Le personnages appartiennent à J.K.R.

Note d'auteur: ça fait un moment que je pense à écrire sur les sœurs Black, et Baaldr m'a redonné envie de le faire. Voilà donc, je commence par Bellatrix. Je pensais faire un os, mais finalement je trouve ça mieux en trois parties ^_^

j'ai hesitée à le mettre en M parce que je ne suis pas très familiarisé avec le rating...

Sauvage, méchante, Bellatrix est une lionne au milieu des serpents. Prédatrice, ses longs cheveux noirs frisent lorsqu'il fait froid et volent derrière elle quand elle tournoi dans les airs, sa batte de quidditche au poing. Elle est déchaînée, quoi qu'elle fasse, nul ne peut l'emprisonner. Bellatrix danse, enveloppée dans ses robes de sorcière, danse en cadence avec la décadence de l'adolescence.

Elle a des lèvres pleines, gonflées, derrière lesquelles se cache une langue agile et des dents aiguisées, elle mord, embrasse, suce, lèche la peau de Rabastan, celle d'Evan, et capture la bouche de Cassandra tout en même temps. Elle a la peau douce, comme un velours excessivement cher, et suavement caramélisée, brûlante de la chaleur du soleil de mai et de la fureur de ses amants. Elle a les yeux gris orage, un étrange reflet violacé tremble au fond de ses pupilles et ses cils noirs et épais ont quelque chose d'hypnotique. Ses mains sont agiles, ses doigts passent et repassent sur toutes le formes de tous les corps, partout ou sa bouche est déjà passée. Sa poitrine est lourde, ronde, ses tétons dressés apparaissent sous le tissu de ses vêtements, et ses seins se soulèvent en rythme avec sa respiration continuellement saccadée. Elle s'excite de tout, transpire la joie de vivre, chante, danse, vole, crie. Elle éclate d'un rire goguenard, moqueur, quand le jeune garçon dans ses draps fait preuve de maladresse, et le domine avec tendresse, pour prendre le dessus, prédatrice. Elle chevauche jusqu'à l'aurore, et s'effondre de fatigue dans les premiers rayons du soleil, le corps tremblant d'extase, les joues rosies par l'orgasme et les yeux brillants de plaisir. Ses lèvres sont gonflées par trop d'embrassades et ses cuisses humides de jouissance. Les boucles de ses cheveux noirs encadrent un visage de reine, redevenu humain après cette rude nuit d'été, et au réveil, la gorge sèche de nouveau et le cœur qui bat d'envie, lorsqu'elle tente d'embrasser la gorge de son partenaire de jeu, les draps sont désespérément froids. Vides. Un peu comme elle.

Bellatrix, on l'aime une nuit.

La lionne repart en chasse, une lumière violette et violente éclaire son visage d'une passion animale. Ses seins lourds s'écrasent contre des robes de sorcières trop chères et trop serrées, qui finirons en lambeau, ce soir, à la nuit tombée.

Bellatrix, elle aime chaque nuit, chaque visage, chaque corps, chaque bouche, chaque vie. Bellatrix aime vite, fort, mal, égoïstement, elle aime et elle oubli. Ses draps sont toujours sales, toujours brûlant, s'y mélangent mille odeurs d'adolescents. Elle est toujours brûlante, toujours si passionnée et n'a pas le temps d'être amoureuse trop longtemps, il lui faut combler ce vide qu'elle ressent, peut importe que ce soit Cassandra ou Rabastan.

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