Cela allait faire deux mois que Zeus avait ressuscité les chevaliers d'or et Shion, le Grand Pope, ainsi que le chevalier divin de Pégase, Seiya, qui garde néanmoins des séquelles de son combat contre Hadès, à la fin duquel il avait fini le combat avec l'épée de celui-ci fichée dans son cœur.
Un de ces chevaliers s'était réveillé ce mois-ci, alors que Shun allait voir son ami. Il entra alors dans le palais du Grand Pope, le sol de celui-ci était en marbre blanc, au fond de la salle où Shun se trouvait il y avait un trône en or ou en platine, l'or suprême qui est la couleur du cosmos du Grand Pope. Cette salle était entourée de colonnes en marbre blanc qui formait une allée menant au trône du Grand Pope. Shun entendit du bruit provenant d'un couloir se trouvant à côté de la salle du trône. Il s'approcha alors du couloir et vit Aiolia en pleine conversation avec son frère, Aioros. Shun resta écouté la conversation et se cacha derrière une colonne lui permettant d'écouter sans se faire voir.
-Pourquoi tu ne lui dis pas ? Demanda ardemment Aiolia.
-Je n'ai pas le droit. Tout comme Camus, Shura et Milo, je ne peux pas le lui révéler. Répliqua Aioros tendu.
-Camus est différent, il est distant et il a un cœur de glace, mais je n'ai rien contre Shura et Milo qui sont comme toi. Argumenta la lion d'or. Alors que vous êtes, tous les trois, amicaux, sympathiques et chaleureux ainsi qu'attentionnés. Tu sais, il voudrait te voir plus souvent et te connaître. Quand je vais le voir, il me demande comment tu vas, c'est quoi ta personnalité. Aioros, il voudrait connaître celui qui l'a aidé dans ces combats, dans la destruction du pilier central du sanctuaire de Poséidon et contre moi pour me montrer que je servais le mal et non la déesse Athéna. Même son parrain va le voir malgré le mal qu'il lui a fait, il veut se faire pardonner. C'est difficile pour nous trois, car lui voudrait te connaître et nous, nous souffrons intérieurement. Toi car tu ne veux pas ou ne peux pas le lui révéler et moi car à chaque fois que je vais le voir je vois sa mère que j'aimais autant que toi ! J'ai envie de le lui révéler mais je me fais violence parce que ce n'est pas à moi de lui dire mais à toi, son père... Je tiens juste à rajouter une petite chose... Shun sors de là et arrête de nous espionner cela ne te concerne pas.
-Au contraire, Aiolia cela me concerne, j'ai compris que vous parliez de celui que je considère comme mon frère. Je te rappelle qu'il a été critiqué dans son combat contre un guerrier pour pouvoir revêtir l'amure de l'espoir car il était d'une autre nationalité que grec. Ajouta Shun. J'ai une question pour vous deux, puisqu'apparemment vous parlez de ses origines et de ses parents. Qui sont ses parents ? Demanda le chevaliers divin d'Andromède déterminé à savoir les origines de son ami.
-Je suis son père et sa mère c'est...
-Ne lui dit pas, sinon tu seras châtié et je n'ai pas envie de perdre mon frère une deuxième fois. Dit Aiolia en coupant la parole a son frère complètement paniqué.
Soudain les deux frères et Shun ressentir un immense cosmos chaleureux qui approchait et qu'ils reconnurent comme étant celui d'Athéna, la déesse qu'ils protégeaient depuis plusieurs années maintenant.
-Aioros, tu peux le dire à Shun, le seul moment où tu peux être châtié c'est si tu révèles cela à ton fils sans la permission de sa mère et du conseil des quatorze. Annonça la déesse.
-Bien déesse Athéna, est-ce que je peux lui dévoiler les origines des chevaliers divins ? Demanda le sagittaire visiblement soulagé.
-Oui, tu peux. Répondit-elle avec un visage rassurant.
-Merci, déesse Athéna, je vais pouvoir libérer mon cœur d'un poids très lourd que je n'arrive plus à supporter.
-Bien je te dis à une prochaine fois, et si dans quelques jours tu veux le lui révéler alors tu pourras. Sa mère vient nous rendre une petite visite dans 3 jours pour vous voir. Ce n'est qu'à ce moment-là en compagnie de sa mère que tu pourras lui dire ce que tu vas dire à Shun dans quelques minutes. Au revoir Aioros.
-Bien déesse Athéna.
La déesse au long cheveux violet était habillée d'une robe d'été blanche avec autour de la taille une fine ceinture d'or et d'argent tressée, elle avait un drapé blanc sur son épaule retenue par une broche en or avec une chouette gravée sur celle-ci. Elle était magnifique avec son cosmos doré qui respirait l'amour, la justice et la sagesse, on pouvait aussi ressentir dans son cosmos de la tristesse. Shun se fit la remarque que quelque chose clochait pour qu'il puisse sentir de la tristesse dans le cosmos de leur déesse et se dit que cela avait sûrement un rapport avec les origines du chevalier divin de l'espoir.
-Ouf, j'ai eu peur, j'ai cru qu'elle allait hurler et se mettre en colère contre toi, Aioros. Annonça le lion rassuré que son frère n'a rien eu.
-Oui, moi aussi.
-Bon, Aioros tu vas me dire ce que c'est que ce poids dans les 5 minutes qui suivent car sinon je te jure que je vais le voir et je vais lui dire que tu es son père et que Aiolia est son oncle, est-ce clair Aioros ? Annonça Andromède visiblement énervé par tous ces secrets.
-Très clair, Shun. C'est qu'il fait peur quand il se met en colère, quoique je soupçonne Hadès de lui avoir laissé certains de ses pouvoir et une partie de son caractère. Pensa Aioros un peu apeuré par la menace de Shun. Donc comme je l'ai dit je suis le père de du dieu de l'espoir et sa mère est Perséphone.
-Tu te fou de moi là Aioros ? Tu veux dire qu'il est le cousin d'Athéna ?
-C'est exact, mais il faut que tu sache une chose, eh bien vous, les chevaliers divins, vous n'êtes pas comme les autres chevaliers, comment dire ...
Aioros hésitait à révéler cette partie de l'histoire à Shun, le choc qu'il avait eu lorsque Athéna lui avait révélé que son fils était devenu un dieu, il ne voulait en aucun cas le faire subir à cet être pur qu'est Shun après avoir subi la possession de son corps par Hadès, Dieu des Enfers et des Morts.
-Comment ça on n'est pas comme les autres chevaliers ? Mais explique-toi ! Par Athéna, parle !
En voyant l'air déterminé d'Andromède, Aioros n'eut d'autre choix que de continuer son histoire et ce malgré sa réticence, il voyait bien que son frère n'était pas mieux que lui dans ses réflexions à ce sujet.
-Eh bien vous avez tous du sang divin qui coule dans vos veines. Même si Athéna ne vous aurait pas donné son sang, vos armures se serez quand même transformés en armures divine car elles auraient réagi avec votre sang à demi-humain et à demi-dieu. Je vais te dire quelque chose Shun, c'est que toi et mon fils, vous avez atteint le stade de dieu, non pas mineur mais Olympiens alors que vos compagnons ne sont que des Héros.
-Ton fil et moi, nous somme les dieux qui représente quoi ?
-Mon fils c'est l'Espoir et toi c'est l'Amour.
-Moi ! Dieu de l'Amour ! ? C'est impossible, j'ai été choisi par Hadès pour être sa réincarnation sur Terre. Répliqua Shun surpris et choquer plus qu'il ne voulait le faire croire par la révélation que venait de lui faire le pégase doré de la garde d'Athéna.
-Et ce malgré la mise en garde de ta mère. Murmura Aioros pour lui-même en regardant en coin le chevalier divin
-Merci, de m'avoir prévenu. Bon, je vais aller voir mon cousin. Fit Andromède apparemment troublé par toutes ces révélations d'un coup.
Pas un mot de ce qu'on vient de te dire à mon neveu et aux autres. Compris, Shun ? Insista le lion devant Shun inquiet pour son frère comme pour son neveu.
-Oui ne t'inquiète pas Aiolia. Je n'ai pas envie que l'espoir perde son père une deuxième fois alors qu'il ne le sait même pas. Bon à plus tard les gars.
-A plus tard Shun.
Sur l'Olympe, conseil des quatorze dieux
Les douze olympiens (Hadès étant mort et Poséidon est enfermé dans son urne pour les 300 prochaines années) étaient présents autour d'une table de marbre blanc au centre du temple de Zeus, sur le haut de chaque colonne supportant le toit du temple on pouvait remarquer des éclairs qui étaient illuminés par le cosmos du roi des dieux. Au fond du temple on pouvait remarquer un trône de gramanium qui est la matière la plus résistante de monde mythologique et à côté de ce trône il y avait un carquois d'éclairs, arme de Zeus. Les dieux débattaient d'un sujet assez épineux avec les 4 déesse, mères des chevaliers divins d'Athéna.
-Mais Perséphone tu ne peux pas aller sur Terre sans l'accord d'Athéna ! S'exclama une déesse portant une robe antique avec un drapé sur l'épaule retenu par un épi de blé, à sa taille elle avait une tresse dorée qui retenait le reste de son drapé et qui complétait sa robe.
-Je peux y aller Déméter, je ne suis pas une déesse belliqueuse comme mon stupide mari. Répliqua la reine des enfers. Et il faut que mon fils sache qui il est pour prendre la succession de son beau-père.
-Je suis tout a faite d'accord avec Perséphone, de plus elle a mon autorisation pour venir sur Terre autant qu'elle veut. Je viens de parler avec ton compagnon mortel, Perséphone, il souffre de plus en plus de ne pouvoir dire à ton fils qui il est et qui est sa mère, comme trois autres de mes chevaliers au passage.
Perséphone et trois autres déesses étaient blêmes par ce que venait de leur apprendre Athéna, leur compagnon souffraient à cause d'elles et elles ne s'en sont même pas rendus compte. Elles faisaient de piètres déesses à ce moment-là, elles qui avaient promis à leurs compagnons de veiller sur eux et leurs enfants.
-Athéna je voudrais venir en même temps que Perséphone s'il te plaît. J'aimerai savoir comment vont mes deux fils après la possession de mon cadet. Annonça une autre déesse d'une grande beauté avec une colombe brodée sur sa robe grecque.
-Bien sûr Aphrodite. Répondit Athéna.
-J'ai une question Athéna. Demanda une autre déesse mais celle-ci ne vaut mieux pas la mettre en colère (NDA : c'est un conseil d'amis, ne l'oublier pas)
-Oui, qu'est-ce qu'il y a dame Héra ?
-Comment révéler à nos enfants que nous somme leur mère et que leur père sont auprès d'eux depuis le début alors qu'ils pensent être orphelin, surtout Hyoga qui a vu sa mère adoptive mourir sous ses yeux ?
-C'est une très bonne question que vous devrez résoudre toute les quatre avec vos conjoints respectifs car moi je n'ai pas la réponse.
La reine des dieux se sentie un peu stupide sur ce coup-là car elle avait posé une question sur la maternité à Athéna alors que celle-ci n'avait pas d'enfant. Athéna était maintenant la seule déesse vierge des olympiens avec Hestia, puisque Artémis, déesse de la Chasse et de la Lune, avait cédé, elle aussi, au plaisir charnel.
-Dame Héra et Artémis, viendriez-vous à mon sanctuaire pour voir vos compagnons et vos fils en même temps que Perséphone et Aphrodite ?
-Bien sûr. Répondirent les deux déesses
-Il faut mettre fin à tous ces mensonges que nous avons mis en place avec nos compagnons mortels et révéler à nos enfants qui ils sont par rapport à toi, Athéna. Depuis la bataille contre Hadès, ils ne sont plus de simple chevaliers pour toi. Certain sont tes cousins et d'autre tes neveux. Annonça Artémis déterminée mais surtout triste en pensant à son fils. Je ne veux plus rester sans rien faire alors que mon unique amour depuis des millénaires souffre et que mon fils pense que sa mère et morte devant ses yeux. Ajouta la déesse de la chasse et de la lune.
-Bon sur ce je pense que je vais réfléchir à comment annoncer à mon fils que je suis sa mère. Finit par dire la déesse du mariage.
Les deux autres déesses en question, c'est à dire Aphrodite et Artémis, furent d'accord avec la souveraine des dieux. Les dieux mirent fin à la réunion céleste, Athéna suivit de Perséphone allèrent au jardin divin présent sur l'olympe avec tous les animaux de la mythologie grecque. Les deux déesses s'assirent sur un banc et commencèrent à discuter de tout et de rien.
Alors cela vous plaît-il ? A votre avis qui est ce fameux chevaliers dont parle Shun avec Aioros et Aiolia ? Vos réponses en review et vous verrez dans les prochains chapitres si vous avez raison ou tort !
Je suis trop Serpentard pour vous !
Harry : Calme-toi ma chérie. Je sais que tu adore écrire, mais pour ma santé mentale ne cris pas dans le manoir sinon Luss va encore me reproché mon influence moldu sur sa fille aînée.
Désolé papa, je ferais attention à l'avenir.
Harry : Il vaut mieux pour toi. Enfin tu as préparer tes affaires pour Poudlard ?
Oui papa, tu peux me laisser finir d'écrire ?
Harry : Oui bon d'accord je te laisse. Le repas sera servit dans une demi-heure, Ama, ne soit pas en retard.
Oui papa. Bon je vais vous laissez, et laissez des reviews. Je répondrais surement dans le prochain chapitre s'il y a des questions.
Au revoir, Amaëlle Rogue-Potter-Malfoy
