Cette fic je l'ai écrite depuis une éternité ! (une éternité = environ 5 à 6 mois).
Mais je ne voulais pas la poster parce qu'elle ne me convenait pas. J'ai recorrigé quelques trucs et en fait, je l'avais terminée au niveau du « XXXXXXXXXXX » qui se trouve dans le 2ème chapitre mais… j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose. Bref, tout ça pour dire que vous pouvez décider de vous arrêter au « XXXXXXXXXXX » ou de poursuivre. Mais la suite est rigolote donc… Enfin, à vous de voir !
Disclaimer : Il est de notoriété publique que Jane est à moi !
(à prendre au second degré)
Bonne lecture à tous !
Secrets, défense.
Les deux femmes étaient dans le bureau depuis presque quarante minutes et Cho, Rigsby et Van Pelt attendaient anxieusement de connaître la fin de l'histoire.
- Vous croyez qu'Hightower va la virer ? Demanda la jeune femme rousse.
- Probable, répondit Rigsby.
Cho poussa un soupir et retourna s'asseoir à son bureau. Aucun son ne sortait du bureau de la grande chef et cela ne présageait rien de bon. Soudain, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et laissèrent apparaître Jane qui se dirigea vers ses collègues d'un pas pressé.
- Alors ? Où est Lisbon ?
Cho et Rigsby lui lancèrent un regard mauvais pendant que Van Pelt pointait du doigt le bureau d'Hightower. Jane sentit son estomac se contracter légèrement. Son plan pour trouver l'assassin avait une fois de plus été un succès mais il avait poussé les limites assez loin. En effet, il était entré par effraction chez un préfet de la plus haute importance et avait accusé sa femme de meurtre sans raisons apparentes.
- Tu ne devrais pas rester là, Jane, lui conseilla Van Pelt. Lisbon va te tuer si elle te croise.
- Et elle aura bien raison, confirma Rigsby.
- Oui mais ce serait bête qu'elle se retrouve en prison à cause de lui, souligna Cho.
Désarmé par l'attaque de ses collègues, Jane leva les mains en signe de défense.
- Oh, les gars… Qu'est-ce qui vous prend ?
- Va-t-en, insista la jeune rousse.
Jane regarda ses collègues une dernière fois puis d'un air dépité, il tourna les talons et se rendit dans le couloir. De toute évidence, il était allé trop loin et tout le monde avait peur que Lisbon se fasse virer. Comme il voulait tout de même savoir ce qui allait se passer, il s'appuya contre un mur du couloir et attendit. Il repensa alors à ce que lui avait dit Lisbon lorsqu'un jour, ils avaient été fait prisonniers ensemble : « Je savais que nous courrions au désastre le jour où j'ai signé votre contrat. Un jour, je vais me faire virer à cause de vous, c'est comme ça, on n'y peut rien. ». Était-il possible qu'Hightower la vire ? Il était persuadé que non. De toute façon, Hightower savait à quoi s'en tenir si elle virait Lisbon. Tout à coup, la porte du bureau tant observé s'ouvrit et le dos de Lisbon apparut.
Tout en restant de dos, elle ferma la porte et inspira une grande bouffée d'air. « Tu le savais, ne sois pas surprise » se dit-elle. Puis prenant son courage à deux mains, elle se retourna et marcha en direction de son équipe. Elle ne vit pas Jane qui l'observait depuis le couloir. Malgré la distance qui les séparait, le consultant entendit les paroles de Lisbon, prononcées d'une voix légèrement chevrotante.
- Je serai officiellement virée demain. On dirait bien que le préfet n'a vraiment pas apprécié la blague… Ne faites pas cette tête, dit-elle immédiatement en voyant que son équipe allait riposter. Il fallait que ça arrive.
- Et Jane dans tout ça ? S'enquit Van Pelt.
- Jane… reste Jane.
- Il n'est pas viré ? Demanda Rigsby.
- Il semblerait que non. Mais c'est bien, il nous aide… enfin… il continuera de vous aider à attraper toujours plus de méchants, ajouta Lisbon dans un sourire forcé.
Puis elle écarta les bras en signe d'impuissance. Comme si eux aussi étaient sous le choc de la nouvelle, ses cheveux tombèrent devant ses yeux lorsqu'elle secoua la tête d'un air résigné.
- En tout cas, c'est un honneur d'avoir trav…
- Arrêtez ça.
A la surprise générale, c'est Cho qui avait osé interrompre leur chef de façon presque impolie.
- Je veux dire, vous n'êtes pas encore virée, non ? Vous ferez vos adieux si cela est nécessaire, Boss.
Lisbon le regarda d'un air surpris, prête à insister, puis se ravisa.
- Bien, mais ce serait un miracle qu'Hightower change d'avis cette nuit. Dans ce cas, je vous souhaite une bonne nuit et ne vous inquiétez pas pour moi. Avec un peu de chance, j'atterrirai dans une équipe sans consultant !
Elle plaqua un faux sourire sur son visage et se retourna, sentant les larmes lui monter aux yeux.
- Boss, appela Van Pelt.
Lisbon se retourna en essayant de contenir ses larmes de rage.
- Cho a raison, vous n'êtes pas encore partie. Avec un peu de chance, vous resterez avec nous.
Ce fut la phrase de trop. Elle se dirigea vers l'ascenseur avec des larmes qui lui coulaient le long des joues. En perdant ce job, elle perdait presque toute sa vie. Les enquêtes étaient sa vie. Les meurtres étaient sa vie. Le CBI, c'était sa vie. Son équipe était sa vie. Tout ceci composait sa vie, elle n'avait rien d'autre. Et malgré le fait qu'elle répétait sans cesse qu'elle s'attendait à cela, elle avait toujours eu l'espoir d'éviter ce difficile obstacle.
Elle entra dans l'ascenseur et elle sentit plus qu'elle ne vit quelqu'un entrer dans la cabine. Elle aurait vraiment voulu être seule aussi jeta-t-elle un regard discret vers la personne à côté d'elle. Elle fut horrifiée de constater que cette personne n'était autre que Jane. Malgré ses supplications silencieuses, les portes se refermèrent et elle se retrouva seule avec lui.
- Lisbon, dit Jane en découvrant qu'elle avait les joues humides.
- Chhhut, Jane, parvint à articuler Lisbon. Ne dites rien.
- Lisbon, je…
- Non, le coupa-t-elle sans même oser le regarder. S'il vous plait, ne dites rien. C'est mon dernier ordre.
Mal à l'aise, Jane ne sut que répliquer à cela. D'un autre côté, il l'avait bien cherché. La descente en ascenseur leur parut interminable. Enfin, les portes s'ouvrirent et Lisbon s'enfuit presque en courant. Le consultant tenta de la suivre puis se ravisa, se disant qu'il valait mieux attendre une ou deux heures qu'elle se calme avant d'aller lui parler. Il prit les escaliers pour remonter et lorsqu'il fut arrivé au bon étage, il se dirigea vers le bureau d'Hightower et frappa. Il entendit sa voix lui dire d'entrer. Il s'exécuta, refermant la porte derrière lui.
- Patrick, le salua-t-elle.
- Madeleine.
Un silence s'installa. Jane se rapprocha du bureau lentement, regardant à gauche, à droite, comme s'il le visitait pour la première fois. En venant voir la supérieure de sa supérieure, il espérait avoir des réponses à deux questions. Cependant, il ne voulait lui en posant qu'une.
- Vous êtes là pour savoir si je n'ai pas oublié ce que vous m'avez dit il y a quelques mois, dit Hightower. Et la réponse est non.
Jane eut la réponse à ses deux questions : elle n'avait pas oublié ce qu'il lui avait dit et il obtint secrètement la réponse à sa deuxième question par l'intonation de sa voix. Il secoua la tête d'un air résigné puis s'éloigna du bureau.
- D'accord, dit-il simplement.
Puis il sortit en silence. Comme ses collègues étaient tous fâchés contre lui et qu'il était l'heure de manger, il sortit des bureaux du CBI et prit la direction d'un restaurant qu'il connaissait bien et appréciait.
Lorsque Lisbon entra dans son appartement, elle avait cessé de pleurer. Certes la nouvelle l'avait chamboulée mais elle savait se redresser plus vite que son ombre. Ce n'était pas si grave, elle allait trouver un autre boulot, loin d'ici. Le plus important était qu'elle parte immédiatement, qu'elle ne revoie plus jamais Jane. Elle ne lui en voulait pas vraiment parce qu'elle le connaissait. Mais le fait qu'elle l'appréciait beaucoup n'allait pas l'aider à oublier son équipe et son travail. Il fallait donc qu'elle s'exile un peu. Elle se fit chauffer du café et commença à faire sa valise. Peu importait sa destination, du moment qu'elle partait. Elle dirait adieu à son équipe plus tard, lorsqu'elle aurait digérer tout ça, ce serait plus facile. Alors qu'elle avait déjà trié ses sous-vêtements, elle entendit son café bouillir. Elle se précipita vers la casserole, versa le liquide brûlant dans une grande tasse et retourna à sa tâche. En à peine deux heures, elle avait réussit à prendre le strict nécessaire pour deux semaines d'exil. Elle se surprit à trouver cela drôle. Décidemment, il n'y avait vraiment rien qui la retenait, aucune attache, rien de précieux. Seule la croix qu'elle portait autour de son cou et la petite souris en verre que lui avait un jour offert un de ses frères lui étaient absolument nécessaires.
Alors qu'elle s'installait avec son ordinateur portable pour trouver un avion décollant le lendemain matin, elle retrouva un vieux morceau de journal datant de l'année passée. Un article sur une affaire qu'elle avait élucidée avec l'aide de son équipe. En photo, elle et Jane qui la tenait par les épaules, tout sourire. Quelque chose lui broya soudain l'estomac, comme un regret, un cri qu'elle aurait voulu pousser et qu'elle s'acharnait à laisser enfoui. Un sentiment qu'elle s'était efforcée de ranger précautionneusement dans un mouchoir, placé dans une boîte entourée de gros scotch, enterrée à six pieds sous terre. Elle froissa le papier, le jeta brutalement à travers la pièce et se concentra sur les horaires des avions en s'efforçant d'oublier cette boule qui prenait forme dans sa gorge.
Jane se gara le long du trottoir de façon à ne gêner personne. Il n'avait presque rien manger et n'en pouvait plus d'attendre aussi avait-il décidé de se rendre chez Lisbon pour tenter de s'excuser et si possible, de la rassurer. Assise confortablement dans son fauteuil, Lisbon sursauta lorsqu'on frappa à sa porte. Elle n'avait envie de recevoir personne aussi fit-elle semblant de ne pas être là. Avec un peu de chance, son visiteur partirait. On frappa de nouveau, puis comme elle ne réagissait toujours pas, on frappa une troisième fois. Pour couronner le tout, son portable sonna, avertissant ainsi son visiteur qu'il y avait bien quelqu'un à l'intérieur de l'appartement. Elle soupira et regarda le numéro de l'appelant. Appel masqué. Elle décrocha quand même.
- Lisbon.
- Ouvrez-moi Lisbon, s'il vous plait.
Elle reconnut immédiatement la vois de Jane. Elle mit un certain temps avant de répondre puis déclara finalement :
- Patientez deux minutes.
Elle raccrocha et se leva de son confortable fauteuil pour s'empresser de cacher valise et sacs à dos afin qu'il ne se doute de rien. Enfin, elle ouvrit sa porte.
- Entrez.
Jane entra et comme à son habitue, il regarda autour de lui. Il attendit que Lisbon s'asseye sur son fauteuil et il s'installa sur le canapé. Lisbon le regarda promener ses yeux tout autour de lui en silence. S'il ne disait rien d'ici trente secondes, elle le virerait à coup de pieds dans les fesses. A la vingt-neuvième seconde, il déclara :
- J'ai été vraiment loin cette fois.
- C'est vrai, confirma Lisbon.
- J'aurais du vous écouter lorsque vous vous êtes vraiment fâchée.
- C'est encore vrai.
- Mais j'ai piégé l'assassin, ajouta Jane comme pour apaiser sa faute.
- Certes.
- Sauf que cette fois, Madeleine est vraiment fâchée.
- C'est plus que vrai.
Il y eut un court silence puis il ajouta :
- Et vous êtes donc fâchée contre moi.
- Non, affirma Lisbon, ça ce n'est pas vrai.
Jane se redressa, tout à fait surpris
- Mais… Vous devriez l'être. C'est tout à fait légitime.
- Eh bien, je ne le suis pas, déclara Lisbon en poursuivant finalement ses recherches sur son ordinateur.
Positionnée comme elle était, Jane ne pouvait pas voir ce qu'elle traficotait.
- Donc, vous n'êtes pas énervée contre moi. Alors vous êtes quoi ?
- Quoi ? Demanda Lisbon en levant le nez de son clavier.
- Qu'est-ce que vous ressentez ? Vous êtes triste, évidemment, déclara Jane comme pour lui-même. Mais, c'est de ma faute donc vous devriez m'en vouloir terriblement.
- Je suis déçue, Jane.
Ce mot eut l'effet d'un coup de poignard dans le ventre de Jane. Impuissant, il observa sa patronne baisser de nouveau les yeux sur son clavier.
- Je vous ai déçue ?
- Non, je ne crois pas que ce soit vous qui me décevez. Je suis déçue d'en être arrivée là. Mais c'était le risque, je l'ai pris et je ne le regrette pas.
Jane acquiesça et Lisbon pu reprendre ce qu'elle faisait. Pendant plusieurs minutes, elle fut surprise de ne pas l'entendre parler. Elle pensait qu'il allait tenter de la réconforter avec des paroles stupides mais non, rien de tout ça.
- Quitte à partir, vous n'allez qu'à aller en Europe, lâcha-t-il soudain.
Surprise, Lisbon regarda Jane, son écran d'ordinateur puis de nouveau Jane.
- Votre souris en verre a disparu, lui indiqua celui-ci. Et elle vous suit partout.
Prise sur le fait, Lisbon soupira. Pourquoi ne pouvait-il pas lui foutre la paix deux minutes… Jane se leva et s'empara de l'ordinateur. Elle tenta de l'en empêcher mais il réussit à l'éteindre quand même.
- Jane ! J'étais en pleine transaction, vous avez tout annulé !
- Bien sûr que j'ai tout annulé. C'est la chose la plus idiote que vous n'ayez jamais faite. Vous n'êtes pas encore virée, Lisbon.
- Écoutez Jane, dès que vous serez partit, j'achèterai ce billet d'avion et je m'envolerai quelques temps alors à quoi bon essayer de m'en empêcher ? Pour une fois que je fais quelque chose pour moi…
- Je vous en empêche parce que vous n'êtes pas encore virée, Lisbon.
- Bien sûr que je suis virée ! Arrêtez avec vos âneries, fichez-moi la paix ! Regardez bien, je vais me rendre dans ma cuisine pour me préparer un café et lorsque je reviendrai dans mon salon, vous aurez disparu, c'est clair ?
Lisbon fit volte-face et se précipita dans sa cuisine. Jane tourna en rond dans le salon en essayant de trouver une solution. Elle allait acheter ce billet d'avion parce qu'elle était sûre d'être virée mais lui était sûr qu'elle ne l'était pas. Comment la convaincre sans trop lui révéler son secret… Alors qu'il parcourait le salon pour la sixième fois, il aperçut un morceau de papier tout froissé dans un coin de la pièce. Machinalement, il s'en empara et le déplia. Ce qu'il y découvrit le blessa plus que ce qu'il aurait pu imaginer. Cette photo représentait parfaitement leur complicité et leur amitié. Leur confiance mutuelle aussi. Et elle était vraiment bien froissée. Il pouvait imaginer sa patronne en colère, froissant cette image et la jetant à travers la pièce.
Ce fut ce moment que choisit Lisbon pour faire irruption dans le salon, une tasse à la main. Elle comprit son erreur lorsqu'elle vit l'article de journal dans les mains de Jane et le visage de celui-ci s'assombrir.
- Je vais m'en aller, ne vous inquiétez pas, dit Jane en déposant délicatement le papier sur la table basse.
- Jane…
- Mais avant, vous devez savoir que vous n'êtes pas virée. Madeleine a voulu vous faire peur. Nous faire peur. Mais ne prenez pas ce billet d'avion et défaites vos valises. Elles sont inutiles, je suis sérieux.
Il se retourna et se dirigea vers la porte de sortie lorsque Lisbon l'arrêta.
- Pourquoi est-ce que je vous croirais ? Lui demanda-t-elle, étonnée.
Jane regarda la photo froissée sur la table basse.
- De toute évidence, c'est vrai que vous ne me faites plus vraiment confiance…
Lisbon soupira.
- Jane, je n'étais pas bien en rentrant du bureau. Je suis tombée sur cet article et… c'est lui qui a pris. Et ça n'a rien à voir avec la photo. Donc oubliez ça.
Jane haussa les épaules, peu convaincu.
- Je comprends que vous soyez fâchée contre moi mais je ne comprends pas pourquoi vous ne me le dites pas. Et je n'aime pas ne pas vous comprendre.
- Mais je n'ai pas broyé cette photo parce que j'étais fâchée !
- Donc c'est bien la photo qui vous a donné envie de froisser le journal. Ce n'est pas l'article comme vous le prétendiez il y a dix secondes.
Lisbon posa sa tasse bouillante à côté du journal et s'empara du morceau de papier. Puis fatiguée de se battre alors qu'elle n'était coupable de rien, elle s'enfonça dans son fauteuil.
- Pourquoi vous dites que je ne serai pas virée ?
- Je le sais, c'est tout.
- Je n'en crois pas un mot.
- Lisbon, attendez de voir ce qu'il se passera demain avant de prendre ce billet.
- Jane, je prends ce billet si je veux.
Jane soupira puis se frotta le visage. Cette discussion ne menait nulle part et il se sentait de plus en plus coupable de l'état dans lequel Lisbon se trouvait. Son regard se posa sur la jeune femme qui cramponnait l'article de journal dans ses mains en le fixant d'un air mélancolique.
- Pourquoi vous avez broyé cette photo de nous deux ? Demanda alors Jane.
Lisbon détourna les yeux et secoua la tête négativement, signifiant qu'elle ne tenait pas à lui donner d'explication.
- Pourquoi vous ne voulez pas me le dire ? Insista Jane.
- Je vous le dis si vous me dites comment vous savez que je ne vais pas être virée, déclara Lisbon d'une voix soudain plus tranchante et assurée.
Jane entrouvrit la bouche pour répliquer mais ne trouva rien à redire. Finalement, il esquissa un sourire en direction de Lisbon.
- ça, c'est du Lisbon tout craché.
Elle sourit à son tour, satisfaite de l'effet de sa proposition.
- C'est d'accord, déclara Jane.
