Auteur : KoKitsune49
Série : Eragon
Titre : L'Héritage 1
Rating : K+ je pense…moi et les raitings hein...
Disclaimer : L'univers d'Eragon ne m'appartient pas, tout étant la propriété de Christopher Paolini. Je ne gagne pas non plus d'argent pour ce que j'écris, je ne fais cela que pour mon plaisir personnel et peut-être le votre
Dans la cathédrale
-Et voici notre premier article ! proclama le vendeur. Un mâle en parfaite santé, capturé le mois dernier dans le désert du Hadarac. Regardez-moi ces bras et ses jambes ! Il est robuste comme un taureau ! Il ferait un garde du corps parfait ou, si vous n'avez pas confiance, un serviteur pour les gros travaux. Mais messieurs-dames, n'utiliser que sa force, ce serait du gâchis. Si vous réussissez à lui faire parler une langue civilisée, il se révélera fort intelligent.
La foule gloussât, et Eragon grinçât des dents
de colère. Il levât sa main droite -fraichement libérée de son
attelle- et s'apprêta à prononcer les mots qui feraient tomber les
entraves de l'esclave. La tache sur sa paume se mit à palpiter. Il
allait projeter sa magie quand une pensée le frappa ; l'homme exposé
sur l'estrade ne réussirait pas à s'enfuir. Il serait rattrapé
avant d'atteindre les portes de la ville. En voulant l'aider, Eragon
ne ferait qu'empirer sa situation. Il abaissa son bras et se
morigénât : « Réfléchit, c'est comme ça que tu as eu des ennuis
avec les Urgals ! »
Il regardât, impuissant, le malheureux
passer aux mains d'un homme imposant au nez aquilin. L'esclave
suivant suscitât des sifflements de la part masculine amassée
devant l'estrade. Intrigué-bien que profondément indigné- Eragon
voulut savoir de quoi il retournait.
-Messieurs, notre second article est de nature plus « exotique » diront nous ! Cette jeune fille magnifique est en réalité une superbe semi-elfe. Experte en pierre précieuses et en plante médicinales. Elle ferrât une servante parfaite pour son acquéreur... Et pourquoi pas, une maitresse de choix ?
Le visage de la jeune fille se renfrogna en entendant ça. Alors que le vendeur lui soulevât le visage d'une main elle en profitât pour lui mordre sauvagement les doigts. Quand elle lâchât enfin prise, le marchand reprit avec un sourire, crispé par la douleur :
-Et en plus, elle à du caractère !
Et
sans crier gare, il lui assena une gifle violente. Ses long cheveux
blond or retombants sur son visage, mais quand elle le relevât elle
ressemblait d'avantage à un animal furieux qu'à une jeune fille.
Eragon eu même la désagréable sensation qu'elle le fixait. Alors
qu'il soutenait son regard, il sentit quelqu'un tenter de le
contacter en esprit, craignant que se fut Brom, il abaissa ses
barrière.
Dés les premier échange, il su qu'il n'en était
rien.
« Aide moi à défaire mes chaine, et je te le revaudrait,
d'une manière ou d'une autre »
« Qui est tu ? »
« Cela à
peut d'importance, mais je t'en pris, ne laisse pas un de ces hommes
m'emmener ! »
« Mais tu n'auras jamais la possibilité
d'atteindre les porte de Dras-leona ! » protestât Eragon
« Ne
me sous estime pas ! Je ne le suis peut être qu'à moitié, mais je
reste une elfe, de ce fait je t'interdit de t'inquiéter pour moi !
Inquiète-toi plutôt pour toi » sans pouvoir demander ce qu'elle
entendait par là, Eragon vit que quelqu'un avait acheter la jeune
fille, alors qu'elle allait partir avec son acheteur, il levât la
main et lançât son sort. A peine les chaines tombèrent-elles au
sol que la jeune fille se saisie de la dague que l'homme portait a la
ceinture et l'en menaçant, profitât de la surprise de tous pour
pouvoir s'enfuir. Elle parlât encore a Eragon par esprit, sans
pourtant s'arrêter.
« Je te remercie. Mais ne reste pas dans les
parages, tous leur soupçons retomberais sur toi »
« Ce ne
serait pas si infondé que ça »
« Tu ne vas pas te laisser
prendre, si ? »
« Non, je... ? »
« Comment se nomme mon
sauveur ? »
« Eragon. »
« Tu à un nom auréolé de gloire
! »
« Merci, même si je ne s'est ce qu'il signifie. Et toi
comment t'appelle tu ? »
« Erilys... »
La voix restât en
suspend, le contact venais d'être rompu.
Sans s'en être
rendu compte, pendant qu'il avait continué de parler avec elle, il
était arrivé devant la cathédrale.
Ses flèches tourmentées
étaient couvertes de statues et de bas relief. Des gargouilles
grimaçante étaient accroupit au bord des toits. Des créatures
fantastiques se tordaient sur les murs ; des héros et des rois,
figés dans le marbre, ornaient les parties supérieures. Des arches
nervurées, de haut vitraux de couleur et des colonnades de
différente taille décoraient les bas cotés. Une tourelle esseulée
couronnait l'édifice comme un mat de bateau.
Le portail en fer,
plongé dans l'ombre de l'entrée était surmonté d'un écrit au
lettre d'argent qu'Eragon le décrypta de loin. Il était rédigeait
en ancien langage. Il lui sembla que le message disait ceci : « toi
qui entre ici, sache que tu es éphémère, et oubli ce qui t'attache
à ceux que tu aime »
Eragon frissonna. Tout l'édifice avait
quelque chose de menaçant, tel un prédateur tapis dans la ville,
guettant sa prochaine victime.
Une volée de marches conduisait au
monument. Eragon les monta solennellement et s'arrêta devant le
portail hésitant. Avec un vague sentiment de culpabilité, il poussa
le battant, qui pivota doucement sur ses gonds huilés. Le garçon
entra.
La cathédrale était vide, froide et silencieuse comme une
tombe abandonnée. Les murs nus s'élevait vers une voute, si haute
qu'Eragon eu l'impression d'avoir la taille d'une fourmi. Les vitraux
représentaient des scènes de colère, de haine et de pénitence.
Des rais de lumière spectrale dessinaient des motifs translucides
sur les bancs de prières en granit, laissant le reste du bâtiment
dans l'ombre. Les mains du garçon avaient pris une étrange teinte
bleue.
Entre les vitraux, des statues ouvraient leurs orbites
vides. Eragon soutins un instant le regard sans expression, puis
remontât avec lenteur l'allé centrale, craignant de briser le
silence. Ses bottes de cuir glissèrent sans bruit sur le sol en
pierre polie.
Un doigt de lumière tombait sur l'autel, un grand
bloc de pierre sans ornement. Des particules de poussière dorée
flottaient dans l'air. Derrière l'autel, les tuyaux d'un orgue
montaient jusqu'au toit, qu'ils perçaient, s'offrant aux éléments.
Ils ne résonnaient que lorsqu'une tempête soufflait sur
Dras-leona.
Saisi de respect, Eragon s'agenouilla devant
l'autel et baissa la tête.
Il e voulait pas prier, mais rendre
hommage à la cathédrale elle-même. Les tourments des humains qui
s'y étaient réfugiés trouvaient un écho particulier dans la
splendeur sinistre de ce lieu nu, glaçant. Dans l'effroi même qu'il
suscitait, cependant, poignait un soupçon d'éternité, et quelque
chose peut être des pouvoirs qui l'habitaient.
Enfin, Eragon
s'inclina et se releva. Gravement il murmura pour lui-même des mots
en ancien langage, et se retournât pour partir.
Alors il se figea, le cœur battant comme un tambour.
Les Ra'zacs se
tenaient sur le seuil et le regardaient. Les lames de leurs épées
acérées avaient des reflets de sang dans la lumière. Le plus petit
d'entre eux émit un sifflement aigu, mais aucun ne bougeât.
La
rage submergea Eragon. Il avait traqué les Ra'zacs si longtemps que
sa peine, après la mort de son oncle s'était atténuée. Mais la
vengeance était à sa portée.
Sa colère explosa comme la lave
jaillissant d'un volcan, attisé par sa frustration de ne pas avoir
put aider tout les esclaves. Un rugissement montât à ses lèvres et
se répercuta sous les voutes, tel un coup de tonerre, tandis qu'il
bandait son arc. Il décochât prestement une première flèche. Deux
autres suivirent.
Les Ra'zacs les esquivèrent avec agilité.
Ils remontèrent la nef en sifflant, les pans de leur manteaux
claquant comme des ailes de corbeau. Eragon encocha une quatrième
flèche, mais une pensée retint sa main :
« S'ils ont réussit à
me trouver, Brom aussi est en danger ! Je dois l'avertir ! »
Une
file de soldats s'introduisit alors dans la cathédrale. Horrifié,
le garçon découvrit une marée d'uniformes qui prenait position à
al sortie.
Il jeta un regard furieux au Ra'zacs prêts à charger,
et pivota, cherchant par ou s'enfuir.
Il aperçut un vestibule à
gauche de l'autel, franchit l'allé d'un bond et s'engouffra dans un
corridor menant à un prieuré flanqué d'un beffroi. Il entendit
derrière lui le martèlement des pieds des Ra'zacs et accéléra. Le
couloir aboutissait à une porte fermée ! Eragon se rua contre le
battant pour l'enfoncer mais le bois était trop solide. Les Ra'zacs
étaient presque sur lui ! Acculé, il reprit son souffle et aboya :
-Jierda !
Un éclat jaillit, et la porte explosât. Eragon
bondit dans un petit hall, parcourut plusieurs salles, effrayant un
groupe de prêtres : une pluie de cris et de jurons s'abattit sur
lui.
Une cloche sonna l'alarme. Eragon traversa une cuisine,
bouscula quelques moines, se faufila par une porte latérale. Il
déboucha sur un jardin entouré d'un haut mur de briques, dépourvus
de la moindre prise
Il n'y avait pas d'issue !
Eragon revin sur ses pas...trop tard. Un sifflement assourdi lui parvint. Un Ra'zac occupait l'embrasure de la porte.
Avec l'energie du
désespoir, le garçon fonça, coudes au corps, jusqu'au mur.
La
magie ne pouvait pas l'aider. S'il s'en servait il n'aurait plus
asssez d'energie pour courir, il se ratrapat au mur avec le bout des
doigts. Son corp s'ecrasa contre les briques, le choc lui coupa la
respiration. Eragon restait suspendut, pantelant, s'accrochant de
toutes ses forces pour ne pas retomber. Les Ra'zacs étaient entrés
dans le jardin et tournaient la tete en tout sens comme des chiens
flairant une proie.
Eragon sentit leur approche ; il tira sur ses
bras. Une douleur lui irradia les epaules tandis qu'il se hissait en
haut du mur. Il se laissa choir de l'autre coté, rétablit son
equilibre,et s'enfonça dans une allée au moment ou un Ra'zac
franchissait a son tour le mur. Galvanisé, Eragon repartit au triple
galop.
Il parcourut encore une bonne lieue avant de s'arreter pour
reprendre son souffle. Incertain d'avoir semé son poursuivant, il se
mela a la foule d'un marché et plongeat sous un chariot. « Comment
m'ont-ils retrouvés ? se demandat-il, hors d'haleine Serait-il
arrivé quelque chose a Bom ? »Il chercha à entrer en contact avec
Saphira pour lui dire : « Les Ra'zacs sont a mes trousses. Nous
sommes tous en danger ! tache de savoir si Brom va bien ;
previens-le, si c'est le cas, et dis lui que je l'attend à
l'auberge. Prépare-toi a t'envoler aussi vite que possible. Nous
aurons peut-etre besoin de ton aide pour nous sortir de la ! »
La
dragonne restat silencieuse un moment, puis declara briévement : «
Brom te retrouvera a l'auberge. Ne t'arrete nulle part : tu es en
grand danger... »
-Comme si je ne le savait pas ! grommela
Eragon
Il s'extirpa de sa cachette, courrut au Globe d'Or, se depechat de rassembler leur affaire, sella les chevaux et les conduisit dans la rue. Brom arriva bientôt, le baton à la main. Son regard noir ne présageait rien de bon.Il grimpa sur Feu-de-Neige et demanda
-Que s'est-il passé ?
-J'étais dans la cathédrale
quand les Ra'zacs ont surgit derrière moi. Repondit le garçon en
enfourchant Cadoc. J'ai filé à toutes jambes, mais ils peuvent etre
la d'un instant à l'autre. Saphira nous attend a la sortie de
Dras-leona.
-Nous devons quitter la ville avnt qu'il n'aient fermé
les portes, s'ils ne l'ont pas deja fait. Auquel cas nous n'aurons
guère de chance de nous echaper. Quoi que tu fasses, ne t'eloigne
plus de moi !
Eragon se raidit en avisant des soldats qui
descendaient la rue. Le conteur jura, talona Feu-de-Neige et partit
au galop. Eragon le suivit, penché sur l'encolure de Cadoc. Ils
manquèrent plusieurs fois d'etre desarçonnés au cours de cette
chevauché infernala à travers la foule qui encombrait les
rues.
Enfin, l'entrée de la ville apparut. Le garçon tira sur
les renes de Cadoc, consterné. Les portes étaient deja a moitie
closes et une double rangé de gardes armés de piques bloquaient le
passage.
-Ils vont nous mettre en pieces ! s'exclama
Eragon
-On va tenter de passer coute que coute, fit Brom d'une
voix dure. Je m'occupe des hommes, charges toi des portes. Le garçon
aquiesça, serra les dents et s'elança avec sa monture. Il foncèrent
sur les soldats, qui, imperturbables, pointèrent leur piques vers le
poitrail des chevaux. Les betes hennirent, effrayé, mais leur
cavalier les forcèrent à avancer. Malgré les cris des soldats,
Eragon restait concentré sur les portes qui se fermaient, pouce
après pouce.
Quand ils furent à portés des lances acérés,
Brom leva la main et parla. Les mots frappèrrent avec precision. Les
gardes s'ecroulèrent comme si on leur avaeint coupés les jambes.
L'espaces entre les battants des portes se rétraicissait...Eragon
mobilisa son pouvoir et cria :
-Du Grind Huildr !
Avec un grincement sourd, les battants tremblèrent puis s'imobilisèrent. La foule et les soldats se turent stupéfaits .Dans un fracas de sabot, Brom et Eragon filèrent comme des flèches hors des murailles de Dras-léonna.Dés qu'ils furent hors de portée, le garçon relachat les portes.Elles vibrèrent, puis se refermère derrière eux avec un bruit de tonerre.
Eragon sentit la fatigue habituelle s'emparer de lui : sous le regard inquietnde Brom, il continuat pourtant de chevaucher. Lorsqu'ils attegnirent les fauxbourgs ils entendirent les trompettes sonner l'alarme du haut des remparts.
Saphira les attendait un peut plus loin, cachée derrière les arbres ; ses yeux lançaient des flammes ; sa queue battait l'air nerveusement.
-Va, monte la. Ordonnat le conteur, Et cette fois reste en l'air, quoiqu'il m'arrive. Je me dirigerait vers le sud. Vole dans cette direction ; et qu'importe si on voit Saphira.
Eragon obéit. Bientot le sol s'éloigna : il regarda rapetisser les silhouette de Brom et des cheveaux lancés au galop.
"Tu vas bien ?"demanda Saphira
"Ca va, mais on a eu de la veine."
un nuage de fumer sortit des naseaux de la dragonne :
"tout ce temps a rechercher les Ra'zacs...Pour rien !" "Je sais, lui dit Eragon en laissant retomber sa tete sur ses écailles. Si mes seuls ennemis avait été les Ra'zacs, je les aurais affrontés, mais tout ses soldats à leur cotés, le combat était trop inégal. "
"On va parler de nous à present. Cette fuite à peut de chance de passer inaperçue ! Echapper au forces de l'empire va etre plus difficile que jamais !"
Saphira manifestait une inquiétude à laquelle Eragon n'était pas habitué.
"Je sais."
Ils volaient bas et vite au dessu de la route. Ils laissèrent le lac Léonna derrière eux. Le paysage devint sec, mineral, couvert de petit buisson coriaces et de haut cactus. Des nuages obscurcissaient les ciel. Des éclaires brillaient au loin. Le vent se mit à hurler et Saphira plongeat en piqué pour rejoindre Brom. Celui ci arretat les cheveaux et demanda :
-Quest-ce
qui ce passe ?
-Le vent
est trop fort
-Pas si fort que ça
-La haut si ! insista Eragon en désignant le ciel
Brom jura et lui tendit les renes de Cadoc. Ils trotèrent cote à cote Saphira les suivait en marchant, bien que de la sorte, elle avait du mal à suivre le rythme des cheveaux.
Les bourasques devinrent de plus en plus violentes, soulevant des nuées de poussièrre, qui tournoyaient telles des toupies. Les voyageurs s'enroulèrent des linges autour de la tete pour se protéger les yeux. La tunique du conteur claquait au vent, et sa barbe s'agitait comme si elle allait été vivante. Même si cela n'aurait fait qu'ajouter à leur incofort, Eragon espérait la pluie ; leur traces auraient ainsi été éffacées.
Bientot l'obscurité les obligeat à s'arreter. A la seule lueur des étoiles, il établirent leur campement. Entre deux rochers. Allumer un feu étant trop dangereux, ils durent manger froid, s'abritant du vent derrière les flans de Saphira.
Aprés un maigre repas, Eragon demanda brusquement :
-Comment nous ont-ils trouvés ?
Brom sortit sa pipe, puis renonçat à l'allumer et la rengea :
-Un domestique du palais m'avais avertis qu'il y avait des espions parmis les serviteurs. D'une mannière ou d'une autre, mes questions on du etre rapportées à Tabor, qui en à informé les RA'zacs.
-Nous ne retournons pas à Dras-Léona, n'est-ce pas ?
-Non. Pas avant plusieur années.
Eragon se prit la tete entre les mains :
-Alors on va attirer le Ra'zacs au dehors ? Si nous laissont Saphira en vu, ils accoureront !
-Oui, et une cinquentaines de soldats avec eux, retorqua le viel homme, De toute façon, ce n'est pas le moment d'en discuter. Concentrons nous sur l'essentiel ; rester en vie. Cette nuit serat la plus périlleuse, car les Ra'zacs vont nous donner la chasse ; c'est dans l'obscurité qu'ils sont les plus fort. Nous devront monter la garde à tour de role jusqu'au matin.
-D'accord. Répondit Eragon en se levant
Il hésita et plissa les yeux. Il avait percu un mouvement infime, une petite touche de couleur se détachant dans le noir. Il s'avança à l'orée de leur campement pour mieu voir.
-Qui à t-il ? demanda Brom en déroulant ses couvertures
Le garçon scruta la nuit, puis revint.
-Je ne sais pas, murmurat-il. J'ai cru voir quelque chose. C'était sans doute un oiseau.
Une violente douleur irradia dans sa nuque ; Saphira rugit ; et Eragon s'effondra, inconscient.
