Titre: Itami ni Yorokobu (prendre plaisir à la douleur)
Auteur: Reiku E. Suzuki
Couple : Reituki
Genre : Trash, SM, Viol.
Disclaimer: The GazettE ne m'appartient pas encore, l'histoire provient tout droit de mon imagination tordu.
Commentaires:
J'ai écris ce texte à minuit pendant mon marathon d'écriture. Je n'ai donc pas utiliser les noms de nos chers musiciens préférés, comme je ne savais pas trop si j'en avais le droit ou non. Qu'importe, vous comprendrez aisément que j'ai écris cette mini-fic en pensant au fait que le POV était de Reita, et qu'il... s'amusait? Avec Ruki.
Le thème à ce moment-là de la soirée (parce que ce n'était pas libre u.u), c'était : rendre beau le laid. J'ai donc pensé à décrire toute la beauté de la douleur (on sent le SM à plein nez là x.x). Donc, voilà mon rendu u.u En espérant qu'il vous plaise^^
Début du chapitre
J'aime tes cris quand tu te plains. Ta voix montant dans les suraigu, tes supplications, tes prières. Au débuts, tes mots sont variés. Et plus tu souffres, plus tu gémis, plus tes mots se résument que par des « arrêtes » et des « s'il te plait ». Continue encore. Cris plus fort. Laisse-moi entendre ta voix quand tu as mal. Je me délecte de chacun de tes cris, de chacun de tes frissons, comme un naufragé se délecte d'un hôtel 5 étoiles. J'aimerais t'entendre crier « encore ». Pourquoi te tais-tu, soudainement?
Le bout de ma lame dessine des lignes courbes, des lignes brisées, des pointillés tout au long de ta peau blanche et parfaite. Le sans perle et coule alors que tu hurles encore. Si tu m'avais écouter, peut-être qu'on n'en serait pas là. Laisse-moi entendre ta voix encore. Oui, crie plus fort, plus fort! Je remonte le bout de mon crayon de circonstance, remontant dans ton cou, venant fendre ta joue en une parfaite ligne artistique. Pour une fois, c'est moi qui contrôle ton chant. Tant de fois m'as-tu laisser languir, me laissant imaginer un avenir alors que nous jouions pour les autres. Mais tu n'as jamais voulu jouer pour moi. Si seulement tu n'appartenait pas aux autres...
Je redescend soudainement. À voir tes yeux admirablement écarquillés par cette fabuleuse peur qui commence à te dévorer, tu comprends ce que je m'apprête à faire. Là, sur cette partie la plus sensible de ton anatomie, je pris mon temps pour graver parfaitement les mots « tu es à moi. » Oui, à moi. Mon beau chanteur à la peau pâle, aux cheveux bruns. Ne meurs pas. Laisse-moi encore le plaisir d'entendre tes cris. Laisse-moi encore l'extase de voir ton liquide rouge et chaud s'étendre sur le sol en une peinture magnifiquement macabre dont je suis le seul admirateur.
Laisse-moi encore le plaisir de te sentir m'appartenir demain.
Fin du chapitre
J'avoue avoir encore modifier des trucs. Dans la version originel, Ruki meurs simplement. Mais je me suis donné comme principe de ne jamais le tuer... Et puis, c'est plus chou si Reita fait sa par amour au lieu de simplement par jalousie et désir de possession, non? ^^
