Bonjour! Me voici à essayer de traduire une de mes histoires en français.

Je suis Italienne et j'ai juste commencé à écrire en français. Si vous trouvez des erreurs (et il y aura certenaiment des erreurs) je vous prie de me les signaler.

Si la grammaire est si horrible que vous ne comprenez pas ce que j'écris, vous pouvez trouver l'histoire en anglais sous le titre «A tale of three brothers ».

Bonne lecture !


Première partie. L'un est mort pour le pouvoir

Le plus vieux des frères demanda une baguette si puissante, qu'elle ne pourrait jamais perdre, une baguette digne d'un magicien qui avait vaincu la Mort.

C'était à lui. La Baguette de Sureau. Le Bâton de la Mort. La Baguette du Destin... était la sienne.

Vraiment la sienne.

Il passa ses doigts sur le bois sombre et froid, il sentait trembler son pouvoir, ce pouvoir soucieux de montrer sa puissance.

Il glissa ses yeux de feu sur le manche, il le contempla… l'admirai dans tout son pouvoir, dans toute sa splendeur sombre.

C'était la sienne.

Maintenant il était vraiment le maître de la Baguette... personne n'aurait osé le défier.

Ils se seraient incliner.

Tous! Du premier au dernier... Oh, il les aurait brisés... leur dos serait se courber et il serait passé sur eux. Il aurait fait un terrain de leur corps pour lui, pour sa puissance, et ils les aurait piétiner. Tous! Disciples et opposants.

Quels étaient-ils en comparaison avec le Seigneur des ténèbres? Quels étaient-ils? Misérables, corrompus mortels!

Il aurait vécu pour toujours. La Baguette toujours à ses côtés... Toujours, parce-que personne n'aurait pu la battre. Personne ne l'aurait emmenée loin de lui... C'était la sienne! La sienne!

Il l'avait volée de la tombe de son défunt maître... il ne l'avait pas la gagné, il l'avait prise sans glore... mais, en ce moment, c'était différent. Son vrai maître gisait dans la Cabane Hurlante et la Baguette était la sienne. Il était son maître maintenant!

Le pouvoir était la force. Et son pouvoir était immense, sa magie extraordinaire... ensemble, lui et sa baguette, ils avaient tout en main... la mer et l'obscurité, les créatures magiques et les arbres de la forêt... il aurait régné sur la vie et la mort. La Mort encapuchonnée... vieille et misérable. Elle n'avait aucun pouvoir sur lui... il aurait vécu pour toujours!

une baguette digne d'un magicien qui avait vaincu la Mort…

Il rit.

Personne, pas même le Survivant, pouvait l'arrêter maintenant. La Baguette avait effacé ce agaçant problème. Le garçon gisait inanimé dans les bras de Hagrid à mesure qu'ils approchaient du château. Il avait l'emporté. Et bientôt, il aurait également détruit son camarade.
Bientôt tout serait fait.

Il réjouit. Il réjouit quand il entendit les cris désespérés résonner dans la cour de Poudlard.
Oh, pleurez-vous ! Désespérez-vous, viles et fades créatures... votre douleur ne touche pas le Seigneur des Ténèbres, ni peut corrompre la puissance de la Baguette de Sureau. Pleurez-vous! Criez! Misérables gens de la lumière! Bientôt, vous vous devrez incliner devant la puissance des ténèbres.

« Harry! » « Il est vivant! »

Vivant...

Voldemort pointait ses yeux, charbons brillants, dans l'iris vert et frais du garçon devant lui. Il le vit éloigner la foule autour d'eux. Petit insolent. Croyait-il vraiment de pouvoir vaincre le Bâton de la Mort? Il était son maître! Lui seulement!

Bla-bla... parle autant que tu veux, Potter! Le Seigneur des Ténèbres est immun à tes mots d'amour... qu'importe? Qu'importe de la biche argentée? Il aurait anéanti le garçon, tous aurait été témoins de son triomphe!

La puissance de la Baguette de Sureau était la sienne! Il l'avait pris de les mains, crispées par la mort, d'Albus Dumbledore. Il avait tué Severus Rogue! La Baguette était la sienne!

« J'ai gagné la Baguette de la tombe de son défunt maître! Je l'ai pris contre les désirs de son dernier maître! Sa puissance est à moi! »

c'est la baguette qui choisit son sorcier...

« Le vrai maître de la Baguette de Sureau était Drago Malefoy! » Hurlait Potter.

Ah, oui? Qu'importe? Il se serait occupé de Drago Malefoy... mais en attendant, la Baguette était la sienne! Elle était là, dans ses mains! Et sa puissance aurait détruit ce gamin arrogant...

Et puis Potter n'avait plus sa baguette avec la plume de phénix, leur connexion a été interrompue. Il aurait été un duel de pure habilité... et après qu'il a tué Potter, il aurait pensé à faire entièrement sienne la Baguette.

« Mais vous êtes arrivé en retard. »

Comment?

« Vous avez perdu votre chance. Je suis arrivé devant vous. J'ai vaincu Drago dans quelques semaines en duel. J'ai pris cette baguette de lui... »

Oh, Potter! Qu'est-ce qu'un beau discours!

«Je suis le vrai maître de la Baguette de Sureau. »

Les yeux du Seigneur des ténèbres s'enflammèrent, la Baguette trembla dans sa main. Il sentait son pouvoir vivant, tortillant à travers le bois de sureau et les crins de Sombral et continuant son chemin jusqu'à lécher son doigts blancs. Non! Il était le magicien le plus puissant du monde! Il était Voldemort! Et la Baguette sentait sa puissance comme il sentait la sienne. Elle n'aurait pas rebellé contre son Seigneur.

une baguette digne d'un magicien qui avait vaincu la Mort...

«Avada Kedavra! » « Expelliarmus !»

Personne pouvait vaincre le Seigneur des Ténèbres. Personne. Personne...

La Baguette de Sureau s'envola, échappant de la prise de Voldemort alors que le Seigneur des Ténèbres tombait à la renverse.. Il frappait le sol de pierre, les yeux rouges vides et vitreux, les bras tendus comme une paire d'ailes.

La main vide. Vide... n'y avait plus aucun pouvoir. Vide. Seulement les doigts blancs serrés sur rien.

... et c'est ainsi qui la Mort s'abattit sur le premier frère.


Alors, que pensez-vous?

Voldemort et Antioche Peverell dans cette première partie.

Les citations en italique et les dialogues sont tirés de «Harry Potter et les reliques de la Mort» et «Les contes de Beedle le Barde». Depuis je n'ai pas les livres en français, ils sont probablement un peu différents de la version officielle.

Rendez-vous au chapitre suivant!