Titre : On a beau tout rêver, tu dépasses le rêve
Disclaimer : L'univers et les personnages cités dans cette fiction appartiennent entièrement à J.K. Rowling, je ne fais que les emprunter… et m'amuser un peu avec ;p
Pairing et rating : Ceci est un yuri, c'est-à-dire une relation homosexuelle entre deux femmes, classé M. Homophobes et sympathisants de la Manif pour Tous, passez votre chemin.
Note de l'auteur :
Salut les p'tits loups ! Voici le premier chapitre d'une fiction que j'ai commencée en août 2013, et que je n'avais jamais eu le courage de finir… C'est maintenant chose faite, donc je publie. Elle se passe lors de la 5e année à Poudlard, et est très fidèle au livre en ce qui concerne les deux premiers chapitres. Après, j'avoue m'être un peu écartée de l'œuvre originale... ;)
La fic est finie et je prévois de publier régulièrement, à priori tous les mercredis. Comme ça je laisse un peu de suspense sans vous faire trop languir ! Et vous pourrez m'écrire plein de reviews ^^
Je tiens à remercier ma bêta Rowena Cassandra Ravenclaw pour son travail et ses remarques toujours judicieuses, ainsi que ma meilleure amie Carolina qui m'a soutenue dans mon projet et a même conseillé cette fic à un ami à elle ! Plein de bisous à toutes les deux o/
Enfin, je remercie chaudement toutes celles qui m'ont laissé des reviews sur mon OS « Tu es belle quand tu travailles » ou m'ont ajoutée à leurs alertes : vous n'imaginez pas à quel point c'est encourageant ! Sol, Duchaillu, HaYa-NaHe, Keiitaroo, Dead alexia, Ohio92 : vous êtes ma motivation ! Quant à toi, Six… euh, Robespierre6, on se voit demain à la cafet x)
Un Guest m'a laissé une très gentille review sans penser à laisser un pseudo à la fin du message : je le/la remercie bien fort quand même o/
*Les phrases entre étoiles sont des citations du tome 5 de Harry Potter*
Les phrases en italique sont les pensées des personnages.
Chapitre 1 : Le Poudlard Express
- Attention, Ron ! s'écria Hermione en retenant son ami par le bras. Tu as failli marcher sur un première année !
Ron suivit du regard l'élève terrorisé, qui s'éloignait d'eux aussi rapidement que le lui permettaient ses petites jambes. Il disparut bientôt dans un compartiment, et le claquement sec de la porte se refermant derrière lui sembla tirer Ron de son état d'hébétude.
- Ah oui, lâcha-t-il finalement sous le regard accusateur d'Hermione. Désolé, je ne l'avais pas vu. Il faut dire qu'ils sont tellement minuscules cette année ! Je suis sûr qu'on n'était pas aussi nabots qu'eux au même âge.
La préfète soupira mais s'abstint de répondre. Inutile de faire remarquer au rouquin que ce qu'il venait de dire était stupide. À la place, elle se dirigea d'un pas décidé vers le wagon suivant, où Harry devait probablement les attendre en ruminant de sombres pensées.
Depuis quelques temps, le Gryffondor semblait plus maussade et agressif qu'à l'ordinaire. Hermione avait mis son attitude sur le compte de la frustration d'avoir été tenu à l'écart du monde des sorciers, et surtout de la résistance contre Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, durant tout l'été. Mais à son arrivée au 12 square Grimmaurd, même après s'être aperçu que ses meilleurs amis n'étaient pas non plus autorisés à assister aux réunions de l'Ordre du Phénix, Harry avait continué à enchaîner les sautes d'humeur.
La menace de renvoi qui planait sur sa tête du fait de son audience disciplinaire au Ministère de la Magie y était pour beaucoup, mais Hermione était trop intelligente pour ne pas s'apercevoir qu'il y avait autre chose. Et en effet, même après l'abandon des charges, le soulagement de Harry avait paru assombri par une certaine rancœur. Le comportement égoïste de Sirius, qui regrettait amèrement que son filleul retourne à Poudlard au lieu de rester vivre avec lui au QG de l'Ordre, pouvait en être la cause. Hermione savait à quel point Harry était attaché à son parrain, et le jeune Gryffondor comprenait peut-être mieux que quiconque comme il était frustrant de rester enfermé pendant que les autres luttaient dehors.
L'arrivée des insignes de préfets avait été le dernier coup dur. Il avait semblé évident que Harry, le garçon qui avait survécu, qui avait affronté le Seigneur des Ténèbres l'année précédente, obtiendrait le rôle de préfet. Mais celui-ci avait été confié à Ron, au grand étonnement de tous (qui l'avaient plus ou moins bien caché). Hermione, bien que surprise, s'était réjouie pour le rouquin. Après avoir vécu durant toute son enfance dans l'ombre de ses frères ou de Harry, il obtenait enfin une certaine forme de reconnaissance. Cependant, elle se doutait que la nouvelle avait été plus dure à avaler pour Harry, qui passait de plus pour un menteur et un détraqué en quête de célébrité aux yeux de la communauté magique.
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Aussi Hermione était-elle légèrement préoccupée de l'état de son meilleur ami lorsqu'elle le retrouverait. Ron et elle avaient dû le laisser seul, puisque les préfets avaient un wagon réservé. Elle espérait au moins qu'il ait pu trouver quelqu'un pour partager son compartiment. Ginny, sûrement. Et Neville aussi, peut-être.
Elle repéra finalement Harry dans le dernier compartiment en compagnie de Ginny, reconnaissable à sa flamboyante chevelure rousse, de Neville et… d'un journal volant. Euh… Ah non, il y avait apparemment quelqu'un derrière le journal.
Elle ouvrit la porte et Ron se précipita aussitôt à l'intérieur, se laissant tomber comme une masse à côté de son meilleur ami après avoir fourré la cage de Coquecigrue près de celle d'Hedwige.
- *Je meurs de faim*, grogna-t-il.
Il prit un Chocogrenouille des mains de Harry et le dévora comme s'il n'avait rien mangé depuis des mois, fermant les paupières pour mieux savourer. Hermione s'assit près de Neville et pinça les lèvres, se préparant à annoncer à Harry LA mauvaise nouvelle de la journée.
- *Il y a deux préfets de cinquième année dans chaque maison. Un garçon et une fille.*
- *Et devine qui est le préfet de Serpentard ? dit Ron, les yeux toujours fermés.*
- *Malfoy, répondit aussitôt Harry, convaincu que ses pires craintes seraient confirmées.*
- *Bien sûr, dit Ron avec amertume.*
Pour ne pas être en reste, Hermione lança férocement :
- *Et la fille, c'est bien sûr cette vraie bourrique de Pansy Parkinson. Comment elle a fait pour être préfète, elle est plus bête qu'un troll endormi…*
Elle renifla avec dédain, montrant à quel point ce choix la consternait. Les trois amis discutèrent ensuite des préfets de Poufsouffle et de Serdaigle. Soudain, une voix rêveuse s'éleva dans le compartiment :
-*Tu es allé au bal de Noël avec Padma Patil…*
Hermione se tourna vers l'endroit d'où provenait la voix et découvrit une paire d'yeux protubérants qui dépassaient du journal, qui définitivement ne volait pas. Elle haussa les sourcils en détaillant les mèches blondes et emmêlées, ainsi que les yeux clairs, tournés vers Ron mais qui semblaient regarder au-delà. Impossible de mettre un nom sur ce visage (1). Hermione était certaine de ne jamais avoir vu cette fille à la table des Gryffondor, et pourtant la jeune fille avait une excellente mémoire.
- *Oui, je sais* répondit Ron qui semblait quelque peu interloqué.
- *Elle ne s'est pas beaucoup amusée*, ajouta la blonde qui semblait perdue dans ses pensées. *Elle pense que tu ne t'es pas très bien occupé d'elle parce que tu ne voulais pas la faire danser.*
Elle marqua une légère pause, puis lâcha d'une voix douce, comme pour elle-même :
- *Moi, ça ne m'aurait pas dérangée. Je n'aime pas tellement danser.*
Et elle disparut à nouveau derrière son journal, laissant Ron bouche bée et les autres interdits. Seule Ginny semblait tout à fait à l'aise, et elle fournissait des efforts visibles pour ne pas éclater de rire. Hermione sourit légèrement à son tour, amusée. L'étrange blonde venait visiblement de manifester son amitié à Ron, d'une façon pour le moins inhabituelle.
La conversation reprit finalement, et Ron évoqua avec délice les punitions qu'il comptait distribuer à la clique de Malfoy. Ses amis gloussèrent, mais un véritable hurlement de joie s'échappa des lèvres de la blonde. Tout le monde sursauta et se tourna à nouveau vers elle, qui riait si fort qu'elle en avait lâché son journal et se tenait les côtes.
- *Ça, c'était vraiment drôle !* haleta-t-elle en pleurant de rire.
Hermione dut se contenir pour ne pas exploser de rire à son tour. Elle n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi maladroit que cette fille ! Ce n'était clairement pas que de l'amitié qu'elle cherchait à témoigner à Ron… Visiblement, elle était franchement intéressée par le jeune homme ! Mais ce n'était sûrement pas la façon la plus habile de le montrer, comme le prouva la réaction de Ron.
- *Tu te fiches de moi, ou quoi ?* dit-il en fronçant les sourcils.
Hermione regarda la jeune fille reprendre difficilement son souffle, décidant instantanément qu'elle l'aimait bien. Malgré l'aura de folie douce qui entourait la blonde, rien ne venait masquer son intelligence, pas même son excentricité ou sa maladresse. Cette année, Hermione allait faire preuve de charité : en plus de s'investir encore davantage dans la S.A.L.E., elle allait aider cette quasi-inconnue à décrocher le garçon de ses rêves !
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Perdue dans ces pensées réjouissantes (ben oui, chez Hermione penser aux elfes de maison c'est réjouissant…), elle ne remarqua pas tout de suite que Harry avait ramassé le journal tombé au sol et le lisait maintenant avec amusement. Elle regarda distraitement la couverture du magazine.
- *Il y a des trucs bien, là-dedans ?* demanda Ron en jetant un œil par-dessus l'épaule de son meilleur ami.
- *Bien sûr que non*, lâcha Hermione qui venait de lire le nom de la revue. *Le Chicaneur, c'est une vraie poubelle, tout le monde le sait.*
- *Excuse-moi, mais mon père en est le directeur.*
La voix était si sèche que Hermione eut du mal à reconnaître la douce jeune fille dans ce ton cassant. Elle rougit, embarrassée de sa bévue, et balbutia maladroitement quelques excuses tandis que la blonde reprenait son journal. Enfin, celui de son père.
Son père… Le rédacteur en chef du Chicaneur était Xenophilius Lovegood, donc sa fille devait être… Argh. Loufoc…, euh, Luna Lovegood. Hermione avait entendu parler d'elle dans les couloirs. Si elle se souvenait bien (ce qui était toujours le cas), c'était une Serdaigle. Une quatrième année.
Hermione soupira. Elle n'était pas vraiment à l'aise avec les légendes stupides que colportait le Chicaneur, et auxquelles Luna croyait probablement dur comme fer, mais elle ferait un effort pour Ron. Du moment que la blonde ne lui parlait pas de Ronflak Cornu ou d'Enormus à Babille, elle y arriverait.
Hermione fut tirée de ses pensées par l'arrivée de Draco Malfoy, comme toujours accompagné de ses deux gorilles. Vraiment, « gorille » était le mot juste. Crabbe et Goyle avaient probablement gagné les deux neurones qui leur permettaient de mettre un pied devant l'autre (et parfois de prononcer quelques mots simples) dans une tombola.
Elle se doutait que Draco ne les laisserait pas en paix très longtemps, mais fut surprise de noter l'absence de Pansy. Bah, sans doute la préfète était-elle en train de terroriser quelques Poufsouffle dans un autre compartiment.
Comme on pouvait s'y attendre, la visite impromptue de Malfoy se termina rapidement en échange de menaces et d'insultes entre lui et Harry, sur le modèle « Je suis un préfet »/ « Tu es un crétin » (2).
Mais elle rappela à Ron et Hermione qu'il était temps d'assumer leurs fonctions de préfets et de faire une ronde dans le train. Aussi laissèrent-ils Neville, Ginny, Luna et Harry pour patrouiller dans les wagons.
- Che 'erait p'us vite fini chi on che ché'arait, lâcha Ron en enfournant sa Patacitrouille.
- Pardon ? demanda Hermione, qui n'avait rien compris.
Le Gryffondor avait emporté une brassée de confiseries avant de quitter le compartiment et rattrapa de justesse le Fizwizbiz qui menaçait de lui échapper des bras. À moitié caché derrière le monceau de friandises, il déglutit difficilement avant de répéter :
- Ce serait plus vite fini si on se séparait ! On n'a qu'à se répartir les wagons, moitié-moitié. Je veux juste celui de Malfoy, ajouta-t-il avec un sourire mauvais avant d'enfourner une baguette réglisse.
- Tu as probablement raison, admit Hermione. Si tu veux coincer Malfoy, commence dans le premier wagon, il a dû rester dans le compartiment des préfets. Je m'occupe de la queue du train.
Et elle s'éloigna sous le regard stupéfait de Ron, ne parvenant pas à croire qu'il avait l'autorisation de son amie pour martyriser les Serpentard.
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Hermione commença donc sa ronde, après avoir rajusté sur sa poitrine son insigne de préfète. Pas question d'être débraillée quand on représente l'autorité ! Elle surprit deux Serdaigle en train de se battre pour un livre, dut les séparer et confisquer l'ouvrage en question. Après avoir jeté un coup d'œil au titre, elle soupira en constatant qu'elle l'avait déjà lu.
Un peu plus tard, elle indiqua le chemin des toilettes à une première année un peu perdue et esseulée. « Sûrement une née-Moldue », pensa-t-elle, attendrie par cette petite qui lui rappelait un peu la Hermione de onze ans, d'apparence si sûre d'elle mais en réalité si seule.
Elle dut encore empêcher un Serpentard de quatrième année d'enflammer les cheveux d'un Gryffondor, après quoi elle fit demi-tour pour regagner son compartiment.
Elle marchait tranquillement le long du couloir, lorsqu'elle fut attirée par des éclats de voix. Fronçant les sourcils, elle pressa le pas… et se figea en voyant Pansy Parkinson arriver en sens inverse.
C'est vrai, elle aussi est préfète, songea-t-elle. Elle a dû les entendre comme moi.
Elle grimaça en pensant que les responsables de ce chahut, quels qu'ils soient, risquaient de passer un très mauvais quart d'heure. Pansy ne semblait pas encore avoir vu Hermione. Celle-ci se glissa derrière la porte du compartiment le plus proche, tout en gardant un bon angle de vue sur la préfète. Elle avait bien l'intention de coincer Parkinson en flagrant délit de méchanceté et d'humiliation des plus faibles que soi !
- Qu'est-ce qui se passe ici ? lança Pansy en arrivant face au compartiment d'où provenaient les cris.
Hermione fut surprise de ne pas entendre l'habituelle voix criarde et haut perchée de Parkinson. Au contraire, sa voix était plutôt grave et posée, bien que l'on y détecte un certain énervement.
- Il m'a volé ma carte de Ptolémée ! hurla un Poufsouffle de deuxième année en sortant du compartiment, désignant rageusement un autre élève de sa maison.
- C'est même pas vrai ! rétorqua l'autre en se levant à son tour, tenant jalousement sa carte contre sa poitrine. Elle était dans mon Chocogrenouille, pas le tien ! Toi, t'as eu Dumbledore, je t'ai vu la sortir du paquet !
- Nan, c'est toi qu'a eu Dumbledore, menteur ! Et tu m'as pris Ptolémée parce qu'elle est super rare, alors que Dumbledore tout le monde l'a !
Hermione se crispa légèrement en voyant Parkinson perdre son calme, lentement mais sûrement. Les deux gamins ne voyaient-ils donc pas qu'ils aggravaient leur cas en vociférant ainsi ? La seule chose qu'ils y gagneraient, ce serait la confiscation de la carte tant convoitée et des problèmes. De gros problèmes.
Elle retint son souffle lorsque Parkinson, excédée, tendit la main vers l'élève qui serrait toujours convulsivement la carte contre lui.
- Donne-moi ça, lâcha-t-elle froidement.
L'élève sembla hésiter un moment, mais un regard jeté à la Serpentard et à son insigne lui suffit pour comprendre que ce n'était pas le moment de jouer au plus malin. À contrecœur, il posa la carte de Ptolémée dans la paume ouverte de la préfète, sous le regard anxieux de son compagnon.
Pansy dévisagea longuement les deux garçons, puis posa les yeux sur la carte. Enfin, après une attente qui parut interminable à Hermione qui ne respirait plus, elle soupira et mit une main dans la poche de sa robe.
- Dire qu'il ne me manquait plus que Circé, grommela-t-elle en extirpant du vêtement une seconde carte Chocogrenouille. Maintenant, je vais devoir retrouver Ptolémée, merde !
Et sous les yeux écarquillés des deux Poufsouffle, elle leur mit à chacun une carte de Ptolémée dans la main. Après quoi, sans un mot de plus, Pansy fit volte-face et retourna vers la tête du train. Les gamins stupéfaits ouvraient et refermaient la bouche en fixant leur carte, ne croyant pas leur chance. Finalement, ils rentrèrent dans leur compartiment en silence, encore trop surpris pour parler.
Hermione, restée immobile derrière la porte mi-close, ne bougeait toujours pas. Elle ne parvenait pas à croire ce qu'elle venait de voir. Depuis quand les Serpentard faisaient-ils preuve de compassion à l'égard de leur prochain ? De leur prochain Poufsouffle, qui plus est ?
Parkinson venait d'abandonner une chose à laquelle elle tenait pour le donner à quelqu'un d'autre. En échange d'une contrepartie, peut-être ? Non, la réaction des deux enfants prouvait qu'ils étaient aussi stupéfaits qu'elle-même l'était.
Hermione entendit alors sa propre voix résonner à ses oreilles. « Et la fille, c'est bien sûr cette vraie bourrique de Pansy Parkinson. Comment elle a fait pour être préfète, elle est plus bête qu'un troll endormi… »
Elle grimaça. Ces mots sonnaient faux à la lumière de ce qu'elle venait de voir. Parkinson… non, Pansy était loin d'être une bourrique. Et si Hermione n'avait pas encore bien assimilé ce qui venait de se produire, une chose était certaine : la Serpentard était tout sauf stupide.
La jeune fille se sentait mal à l'aise, et quelque chose en elle se serra tandis qu'un sentiment étrange se glissait en elle. De la culpabilité…
A suivre...
(1) Ben oui, dans le livre Hermione et Luna n'ont jamais été officiellement présentées ! Alors c'est normal que la Gryffondor ne sache pas son nom.
(2) J'ai toujours adoré ce passage dans le livre ! Dans mon édition (Gallimard, grand format), c'est à la page 221, je vous invite à relire cette scène ;-)
Merci beaucoup de m'avoir lue, n'hésitez pas à m'envoyer plein de reviews !
C'est ma première fic donc j'ai besoin d'encouragements ^^
