Auteur : Purinzu Bel . (Belphegor powa ! /SBARF/ )

Title : kikou sv^^ ? –meurt- . Nan, le titre, c'est « Protège moi, interne moi ».

Discleamer : OH PUTAIN OWWWI ! Ils sont tous à moi ! è_é KYOYA ! MUKURO ! FRAN ! BELPHEGOR ! :DD ! Owaaaai ! /SBAARF#/ .. Ou.. Ou pas. .w. !

Rating : Je ne sais pas. ._. Je n'ai même pas compris l'principe donc bon. .o. /SBARF/ . Ok, ok, on va dire T, qui va passer au M plus tard. 8D !

Résumer : Bonjour je suis un biscuit. /SBARF/ . Ok,ok, je me tais. "Et si Kyoya avait perdu la tête ? Et si les parents de Kyoya avaient décidé de le faire suivre par un psychologue ? Et si ce psychologue n'était que… Fiction Psychologique romance Yaoi."

OoOoOo

Chapitre 1.

Il courait, buttant tous les recoins. Il se tenait la joue, qui le faisait souffrir après avoir percuté un mur en pleine face. Pourquoi faisait-il si noir ? Pourquoi perdait-il son sang froid ? Pourquoi courait-il ? Où était-il ? Comment ? Pourquoi ? Les questions défilèrent sciemment dans son pauvre crâne endoloris, endormis. Il se sentait sale, les cheveux gras sans doute, l'odeur aussi. Ses muscles commencèrent à fatiguer, depuis combien de temps courait-il aveuglement ? Sa main passa sur son visage, soupira en tâtant ses cils. Il n'avait rien qui lui couvrait la vue, pourtant, il ne voyait rien. Soudain, ses pensées cessèrent immédiatement. Il avait percuté un mur beaucoup trop fort.

_ Kyo~ya-cha~n ! Souffla une voix mielleuse dans ses oreilles, tirant celui-ci de ses songes.

Le prénommé Kyoya se leva en sursaut, haletant. Il posa une main sur son cœur, entendant les battements frénétiques. C'était quoi ce bordel ? Ce putain de rêve avait paru si réel, bien trop. Il avait l'impression de ressentir encore les même sensations, les même odeurs, la même peur inavouée. Il tenta de calmer sa respiration du mieux qu'il pouvait, toisant ensuite du regard la jeune femme qui l'enlaçait à ses dépens.

_ Dégage. Cracha sans ménagement Kyoya à la jeune fille tout en retirant son bras pour s'étirer et bailler en paix.

La maltraitée fit une moue, mimant le fait d'être blessé. Mais Kyoya savait qu'elle ne l'était pas plus que ça, elle était même habituée, maintenant. La jeune femme passa sa main dans ses cheveux dorés, étincelant, ses prunelles d'un vert clair paraissaient froid, contrairement à ses lèvres, qui lui offrait un sourire amusé, resplendissante. Oui, c'est ce qu'aurait pensé Kyoya s'il n'était pas lui-même. Même mort, il l'a trouverait repoussante.

Le jeune homme se leva, ramassa une chemise sur le sol ainsi qu'un pantalon et enfila le tout. La blonde devait surement être en train de parler, -elle ne faisait que ça de toute manière-, mais il n'y prêtait pas plus attention que cela. Son regard parcourra sa chambre tout en repensant brièvement au cauchemar. Il ne savait pas quoi en penser donc en conclut qu'il ne fallait pas y faire attention. Arh, ses oreilles le faisaient souffrir. Il aurait bien mit une droite à la jeune fille, il l'aurait bien mordu à mort. Elle n'était qu'un parasite. Un herbivore se faisant passer pour un carnivore, comme tant d'autre. Elle n'était que sa… son horrible...

_ .. Fiancé ! Soupira la jeune fille, comme s'il elle avait lu dans ses pensées. Eh non, Kyoya savait que la blonde n'avait fait que terminer sa phrase, elle parlait beaucoup trop, c'était un pur hasard.

Il soupira et la regarda d'un air morne, avait-elle besoin de le répéter à longueur de journée ? Il souffrait déjà bien assez. Hibari toisa du regard sa dite fiancée, la dissuadant de continuer ses radotages. Les herbivores devraient tous être mordus mort. Ses parents encore plus, son père devrait mourir. Hibari Kyoya devrait aussi mourir. Non, non, pas qu'il soit lui-même herbivore. Hors de question. Juste à tendance... Suicidaire ? Peina à penser Kyoya. Mais grâce à qui ? Il regarda en coin la jeune fille qui avait sortis une trousse à maquillage et se parfumait. Ca puait. Il avait bien envie de l'étrangler. Ses pulsions meurtrières augmentaient dès que la femme était dans son champ de vision. Un bruit retentie, elle avait refermé son poudrier et était passé au rouge à lèvre d'un rose écœurant. Celle-ci avait remarqué le regard de son fiancé sur elle, elle souriait joyeusement à son miroir, elle savait qu'il observait tous ses gestes. Son étirement des lèvres ne fit que s'amplifier. Hypocrite, pensa Kyoya.

Ses parents étaient stupides, ils n'étaient que des herbivores suicidaires. Kyoya, lui, était suicidaire tout court. Tout seul dans sa chambre, il passa une main sur son visage et se mit à rire. Il riait beaucoup ces temps-ci. Mais pouvait-on appeler ça un rire ? Un rire est censé être joyeux, non ? Allongé, pensive, Kyoya mordillait la manche de son T-shirt déjà trempée. Il était fou, fou allié. Deux heures que la jeune femme étaient partit à sa séance de Yoga, deux heures que Kyoya riait à en devenir fou. Il avait bien envie de prendre la hache posé sur le tronc d'arbre, elle était si tentante, devant sa fenêtre. Là, juste sous ses yeux. Il pourrait tuer sa mère, le chat de sa mère. Son père aussi. Et… Et l'horrible fiancé ainsi que ses sourires hypocrites et ses manières superficielles. En avait-il le droit ? Namimori serait-elle en paix si Kyoya était en prison ? Qui protégerait sa ville, son collège, son Lycée ? Il lâcha un rire, ou plutôt un gloussement étouffé. Aucune ville ne voudrait d'un protecteur comme lui.

Pourtant, Namimori était bien la seule chose à laquelle il ne voulait pas faire de mal.

Kyoya tourna et changea de position, les dimanches étaient ennuyants. La vie était ennuyante. Rokudo Mukuro, son ancien professeur et futur psychologue était ennuyant. Sa fiancée était aussi ennuyante.

Une minute... Ro.. Rokudo Mukuro ? Kyoya resta interdit, pourquoi son ancien professeur, serait à présent son psychologue ? D'où avait-il sorti cette phrase ? Personne ne lui avait parlé d'un quelconque psychologue. Déconcerté, il fronça des sourcils, sera le poing. Il avait bien conscience qu'il était malade. Mais de là à dire des choses sans résonnement. C'est comme s'il disait que Hibird était bleu. Ou alors qu'il était un fichu aigle. Ce n'est pas gracieux et charmant les aigles, soit dit en passant, il n'aime que les animaux petits. Bref, il se perdait dans ses pensées, comme à son habitude.

La porte frappa, obligeant Kyoya à ouvrir la bouche et parler. Il détestait cela. Froidement, il somma la personne d'entrer, n'était-ce pas ce que toute personne normal faisait ? Une silhouette apparut, timidement, et fouilla sa chambre pour noter le désordre. Elle leva la tête vers son enfant, et lui fit un sourire qui se veut être chaleureux. Saleté d'hypocrite.

_ Ky.. Kyoya, mon fils, t.. Ton père a décidé.. Elle coupait sa phrase, vérifiant à chaque fois que celui-ci se trouvait loin d'elle, avait-elle peur de son propre fils ? Oui, surement. T.. Tu n'as pas l'aire d'aller bien, a.. Alors.. Elle butait presque sur tout le mot, ce qui eut le don d'agacer Kyoya, qui serrait à présent le poing. Nous avons pensé que plusieurs visite chez un psychologue te…

Kyoya n'écoutait déjà plus. Figé. Il était fou, fou, fou. Mais il avait su que ses parents iraient lui coller un psy au derrière. Aussi sur que son prénom, il savait que ce psy ne serait que Rokudo Mukuro.


Voilà voilà. ._. Ca doit bien faire deux ans que je n'écris plus ! J'espère ne pas avoir fait trop d'erreurs. TT'

Bref, n'hésitez pas à me critiquer, mais en justifiant. .w. Ça ne pourra que m'améliorer ! è_é ! /SBARF/

À la prochaine~ ! :3