle, Molly ne verrait sûrement pas ses camarades de la journée vu qu'ils avaient cours à l'opposé les uns des autres. Un des inconvenants à étudier dans une grande fac… Quoique dans ce cas précis c'était plutôt un grand avantage.
C'était la pause de midi et Molly cherchait une place où s'installer pour manger. Elle avait passé une matinée relativement moyenne, les cours étaient vraiment passionnants mais les gens l'étaient beaucoup moins. Elle n'avait adressé la parole à personne et personne n'avait cherché à lui parler non plus donc pas de regrets. Et comme elle l'avait craint, elle avait reçu quelques textos de ses amis lui demandant s'il n'était pas trop tôt pour qu'elle se remettre au travail. Bien sympathique certes, mais assez stupides lorsqu'on connaissait Molly Hooper. Elle qui carburait au travail, elle qui vivait pour la science, ça lui redonnait des ailes d'apprendre tant de choses si importantes sur le corps humain. Ça la passionnait et la plupart des gens ne comprenaient pas comment elle pouvait travailler en une période aussi douloureuse que celle-ci. Qu'ils aillent en enfer s'ils n'en pigeaient pas le sens.
Elle s'installa à une table en bois vide dans le jardin du campus, la pelouse était tondue et le soleil était à son apogée : une bien belle journée. Molly déposa une serviette de table sur la table en bois pour ne pas salir ses livres de cours qu'elle comptait lire en même temps. Elle voulait absolument connaître les cours du matin avant d'aller à ceux de l'après-midi. Elle posa son livre de pathologie à côté d'elle ainsi que le sandwich qu'elle avait préparé la veille. Et ce fut sous le regard horrifié d'étudiants qui s'approchaient qu'elle ouvrit l'ouvrage à la page des brûlures, dont la première page montrait un bras recouvert de plaques et de cloques blanches : fascinant. Et elle commença à manger tout en lisant ses cours. Quelqu'un s'assit en face d'elle mais elle ne prit pas la peine de lever les yeux vers lui : cette personne n'avait pas demandé la permission, en aucun cas il ne méritait son attention. Mais avant même qu'elle ne puisse tourner la page, il l'interrompit d'une voix grave très caractéristique :
- Je peux vous l'emprunter ?
Molly sursauta au son de cette voix rauque qui sortait de nulle part. Elle leva les yeux de son ouvrage et rencontra deux grands yeux bleus absolument fascinants, d'une couleur si divine qu'elle s'y perdit pendant quelques instants. Cherchant du mieux qu'elle pouvait la porte de sortie de ce labyrinthe, elle restait là à observer ses pommettes si saillantes qu'elle pourrait s'y couper la main. Le regard de Molly s'arrêta sur, pour elle, les cheveux masculin les plus sexy qu'elle n'est jamais vue. Il portait des cheveux coiffés de façon aléatoire mais qui rendait le résultat incroyablement souple et bouclé. Elle s'imaginait plonger ses doigts dedans et de les sentir caresser sa peau d'une sensualité si …
- Votre livre, s'impatienta-t-il en tendant sa main vers elle pour l'inciter à s'exécuter.
- Bien … Bien sûr, finit par répondre Molly en bafouillant légèrement.
Elle baissa les yeux, sentant le rouge lui monter aux joues. Le jeune homme lui prit le livre et commença à le feuilleter rapidement puis s'arrêta brusquement à la page des signes d'un empoisonnement : ce cours était planifié en fin de semestre, cet homme devait donc être en étude supérieure à la sienne. Il parcourut la page des yeux et sourit à pleines dents.
- Je le savais, s'exclama-t-il en refermant violemment le livre.
- Vous saviez quoi ?
Il ne répondit pas cependant et sortit son téléphone portable d'un geste vif sous le regard ahuri de Molly. Le jeune homme tapotait sur le clavier assez rapidement en tentant de contenir sa joie mais sans cesser de répéter que c'était absolument évidant. Elle fronça les sourcils, intriguée par son comportement étrange. Il leva les yeux vers elle, plongeant son regard de cristal dans le sien.
- Oui ?
- Vous saviez quoi ?
- Vous ne comprendriez pas.
Il reçu un texto et sourit à pleines dents avant de tapoter d'une vitesse digne d'un marathonien sur le clavier de son portable. Molly le regardait faire bouche bée : elle était peut-être loin d'être Einstein mais elle n'était pas complètement stupide non plus.
- Oh ne le prend pas mal la plupart des gens ne comprendrait pas, ajouta-t-il sans lever les yeux vers elle.
- Je suis en septième année de médecine, et ma spécialité est la médecine légale. Essayez toujours.
- Sherlock ! criait quelqu'un voix au loin.
Le jeune homme se retourna vers la voix qui l'appelait, Molly aussi. Un jeune homme qu'elle avait croisée une ou deux fois à des soirées étudiantes –ses amies l'y avaient traînée de force- avançait très vite vers eux, percutant quelques personnes au passage. Il s'excusait aussitôt. Il n'avait pas l'air très grand mais il dégageait une certaine assurance qui plût à Molly. Elle se souvenait un peu de lui, pas de son nom certes mais elle se rappelait de lui, notamment la fois où il avait ouvertement dragué sa meilleure amie de fac, Johanna –il était d'ailleurs parti avec elle à la fin de la soirée, laissant Molly seule avec tous les étudiants soûls de la fête.
- Qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-il en arrivant à la hauteur de leur table.
- Je sais comment elle est morte ! déclara le dénommé Sherlock relativement heureux de sa trouvaille.
- Qui est morte ?! s'exclama Molly.
- Une professeure d'école, répondit rapidement Sherlock sans tourner la tête vers elle.
- Pardon ?!
- On enquête sur sa mort, compléta son ami. Oh bonjour, John Watson et vous êtes ?
- Molly Hooper, répondit-elle en serrant la main qu'il lui tendait. Et comment la mort d'une pauvre femme pourrait-elle vous concerner ?
- On aide la police à retrouver ses meurtriers.
-Un suspect a été arrêté Sherlock ils ont terminés l'enquête!
- Non John ! Ce n'est pas lui ! Combien de fois faudra-t-il que je te le répète ?
- Doucement, murmura Molly en leur mimant de diminuer le volume.
En effet, la moitié des élèves présents autour d'eux les observaient, visiblement intrigués. John leur demanda de les excuser malgré que « Sherlock » ne semblait prendre aucune note de leur remarque.
- Dis donc toi, s'exclama John en montrant Molly du doigt. Je t'ai déjà vu quelque part …
- Oui à la soirée universitaire de l'année dernière, répondit Molly en reprenant son livre d'un geste franc. Vous êtes reparti avec mon amie.
- Ah oui, exact. Comment va Natasha ?
- Johanna, le corrigea-t-elle. Bien, elle est passée en …
- Passionnant, la coupa Sherlock d'un air dédaigneux. Il faut interroger la sœur de la victime, John. C'est elle !
- Non Sherlock, c'est la police qui va s'en charger. La P-O-L-I-C-E. Tu connais? J'ai rendez-vous à l'hôpital, je dois y aller, veuillez m'excuser.
Il salua les deux jeunes gens de la main et s'éloigna d'un pas pressé. Molly le regarda prendre la sortie du campus en manquant de bousculer une jeune femme en béquille. Comment Johanna avait pu couché avec un gars pareil, elle qui était si sérieuse d'habitude. Ah oui : « Détends-toi chérie, lui avait-elle criée par-dessus la musique électro en lui crachant son air puant l'alcool à la figure. Il faut que tu t'amuses dans la vie ! Et puis j'suis complètement bourrée ! » Et sur ce, elle avait suivi le jeune homme vers la sortie en titubant. Toute en classe et en finesse.
- Vous êtes vraiment spécialisée en médecine légale, demanda soudain Sherlock sans lever les yeux de son téléphone.
- Oui bien sûr. Pourquoi ?
- Vous pourriez m'être utile dans un avenir proche, sourit-il en finissant par plonger ses yeux dans ceux de la jeune femme.
- Et si je n'en ai pas envie ?
Sherlock appuya son regard, puis ajouta d'une voix séduisante :
- Croyez-moi, vous en aurez envie.
Le rouge monta aux joues de Molly qui quitta des yeux le jeune homme, et elle commença à rassembler ses affaires. Il arborait un grand sourire fier.
- Je … Je vais devoir y aller, balbutia-elle en se levant.
- Votre numéro c'est ?
- Pardon ? s'empressa de demander Molly en vérifiant qu'il lui parlait bien à elle et pas à la jeune femme blonde aux courbes généreuses qui se trouvait à 20 mètres de là.
- Votre numéro de téléphone ? Ce sera beaucoup plus pratique si jamais j'ai besoin de vous contacter.
- Oui bien sûr … murmura-t-elle en lui donnant à voix haute son numéro. Merci à …
Mais elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'il était déjà parti. Ce fut une rencontre assez hors du commun. Elle ne pouvait pas vraiment mettre de mot pour la décrire, LE décrire tout spécialement. Elle n'avait même pas eu la possibilité de le regarder en entier tellement ses grands et beaux yeux bleus l'avait éblouie. Elle ne le connaissait pas mais elle avait été assez hypnotisée pour lui donner un moyen de la contacter. Il aurait pu lui demander son numéro de compte ou son adresse, elle se serait exécutée pour le lui fournir. Elle ne savait même pas si elle allait le revoir un jour, ça dépendait de lui. Et Mer. Credi elle avait complètement omis le fait de lui demander son numéro à lui ce qui était bien dommage. Molly sortit de sa torpeur et se dirigea vers le bâtiment où se déroulerait son prochain cours, sa tête remplie d'image d'un Sherlock souriant.
Le premier chapitre est terminé j'espère qu'il vous aura plût. Si jamais vous avez la moindre critique, positive ou négative mais constructive, n'hésitez pas à me le faire savoir. J'aime les reviews et j'y réponds ! Sherlockian bonsoir suite au prochain épisode.
