voici donc le début de ma fiction, inspirée par twilight mais pas seulement (je suis une grande fan de science fiction) j'ai eu envie non pas de poursuivre l'oeuvre de stephenie meyer (que je n'égalerai probablement jamais) mais de m'inspirer de certains de ses personages. j'écris mon histoire au fur et a mesure mais j'ai déjà les 4 premiers chapitres sur papier (à taper donc) je promet de faire au plus vite.

évidement j'accepte toutes les critiques mon travail est loin d'être parfait et je ne rêve que de m'améliorer...

bref suffit du blabla bonne lecture

Prologue

J'avais toujours sentie qu'une différence m'éloignait de ceux qui côtoyaient ma vie. Je n'avais jamais pu nouer de relation avec ma familles, des relations qu'on aurait pu qualifier d'amicales ou fraternelles… ça n'était pas moi. Quant à avoir des amis… Depuis ma naissance j'étais seule, bébé je ne pleurais jamais, pour le plus grand bonheur de mes parents et de leurs nuits. Enfant je jouais seule, préférant lire ou dessiner aux récrés. Ado je n'avais étais proche de personne, les garçons ne s'intéressaient pas à moi et j'en faisais autant, quant aux filles je les intimidais beaucoup trop par mon attitude solitaire et détachée pour qu'elles n'aient ne serait-ce que la sympathie de partager un bureau avec moi en cours. Bizarrement je n'en avais jamais souffert, mes résultats étaient irréprochables et personne n'avais jamais osé me prendre pour bouc-émissaire.

J'avais donc cette certitude profonde et dénuée de toute prétention que je n'étais comme personne. Unique.

Je passais mon temps dans les livres entre romantisme et science-fiction, ou à écrire tous les scenarii plus improbables les uns que les autres qui me passaient par la tête. J'avais 20 ans depuis 3 semaines et c'était comme si j'avais passé ces 20 dernières années dans une boite pleine de coton, au chaud, au calme, en pause…sans vivre. Je vivais dans un monde ou l'horreur et l'indifférence, mêlées à la lâcheté et au manque d'espoir régnaient.

Ce sentiment d'être unique m'empêcha de comprendre comment, moi, la fille si différente qu'elle était incapable de s'intégrer, si insipide qu'elle n'intéressait personne, j'avais pu mourir à l'instar de tous les autres…