!Important!
Cette fic contient des (énormes) spoilers du tome 17 de Fruits Basket ainsi que des spoils du chapitre 123 (donc du tome 20 qui n'est pas encore sorti en France). Si vous n'avez pas lu lesdits tomes/chapitres et si vous ne voulez pas avoir de grosses surprises, ne lisez pas cette fic.
Notes : ma dernière fic complète en date... Que dire ? Un peu de violence, quelques morts, une fic assez sombre. (Mais je l'adore n.n") Comme d'habitude, je rajoute mes propres personnages ; je glisserais leurs fiches à la fin des chapitres.
... rien d'autre.
Bonne lecture.
Disclaimer : Les personnages de Fruits Basket ne m'appartiennent pas, ils sont à Natsuki Takaya. Le reste est à moi.
Negaeri.
Prologue : Libération et autres problèmes.
La libération vient le jour où l'on peut dire : "J'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai reçu ce que j'avais à recevoir, j'ai donné ce que j'avais à donner." (Swami Prajnanpad)
Momiji leva les yeux. Les larmes roulaient sur ses joues, sans qu'il puisse les en empêcher. La libération… Sa libération, à lui seul… Elle était venue si facilement…
Si simple, mais en même temps tellement complexe qu'il ne savait pas comment le lien s'était dénoué…
C'était fait.
C'était tout.
Désormais, il n'était plus – ne serait plus jamais – le lapin maudit du junnishi…
¤¤¤
Mirai ferma les yeux.
« - Tiens ? On dirait qu'il est temps d'y aller… »
Un sourire plana un moment sur les traits de la jeune fille. Oui, il était temps… La malédiction de la famille Soma durait depuis trop longtemps maintenant… Des siècles passés ainsi… Bien sûr, elle s'était affaiblie. Pas assez pour se défaire sans aide, bien sûr.
Bien sûr.
Donc, elle partait. Bien. C'était la seule chose qu'elle attendait, de toute façon, la seule chose pour laquelle elle vivait.
Mirai se leva et descendit les escaliers, jusqu'au salon. Sa mère était assise devant la télévision, comme souvent.
« - Maman ? appela-t-elle. Je dois y aller. »
¤¤¤
Momiji n'entendit pas la porte s'ouvrir. Le visiteur, quel qu'il soit, était particulièrement discret. Pas une planche ne grinçait sous ses pas. Pas un soupir ne s'échappait de ses lèvres.
Lentement, il s'approcha du jeune blondinet qui avait autrefois été maudit…
Un souffle.
Un visage qui se retourne.
Et Momiji perdit connaissance dans les bras d'un jeune homme aux yeux bleus plus sombre qu'un ciel nocturne…
A suivre...
