-dialogue
Pensées
§ fourchelangue §
Bonne lecture !
Prologue : Nouveaux plans et manipulation
Albus Dumbledore était assis dans son bureau directorial à Poudlard. Il était contrarié, Harry Potter, Le-garçon-qui-a-survécu, venait de lui renvoyer un hibou avec une réponse positive à sa lettre d'admission à Poudlard. Or, il n'était pas censé y avoir eu accès ! Il ne devait apprendre l'existence de la magie que lorsque Hagrid serait venu le chercher le jour de son anniversaire ! Il aurait ainsi du voir en lui, une figure de confiance, Le Grand Albus Dumbledore, celui qui l'a sauvé de ces moldus qui le maltraitaient. Ainsi, il aurait pu mieux le manipuler. Mais non ! Il fallait qu'il déjoue ses plans sans même en être conscient.
Mais pensa-t-il ce sera un challenge. Et puis, si ce n'est que ça, j'ai encore le plan Weasley pour le convaincre d'aller à Griffondor.
Il ne fallait surtout pas qu'il aille à Serpentard ! Il était censé faire de ce garçon une arme contre cette maison et contre Voldemort. S'il rejoignait les serpents, Albus serait foutu ! Il devrait à nouveau revoir tous ses plans. De plus, suite à cette réponse inattendue, il était allé voir chez les Dursleys (vraiment les plus stupides moldus qu'il ait eu à manipuler !) pour leur demander pourquoi cet idiot de Potter avait-il eu accès à sa lettre alors qu'il les avait payés pour éviter cela ! Et il n'était plus là ! Apparemment, cela ferait deux ans qu'il est parti et plus aucune nouvelle. Ce n'était vraiment pas bon pour lui tout ça ! Il avait même du courir de grands risques en lançant un impérium à ces idiots pour qu'ils maltraitent Potter dès son enfance. Et après tous ces efforts ? Eh bien, PAF ! Evaporé, comme ça, d'un coup. Il aviserait une fois à Poudlard en fonction de sa personnalité.
Espérons qu'il soit resté influençable…
Le Directeur pris un de ses fameux bonbons au citron tandis qu'il arborait un sourire de mauvaise augure
C'est pour le plus grand bien (1) pensa-t-il méchamment.
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Chapitre 1 : Rencontres
La famille Weasley était arrivée au complet à la gare Kings Cross en Angleterre. Ils avaient reçu pour ordre de Dumbledore de passer pour une famille toujours pauvre (car grâce aux généreux dons de Dumbledore, ils ne l'étaient plus), unie et chaleureuse. Ils devaient aider Harry Potter à traverser. Bien-sur, rien n'est gratuit chez les Weasleys, ainsi pour s'assurer de la fiabilité de leur travail, Dumbledore avait versé quelques dizaines de gallions venants de ses voûtes personnelles. Ainsi, à 10h30, ils étaient à quelques centaines de mètres de l'endroit où devait se trouver la barrière qui permettait d'arriver au quai 9 3\4 , guettant l'arrivée d'un certain garçon aux cheveux de jais, aux yeux émeraude, aux lunettes rondes, et surtout, à LA cicatrice en forme d'éclair sur le front je nomme Harry Potter.
La cible en vue, ils le précédèrent de quelques dizaines de mètres afin qu'il puisse les entendre. Ils glissaient tous de temps en temps (sauf les jumeaux qui ne voulaient pas se mêler des sombres affaires de leur famille) des mots comme moldu, sorcier ou encore voix 9 ¾ afin de montrer à ce cher Harry leur ascendance sorcière.
La matriarche Weasley fit d'abord passer ses ainés. Lorsqu'Harry arriva, elle faisait passer les jumeaux. Elle se tourna plus ou moins discrètement vers lui, s'attendant à ce qu'il la questionne sur le fonctionnement de la voix 9 ¾ , mais cela ne vint jamais.
A la place, il était accompagné elle ne pouvait distinguer cette personne à cause des nombreux passants moldus. Ils se dirigèrent vers deux adultes et ensembles, ils traversèrent la barrière magique. Elle fronçait maintenant sérieusement les sourcils, le plan tombait à l'eau.
Elle se retourna vers son dernier fils, Ronald, et lui ordonna sèchement de réussir sa mission. Pour être sur qu'il fasse son boulot, elle le menaça. Il hocha rapidement la tête et sans attendre, fonça droit dans la barrière. Elle reprit son masque de mère souriante et s'avança à son tour sur la voix 9 ¾ , emportant avec elle sa cadette et unique fille, Ginevra.
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Ronald Weasley arpentait le Poudlard Express à la recherche du compartiment d'Harry Potter.
L'amadouer et devenir son ami, facile à dire.
En plus maman à osé me menacer ! Moi ! ''Si tu n'y arrive pas, Dumbledore va reprendre ce qu'il a donné''.
En plus, si ça se trouve, Potter est carrément coincé et il ne voudra pas de moi ! Oh Horreur ! Et dire qu'on choisit mes amis à ma place pour de l'argent… Oui, mais j'aime l'argent… lui rappela une petite voix vicieuse qu'il eut vite fait de faire taire.
Ainsi, arrivé au dernier compartiment, il trouva enfin l'objet de ses recherches. Hic au programme, il était accompagné d'une fille, et pas commune, magnifique.
Elle avait les cheveux aussi noirs que ceux de Potter, lui arrivant au bas du dos, elle était totalement habillée en noir, elle avait un port altier et une expression amusée sur le visage. Un sourire carnassier ornait ses lèvres rouge sang. Elle avait des canines légèrement plus longues que la moyenne, la peau pâle et des traits fins. Elle se tourna vers lui et il fût subjugué. Ses yeux ! Elle avait les yeux d'un noir profond aux reflets ambrés tournant vers le rouge.
Reprenant ses esprits, Ronald demanda poliment avec une grimace d'excuse,
-Je peux ? Tous les compartiments sont pleins. (Ce qui, évidement, était faux)
La Fille se tourna vers Harry qui hocha vaguement la tête.
-Je suis Ron Weasley, fit-il mal à l'aise, il y avait chez eux quelque chose de dérangeant.
-Harry Potter, répondit le garçon sans même daigner le regarder.
-Lize A.R répondit la fille. Elle avait une voix si douce et envoûtante qu'il en oublia qu'elle n'avait donné que les initiales de son nom.
Ronald se tourna vers Harry et fit semblant d'être étonné.
-Je peux ? Tu sais… v…voir la … la cicatrice ? Bafouilla-t-il devant le regard noir de Lize.
Harry se tourna vers lui avec une moue ennuyée,
-Non. Répondit-il d'une voix froide et sans appel.
Refroidis, Ron s'assit précipitamment à côté de Lize mais un regard noir d'Harry lui suffit pour se décaler de plusieurs places.
Un silence pesant s'éternisait avant qu'une vieille femme poussant un chariot de friandises arrive.
Ma sauveuse ! pensa-t-il. Il refusa poliment de prendre quoi que ce soit, montant son… sa…euh… chose ? qui lui servait d'encas. Eh oui ! C'est dur de jouer les pauvres quand même !
Lize se pencha vers Harry et lui chuchota quelque chose à l'oreille. La bouche d'Harry se tordit dans un rictus inquiétant tandis qu'il se levait.
Il sortit de sa poche une poignée de gallions et les présenta à la vielle dame.
Pourrions-nous, s'il vous plaît, avoir tout votre stock de chocogrenouilles ? demanda-t-il d'une voix charmante.
La vieille femme lui donna volontiers sa commande.
Refermant la porte du compartiment, il se tourna vers Harry et Lize, espérant qu'ils partagent. Mais non, rien, aucun regard, ils ne le calculèrent même pas.
Vexé, Ronald se rassit, boudeur et ne parla pas pendant au moins une demi-heure (ce qui est un record lorsqu'il ne mange pas).
Harry et Lize parlaient à voix basse dans leur coin, mais Ron ne se sentait pas bien.
Il entendait quelques mots, lorsqu'il tendait l'oreille. Il avait entendu les mots torture, sang, et mort revenir plusieurs fois. Il avait même cru entendre, à un moment, V…Vol… enfin le nom de vous-savez-qui.
Il hésitait entre courir loin de ces malades ou engager la conversation. Se rappelant de sa mission d'envoyer Harry Potter à Griffondor, il tenta une approche.
-Vous savez dans quelle maison vous allez être ?
Ils le regardèrent bizarrement, puis Lize répondit d'une voix qui transpirait la moquerie,
-Serpentard évidement ! Puis elle leva les yeux au ciel.
-Mais, c'est la maison des mages noirs ! Salazar Serpentard était le pire des fondateurs, il était diabolique ! Il vaut mieux Griffondor ! répondit vivement le roux sans tact, signant certainement son arrêt de mort.
Une lueur dangereuse passa dans le regard d'Harry.
-Ah oui ? demanda-t-il sarcastiquement, c'est vrai que c'est mieux d'être un stupide Griffondor qui fonce dans le tas sans réfléchir.
-Et ne t'avise plus jamais d'insulter notre ancêtre ! Répondit Lize, le rouge étant devenu la couleur dominante dans ses yeux. Ses canines avaient également un peu poussé.
Oups ! J'aurais pas du l'énerver ! Paniqua Ron.
Il partit en courant du compartiment sans demander son reste.
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Hermione Granger parcourait les compartiments du Poudlard Express à la recherche d'un crapaud nommé Trevor.
Neville Longdubat, un garçon rondouillet de son compartiment l'avait perdu.
Elle arrivait enfin au dernier compartiment, sans avoir retrouvé Trevor, lorsqu' 'elle vit un garçon roux, visiblement un première année, sortir en courant du compartiment en criant des '' C'est des fous ! Des tarés j'vous dis !'' .
Sceptique, elle s'avança et ouvrit la porte du compartiment pour continuer sa quête au crapaud.
Dans le compartiment, elle vit deux enfants, d'une beauté peu commune. Une certaine aura de puissance émanait d'eux. Elle se racla la gorge pour signaler sa présence. La fille tourna vers elle un regard noir, visiblement énervée d'avoir été coupée dans une conversation importante. Le garçon quand à lui, arborait un air ennuyé, comme si tout cela ne le concernait pas.
-Auriez-vous vu un crapaud ? Un garçon nommé Neville Longdubat à perdu le sien.
La fille secoua la tête mais leva la main pour la retenir.
Elle fit une série de bruits bizarres et un crapaud sauta dans ses mains.
-Voila, répondit-elle enjouée.
Hermione était tellement choquée qu'elle ne remarqua pas que le garçon avait changé d'apparence, elle ne remarqua pas non plus que ce garçon était celui-qui-a-survécu. Elle nota cependant, dans un coin de sa tête, de faire des recherches sur cette fille qui semblait avoir une affinité particulière avec les animaux.
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Harry Potter descendait du Poudlard Express après avoir mis son uniforme, et après avoir repris son apparence.(2) Oui, il est métamorphomage. Il avait arboré l'image que tout le monde avait du 'survivant' à la gare 9 ¾ afin de ne pas créer de scandale si Dumbledore croyait qu'il n'était pas là. Mais maintenant, il était redevenu lui-même.
Sa robe de Poudlard ne portait encore aucun blason et était d'une qualité supérieure.
Sa chouette blanche comme la neige, Hedwige, était perchée sur son épaule gauche, tandis que son familier était sur son torse. Il n'avait pas trouvé touts ses familiers, il le sentait (3). Lize et lui marchaient silencieusement jusqu'aux barques. Ils montèrent dedans et furent rejoints par Blaise Zabini et un certain Théodore Nott. A part les présentations d'usage, ils ne conversèrent pas. Ils arrivèrent dans un hall puis furent emmenés dans une salle.
Une vielle femme, Mc Gonagall, leur servit un discourt ennuyeux sur les différentes maisons de Poudlard.
Dès qu'elle eut le dos tourné, un blond qui arborait un air supérieur pris la parole d'une voix forte.
-Alors c'est vrai ce qu'on disait dans le train, Harry Potter est à Poudlard.
Cette déclaration fit monter le nombre de chuchotements. Le roux du compartiment, Ronald Weasley, un truc comme ça, s'écria,
-Hééé ! Mais dans le train, tu ne ressemblais pas à ça !
Harry soupira, les chuchotements étaient repartis de plus belle. Il changea son apparence pour ressembler à l'Harry Potter que tout le monde connaissait.
-Métamorphomage, tu connais ? demanda-t-il sarcastique.
Inspirer, Expirer….voooila, comme ça … il ne faudrait pas que je le tue sur le champ, ça ferait tâche.
-Je suis Malfoy, Draco Malfoy. Ajouta le blond de sa voix trainante.
Le rouquin se mit à rire. IDIOT ! pensa Harry de plus en plus exaspéré par cet énergumène roux.
-Tu trouves que mon nom est drôle ? Pas besoins de te demander le tiens, des cheveux roux et une robe de seconde main, tu dois être un Weasley ! Il cracha ce dernier mot comme si c'était la pire insulte du monde. Harry ricana intérieurement.
-Vois-tu Potter, certaines familles valent mieux que d'autres. Si tu veux, je peux te conseiller. Dit-il en lui tendant la main.
Décidément, il est amusant… mais un peut trop arrogant et prétentieux…
Ayant perçu son hésitation, Lize se tourna vers lui et lui fit un vague hochement de tête avec un sourire en coin. Décision prise, il lui fit une franche poignée de main.
Mc Gonagall arriva à ce moment là et grimaça en voyant leurs deux mains serrées. Elle les fit entrer dans la grande salle. Un certain Choixpeau chanta une chanson, tout à fait débile, à l'avis d'Harry. Lize et lui faisaient tâche au milieu de ces enfants qui s'extasiaient, leur masque d'indifférence sur le visage. L'appel commença,
-Lize Amber….., le visage de Mc Gonagall se décomposa, R…Rid…Riddle.
Peu de personnes comprenaient l'effarement de la vieille, mais bientôt, une rumeur passa dans les rangs ''C'est le nom de Vous-Savez-Qui ! C'est SA fille !''
Lize commença à monter les marches, mais à peine à deux mètres du choixpeau, il s'écria,
-SERPENTARD !
Tiens, il a du voir son aura ricana mentalement Harry. Il faut dire que Lize avait une aura quelque peu….. très maléfique.
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Pour le plus grand bien est le slogan de Grindelwald il me semble…
Eh oui, Ryry à changé, vous saurez dans le prochain chapitre sa nouvelle apparence, rassurez vous, ca ne change pas trop.
Normalement, on n'as qu'un familier, mais bon, il ne peut rien faire comme les autres celui la…
Voila Voila ! Premier chapitre fini
J'espère que vous n'êtes pas déçu, c'est ma première fic.
J'essaierais de poster régulièrement mais comme c'est les premiers mois de ma seconde… on verra…
Mjedusor.