Bonjour, je ne sais pas trop ce que je suis sensée écrire pour cette toute première fanfiction. Enfin, cette histoire est plutôt un crash test. Vous allez probablement trouver beaucoup de fautes (qu'il ne faut pas hésiter à relever) et le style ne sera pas brillant mais je pense proposer un concept plus ou moins original (pour pas trop dénigrer cette histoire xD). Je me suis toujours imaginée Poudlard bien avant Harry Potter et c'est surtout cette ambiance particulière qui émane de cette école qui m'a donnée l'idée de cette première histoire. Je prévoie d'écrire 7 chapitres (ou plus) pour chaque année d'étude mais je n'aie vraiment pas de suite ou de date de « publication ». Allez bonne lecture !
Vague à l'âme
Chapitre 1
1 septembre 1947, Grande Salle, Poudlard, Highlands, Écosse
« Bienvenue ! Bienvenue à tous ! Une nouvelle année commence et je suis ravie de vous accueillir une fois de plus dans cette magnifique école. Cette année est la dernière pour nombre d'entre vous mais, c'est aussi la première pour d'autres, aussi, je souhaite m'adresser plus particulièrement aux nouveaux arrivants. Je me présente, Armando Dippet, directeur de Poudlard. Vous êtes tous ici aujourd'hui pour une bonne raison : vous êtes la nouvelle génération de sorcières et de sorciers. A ce titre, j'estime qu'il est du devoir de cette école de vous former en vous apprenant tout ce qu'un bon sorcier doit faire, et tout ce qu'ils ne doit pas faire… mais cette école est bien plus que cela. Durant vos sept années de formation vous cohabiterez avec vos camarades de maison. Les jeunes gens qui se trouvent à vos côtés en ce moment même deviendrons peut être vos meilleurs amis et votre nouvelle famille. Ces murs millénaires vous verrons grandir et devenir des adultes comme ils l'ont fait avec nombre de sorciers avant vous et comme ils le feront peut être avec vos propres enfants. Vous apprendrez à les connaître, ils seront les fondements de votre nouveau foyer. A la fin de votre apprentissage vous aurez toutes les cartes en mains pour devenir un grand sorcier. Mais ne nous précipitons pas et commençons pas le commencement : avant de profiter du somptueux repas qui nous attend, je veux vous énoncer quelques règles ennuyeuses mais nécessaires. Tout d'abord, il est formellement interdit aux élèves de pénétrer dans la forêt interdite, et bien que cela semble évident, le nom de cette forêt ne suffit pas à décourager les plus téméraires d'entre vous. De même, faire de la magie en dehors des classes de cours est passable de punitions sévères. Enfin, il vous faut impérativement respecter le couvre feu, la nuit est faite pour dormir et non pour se promener. Je rappelle, que vos succès ferons gagner des points à votre maison et que chaque infraction au règlement lui en fera perdre. A la fin de l'année la maison qui aura le plus de points remportera la coupe des maisons. Ces maisons sont au nombre de quatre : Gryffondor, Serpentard, Serdaigle et Poufsouffle. Bien ! Nous allons maintenant passer à la répartition des premiers années, pour ce faire, je laisse le professeur Rubanna prendre le relais. »
Une jeune femme d'une trentaine d'années s'avança d'une démarche fière au devant des nouveaux arrivants. Petite, elle était habillée d'une longue cape rouge rubis marquée par sa chevelure noire retenue dans un chignon stricte. Ces grands yeux verts scrutèrent un instant les jeunes gens lui faisant face. Dépliant un long parchemin, elle se racla la gorge et s'arrêta devant un tabouret sur lequel était déposé un vieux chapeau rapiécé. C'est avec étonnement que le vêtement débuta un chants enfantin et plein de rimes qu'il acheva rapidement pour redonner la parole à la prénommée Rubanna.
C'est d'une voix forte et claire qu'elle parla. « Lorsque j'appellerai votre nom vous viendrez vous asseoir sur ce tabouret. Je mettrai le choixpeaux sur votre tête et une fois qu'il vous aura donné le nom de votre maison vous irez rejoindre la table correspondante. Des questions ? »
Un long silence suivit la demande du professeur, mais il fut très vite coupé par les rires moqueurs des plus âgés. Quant aux premiers années, hormis quelques exceptions, les élèves étaient tous terrorisés et fascinés. C'était le cas d'Edelle, il y avait encore quelques jours elle ne savait même pas que les sorciers existaient !
Juillet 1947, 65 rue Castlehill, Édimbourg, Écosse
La lettre lui annonçant la nouvelle de sa condition lui était parvenu au début du mois de juillet. Edelle adorait tout ce qui avait trait à la magie mais c'était une enfant très rationnelle, aussi, lorsqu'elle reçue ce parchemin étrange elle opta directement pour une blague, très bonne de surcroît. Le papier était très beau et ce qu'il contenait était très original, une inscription dans une école de sorcellerie ! Et puis quoi encore ? Pour la peine la jeune fille avait gardée la lettre bien au chaud dans un tiroir. En revanche, ses parents ne trouvaient pas l'initiative particulièrement drôle, quel fou pouvait faire ça ? Mais surtout quel fou connaissait leur fille et l'adresse de leur maison ?
« Mais c'est peut être juste un camarade de classe » ne cessait de leur répéter Edelle. Elle nous voulait pas que ses parents s'inquiètent pour si peu.
« Et bien dans ce cas, fais attention à tes fréquentations ! » lui répondez sa mère et la jeune fille trouvait qu'elle avait un don pour tout dramatiser. Au font, elle ne pouvait pas lui en vouloir, ses parents avaient connus la guerres et c'est bien pour fuir les ennuis qu'ils avaient quittés la France pour l'Écosse. Ils étaient toujours méfiants, pour tout et n'importe quoi, même une simple lettre leur faisait peur ! Pourtant, ce bout de papier se révéla dérisoire en comparaison de ce qu'il les attendez.
C'est au petit matin du vingt-cinq juillet que la famille Weiss reçue une visite des plus inattendue. A neuf heure dix, alors que les parents et leur fille étaient attablés et dégustaient leur petit déjeuné, un bruit assourdissant se fit entendre depuis le salon. Ni une, ni deux ils se retrouvèrent sous la table au aguets du moindre bruit suspect. Edelle était effrayée.
C'est une voix inconnue mais hésitante qu'ils entendirent « il y a quelqu'un ?! Mister et Miss Weiss ? » La maman décida de réagir en premier. Jugeant qu'ils ne pouvaient pas rester coincés sous la table comme des rats, elle sortie de la cuisine pour arriver dans le salon et y découvrir un petit monsieur.
Il ne devait pas dépasser le mètre vingts, même avec ses talonnettes. Mais la taille de cet homme n'était qu'une bizarrie parmi une multitude d'autres. Ses vêtement teints d'un vieux bleu usé étaient totalement dépassés et son chapeau était immense ! Noué à la va vite, sa cape, bleue également et trop grande, traînée parterre. Son nez tout en rondeur et ses grands yeux bleus cachés derrière de larges lunettes dorée rendaient son visage sympathique et son sourire précédé par sa longue barbe rousse achevé de le rendre attendrissent comme un enfant pris en faute.
« Navré pour ce tintamarre, les voyages en cheminée sont toujours difficiles pour moi. Mon allergie à la poudre de m'aide pas, voyez... Et puis c'est la première fois que je me rends chez vous, très charmant d'ailleurs. C'est vous qui avez faits ces tableaux ? » La voix aigu du bonhomme fut suivie d'un long blanc. Monsieur Weiss se reprit le premier et c'est d'un ton légèrement agressif qu'il accueillie le nouvel arrivant « Non mais c'est une blague ?! Vous êtes qui ?! Qu'est ce que vous faites chez nous ?! »
Loin d'être impressionné, l'étranger répondit au quart de tour. « Oh ! Mais que je peux être tête en l'air parfois ! Je parle, je parle mais j'en oublie l'essentiel. Je suis le professeur Heartemspell, Hollis Heartempell, j'enseigne le noble art des sortilèges à l'école de sorcellerie Poudlard. »
Il ne fallu pas longtemps à Edelle pour se souvenir de ce mot si étrange : « Poudlard ? C'est vous qui m'avez envoyé cette lettre ? » et sa mère d'achever « Vous êtes le fou qui avez envoyé cette lettre ?! Comment avez-vous eu notre adresse ?! Répondez ! » la mère de la jeune fille s'était avancée et pointé un doigt menaçant sur le professeur. Ce dernier semblait d'ailleurs effrayé par cette femme qui lui criait dessus sans raison. Aussi, il fini presque par se terrer dans la cheminée à force de reculer. Et s'est bégayant qu'il répondit.
« Je viens en paix ! Et je ne suis pas fou vous êtes simplement sous le choc d'apprendre que votre fille est une sorcière, ça arrive toujours dans les familles de moldus. Et je peux comprendre ! Si on m'avait annoncé que j'étais un moldus, je serais sous le choc… aussi ». La fin de sa phrase mourut dans sa gorge alors que les Weiss se statufiaient à nouveau.
« Sortez d'ici ! » cria sa mère.
1 septembre 1947, Grande Salle, Poudlard, Highlands, Écosse
Rêve et prise de conscience se bousculaient dans la tête de la jeune fille. Ses yeux pourtant s'attardaient sur tous les détails qu'ils attrapaient. Il émanait de ces vieux murs gris, une chaleur et une convivialité surprenante.
Aux discussions animés des élèves ponctuées de rires se mélangeait le tintement des couverts, et tout, du fou rire de ce cinquième année de Poufsouffle jusqu'au sourire bienveillant du directeur lui disait qu'elle était rentrée chez elle.
