Résumé : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, pas de chose noir à sortir des boîtes de mouchoirs. RW/DM ainsi que HG/PP

Je tiens quand même à préciser que c'est ma première fanfiction. -hurlements de fans hystériques-

Disclaimer ( ou le truc que j'ai toujours rêvé de dire depuis que lis des histoires ici. ) : Je suis un homme. A moins que J. K. Rowling nous cache des choses... Donc bien évidemment je suis pauvre, et j'gagne rien du tout.

Disclaimer 2 : J'ai emprunté le nom du magazine "Sorciers et grosses baguettes magiques" tout l'honneur revient donc à julielal, à qui je n'ai jamais parlé. Et qui sera prié de ne jamais lire mes histoires, parce que j'ai pas envie.

Donc voilà : Des instants Inoubliables.

Chapitre 1 : C'est le début en faite.

La main d'Hermione Granger siffla dans l'air avec une vélocité impressionnante et vint s'écraser sur la joue d'un grand rouquin désemparé répondant au doux nom de Ron Weasley qui, visiblement ne s'attendait pas le moins du monde à ça, Hermione aussi d'ailleurs, aaaaaaah ! L'instinct féminin... Le temps semblait s'être arrêté puis, comme un barrage cédant, le flot d'injures au quelle s'attendait en premier Ron arriva résonnant sur les murs du rez de chaussé d'un Poudlard vide en cette heure de repas :

-Idiot ! Imbécile ! Vil petite crapule ! Tu... je... espèce de... ( ne rigolé pas, dans un vrai moment de colère trouver des insultes est extrêmement difficile. ) finalement elle opta pour : Ron Weasley tu n'es qu'une erreur dans le processus de l'évolution de l'espèce ! ( -Même dans ces moments là, elle reste assez lucides pour m'insulter intelligemment pensa Ron. ) Comment à tu osé ?

-... Mais... euh... 'Mione c'est des choses qui ne se contrôle pas...

-Ah ben oui ! Ce n'est plus de ta faute maintenant ! La robe de Lavande s'est enlevé toute seul ? Ainsi que le reste de ses habits, si jamais je n'avais pas réussi à ouvrir cette fichue porte !

-Hum...chaud, bloqué dans salle de classe … marmonna t'il. Écoute Hermione, je suis sûr que c'était un coup monté d'elle, et malgré tout ça j'ai essayé de résister, mais... Je suis un homme !

-Donc ton excuse est « Je suis un homme » ? Hermione avait repris contenance, maintenant un visage froid et de marbre cachait l'ouragan de rage qui envahissais son esprit.

-Je suis désolé... murmura t'il. Je te jure que cela ne se reproduira plus ! Il leva la tête avec espoir... et sa mâchoire se décrocha, Hermione était déjà dix mètre devant lui. Ron courait en face du grand escalier de marbre afin de la rattraper, cette dernière ouvrit les portes de la grande salle pour échapper au visage larmoyant du rouquin, elle l'entendait hurler :

-Hermione ! Je suis désolé ! Malheureusement pour lui, depuis la chute du terrible Tom Marvolo Jedusor ( Il fait peur comme ça ? ) Il avait pus s'acheter une bonne dizaine de nouvelles robes de sorcier qui maintenant n'était plus trop courte pour lui, et ce qui devait arriver arriva : Ron peu après avoir passer les portes trébucha et s'étala de tout son long sur le marbre froid et glissa jusqu'au milieux de la salle, qui, comble du désespoir était en pleine heure de pointe, élèves et professeur restèrent un moment abasourdis, jusqu'à ce que Dumbledore pouffe de rire entraînant ainsi tout le monde avec lui. Ron se releva, rouge, mais d'un rouge profond, pompier ou brique choisissez le nom qui vous plaira. Hermione avait profité du chahut ambiant et avait réussi à se faufiler entre Harry et Ginny qui avait l'air dans une conversation extrêmement sérieuse que même la chute de Ron ne parvint pas à les dérider.

Une fois Ron assis en face d'Hermione, les rires s'éteignirent et les conversation reprirent.

-Hermione Je...

-tais toi, plus tard. Laisse moi le temps de réfléchir entre l'Avada Kedavra et le sortilège Doloris. Le coupa Hermione.

Cette fois-ci Ron blanchit.

A la fin du repas, les deux allèrent s'enfermer dans une salle de classe vide, où l'on entendais seulement les hurlements d'Hermione. Après être assuré que la brune ne mettrait pas à exécution ses menaces faite pendant le dîner, Harry et Ginny montèrent dans la salle commune des Griffondors.

-Les pauvres ! Dit Harry en se laissant tomber dans un fauteuil.

-Oui, c'est dommage... Lui répondit Ginny en s'asseyant sur ses genoux. Et j'espère pour toi que demain tu ne mette pas en exécution ton fameux plan, ou je risque d'employer comme Hermione la manière forte.

-Ginny... Supplia le beau brun.

-Non. Trancha la rousse. Je te l'ai déjà dit ce soir, je ne veux pas ! Tu va te ridiculiser !

-Mais pourquoi ? Mais personne ne verra rien ! Je te le jure !

-C'est dégoutant !

-M'enfin ! Je suis sûr de ce que t'ai dis, cela ne peut mètre que bénéfique, une meilleur liberté de mouvement, regarde Sirius ! Et Dumbledore, enfin je crois... Sirius lui es d'accord, je lui en ai parlé !

-Tu vois tu n'ai même pas sûr que Dumbledore le fait, le plus grand sorcier de tout les temps ! Allez oublie ça s'il-te-plaît, mmmmmh ?

-D'accord... Mais une partie de son esprit à Harry venait brusquement de se lever et de tirer la langue à Ginny. Il se leva manquant de faire tomber son amoureuse ( qui lui refusais sont nouveau rêve ! ) l'embrassa , et monta se coucher.

Avant de dormir Harry réfléchit... ( Comment ça, étonnant ? ) Depuis deux semaines après la rentrée et tout partait déjà n'importe comment, c'était la folie ici. Pourtant lui avait été heureux d'apprendre qu'ils allaient tous pouvoir recommencer leurs septième année à Poudlard, Hermione en avait pleuré de joie pendant deux jours entiers, ce qui ne fut pas le cas de Ron qui lui bougonna que lorsque l'on bat le plus grand mage noir de tout les temps on devrait gagner 1000 gallions par mois jusqu'à la fin de de sa vie.

Cependant même l'optimisme exacerbé de Hermione c'était éteint dès le premier jour, un vent de folie s'était levée sur le collège, tout le monde était heureux, même pour les serpentards, avec une histoire sordide de grand sourire aux Griffondors, bien que les deux partie ignore toujours qui à fait le premier pas. Tout le monde était heureux, c'est ce qui va mettre fin au couple de Ron... pensa Harry. Peut-être va t'il en créer de nouveaux ? ... ( il ne croyait pas si bien dire. ) La félicité ambiante régnais désormais en mettre sur le château.

Enfin bref, maintenant à Poudlard : c'était le pied totale. C'est exactement pour cela que Harry voulais mener son projet à bien, les trois autres, Ginny, Hermione et Ron finirais bien par se laisser entraîner. Et sur cette pensée positive il s'endormit.


Le lendemain matin, lorsque Ron ouvrit ses petits yeux tout fatigués de sommeil, (Hermione l'avait tenue jusqu'à deux heures du matin, et tout cela c'était finalement soldé par une rupture en bonne et du forme.) il vit un Harry habillé de pied en cape un grand sourire sur le visage :

-Alors mon petit coquin ! On es tout seul maintenant ?

-Pas drôle... Ma vie es bouleversée... Dit-il en se prenant la tête à deux mains.

-Roooooh ! Arrête donc un peu, la terre ne vas pas s'arrêter de tourner pour autant, c'est la joie ! Et son sourire s'agrandit encore un peu. Une de perdue, dix de retrouvées ! ( Je prévient que l'utilisation d'un proverbe aussi cucu la praline est tout à fait indépendant de ma bonne volonté. )

Mais Ron avait peur... En effet ses rêves des deux dernières semaines remplient de torses, de poils, et de jambes velues le faisait douter quant à l'orthographe du mot retrouver dans la phrase de Harry, il avait même essayé d'acheter le mensuel « Sorcier et grosse baguette magique » et sa réaction avait été sans appel, il avait changé de bord. Le fait qu'il soit encore avec Hermione le rassurais un peu, mais maintenant... Bref sa rupture avec elle était peut-être une bonne chose après tout, mais le fait que Lavande Brown voulait jouer au docteur avec lui le terrifiait, il aurait bien voulut l'ausculter, mais son corp ne répondrais pas ainsi que son cœur...

-Écoute, faut que l'on parle. Dirent-ils les deux en même temps.

-Commence. Dit Harry

-Bien voilà... je pense que... tu vois... en faite... c'est très simple... je pense que j'ai un penchant pour la gente masculine...

-C'est tout ?

-Comment ça « c'est tout » ?

-Et bien ce n'est pas un problème, c'est cool.

-Oui mais... commença Ron

-Mais rien du tout. Le coupa Harry. Tu pourrais aimer faire des choses à Dobby que tu resterais mon meilleure ami, quoi que... faudrait quand même que Dobby soit d'accord.

-Monsieur ! Dobby veut bien que monsieur Weasley lui fasse des choses si Harry Potter lui demande ! Venait de s'exclamer le petit d'elfe de maison qui venait de transplaner dans le dortoir et qui était déjà en train d'enlever son petit short.

-Non ! Hurla Harry.

Ron c'était évanouit.

-Dobby retourne au cuisine !

-Bien, monsieur, mais n'oublier pas que Dobby peut faire tout ce qui lui demande Harry Potter ! Dit le petit elfe fièrement avec le short en bas des jambes.

-Je n'en doute pas... répondit Harry. Et dans un crack sonore Dobby disparut.

Harry s'approcha du lit de Ron et mit une grande claque à celui-ci qui se réveilla.

-Depuis quand les elfes de maison peuvent faire ça ? Dit-il

-Je ne sais pas... Il ne faut pas oublier que Dobby à servit chez les Malefoy...

Ils restèrent silencieux une bonne minute...

-Bon, écoute Harry tu me promet de rester silencieux ?

-Tu veux faire des trucs à Dobby ? Répondit Harry sérieusement.

-Non, non ! Pour mon Homo... enfin voilà quoi...

-Oui, bien sûr.

-Ouais, moi aussi ! Intervint une troisième personne. Ils se figèrent sur place, et les deux en même temps tournèrent leurs têtes très lentement pour voir un Neville en caleçon qui leurs souriait.

-De toute façon ça me ferais plus de gonzesses pour moi tout seul ! Leurs dit-ils. (-c'est fou ce que Neville avait changé pendant les vacances. Pensèrent les deux Griffondors qui se regardèrent avec des yeux ronds.)

-Allez je vous laisse ! Et il descendit les escaliers du dortoir en sifflotant.

-Décidément... Dit Harry.

Ron lui, était sans voix.

-Un vent de folie, complétement fou... murmura Harry.

-Pardon ? Lui demanda Ron.

-Rien... Bon Ron il fallait que je te parle, surtout ne dit rien à Ginny, voilà de toute façon tu l'aurais remarqué... Je vais essayer de...