Disclaimer: Ce manga fantastique n'a pas été dessiné par moi. Sérieusement j'ai deux mains gauches quand je dessine. Et plus que tout, je ne me nomme pas Yana Toboso! Donc non je ne suis pas l'auteur. Je ne fais qu'empruter les personnages pour jouer avec.

Genre: Supernatural (Hé, on bien on parle bien d'une histoire où il y a des démons et des shinigamis non?!). Romance(plusieurs types: shouen-ai, hétéro, yaoi -oui je tisse une différence pour des raisons qui seront expliquées plus tard). Angst et Drame (C'est Black Butler hein!). Violence (Pour de multiples raisons). Tragedy (bah quoi?) Family. Présence de quelques personnages originaux (les enfants de Diederich que j'ai déjà utilisé dans un OS)

Personnages de l'histoire: [Shinigamis] Undertacker, Grell, William, Ronald [Démon] Sébastien. [Humains] Ciel, Elizabeth, Edward, Diederich, plus beaucoup d'autres (Les OC ne sont pas comptés ici) C'est pour l'ensemble de l'histoire et pas juste ce prologue.

Parings: Romance entre Ciel et Lizzy (en même temps vous attendez pas à des merveilles, ils sont plus ou moins 14 ans hein), Couple yaoi surprise entre deux personnages canons (Suspense, suspense...). Et un paring non-con Ocx? (inutile de chercher en comptant les ?, ça ne correspond pas aux lettres!) et aussi mais ce n'est pas de la romance: Bromance entre Ciel et Edward. Bromance entre Snake et Ciel.

Warning for: Violence, un peu de torture, mention de non-con, vente explicite d'humain...et mort de caractère également. (Kuroshitsuji est plus ou moins un Sheinen, à quoi vous attendiez vous? A de petits oiseaux qui chantent?).

Rating: Je mets M. Je pense que T suffirait mais je préfère ne pas prendre de risques inutiles! Je ne suis pas responsable de vous. Vous avez lu le genre, les avertissements et le rating, vous savez que ce ne sera pas la petite maison dans la prairie d'accord?


C'était une sombre nuit, une nuit sans lune. Dans une ruelle mal famée, deux personnes attendaient. L'un d'eux sourit cruellement. «Vous êtes certain qu'il fera bien son travail?

- Croyez moi, mon serviteur n'échouera y a si longtemps que j'attends ça. Personne n'avait jamais réussi à blesser notre cible. Alors le ramener vivant et à ma merci... Il sera peut-être blessé car il ne se laissera pas faire mais jamais mon employé n'échoue. C'est une perle.

- Mais où l'avez vous trouvé?

- Bonne question. Vous ne voulez vraiment pas savoir.» Il eut un sourire machiavélique, ses dents jaunies par le tabac offrant un contraste avec son apparence soignée. Il frotta ses mains gantées de blancs, impatient.

L'autre homme regarda la ruelle vide, à l'écoute des bruits de la ville, silencieuse à une heure si tardive. «Faites le souffrir autant que possible. Cette maudite famille nous a causé assez d'ennuis comme ça.

- J'ai hâte de le voir trembler devant moi, se recroqueviller sous la douleur, d'entendre ses cris. De faire disparaître ce sourire déplaisant de ce maudit visage.» il se tourna vers son acolyte, un sourire immonde ourlant ses lèvres et il susurra «Vous serez le bienvenu dans mon bordel pour vous amusez avec lui.

- Votre offre est généreuse, mais je préfère les femmes. Même si cette personne est magnifique. Bien que "jouer" avec lui et un fouet m'amuserait beaucoup. Je ne voudrais pas intervenir dans votre programme. Cependant ne le mettez pas à disposition de tout le monde. Scotland Year a des chiens partout. Des chiens bien dressés à repérer les fidèles sujets de la couronne quand ceux-ci tombent entre les griffes des hyènes.

- Il ne sera à disposition que de mon cercle très fermé. Je ferais attention à ce qu'il ne soit pas casser...ça enlèverait tout le plaisir.»

L'autre gloussa, amusé. «Je me demande combien de temps il tiendra avant de vous supplier...ou de pleurer.»

Une silhouette bondit alors du toit et atterrit devant eux, jetant sans douceur son fardeau inconscient au sol. «Me voici maître, j'ai accomplis ma mission comme vous le demandiez. Il est vivant. Et j'ai exécuté tout ce que vous me demandiez de faire.»

Une expression avide se dessina sur le sordide individu qui se pencha pour saisir une poignée de cheveux soyeux entre ses doigts pour tirer la tête du prisonnier en arrière. Il attrapa la lanterne posée au sol et éclaira le visage pâle du captif. Une sourire mauvais apparut bientôt sur ses lèvres et il lâcha sa proie. «Très bien, très bien...»

L'arrivant sembla légèrement dégoûté mais se reprit bien vite «Tout s'est passé conformément à vos ordres. Êtes-vous certain que vous vouliez que je fasse que qui a été prévu ensuite maître?»

Le dit-maître regarda son serviteur, et eut un rictus «Du moment que tu n'oublie pas que ton vrai maître c'est moi...et que mes ordres seront toujours prioritaire si il vient par ici.

- Vous êtes d'un diabolique...c'est très intéressant.» Les yeux rouges brillèrent dans la nuit. «Je sens que je ne vais plus autant m'ennuyer qu'avant.

- Et n'oublie pas. Il ne doit rien savoir avant que je n'ai...dressé mon prix. Qu'il abandonne tout espoir d'être sauvé.

- A vous de voir si vous y parviendrez.» rit l'autre dans un rictus mystérieux.

L'autre homme lança, froidement «Tout humain finit par se plier sous la souffrance.

- Si vous le dites.» Il ne semblait pas y croire.

Son maître lança alors «Aaron, si tu veux tu-sais-quoi, il y a quelques personnes dont je n'ai plus l'utilité dans ma cave. Je les tuerais demain, alors si cela t'intéresse...

- ….Ho que oui ça m'intéresse.» Et il sembla disparaître dans les ombres.


Le prisonnier gémit et ouvrit les yeux, étourdis. Le coup sur la tête qu'il avait reçut l'avait envoyé dans le néant sans qu'il puisse agir. Ce n'était pas possible, qui était son agresseur, il ne pouvait pas être humain.

Il vit qu'il était dans une pièce sombre, avec une lanterne juste devant les yeux. Des liens solides maintenaient ses poignets dans son dos et ses chevilles ensemble. Il pouvait à peine bouger.

Il fut alors jeté contre le mur. Pour se retrouver face à un individu passablement peu agréable, qui inspirait plus le dégoût que autre chose. «Qui êtes-vous?»

L'homme lui saisit le menton, avec brutalité, et le força à relever la tête. «Quelqu'un que tu vas beaucoup fréquenté maintenant mon joli.» Il serra sa prise sans aucune douceur et plaqua sa main sur la bouche du captif. «En réalité, pour être plus simple...je suis ton maître à présent.» Il rit devant le regard furieux du plus petit. Celui-ci eut un mouvement brutal pour s'éloigner mais échoua. Et récolta une gifle brutale. «Tu vas devoir apprendre à m'obéir. J'ai tout mon temps pour ça mon mignon.»

L'autre, écœuré par la proximité déplaisante, serra les dents. Ses yeux reflétait une telle rage que ça en était effrayant. Un regard qui promettait une mort douloureuse et sans pitié.

Son geôlier ricana, amusé par cette attitude rebelle «Tu n'auras pas ces yeux là longtemps. Tu n'as pas comprit? Tu n'es plus rien ici. Rien du tout. Personne ne viendra te sauver. Personne. Tu n'as plus qu'à être obéissant et je serais gentil avec toi...qu'en dis tu?»

L'autre siffla «Tu peux aller brûler en enfer.

- Tu m'y rejoindrais bien vite mon joli. Tu n'es plus rien quand tu es seul et attaché n'est-ce pas? Sans ta meute fidèle. Si fragile et vulnérable.»

Un coup de genou en plein ventre le fit grimacer, il répliqua par une gifle bien plus brutale que la première, envoyant le captif contre le mur. Il le prit par le sol et souffla.

«Tu vas arrêter de faire le malin. Tu es seul. Impuissant. Tu n'auras bientôt plus qu'une seule utilité. Et je vais te retirer tout. Absolument tout. Je serais bon prince, je t'autorise à garder ton adorable prénom. Qu'en dis-tu? Je vois d'ici l'attraction proposée à mes clients "te torturer".»

Un crachat ensanglanté le frappa au visage. Lentement il s'essuya et ricana «Tu ne feras pas le malin bien longtemps...

- Tu ne me briseras pas. Je te tuerais, même si ça doit prendre des années.

- Si tu tiens aussi longtemps sans ramper à mes pieds. Avant que la résignation n'emplisse ton regard et que tu abandonne tout espoir.» Il joua avec une mèches de cheveux et se plongea dans le regard haineux de son prisonnier.

«Nous verrons bien qui gagnera la partie...» susurra le captif, un rictus moqueur aux lèvres, malgré la légère crainte légitime qui naissait en lui.

Jamais ce type ne le briserait.

Il lui ferait payer.

Au centuple.

D'avoir détruit sa vie.

Et celle de ses proches.

Et si, par malheur, il sentait qu'il craquait, il se donnerait la mort plutôt que devenir l'esclave de ce type.


A Suivre

Si vous avez compris quelque chose à ce prologue, n'hésitez pas à donner votre avis ici. A votre avis, qui est le prisonnier? Vos impressions sur Aaron? Les deux humains eux sont des OC, ne cherchez pas leurs identités.