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Si nous voulons construire amitié durable, nous devons aimer nos amis pour eux et non pour nous.

Charlotte Bronte

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PDV Drago

Avec mes parents, en ce soir de seize juillet mille neuf cent quatre vingt quatre, nous allons à une réception des...heu...des... Ah oui des Zabini.

Je ne les connais pas, et puis il paraît qu'ils ont un enfant de mon âge. J'espère qu'il sera gentil et sera mon ami.

Je sais que je ne devrais pas vouloir, "il n'y a que les relations qui comptes" me dit tous le temps mon père.

Ma mère, elle, s'en fiche un peu. J'ai l'impression qu'elle ne m'aime pas beaucoup.

Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal? Je ne crois pas me souvenir d'avoir fait quelque chose de mal.

Je suis un petit garçon fière, propre, gentil mais pas trop, j'essaye même de reproduire un peu mon papa, pardon mon père.

Il ne veut pas que je l'appelle papa. Pourtant, tous les autres enfants appellent leur papa, papa.

Bon revenons à cette fête. Nous y sommes arrivés. Nous avons transplané. Nous entrons dans leur maison, un peu glauque. Très glauque même.

Nous arrivons dans la salle de bal, un peu plus lumineuse que le reste de la demeure.

Nous allons salué toutes les présentes, et en premier, les hôtes.

L'homme est grand dans les un mètre quatre vingt dix, mate de peau, cheveux noirs, il avait un air glacial, un peu comme père.

La mère, elle, me faisait un peu peur. J'avais l'impression qu'elle voulait sauter sur père.

Elle avait une lueur, qui représentait son envie de pouvoir, de richesse ainsi qu'une autre chose incompréhensible pour moi.

Toutes ces choses envers mon père, je sais que celui-ci est beau, riche et influent. Mais bon, elle pourrait cacher un peu ses envies.

Il y avait aussi un petit garçon, tout aussi mate que ses deux parents. Il avait par contre des cheveux bouclés tous noirs.

Il abordé un petit sourire malicieux qui n'annoncait rien de bon à celui qui serait sa victime. En espérant que ça ne serai pas moi.

Il me regarde, me jauge, me sourit, me prend la main et m'entraîne dans ce qui doit être sa chambre. Il me regarde encore une fois, puis commence à jouer, au bout de cinq minutes, où j'étais resté planté comme un piquet, il me demande ce que je faisais et pourquoi je ne venais pas jouer avec lui. Je le regardai puis m'abaissai et jouais avec lui.

Voilà comment notre amitié à commencé.

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"Se faire des amis est une obligation de commerçant. Se faire des ennemis est une occupation d'aristocrate."

Henry de Montherlant

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