Bon je dois avouer que c'est la 1° fic que je publie et je maitrise pas trop fanfiction MDr mais je vais vite y arriver promi !

Je tien a précise mais je suppose que vous le savez que c'est personnage appartiennent tous a Stéphanie Meyer a part certain que j'inventerai ^^

Ah oui... Désolé pour les fautes !!!

Chapitre 1

Une vie infinie

Point de vue de Elle

– Isabella réveillez-vous !

– Mais.. Euh allez voir ailleurs si j'y suis...

– Isabella Swan vous avez votre rentrée scolaire aujourd'hui, je vous pris de vous réveillez et de changer de langage.

– Justina vous ais je déjà dis combien je vous haïssais le matin ?

– Oui mademoiselle.

Je me levais et Elliote me lança un sourire resplendissant. J'éclatais de rire et je le priais de me laissé seul le temps de me préparé. Elliote est mon major d'homme, mon baby-sitter, mon meilleur ami, l'homme qui me surveille qui veille sur moi penser comme vous le voulez. Je plaisantais très souvent avec lui, je lui envoyais des piques qu'il me rendais avec malice. La personne qui m'avait réveillé et à qui j'avais dit d'aller voir ailleurs n'étais pas Elliote mais l'une de mes servante, amie comme vous voulez. Elle, aussi je l'envoyais boulé ou lui envoyais des piques elle aussi me taquinais mais d'une manière différente de celle d'Elliote. Justina a 35 ans et pourtant elle me craint et me respecte. Moi une jeune fille de seize ans. Elliote en à 65 ce qui change littéralement il me respecte tout autant mais une complicité c'est installé entre nous différente de celle que j'ai avec Justina. Comme vous l'aurez certainement deviner je suis l'une de ses gosses de riche qui ne vois ses parents qu'une à deux fois l'an et qui est plus proche de ses domestique ou du moins les personne qui son chargé de son éducation que ses propres parents.

Je me levais, ronchonnait, me lavait, m'habillais et descendais dans la cuisine. Pour ainsi dire, je ne suis pas du matin... ABSOLUMENT PAS.

– Avez vous faim Elliane ?

Je regardais Justina avec un sourcil levé et la regardais à deux doigts d'éclater de rire, elle, elle se pinçait les lèvres. Sans pouvoir me retenir plus longtemps j'éclatais littéralement de rire sans pouvoir m'arrêter, en me tenant les côtes et aussitôt les rires de Justina et Elliote ce joignirent au mien.

Elliote et Justina avaient échangé leur uniforme, c'est à dire que Elliote, homme de 65 ans avec un peu de ventre et plutôt grand avait échangé son costardd avec Justina, femme de 35 ans fine et petite, son tailleur avec mini jupe. Je ne sais pas du tout comme il on fait pour que sa tienne mais dès que je posais ne serais-se qu'un œill sur eux mon rire repartait de plus belle. Elliote riait de bon cœur et abattait avec force son poing sur le plan de travail et Justina se tenait les côtes d'une mais et l'autre cachait ses yeux clos, quant à moi je m'étais effondré par terre et pleurai de rire. Au bout d'une demi heure mémorable nous réussîmes enfin à nous calmer... Seulement parce qu'ils s'étaient changer.

– Nous y allons Isabella.

Je regardait Elliote et respirait profondément. Je le revoilliais avec son tailleur et sa mini jupe rouge pétant avec de escarpin trop petit pour lui et aussitôt le fous rire me repris. Je me dirigeais vers le garage avec l'aide de Elliote ce qui n'arrangeait rien. Nous montâmes dans la voiture moi à l'arrière lui derrière le volant et nous nous dirigions vers mon nouveau Lycée, dans une Rolls Royce noire.

– Êtes-vous prête pour votre rentrée personnelle mademoiselle?

Je regardait Elliote grâce au rétroviseur et je soupirais. S'il disait ''rentrée personnelle'' c'est du fait que je rentrais en cours d'année ce dont j'avais horreur. Je n'aimais pas être le centre d'attention même si Velaux ressemblait plus à une pétite ville qu'un village, mais une nouvelle venue attirais toujours l'attention dans un Lycée.

– Ai je le choix Elliote ?

– Et bien nous pourrions dire que vous vous sentez mal...

– Non ça ira il faut bien passer par la case départ, non?

– Oui, vous avez raison.

Le trajet s'effectua en silence et je grimaçai lorsque nous arrivâmes. J'avais catégoriquement refusé d'aller dans une institution privé et je me retrouvais face à se lycée ou tout les élèves regardait ma voiture avec intérêt.

Elliote s'apprêtait à sortir de la voiture pour m'ouvrir la portière mais je l'arrêtai d'un geste et le remerciai puis je sorti et frissonnai d'horreur en voyant que tout le monde avait les yeux fixé sur moi.

Prenant mon courage à deux mains, je pris une grande inspiration et repensa à la scène du matin pour me donnée un peu de courage. Quand cela fus fait ( ça ne donna pas grand chose) je commençais à me diriger vers le portail. Je passai devant tout les élèves en tachant de me faire la plus petite possible. Une fois dans l'enceinte du lycée je me retrouvai pour ainsi dire perdu. Je n'avais aucun sens de l'orientation. Sur tout dans les bâtiments, s'était toujours là où je me perdais.

Je cherchais des yeux un quelconque panneau mais il n'y avait absolument rien.

– Tu cherches quelques chose ?

En entendant cette voix féminine je me retournai et souriais à la fille qui me faisait face.

– Oui le secrétariat.

– Viens je t'y amène si tu veux.

– Merci.

Durant ce cours trajet nous discutâmes un peu. Heureusement que Angela ( la jeune fille qui m'avait proposer son aide ) m'avait accompagné car sans elle jamais je n'aurai trouvé cet endroit. Nous nous saluâmes puis elle parti et me laissa seul face à une femme au cheveux blond délavé et un sourire à faire peur.

– Bonjours Mlle Swan.

– Bonjours.

Celle femme âgée d'une cinquantaine d'année me souria et je me senti de plus en plus mal à l'aise. Ne pouvait-elle pas me tendre des documents pour que je puisse partir. Au bout d'une très longue minute je me décidais à parler.

– N'avez vous pas de document à me remettre.

Il fit les yeux rond puis s'exclama.

– Oh si bien sûr ! Je vous pris de m'excuser Mlle.

Elle me tendit plusieurs copies puis me souria. N'y tenant plus je la saluais et sorti avec hâte de ce bureau surchauffer.

Je me retrouvais dehors à essayer de savoir de quel côté je devais tenir mon plan pour qu'il corresponde à l'endroit où j'étais lorsqu'une mais me le pris et le mit du sens contraire.

– De ce sens vous aurais peut être une chance de retrouver votre chemin.

Je levais les eux surprise et croisai de magnifique yeux gris.

– Il y a peu de chance. J'ai un sens de l'orientation épouvantable.

L'homme qui me fit face me souria

– Où devez vous aller, je vais vous y amener si vous me le permettez.

– Je vous en serais très reconnaissante.

Il me souria et me dévoila une très belle ranger de dents blanches. Il m'offrit donc bras, jeta un coup d'œil à l'emploi du temps que j'avais à la main et me dirigea à l'endroit même où je n'aurait jamis songer à aller, ce que je lui fit remarquer.

– Et bien vous avez de la chance que je soit passer par là car en temps normal ce n'est absolument pas mon chemin.

– Je crois que c'est mon jour de chance alors.

Il hocha la tête et nous commençâmes l'ascension d'une trentaine d'escalier.

Il m'arrêta devant un porte et me souria.

– Voici votre salle pour votre cours de Grec. J'ose espérer que vous trouverez votre prochain cours.

Je vis du coin de l'œil que plusieurs personnes nous observaient mais n'y fit pas attention.

– Je me contenterais d'observer les élèves qui pourrait se trouver dans mon cours.

Il me souria, me baisa la main puis parti sans un regard en arrière alors que moi je l'observais avec fascination. C'était un jeune homme de 18 ou 19 ans, les cheveux châtain, les yeux verts. Il était plus grand que moi, d'environs une tête et je me promis une chose: de recroiser son chemin.

– Tu le connais ?

Je me retournais surprise.

S'était une jeune fille de mon âge avec un visage incroyablement rectangulaire, les cheveux bien trop lisse pour être naturel et un abominable appareil dentaire.

Elle me regarda comme si j'étais une demeuré et répéta sa phrase plus lentement.

– Tu le connais ?

C'est à ce moment la que je compris qu'elle me posait une question.

– Oh excusez moi je n'avais pas compris que vous me posiez une question. Non je ne le connais pas.

Elle me regarda surprise et éclata de rire.

– T'es super bizarre toi.

Elle entra dans la classe en parlant à une personne qui était à son côté.

Pourquoi disait-elle que j'étais bizarre . Est-ce parce que je n'avais pas compris qu'elle me posait une question ? Comment étais-je censer le savoir si elle n'inversait pas le sujet avec le verbe.

Je rentrais dans la classe et allais voir directement notre professeur de Grec.

Tout les élèves étaient là et assis me regardant avec curiosité. J'attendis que notre professeur finisse d'écrire sur un bloc-note puis m'adressa à elle.

– Bonjours je suis votre nouvelle élève.

Cette femme d'une trentaine d'année me souria et me dit d'une voix fluette.

– Bonjours Mademoiselle Swan. Je me présente je suis Madame O'Neil je serais votre professeur de grec durant cette année.

– Ravie de faire votre connaissance.

Elle me souria puis pris le document que je lui tendais, le signa et me le rendit.

– Je vous propose de vous assoir près de la fenêtre au quatrième rang si cela ne vous dérange pas.

– C'est parfait merci.

Je me dirigeais à ma place sous les regards médusés des élèves, mais je ne compris pas pourquoi...

Le cours débuta et je m'aperçus que j'avais déjà étudier cette leçon. Je jetais un coup d'oeil par la fenêtre ne sachant que faire étant donner que cette leçon était ridiculement facile et qu'une deuxième explication ne me serait d'aucune utilité. Mon regard erra sur la cours vide lorsqu'une personne sorti au coin d'un angle d'un bâtiment. Je l'observais surprise d'avoir un sentiment de familiarité avec celle-ci. Puis je reconnu le jeune homme qui m'avait escorté jusqu'à ma classe. Je n'étais pas sûr qu'il puisse me voir de là où il était mais moi je le voyait très nettement. Il ne semblait pas d'excellente humeur bien au contraire, il avait l'air furieux et je fut ravi de ne pas être face à lui. Il traversa rapidement la cours et je ne puis l'observer plus longtemps car il quitta mon champs de vision. Cela ne dura que quelques secondes pourtant il habita mes pensées jusqu'à la fin de l'heure annoncé par une sonnerie stridente et horriblement désagréable. Je sortis de ma classe regardant qu'elle étais mon cours suivant, anglais. Matière que je ne parvenais pas à maitriser parfaitement et qui lors de mes devoirs m'exaspérait au plus au point.

– C'est quoi ton prochain cours ?

Je me retournais pour faire face à Angela. Je fus ravie de la voir et lui souria soulager, sourire qu'elle me rendit.

– J'ai cours d'anglais et vous ?

– Moi aussi veux tu que je t'accompagnes ?

– Oui, merci.

– Pas de quoi, allons y.

Nous traversâmes tout le lycée et j'essayais tant bien que mal de mémoriser le chemin que nous empreintions mais s'était peine perdu je me rappelais déjà plus qu'elle chemin nous avions emprunté pour être dans ce bâtiment. Lorsque nous arrivâmes Angela se retourna.

– Nous avons un peu de temps encore. Je peux te poser une question ?

– Oui.

– Pourquoi me vouvoies-tu ?

Je la regardais surprise. N'était-il pas à elle de me dire pourquoi elle me tutoyais ?

– Et bien, nous ne nous connaissons pas.

– En général on accorde le vouvoiement au adulte.

– Je suis désolé, c'est... ainsi que j'ai été éducquée.

Elle allait dire quelque chose mais cette horrible sonnerie retentit et nous dûmes entrer en classe sans attendre.

Le reste de la matinée se passa plutôt bien. Il se trouvait que Angela et moi avions les même cours ayant pris les même option et elle n'eut pas le temps de me poser plus de question car il me fallut aller durant notre malheureux quart d'heure de pose au secrétariat.

À midi, heure à laquelle nous devions manger Elliote vint me chercher et je rentrait enfin chez moi.

– Comment a été votre première journée ?

– Étrange Elliote.

– Puis je savoir pourquoi ?

– Et bien les professeurs sont tout à fait charmant mais les élèves sont rustres et ont un vocabulaire et une grammaire remarquablement grossier.

– C'est normal Mlle, ils ont reçu une éducation différente de la votre où il n'y a pas une hiérarchie aussi bien définie que l'on vous l'a appris. Chez eux il sont égaux, ce tutoie entre eux et parle pour ainsi dire familièrement car ils ne voyent pas pourquoi ils en feraient autrement. Ne vous inquiétez pas vous vous y ferais.

– Ils vont très vite comprendre ma différence et j'ai peur que cela se termine mal et que je sois obliger d'aller a High Burg...

High Burg était cette fameuse institution privée où mes parents voulurent me mettre mais j'avais refuser car je ne voulais absolument pas être en internat.

– Ne vous inquiétez pas Mademoiselle il suffit de vous entourez des bonnes personnes.

– Au cas on vous ne le saurez pas Elliote vous n'avez pas le droit d'aller au lycée.

Il me souria et me fit un clin d'œil mais n'ajouta rien. Lorsque j'eus terminer mon déjeuner Elliote me ramena au lycée pour mes cours de l'après midi. Ces cours me parurent durée une éternité et quand enfin la dernière sonnerie nous donnait l'autorisation de quitter le cours je me dirigeais avec hâte au parking. Je vis que tout le monde me regardait comment ce matin mais je n'étais pas vraiment d'humeur à m'en inquiété. Lorsque je vis Elliote je fus soulager. J'eus peur pendant quelques secondes que je devrai l'attendre mais non comme à son habitude il étais pile à l'heure. Il m'ouvrit la portière, la referma sur moi puis nous partîmes de ce maudit parking. L'année sera longue je le préssentait déjà et pourtant je n'étais pas spécialement défaitiste. Le reste de la journée fut plutôt calme. Justina surveilla de près mes devoirs, à 21h00 je dormais déjà. Le lendemain je fus réveillée par Justina comme tout les matins. Elliote ne rentrai que rarement dans ma chambre et seulement sur invitation de ma part, s'était un homme qui respectait mon intimité et je crois que Justina lui arracherait la tête s'il entrait sans ma permission.

À 7h45 pétanque je me retrouvais dans la voiture devant le lycée.

– Pourquoi sommes nous devant le lycée à cette heure-ci ? La première sonnerie ne sonnera pas avant 8h05 Elliote.

– Je sais Isabella mais j'ai pensé que vous voudriez rejoindre les élèves avec qui vous avez sympatisé hier. Me suis-je trompé ?

Je détournais le regard ne voulant pas me lancer sur ce genre de discutions, il avait toujours le don de me faire la moral et le pire c'est qu'il avait bien souvent raison et ça me rendait folle !

– Je préfèrerai rester dans la voiture si ça ne vous dérange pas Elliote. Je crois que quelques minutes de somnolence me ferait le plus grand bien.

– À non mademoiselle, vous risquez d'aller en cours à moitié éveiller et dormir sur votre table en bavant.

J'ouvris la bouche pour le rabrouer quand je croisais ses yeux bleu m'apercevant qu'il se moquait de moi avec brio.

– Je n'aurais qu'à leur dire que mon major d'homme est en dépression et que ma servante est alcoolique. Je suis persuader qu'ils ne m'en voudront pas.

Je lui souriai avec un regard espiègle et il me rendit mon sourire.

– Je pense aussi que le professeur ne vous envoudra pas, mais les élèves eux n'oublieront pas.

– Peut être... alors je me contenterai de ne pas baver.

Il éclata de rire mais n'insista pas. À huit heure, Elliote m'ouvrit la portière et me souria.

– Je viens vous cherchez à midi dix mademoiselle, tachez de vous faire quelques connaissance fiable.

– Je ne vous promet rien.

Il me fit un clin d'œil Souriant je l'embrassai sur la joue et allais au lycée en soupirant.

Je sortais mon emploi du temps réfléchissant au cours que j'avais. Mathématique. Cours où j'étais médiocre et où Elliote se faisait un point d'honneur à me l'enseigner. Imaginer juste une minutes un homme de 65 ans comprenant les mathématique comme un chef cuisinier comprend une recettte m'expliquer une matière qui ne m'inspirait rien du tout. Il était très intransigeant et n'appréciait pas que je baisse les bras... Je détestais cette matière de tout mon cœur

– Pour l'amour du ciel pas cette matière.

– Si elle ne vous plait pas nous pouvons nous enfuir.

Sursautant je lâchais ma feuille et me retournais pour savoir à qui appartenait cette voix mélodieuse.

Mon regard plongea alors dans des yeux gris, baissant les yeux je vis de douce lèvres se courber en un délicieux sourire. S'était lui ! Le jeune homme d'hier, celui qui m'avait accompagné devant ma salle de grec avec de magnifique yeux gris.

– Et où irions nous ?

– Je ne sais pas loin de Mr Garner.

Surprise je ne pus m'empêcher de le dévisageais, comment diable savait-il que mon professeur de mathématique était Mr Garner ?

– C'est tentant mais je ne pense pas que cela puisse être possible. Elliote et Justina n'apprécieraient pas.

– Se sont vos parents ?

Je le regardais surprise.

– Mes parents ? Non bien sûr.

Je m'aperçu qu'il était étonné mais il ne fit aucun commentaire, je m'apprêtait à lui dire que ce n'étais que parti remise lorsque la sonnerie retentit.

– J'aurais aimer m'enfuir avec vous mais comme je viens de vous le dire ce n'est pas possible.

– Alors ce n'est que parti remise.

Il me pris la main et me dirigea dans un dédale de couloir et m'arrêta devant une porte. En lisant 603 F jem'aperçut que s'était ma salle de cours.

– Mais comment avez-vous su ?

Il souria me dévoilant ses dents blanche mais ne répondit pas à ma question.

– Je dois me sauver, je crois que Mme Dick n'apprécierait pas mon retard.

– Ce serait dommage...

Comprenant que j'étais ironique, il éclata de rire et s'éloigna. Je me sentis soudainement seul sans sa main dans la mienne.

– Salut.

Je me retournait et Angela me souria.

– Bonjours, comment allez-vous ?

– Bien et toi ?

– Et bien je dois avouer que j'aurais aimer pouvoir dormir un peu plus.

Elle me souria puis nous entrâmes dans notre salle de cours. Et elle me chuchota.

– Fait attention ce prof est un vrai con avec tout le monde.

Je fus choquer par le termes qu'elle venait d'employer pour un homme qui était trois fois son ainée et qui lui enseignait son savoir. Un savoir que je haïssais certes mais un savoir quand même.

– Merci.

Je me dirigeais vers ce professeur qui apparemment était infecte avec tout le monde. Il me souria de ces dents... jaunes et me salua.

– Bonjours Mademoiselle Swan.

Je ne pus m'empêcher de reculer de quelques pas. Il avait un haleine de babouin c'étais horrible et en plus il postillonnait, il allait me falloir un parapluie s'il me parlait trop !

J'entendis quelques petit rire et je grimaçais.

– Où dois-je m'assoir ?

Il regarda la salle puis pointa un siège près de Angela. Dieu merci !

– Merci.

Je partis sans demander mon reste respirant de l'air pur.

Une fois assise Angela me chuchota.

– Imagine ceux qui sont au premier et deuxième rang, nous on a de la chance on est quatrième.

Je ne pus n'empêcher de grimacer.

– Les pauvres je compatis à leur douleur.

Elle hocha la tête l'air grave même si elle me semblait surtout hilare.

– Ne rie pas cela doit être pénible !

– T'imagine pas, j'ai été devant pendant deux semaines grâce au ciel il y a un idiot qui a demandé d'être au premier rang parce qu'il ne voyait rien.

– Le pauvre, il n'avait jamais parlé au professeur face à face ?

– Apparemment non !

– Il ne doit pas être déçu maintenant !

Nous éclatâmes de rire, le plus silencieusement puis suivîmes le cours. Je me demandais franchement comment ces élèves faisaient pour rester là devant ce professeur qui empestait et postillonnait à tout bout de champs.

À la sonnerie annonçant la fin du cours, je fus impressionnée par la vitesse. La vitesse qu'il fallut à l'ensemble de classe pour évacuer cette salle: moins de vingt secondes. Et je dois avouer que moi même je ne m'y attardais pas. Angela se chargea de m'accompagné à mon cours suivant étant donné que nous le partagions, il y avait avec elle une autre jeune fille qui m'ignorait complètement et la seule fois où elle posa son regard sur moi se fut avec dédain, remettant sa masse de boucle blonde derrière son épaule et me tournant le dos ostensiblement. Je fus étonnée par son comportement mais pas blesser. Pourquoi le serais-je étant donné que je ne la connaissais pas.

– Merci Angela de m'accompagner à mon prochaine cours. Je dois vous avouez que je n'ai pas du tout d'orientation.

Elle me souria et s'apprétait à me dire quelques chose lorsque la fille blonde la devança.

– Pourquoi tu dis merci Angela mais que tu t'adresse à elle et à moi pour dire que t'as pas d'orientation.

Nathalia la regarda surprise et répondit à ma place en souriant.

– C'est pas ça mais Isabella vouvoie tout le monde, elle te parlait pas à toi mais seulement à moi.

– T'es anglaise ?

– Non pourquoi le serais-je?

– Ben je sais pas les anglais utilise le même mot pour dire tu et vous alors je pensais que tu l'étais.

Elle haussa des épaules et à ma plus grande surprise je la sentie mal à l'aise.

– C'est une très bonne remarque, vous avez l'esprit critique.

Je crus voir un soupçon de sourire mais elle se retourna avant que je puisse en être sûr. Nous étions arrivée et l'heure de bavardage était terminé.

La matinée fut comme la veille longue et ennuyante sauf que je parlais avec Angela au inter cours ainsi qu'à la récréation en comapagnie de la jeune fille qui pensait que j'étais anglaise, elle s'appelait Jessica.

À midi lorsque mes deux compagnes me laissèrent sur le parking je rejoignit Elliote qui me souria.

– Vous êtes parvenu à vous faire des amies.

– Disons plutôt que se sont des connaissances qui me sont utiles.

– Voyons Isabella ne soyez pas ainsi !

Il me réprimanda du regard mais n'insista pas. Je n'appréciais que très peu qu'il me fasse la moral si celles-ci n'avaient aucun lien avec mes cours et il le savait.

L'après midi j'attendis que Angela et moi fûmes seuls pour lui poser la question qui occupait mon esprit depuis ce matin.

– Excusez moi, Angela. Sauriez-vous qu'elle matière enseigne Mme Dick ?

– Oui bien sûr c'est un prof de biologie, d'ailleurs elle est super strict t'as de la chance de pas l'avoir. Pourquoi tu l'as connait ?

– Oh, non pas du tout c'est juste que j'ai entendus quelqu'un prononcer son nom et je voulais savoir ce qu'enseignait ce professeur.

– Et ben maintenant tu le sais. Je ne savais pas que tu étais curieuse.

Elle me fit un clin d'œil et nous continuâmes notre chemin pour notre cours de français.

Je ne vis pas mon gentleman aux yeux gris ce qui me rendit morose. Allais-je le voir le lendemain ? M'accompagnerait-il à mon premier cours devinant la salle où j'étais ou le lisant habilement par dessus mon épaule sans que je m'en aperçoive ? Aucune idée, pourtant je n'avait qu'une envie c'est de le voir lui, son sourire, et ses yeux gris qui m'obnubilait.

Je le connaissais peu pour ainsi dire pas du tout et pourtant il occupa mes pensées toute la soirée et je n'avait qu'une envie le revoir et pouvoir passer du temps en sa compagnie pour une raison qui m'échappait encore mais que je me promis de trouver. Il était deux heure du matin et pourtant je ne parvenais toujours pas à trouver le sommeil alors que je sentais mon corps complètement endormi mais mon esprit était bien trop occupé par cet inconnu et ma peur d'être rejeter par des élèves intolérant.

Cela pouvait paraître bizarre que moi une filles de milliardaires est peur d'adolescents pour la simple et bonne raison qu'ils étaient des personnes que je n'avais que rarement l'occasion de rencontrer et qui maintenant m'entouraient. Je devais dès à présent m'intégrer parmi eux.

Je pouvais paraître fataliste ou légèrement névrosé en disant cela mais je me rendit rapidement compte que notre éducation était l'opposé l'une de l'autre et qu'il allait falloir que je m'y fasse car les vouvoyer semblait les mettre mal à l'aise alors que moi les tutoyer étais pour moi la même chose que les insuler. Je ne tutoyais pas même mes parents alors que c'était grâce à eux que j'étais sur Terre. Les seules personnes que je tutoyais étaient les personnes qui m'avaient autorisés à le faire et s'était réciproque pour les personnes de mon entourage. Tous me vouvoyais même mes ainés. Sauf je dois l'avouer ma grand-mère aimante mais je ne lui en tenais pas rigueur. Mais là eux, de parfait inconnus ce permettaient de me tutoyer et de me parler familièrement alors que ne nous connaissions ni d'Eve ni d'Adam.

Et puis il y avait lui, cet inconnu qui n'occupait que bien trop mes pensées. Et cela me rendais horriblement mal à l'aise. Mais il me semblait si différent des autres ! Il m'avait toujours parlé de manière irréprochable sans une seul lueur de moquerie dans ses yeux, bien au contraire. Comment avait-il pus comprendre la manière de m'exprimer qui semblait si étrange au yeux de nos camarades. Lui non, il m'avait tout de suite vouvoyé et parlé d'une façon tout à fait honorable m'appelant mademoiselle et employant un vocabulaire irréprochable dès le début de notre rencontre. S'était-il moquer de moi de manière assez fourbe pour que je ne m'en rende pas compte ? Je doutais très fortement de mon hypothèse. Peut être était il comme moi. Un élève ayant eut une éducation différente... aucune idée et je n'étais pas sûr de le savoir un jour mais je me promis si l'occasion se présentait que je me renseignerais avec le plus de discrétion si je ne lui posais pas directement la question...

Je finis par m'endormir très tard ou très tôt, tout dépendait du point de vue d'où on se plaçait, une chose est sûr lorsque Justina vint me réveiller je n'étais absolument pas réveiller. Je me pris une douche les yeux à moitié à moitié fermer et grâce au ciel ce fut Justina qui se chargea de préparer mes habits, comprenant que je risquais de m'habiller avec un maillot de bain comme sous-vêtement et une tunique comme robe. Il lui sembla plus judicieux de prendre de vrai sous-vêtements et de me vêtir d'une tunique grise en laine et un slim noir ainsi qu'une paire de ballerine noir..

Cette fois ci Elliote ne chercha pas à m'amener en avance au lycée. Nous arrivâmes cinq minutes avant la première sonnerie et il me dit qu'il viendrai me chercher à la même heure que la veille et me rappela que j'avais mon cours de danse classique.

– Je m'en souviendrais Elliote et puis Justina me le rappellera très certainement.

– Passez une bonne matinée Isabella.

– Merci vous aussi.

Je sortis de la voiture moi-même afin d'éviter de me faire remarquer et sorti mon emploi du temps sans faire un pas en avant, Elliote lui n'était déjà plus là. Et c'est dans ces moments là que je me rappelais que c'était mon major-d'homme et non pas une personne qui pourrait s'inquiéter de mon bien être par sa propre initiative. Je pouvais paraître méchante mais certaine fois je me rappelais que sans le salaire qui leur était versé à chaque fin de mois ils ne seraient pas là à veiller sur moi avec autant de vigilance.

– Encore perdu demoiselle en détresse ?

Je me retournais avec un grand sourire. S'était lui, je ne l'avais pas entendu venir mais je reconnaissais sa voix. Il me souria à son tours et me demanda.

– Alors perdu ?

Je dois avouer que même si je ne l'aurais pas été j'aurais menti !

– Oui, je crois que cela va devenir une habitude.

Il éclata de rire et je fus subjuguée par ce son qui me fit frissonner.

– Et bien je pense que je vais faire en sorte de vous accompagnez.

– À chaque fois ?

Je ne pu m'empêcher de poser cette question et je me sentis rougir ! Ses yeux papillonnèrent sur mes joues et je détournais les yeux mal à l'aise.

– Si je le peux, oui.

– Il me tendit la main et je la pris avec envi. Nous commençâmes à marcher et je compris que tant qu'il m'accompagnerai il me serai impossible de mémoriser mon chemin car je dois avouer que j'étais hypnotisée par son visage et que je ne parvenais pas à me souvenir de ce qui m'entourait quand j'avais l'occasion de le voir. Je ne l'avais vue que trois fois maintenant quatre, ça promettait...

– Comment a été votre cours de mathématique ?

– Dans l'ensemble plutôt bien. Et vous votre cours de biologie.

– Il me jeta un regard étonné mais répondit à ma question. Et oui je m'étais renseigné je n'avais pas pus m'empêcher.

– Bien dans l'ensemble.

Je le regardais grimaçant.

– C'est ma réplique !

Il éclata de rire puis s'arrêta et je compris que nous étions arrivé. Dommage j'aurai aimé discuter plus avec lui.

– Désolé, j'espère que vous ne m'en voulez pas trop ?

– Je n'en suis pas encore tout à fait sûr.

Il me souria et je vis une étincelle dans ses yeux que je ne serais décrire.

– Et bien je tacherais de faire en sorte que vous soyez sûr de me pardonner.

Il me lança un dernier sourire puis lâcha ma main et rebroussa chemin. Je compris que ma salle de cours était très certainement à l'opposé de la sienne et que cette homme me fascinait plus que de raison.

Toute la matinée je regardais autour de moi dans l'espoir de le voir, mais non. Impossible de tomber sur ses yeux gris et ses cheveux brun. Je me rendit compte que je n'avais pas prêter attention à son physique. Mise à part son visage et le fait qu'il soit plus grand que moi je n'avais rien retenu d'autre mais je me promis d'y remédier.

Mon après midi fut calme. Mon cours de danse se passe extrêmement bien et à dix-neuf heure je dormais comme un loir dans mon lit à baldaquin.

Cette fois ci lorsque Justina vint me réveillé je ne me fis pas prier et sorti du lit très rapidement. Je ne savais pas si je le verrais ce matin pourtant j'en avais la très nette impressionet cela me rendait impatiente.

Et je ne m'étais pas trompé. Aussitôt que j'avais quitter la voiture d'Elliote, il arriva par derrière comme la fois précédente. Je ne savais pas comment il avais su quel cours j'avais mais il me pris la main et silencieusement il me fit traverser le lycée pour m'amener à mon cours d'anglais.