I'M BAAAACCCCKKK ! Et oui les gens, c'est bien moi ! Ouuiii ! Comme ça me fait plaisir d'être là ! Oui, entre mes pauses et mes promesses de parution que je ne tiens pas, me voilà de retour, avec une histoire que beaucoup attendait, même si je n'en ai jamais parlé.
Oui, ceux qui suivent L'épopée ASL (le prochain chapitre sort bientôt je le ju….non en fait je n'ose plus rien promettre, mais oh, les gars, j'ai des raisons ! Heu, j'expliquerai ça plus tard.) sachent qu'un très grand mystère plane sur un certain blond. y avait pas mal d'hypothèses. Et aujourd'hui je suis là pour briser le mythe ! bon, si vous lisez cette fic, vous risquez d'être un petit peu spoilé, mais d'un autre côté, la plupart avait deviné, alors….
Oda a tout le crédit, bla bla, véritable auteur, bla bla...vénérons-le etout etout...
Bonne lecture!
Les enfants sont des êtres à part. Il ont leur propres philosophies, leurs propres morales, leurs propres mœurs, leur sens simple et subtile d'aborder la vie d'une manière tranquille et douce. C'est évident, tout le monde, des chiens au grands-parents, tout le monde vous aime. Tout le monde vous protège, la vie est un immense terrain de jeu, et la vie est l'aventure. Tout est à expérimenter, tout est à voir.
Oh, bien sûr, ils ont des soucis. Pas très grands, des petits chagrins, par ci par là, pourquoi maman ne m'a donné mon goûter, est-ce que le noir va m'englober….ce genre de chose. Mais il y aura toujours quelqu'un pour vous rattraper.
Sauf qu'un jour, on tombe. Un chute. Des os brisées. Un décès. Quelque chose meurt à l'intérieur.
Et voilà. On est grand. Parce que papa est parti dans les étoiles. Parce que on ne comprend pas pourquoi notre meilleur ami passe son temps à dormir à l'hôpital et à la maison à vomir. Ce genre de choses. On comprend, soudain. Et on est grand.
Mais il y a pire que cela.
Il y a ceux qui n'ont jamais eux d'enfance. Ceux auquel on a volé ce bonheur.
Des gens qui n'ont jamais eu personne pour veiller sur eux. C'est ainsi. Cela existe.
L'enfant, blond, assis à pleurer devant l'océan, le savait bien.
Il était né à part. Il était le dernier né d'une famille de quatre enfants.
Son père était un colonel du quartier général de la marine réputé. Il avait seulement un mauvais souci.
Il n'était pas honnête. Il fut bientôt poursuivi par ses autres collègues tout aussi illustres. Il réussit à se cacher sur cette île de South Blue. Une île loin de tout, ignorant les rumeurs, les pirates, l'instruction et vivant de leurs champs, sans curiosité de savoir ce qu'il y avait après cette immensité bleue.
L'homme avait de l'argent, il était beau, et savait parler. Toute l'île devient bientôt à sa botte.
Lui se croyait particulièrement supérieur à tous. Il les traitait comme ses valets, et eux, désireux d'entrer dans leur bonnes grâces, ça leur convenait tout à fait.
Il s'était installé dans une maison sur la colline. Une belle maison, une riche maison. Il s'était marié, et avait eu trois garçons, auquel il inculpa ses valeurs discutables dès qu'ils furent en âge de les comprendre. Oui ils étaient supérieur. Oui, il était normal que tout le monde rampe face à leur famille.
Mais l'homme restait ce qu'il était. Il allait souvent s'encoquiner auprès des femmes de la taverne.
Mais bien mal lui en pris.
Et un jour, l'une d'elle frappa à la porte de son manoir.
Il voulut la faire partir, d'abord. Mais elle insistait. Tout son être était perdu dans un sentiment de terreur, qui dépassait l'homme. Il la laissa entrer.
Celle-ci tenait un paquet entre ses mains. Elle le tendit à l'ancien marine :
-Tu dois t'en occuper ! C'est le tien ! C'est le tien !
Il prit le paquet avec curiosité. Paquet qui se mit à hurler.
C'était un bébé. Un bébé blond.
-Tu dois t'en occuper, je n'ne veux pas, je n'en veux pas ! C'est le tien !
Elle hurlait, en s'arrachant les cheveux pas moitié. Il la gifla.
-Mais que veux-tu que j'en fasse ! C'est ton fils, catin, j'ai déjà trois garçons. Prends tes responsabilités.
-non !
Elle avait hurlé si fort qu'on entendit un pleur, en haut. Mickael, son plus jeune fils, venait d'être réveillé. Deux enfants pleuraient dans la pièce à présent.
Il la gifla donc encore plus fort, laissant une belle trace.
-Vas-t-en ! Ou je te tue, sale paysanne.
-nooon !
Elle pleurait, à genoux, s'accrochant désespérément à ses jambes. Il ne savait quoi faire dans une telle situation, à part mettre sa menace à exécution, ce qui ne le gênait pas le moins du monde.
-Je n'en veux pas…il me fais peur. Il a un pouvoir…C'est le tien…C'est le tien…
Elle sanglotait doucement contre lui. Mais l'homme n'en avait cure. Il commençait à regarder d'un œil nouveau le garçon dans ses bras. Voir à envisager de ne pas lui fracasser le crâne contre un mur.
-quel genre de pouvoir ?
La femme se releva précipitamment, avec dans ses yeux fous, l'espoir de voir sa requête exaucé. Elle prit une aiguille qui retenait un bout de sa robe, et sans ménagement, ni l'ombre d'un pseudo-amour maternelle, piqua le bras de son fils. Celui-ci se mit à hurler plus fort, et l'homme allait le laisser tomber par terre…
Quand quelque d'extraordinaire se produisit.
De très légères flammèches apparurent.
Et guérirent les gouttes de sangs.
L'ancien marine observa sidéré ce spectacle. Il avait entendu parler quelques années auparavant d'un tel pouvoir.
-non ?
Mais c'était impossible ! C'était un fruit du démon, qui plus est l'un des plus rares qui soit sur ce monde ! l'enfant n'avait que quelques jours, ça ne pouvait pas….
Oui…ce fruit du démon, que bien des gens recherchaient en vain….Il ne comptait plus les rumeurs à son sujet…qu'il accordait l'invincibilité, l'immortalité, la jeunesse éternelle….
Un fruit qui guérit chaque parcelle de votre cœur.
Un fruit qui empêche presque de mourir.
L'homme devint rêveur. Que faire d'un tel fruit ? Non…plutôt que faire d'un enfant disposant d'un tel fruit ? Tout. Il ne mourra pas.
On peut le frapper, le faire travailler à mort, le pousser d'une falaise, lui faire courir tous les risques.
Il ne mourra pas.
-Je le prends, dis-t-il, soudain, sur le ton de l'homme qui a acheté une breloque à un marché.
La femme poussa un cri de joie. Il la battu un peu, pour la forme, et elle s'en alla. On ne la revit plus jamais, ni sur l'île, ni ailleurs. Pas que l'homme s'en souciait de toute façon.
Il confia l'enfant à sa femme. Celle-ci avait compris l'origine batard du nom et hait au-delà du possible l'enfant. Mais la consigne était clair. Quand « elle oubliait » de le nourrir plusieurs jours d'affilée, elle se faisait sèchement corrigé par son mari. Il méprisait lui aussi l'enfant, qu'il considérait encore plus inférieur à ces idiots de paysans, mais il en avait besoin. Un jour, oui, un jour, il allait lui faire gagner beaucoup d'argent.
Dès que l'enfant sut tenir sur deux jambes, ses soits-disants parents lui assignèrent toutes les tâches ménagères. Tandis que ses frères, avaient les meilleures morceaux de viandes, lui devait survivre avec quelques soupes et légumes. Ses frères le battaient, se moquaient de lui, le pointait du doigt. Dans leur tête où tout s'était mélangés, ce sale gamin blond avait Sali l'honneur de la famille.
Ce fut d'ailleurs la rumeur, du reste justifié, qui traina sur l »île. L'enfant blond, puisque personne n'avait pris la peine de lui donner un nom était le fruit d'une passion interdite. Mais on n'avait pas moins peur de l'ancien marine, alors on ne disait rien devant lui et courbait l'échine.
Mais tous les gens du villages, encouragés par le père était persuadé que ce gamin était du diable, et allait apporter les pires malheurs.
Les enfants étaient les pires. Menées par ses frères, ce n'était que tir de cailloux, insultes, et coups. Mais dès que les flammes apparaissaient, ils allaient en pleurant avertir leurs parents, et l'ancien-marine battait son fils.
Le garçon ne disait rien. Après avoir entendu toute son enfance qu'il n'était qu'un démon apportant le malheur, il s'était laissé convaincre que son pouvoir était nocif. Un poison. Mais pas une chance.
Ainsi grandit l'enfant. Sans famille, sans amis, et sans amour.
Jusqu'à ses 7 ans….
Le garçon sans nom était à l'abri dans la forêt. Ivre du chagrin qui parfois le réveillait dans la nuit, il s'était réfugié dans le savoir. Il avait appris à lire tout seul. Il était exceptionnellement intelligent pour son âge. Il affectionnait particulièrement la navigation. Il avait compris, dès ses 5 ans en fouillant la bibliothèque de son père, qu'il aurait besoin de savoir.
Contrairement aux autres, l'océan était son refuge.
Il se prit soudain un caillou par derrière. Il lâcha son livre et se retourna.
C'était ses trois frères. L'ainé ricanait, tandis que le plus jeune s'éclaffait, en jetant un son tour de la terre.
-Bah, alors, cria-t-il, pourquoi t'es tout seul ?
-Mais voyons, lui répondit l'ainé, tu sais qu'il n'a pas d'amis. Personne ne veut de lui sur l'île.
Seul celui du milieu restait en retrait. Il ne voulait pas particulièrement du mal au blond, mais en même temps, si tant de gens le détestait…il devait bien y avoir une raison, n'est-ce pas ?
-On devrai peut-être le laisser un peu tranquille, non, murmura-t-il ?
L'ainé, qui s'appelait Jonathan, se retourna. Il prit son frère par le col :
-Attends, Tristan. D'où tu défends cette enflure. Tu vas pas me dire qu'il ne le mérite pas ?
-Si ! Bien sûr que si ! Je le sais, que tout ce qui se passe de mal sur l'île est de sa faute ! Mais…ça reste notre petit frère, non ?
Il crut que Jonathan allait le frapper. Mais il le laissa simplement tomber, et lança un cailloux plus fort sur le petit pour se calmer les nerfs.
-Ce n'est pas notre frère, Tristan. D'ailleurs regarde : il est blond, nous on a des très beaux cheveux noirs. On sera comme papa quand on sera grand. Lui il restera moche toute sa vie.
Mais il s'interrompit. Les flammes était sortir de la joue du garçon, qui avait reçu le cailloux au visage. Celui-ci en dit toujours rien.
Les trois garnements partirent en courant.
Marco soupira. Il avait l'habitude, et pourtant c'était à chaque fois insupportable. Pourquoi ce serait à lui d'être puni alors que c'était lui qu'on frappe ?
Quelques heures plus tard, alors que le soir tombait, il décida de rentrer. Au passage, il croisait toujours les regards haineux des villageois. Les plus courageux allaient jusqu'à lui mettre une taloche derrière la tête. Cette petite claque qui vous démonte le cervelet.
Il se frottait la tête, en baissant les yeux. Ne rien dire était devenu son mode de survie afin de ne pas hurler.
En rentrant chez lui, il se prit une gifle de son père.
-Alors comme ça, tu as encore utilisé ces répugnantes flammes.
Le garçon ne répondit pas. Il se prit en conséquence une gifle plus forte sur l'autre joue.
-tu ne peux pas être mon fils. Je n'ai pas pu mettre au monde un gosse aussi immonde.
L'homme était grand, avait une imposante stature, un regard fier et des cheveux noirs qui lui tombaient sur le visage. Le blond ne lui ressemblait en aucun cas. Il avait sans doute tout pris de sa mère.
Celle de ses demi-frères étaient mortes il y a deux ans.
C'était de la faute du petit blond, bien sûr. Il se prit en conséquence la raclée la plus monumentale qui soit, qui le faisait encore frissonner aujourd'hui.
Pour sa punition, il fut à nouveau enfermé dans sa chambre sans manger. Sa chambre tellement petit qu'elle pouvait passer pour un placard à balai.
Comme toujours dans ce genre de cas, l'enfant se dirigea vers sa fenêtre.
Elle donnait sur la mer. Dans ses cas-là, quelque chose dans le cœur meurtri de l'enfant semblait vouloir sortir. Bien mieux qu'un rêve : un espoir.
Cette mer, ce monde bleue, abritait forcément la vie quelques parts. Il se demandaient comment étaient ses habitants, quelles étaient leur coutumes. Il s'endormaient avec le vent qui berçait l'espoir que quelque part là-bas, se trouvait sa place. Sa place à lui.
Sa place, qui dès le lendemain, allait lui faire un signe.
Même si pour l'atteindre, il allait devoir passer en Enfer.
Dès demain, son aventure commencerait.
Tu veux vivre ? il va falloir le mériter, petit.
Il se réveilla en sursaut. Il toussa. Ses yeux le piquaient. Il avalait de la fumée.
Paniquée il se leva précipitamment du bord de fenêtre sur lequel il s'était endormi.
Son village entier était la proie des flammes.
Et autour de lui, la chaleur, le rouge se rapprochait.
Il aurait voulu bougé, mais il était paralysé.
A reculons, avec ses mains, il rampait vers le mur.
Non ! Ça ne pouvait pas finir comme ça ! Il en pouvait pas mourir sans avoir vu la mer !
Il mit ses mains pour se protéger la tête. Ses larmes s'évaporaient dans la chaleur.
Soudain il releva les yeux.
Il était dans les flammes, cela ne faisait aucun doute. Mais alors….pourquoi ne ressentait-il pas la brulure ?
Il se leva maladroitement. Non. Aucune douleur.
Pour la première fois de sa vie, il envisagea son pouvoir comme une chance.
Il se colla à la fenêtre.
Sur le bord, un gigantesque et luxueux bateau avait jeté l'ancre. Des hommes en costard et avec fusils en sortaient.
Soudain, un homme en costume de cosmonaute, descendit à son tour. Il était port » par un homme en chaine.
L'enfant était terrifié par ce spectacle.
Il ne le savait pas, mais quelqu'un avait alerté le gouvernement mondial. Peut-être dans son village. Peut-être un marchand qui posait parfois le pied sur l'île.
Mais on les avait averti qu'un garçon incapable de mourir était là.
Tous les autres, avertis, s'étaient réfugiés dans la forêt dans la nuit.
Et on l'avait laissé là.
Il ne le savait pas, mais on l'avait abandonné.
Se penchant un peu plus pour voir si quelqu'un d'autre se trouvait dans la rue…il tomba en avant. Le mur était fragilisé, et bientôt en cendre. Il poussa un cri de terreur.
Il était au dernier étage de sa grande maison. Il vit le sol se rapprocher inexorablement. Il poussa un cri. Il ferma les yeux.
Mais était-ce son imagination ? Il eut la sensation…La très légère sensation….de ralentir. Il sentit sa joue dans l'herbe sans aucun dommage, ou presque. il ouvrit les yeux.
Et fusse la terreur ? Pendant un instant, il crut voir deux éclairs dorés dans le ciel.
Qui s'estompèrent aussitôt.
L'enfant, sonné, se mit sur ses avant-bras en relevant la tête.
Un dragon-céleste le regardait.
-Immonde roturier.
Il avait un pistolet dans la main.
Le blond poussa un crie t tomba de nouveau dans l'herbe.
Pourquoi ? pourquoi ?
-Peuh, murmura l'esclavagiste. Ce n'était qu'une fausse rumeur alors. Je vais réduire leur village en cendre.
Mais avant que sone esclave puisse tourner les talons, il vit quelque chose qui le fascina assez pour qu'il puisse arrêter.
Des flammes bleues étaient apparurent. Le trou que l'enfant avait dans l'épaule rétrécit, petit à petit. Puis il se referma totalement.
La balle était par terre.
Le Dragon Céleste resta un long moment ébahi. Puis il se mit à rire :
-Je le veux !
Il se tourna vers un homme en costume, et hurla :
-Je le veux !
-Oui, monseigneur.
L'enfant était hébété . il en comprenait pas. Pourquoi, Pourquoi ?
C'était ce qu'il se répétait en boucle, quand on lui passa de nombreuses chaines, quand on l'amena sur le navire, quand celui-ci partit sur la mer, la mer dont il avait tant rêvé, tant espéré, et qui s'ouvrait sur un cauchemar.
….Combien de gens ne se sont pas encore tirés de balles dans la tête ? Oui, je sais c'est affreux, tout simplement affreux ! Mais je vous jure a que ça va s'arranger. Dans deux ou trois chapitres maximum, notre cher blond va rencontrer un certain pirate en quête de famille.
Tiens, oui d'ailleurs, je me demande qui c'est cette enfant, que l'auteur en prend même pas la peine de nommer. Peut-être que…oui bon d'accord, vous avez tous deviner, briser-moi mes rêves, allez-y, bouh ouh !
Bond, déjà au prochain chapitre, M….heu le petit blond va rencontrer un personnage (OC) qui va un peu vous redonner espoir….et ensuite, je vous promet que vous allez rire. Oui, c'est très très mal barré, maiiis….faites-moi confiance.
N'empêche, c'est vrai…Cosette, Robin, Raiponce, je lui ai fait la totale au gamin.
Paix, amour, et lampe de chevet, copain.
Une petite review, pourrait, je en sais pas, m'inspirer pour que le chapitre sorte un peu plus vite…Je dis ça, je dis rien…..
