Ohayo ! Voilà donc ma note de début de chapitre. Allez salut !
Et plus sérieusement, c'est un peu une première pour moi, cette fanfiction, alors n'hésitez pas à m'adresser des critiques, des conseils, car je suis preneuse.
Je vais essayer de poster aussi régulièrement que possible les nouveaux chapitres, car j'aimerai vraiment mener à terme ce projet.
Je ne sais pas trop quoi dire d'autre, donc autant vous laisser lire ce début que j'espère satisfaisant.
PS : L'histoire se situe dans l'après-guerre, durant la scolarité de la nouvelle génération, avec les enfants de Harry et toute la bande.
Tchuss, soyeux petits batraciens !
DISCLAIMER : Je n'ai fait que créer des péripéties stupides et des personnages bizarres, tout le reste est d'origine, garantie Pur Bœuf sans viande, merveilleusement inventé et pensé par la très talentueuse JK. Rowling. Ce qui inclut le contexte, la genèse, l'univers, les douze cents Potter et Weasley, les escaliers qui bougent tous seuls et une foule de sorts en faux latin qui envoient de la saucisse - entre autres merveilles innombrables. VOILÀ. (Et en ce qui concerne ma partie du travail, soyez sympas, laissez m'en le bénéfice, le plagiat c'est vilain comme Lord of The Rings sans les Nains.)
GK.
INTRO
Si la plupart des gens de Poudlard me connaissent, ou plus exactement me reconnaissent, c'est par le biais de mon père. Il s'appelle Ambrose Chadwick. Assez beau gosse sur ses photos de mariage, mais généralement pas des plus soignés dans la vie quotidienne. Il aime bien le whisky Pur Feu, et jardiner dans le potager de nos voisins moldus quand il s'ennuie - techniquement c'est de la violation de domicile, mais on a des voisins conciliants. Parfois il pique des crises de nerfs terrifiantes.
Et parfois aussi, il tue des gens. J'avoue, c'est carrément lol.
Il s'est évadé de plusieurs prisons durant ses premières années de criminalité, dont deux pour moldus. Et puis la communauté internationale des sorciers a jugé que son cas méritait l'intervention des Aurors du Ministère de la magie anglais - aussi surprenant que cela puisse paraître, le meurtre est illégal ! -, et mon père s'est retrouvé à Azkaban. Il y est toujours, d'ailleurs.
Là, je suis en sixième année. Avant que le lien entre Ambrose et moi ne soit fait, j'étais une personne assez ordinaire, élève de la maison Serpentard, en termes relativement bons avec mes camarades. Comprenez par là que sans aller jusqu'à faire la bringue avec eux tous les week-ends, on s'entendait suffisamment bien pour ne pas se détester. Ou s'entretuer. Je pense que la famille a déjà suffisamment à faire avec un seul assassin.
Et puis me connaissant, je ne saurai pas quoi faire des cadavres. J'ai toujours un peu la flemme de ranger mes affaires.
Pour ceux qui se poseraient la question, mon père ne tue pas les gens en les pointant au pif dans l'annuaire - quoique ça pourrait être amusant. Enfin, je me comprends. Disons juste qu'il a le chic pour se faire des ennemis. Et déséquilibre mental oblige, il juge bon de les assassiner. En usant de la violence physique, et de ce que la magie noire peut produire de plus dégoûtant.
Il est comme ça, mon père.
Très affectueux de la baguette.
Merci d'avoir lu, et vous savez, si vous voulez me faire plaisir… Mangez des lasagnes.
