Chapitre 1 – La découverte
C'était une journée comme une autre songeât Jane Rizzoli. Un corps, une enquête, un meurtrier sous les verrous.
Elle leva la tête de ca paperasse, il était 19 heures. Elle referma le dossier devant elle, le dos endoloris elle s'étira sur sa chaise. Sa faisais des heures qu'elle était sur ces papiers. Elle se leva, retira sa veste et dans un mouvement souple l'enfila.
Elle entra dans l'ascenseur, prête à appuyer sur le bouton du rez-de-chaussée, elle se ravisa, une pensée lui traversa l'esprit.
Est-ce que Maura était encore là ? Elle n'avait reçu aucun message de sa part lui disant qu'elle avait fini et qu'elle rentrait chez elle.
Elle finit par appuyer sur le bouton menant à la morgue. En quelques secondes elle était déjà arrivée. Elle sortit de l'ascenseur. Le lieutenant s'arrêta, pas un bruit. Elle avança lentement, dans le grand couloir blanc. Cherchant le moindre signe de vie, lorsque soudain son visage s'éclaircis, elle aperçut Maura a l'intérieur de son bureau. Assise dans son fauteuil, elle semblait très prise pas son travail. Jane eu un petit sourire lorsqu'elle vit cette petite crispation au-dessus de ces sourcils. Lorsque que Maura était dans une profonde réflexion, on pouvait voir apparaitre une petite ride se former alors qu'elle fronce les sourcils. Elle s'arrêta à la porte et resta là un moment à la regarder s'afférer.
C'était une femme très méticuleuse et qui ne laissait rien lui échapper, pas même la présence de Jane qui la regardait depuis quelques secondes.
Sans lever la tête de ces papiers elle dit
Que fait tu encore ici ?
Jane surprise sursauta, elle s'approcha et se posa dans un des fauteuils de la pièce.
Et bien comme toi je finissais mes dossiers lorsque j'ai vue l'heure. Je n'ai pas eu de tes nouvelles donc je me suis dit que tu étais sans doute encore là à terminer ton travail.
Excellente déduction lieutenant ! Dit le docteur Isles avec un petit sourire en coin.
Jane ne releva pas aller viens on va boire un verre avant de rentrer ?
Je n'ai pas encore fini ! Donne-moi 5 minutes.
Maura demain tout ceux-ci sera encore à la même place, viens.
Jane, je . . . je . . .
Jane senti le stress dans la voie de son amie, elle la regarda et la vit se dandiner sur sa chaise. Jane adorait la taquiner et la mètre mal à l'aise. Elle se leva, alla jusqu'au porte manteau, elle prit la veste de son amie et s'approcha d'elle.
Aller en route, tu as assez travaillé aujourd'hui et moi aussi.
A contre cœur, Maura obtempéra, elle ôta, sa blouse et enfila sa veste. Elle prit son sac et suivi Jane en direction de la sortie.
Arriver à leurs bar habituelle, Jane pris une bière et Maura son verres de vin rouge.
Elles discutèrent et rigolèrent un moment. L'heure passait et elles décidèrent de rentrer. Jane rentra chez elle et alla directement au lit, Quand a Maura, elle se servit un thé pour se détendre avant d'aller se coucher, l'image de la paperasse sur son bureau la hantait. Une fois dans son lit, elle finit par s'abandonner au sommeil.
Arriver sur une nouvelle scène de crime, Jane vit korsak, elle se reprocha de lui.
Alors qu'est-ce qu'on a ?
Rien de bon !
Elle suivit son équipier, jusqu'au corps de la victime. Elle vit Frost vomir à côté. Elle eut un petit sourire pincé. Puis se tourna vers la victime, une jeune femme. Jane ne put s'expliquer se drôle de sentiment de déjà vu à propos de la victime. Elle écarta cette pensée à la vue de Maura qui arrivait.
Celle-ci s'approcha du corps et commença à l'examiner.
Jeune femme la trentaine, de multiples blessures sur le corps, hématome, brulure, entaille. Elle montre également des traces de lien.
Elle a été torturé affirma Jane.
A première vu je dirais que oui, certaine blessures semble plus ancienne que d'autre.
Et les cause de la mort ?
Il faut que je l'autopsie !
Jane leva la tête de son calepin et regarda la jeune femme. L'expression de son visage, lui indiquait qu'elle ne disait pas tout.
Maura ?
Non, non, je dois en être sur !
Jane voulu ouvrir la bouche, mais fut interrompu.
Non ! ! !
Tous se tournèrent vers le médecin légiste. Elle examinait les vêtements de la victime.
Maura ?
C'est une robe Ralph Laurent !
Je rêve ou tu parles de ces vêtements ?
Tu sais combien peut valoir cette robe ? 3850 dollars !
Quoi ? « Jane s'étouffa à moitié » Donc notre victime à de gros moyen !
Maura se releva, et avançait en direction des lieutenants, les sourcils froncé.
Ça va docteur ? demanda korsak
C'est un crime grogna Maura. Abimer une telle robe !
Les deux policier se regardèrent un sourire aux lèvres, avant de se tourné à nouveau vers le médecin qui partait en direction du camion de la morgue.
Le lieu du crime était un banc dans un jardin public, un endroit assez calme.
Tous de retour au poste, ils se lancèrent dans le travail.
Le corps avait été amené et Maura commençait l'autopsie. Aux deuxièmes étages les officiers, cherchaient l'identité de la femme et étudiaient les indices trouvé sur place.
Le téléphone de Rizzoli sonnait, elle le regarda, et leva la tête vers ces coéquipiers
Maura a du nouveau, je vais voir.
Ils se replongèrent dans leur recherche tandis que Jane prenait la route de la morgue.
Maura qui avait déjà reçu des résultats sur les tests toxicologiques, continuait son étude du corps. La porte s'ouvrit, elle tourna la tête et vit Jane entrer.
Parfait ! Le dossier devant toi contient les résultats des tests, elle a été droguée et les résultats montrent qu'elle l'a été à forte dose.
Comment ça ?
Et bien elle aurait reçu de nombreuse dose de calmant.
C'est ce qui la tuer ?
Non d'après les résultants ce qui la tuer c'est l'épuisement, elle a fait un arrêt cardiaque du a de nombreux facteurs.
Comment ça l'épuisement ?
Et bien d'après mes constatations, elle a été affamée, déshydraté, battue, violé, électrocuté, noyé, brulé, tailladé.
Mon dieu lâchât Jane. Quel horreur !
Et tu penses qu'on lui a fait ça pendant combien de temps ?
Et bien elle souffrait également d'os cassés, et certaines fractures était pratiquement guérit, donc je dirai mois.
Jane regarde le visage de la victime la pauvre.
Elle se retourna et dit si tu trouves autre chose tu me préviens ! Tout en se dirigeant vers la sortie.
Oui, oui, dit Maura distraite.
Les heures avait défilé, et Jane décida de faire un point, ils se retrouvèrent à la morgue, autour de la table d'autopsie.
Alors ou en somme nous ?
Et bien la femme s'appeler Sarah Ardrove, 33 ans, elle était secrétaire dans un petit cabiner médicale. Elle vivait au 7831 ELM Street. Elle était célibataire, n'avait pas d'enfant, et plus de famille. Elle a été porté disparue depuis le 25 mai 2014.
Lu Frost.
Et qui a déclaré sa disparition ? demanda Jane
Son patron, elle n'était pas venu travailler pendant deux jours de suite, et n'avait donné aucunes nouvelles, comme ce n'était pas dans ces habitudes, il à décider d'appeler la police.
Ok quoi d'autre ?
C'est vêtements, dit Korsak, font partit d'une collection voler i semaines. D'après la liste, il y avait 15 tenues. Et pour 3 millions de dollars.
Quoi ? dit Jane
Ralph Laurent est un des piliers du stylisme, sa collection l'an dernier fut évaluer pour 15 millions de dollars lança Maura toujours le nez dans son dossier.
Pourquoi voler de tel vêtement, pour ensuite habiller un cadavre ? se demanda Jane.
Pour passer un message rétorqua Maura, toujours absorbé par son dossier.
Les inspecteurs se tournèrent vers elle. Elle finit par s'en rendre compte et relève la tête.
Quoi ?
Jane un petit sourire en quoi, regardait Maura continu.
Et bien si on regarde la victime, elle a été torturé, sans aucune pitié n'y clémence, pourtant elle a été déposé, lavé, habiller, coiffé, parfumer, maquiller.
Korsak continua s'il voulait juste la faire souffrir, il n'avait qu'à se débarrasser d'elle, alors que l'a, . . .
Il s'arrêta couper par Maura, de nouveau la tête dans son dossier.
Il la présente !
Tous la regardèrent de nouveau. Surprit !
Elle leva la tête de son dossier, et dit
Il a gardé un souvenir.
Comment ça ? demanda Frost intriguer.
J'ai remarqué qu'on lui avait coupé une mèche de cheveux.
Tu en es sur ? demande Jane
Oui !
Et tu as des empreintes, de l'ADN ? demanda Jane
Non rien, ni sur le corps, ni sur les vêtements.
Bon, on va s'arrêter là, on se dit à demain. Lança Jane en se levant.
Tous sourirent à l'idée de rentrer.
Cela Faisait 4 Jours que Sarah Ardrove avait été trouvé, et l'enquête était toujours au point mort. Chaque semblant de piste menait à une impasse. La frustration avant envahie l'équipe.
Jusqu'à ce 12 septembre 2014, Tous avait été appelé, sur une scène de crime et à leur arriver le cauchemar, une victime, ressemblant à Sarah. La vérité leurs frappa aux yeux, il devait peut être faire face à un tueur en série.
Maura penché sur le corps examinait la victime
Jeune femme, une trentaine d'année, cheveux Châtain claire, yeux noisette, environs 1 m72, 53kg. Elle portait des marques identiques à la première victime et lorsqu'elle écarta la veste, elle reconnut la tunique. Elle leva la tête
Jane ?
Celle-ci s'approcha, oui j'ai remarqué ! lança-t-elle en regardant la victime.
A la fin de la journée, lors du briefing, les donner furent, les même pour la seconde victime, Laura Marlow, 32 ans, hôtesse de l'air, 7831 Darmon Aites. Porter disparu le 31 juin 2014. Finissa Frost.
Vous avez dit 7831 ? demanda Maura
Oui répondit Frost, Pourquoi ?
La première victime c'est 7831 aussi, de plus les deux femmes on quelques ressemblances physiques, la couleur des cheveux, des Yeux, la taille est quasiment identique.
Jane se tourna vers elle, le tueur a des critères, pour choisir ces victimes.
Frost parla à son tour le plus difficile, s'il en a un c'est le numéro de l'adresse. 7831, avec une femme ressemblant aux victimes précédentes.
Il ne fait pas dans la simplicité ! rétorqua Jane.
Non et c'est ce qui fait qu'il est si douer repris Maura il prend son temps, il ne choisit pas ces victimes au hasard, il est méticuleux.
Jane repris, ça n'est peut-être pas sa première fois.
Frost tu veux chercher s'il a eu des affaires similaires ?
Oui tout de suite, Docteur je peux ? demanda t'il en se dirigeant vers l'ordinateur.
Oui bien-sûr répondit-elle. Maura se retourna et ouvrit les deux dossiers et éparpilla les feuilles, les photos devant elle. Les autres étaient occuper à regarder ce que trouvait Frost, et ne vit pas ce qu'elle faisait.
Elle porta son regarde sur l'ensemble, puis passa de droite à gauche, de texte en photo. Depuis le début de cette affaire avait quelque chose qui la troublais, mais elle n'arrivait à trouver ce que c'était. Plonger dans sa réflexion elle n'entendait plus ceux autours d'elle. Jusqu'à ce que Jane, la sorte de ces pensées en posa sa main sur son bras.
Pardon tu disais ? dit-elle distraite.
On a deux autres corps, qui ressemble à notre tueur, tu veux bien jeter un œil à leurs dossiers ? Lui demanda-t-elle le regard interrogateur poser sur Maura. Mais celle-ci n'y prêta pas attention. Ce qui ne ressemblait pas du tout à son amie.
L'air pensive, le Docteur se dirigea vers l'ordinateur. Elle leva les yeux et sorti de ca léthargie. Le regard poser sur l'écran elle regardait une à une les informations, et soudain la douche Froide, cela lui sauta au visage.
Son esprit Hurla non ! Mais sa bouche aussi sans qu'elle s'en rende compte. Elle fit quelque pas en arrières. Le monde autour d'elle semblait disparaitre. Les trois officier la dévisageaient, ils ne comprenaient pas son comportement. Cette femme toujours si enjouer, un petit sourire à offrir au premier venu, cette tendresse qu'on pouvait lire au fond de ces yeux. Tout avait disparue, en un instant. Son visage se refermait, sur une expression indéchiffrable. Toute la tendresse, la joie et la douceur qui émanais de cette femme venait de disparaitre en un cri.
Jane terrifier par ce changement qu'elle voyait en sa meilleure amie, lui glaça le sang. Elle voulait comprendre, elle voulait l'aider. Elle s'approcha de Maura, et lui posa doucement une main sur l'avant-bras.
Quand celle-ci sursauta, une expression de terreur sur le visage, une rage au fond des yeux, elle s'était déjà éloigner du contacte de Rizzoli en un sursaut et elle courut, dans son bureau. Elle sauta sur son téléphone, composa un numéro. Elle tapa sans hésiter alors que cela faisait bien des années qu'elle ne l'avait pas appelé.
On décrocha, une voie lui répondit, c'était bien lui, il avait dit qu'il serait là le jour où elle demanderait son aide, il n'avait pas trahi sa promesse.
Alors qu'elle s'apprêtait à parler, elle ne c'était pas rendu compte que Jane l'avait suivi, qu'elle était à sa porte qu'elle attendait de lui parler.
La voix dure et sombre, M aura tournait en rond et commença
C'est lui dit-elle !
Il t'a retrouvé ?
Oui
23 heures, ou tu m'as embrasse la première fois.
Ok. Répondit-elle et coupas la communication.
Elle sorti, le sac contenant des vêtements de rechange, qu'elle gardait pour le travail. Elle retira sa blouse et mit sa veste.
Jane la regardait toujours ne comprenant pas son comportement.
Une fois toute ces affaires rassemblés, elle se tourna pour partir et vit Jane à l'entrée du bureau, qui la dévisageait, d'un air perplexe et inquiet.
Qu'est-ce qui se passe Maura ?
Tu n'as pas à le savoir, lui répondit celle-ci d'un ton froid et dure, qui la désarma.
Elle l'arrêta par le bras, et la regarda droit dans les yeux ; laisse-moi t'aider ?
Tout ce qu'elle vue ne fut qu'un abime. Son cœur se serra, ou était passer Maura Isles ? Cette amie si frivole dans la vie et si acharner dans le travail. Cette amie qui savait mieux que personne comment alléger mon cœur, qui savait me calmer alors que j'étais dans une colère des plus noires. Ou était cette femme qui venait de partager 5 ans de ma vie, sans jamais faillir ? Je ne trouvais aucune réponse dans ces yeux.
Je ne sais pas pourquoi à cette instant je senti que si elle m'échappait, plus jamais je ne la reverrais.
Elle se dégagea de mon étreinte et parti en direction de l'ascenseur.
Maura ! Ne fait pas ça ! Reste !
Elle continuait sans même un regard. Elle entra et appuya sur le bouton. Alors que les portes se refermais, elle leva la tête et je crus mourir, « elle pleurait ». Je ne pouvais la laisser fuir alors je décide de la suivre de loin. Même si ces larmes, me donnais espoir, qu'elle ne voulait pas me quitter, son comportement me laissa penser qu'elle ne changerait pas d'avis si facilement.
