White House Baby : - Romance, Drama, Action, Rated-M [Klaine - Anderlopez relationship] - 6 mai 2015

Blaine Devon Anderson n'a que vingt quatre ans et il est déjà, le jeune le plus prisée du Monde. C'est lui, qui à le privilège de succéder à la Présidence des Etats-Unis avec un score incroyable, plus de 51% de votes en sa faveur, écrasant ainsi le partie Démocrate, au pouvoir du pays depuis 2008. Les évènements récents et l'Obamacare on fait de lui, sa marque de fabrique et le voici en marche, vers la plus belle maison du monde, vers la maison la plus historique, « The White House ». Mais tout ne se passera pas comme prévus...


Me revoici ici sur la Communauté de Fanfiction pour une quatrième et dernière fiction de ma part avec encore et toujours, les mêmes personnages mais dans une histoire tout à fait différente des unes et des autres. Cette histoire se voit publié le jour de la fin de publication de ma toute première fiction, et se terminera durant un jour très spécial. Je vous conseille de lire mes précédentes fictions si ce n'est pas déjà fait, parce que je me suis comme toujours, amusé à rentrer des détails des précédentes à celle-ci. J'espère très sincèrement que cette nouvelle aventure vous plaira et que ce premier chapitre donnera à beaucoup d'entre vous, le souhait de vivre l'aventure avec moi, une dernière fois. J'attends grandement vos commentaires à tous et à toutes ! Merci de votre fidélité.


L'Histoire avec un grand « H », inscrit un évènement ou quelqu'un dans l'Histoire du Monde. L'Histoire est un monde prisée par beaucoup, de peur de mourir sur Terre sans jamais être connu du peuple alors ils tentent d'être une Histoire. Pour d'autres, c'est l'Histoire qui vient à eux.

Blaine Devon Anderson n'a que vingt quatre ans et il est déjà, le jeune le plus prisée du Monde. C'est lui, qui à le privilège de succéder à la Présidence des Etats-Unis avec un score incroyable, plus de 51% de votes en sa faveur, écrasant ainsi le partie Démocrate, au pouvoir du pays depuis 2008. Il n'était à ce jour qu'un simple gars de l'Ohio, fort proche du Gouverneur de l'Ohio et du Procureur Général. Les évènements récents et l'Obamacare on fait de lui, sa marque de fabrique et le voici en marche, vers la plus belle maison du monde, vers la maison la plus historique, « The White House ».

- Monsieur Anderson, nous arriverons au Capitole avec Monsieur Hummel et Madame Lopez d'ici quelques minutes, après quoi vous assisterez à la cérémonie de l'intronisation du nouveau Président que vous êtes un…

- Je sais Quinn… Je sais, je connais le protocole, je sais comment tout va se passer. Dit-il en déposant sa main sur son bras en souriant. Oh et j'oubliai, ne m'appelle pas ainsi quand nous ne sommes qu'entre nous. Dit-il en riant.

- Je suis tellement excité de travailler à la Maison Blanche ! Dit-il avec un grand sourire.

- Je sais… Je sais… Soupire t-il en observant de la vitre pare-balle la foule qui l'escorte de joie.

La Cadillac One, voiture présidentielle est lourde et avance à faible allure vers le Capitole, elle est longuement escorté par des dizaines et des dizaines de motards formant une flèche vers l'avant. Tout est extrêmement protocolaire, et la foule n'a jamais été aussi nombreuse. La voiture arrive enfin au Capitole et ils passent par la grande porte et s'engouffre rapidement dans un bureau du Congrès, il y retrouve quelques membres de son équipe.

- Blaine, comment tu te sens ? Demande Santana s'approchant de lui.

- Terrifié ? Dit-il en tremblant. Je… Est-ce-que c'est vraiment vrai ? Est-ce-que je viens vraiment… D'être…

- Hey… S'exclama Kurt, son meilleur-ami. Tu as été élu par Dieu, Dieu t'a choisi toi pour sauver la Nation, pour redonner notre puissance internationale et qu'on redevienne le 1er pays au monde. Les américains et le monde entier son derrière toi tu m'entends ? Dit-il en se mettant à genoux face à lui.

- Mais je suis tellement jeune… Dit-il en pleurant un peu.

- Tu es le Président des Etats-Unis d'Amérique Blaine.

- Pas encore… Marmonne Santana.

- Tu peux y arriver, on est une équipe non ? Dit-il en souriant.

- Tu dis que le monde entier est avec moi ? Sourit Blaine.

- Sauf peut-être Karofsky en Russie mais oui… Dit-il en riant.

- Monsieur Anderson, Monsieur Hummel, Madame Lopez. Il est l'heure. S'exclame le Chambellan.

Ils se regardent et avance sous une grande escorte. Toutes les télévisions du monde sont présentes, un million de personne est devant le Capitole et s'installent sur les fauteuils qui leur sont attitré. Un siège est vide, celui de la « FLOTUS – First Lady Of The United States ». Ce n'est pas sans lui rappeler son célibat, et son orientation sexuelle qu'il cache depuis très longtemps. Alors que le maître de cérémonie s'attarde à faire un long épilogue, Blaine lui fixe le peuple en face de lui et se perd dans ses pensées. Durant la campagne présidentielle sa plus grande crainte n'était pas de perdre, mais bien de voir son homosexualité s'afficher en une des journaux, parce qu'il à honte de qui il est. Le voyant un peu à l'ouest, Santana lui sourit et lui murmure quelques mots qui le sortit de ses pensées, et le voilà de nouveau concentré dans ce qui se passe devant-lui.

- Je jure solennellement que je soutiendrai et défendrai la Constitution des États-Unis contre tous ennemis, externes ou intérieurs, que je montrerai loyauté et allégeance à celle-ci, que je prends cette obligation librement, sans aucune réserve intellectuelle ni esprit de m'en distraire et je vais bien et loyalement m'acquitter des devoirs de la charge que je m'apprête à prendre. Que Dieu me vienne en aide.

Ce sont les mots que prononce désormais le « VPOTUS – Vice President Of The United States» en posant sa main sur la Bible, levant l'autre. Il fut extrêmement applaudit par la foule, Kurt n'étant pas plus âgée que Blaine, son homosexualité à lui étant pleinement assumer réconforte un peu Blaine qui, peu de temps après se voit être forcé à se tenir désormais debout devant toute l'hémicycle. L'intronisation du futur Président des Etats-Unis commence enfin après que la fanfare présente termine de jouer Ruffles and flourishes et l'Hymne de la Présidence, Hail to the Chief.

- Je jure solennellement que j'exécuterai loyalement la charge de président des États-Unis et que du mieux de mes capacités, je préserverai, protégerai et défendrai la Constitution des États-Unis. Dit-il doucement en fixant le Président de la Cour Suprême, de la même manière que Kurt il y a quelques minutes.

Aussitôt après, vingt et un coup de canons résonnent depuis la base militaire de Washington. La foule jubile de plaisirs, la fanfare joue à nouveau les mêmes mélodies et Blaine lui vient se tenir au pupitre auquel il va devoir s'accrocher et exprimer auprès de tous, son cap de gouvernance du pays. Il ne compte pas le nombre de minutes mais ce qui est sûr c'est que son discours à l'air de plaire à tous. Après une quarantaine de minutes d'une allocution première, d'un moment unique, il se renferme dans le Capitole avec les politiques pour un dîner offert, premier moment de répit pour lui. Santana s'avance à lui et lui fit la bise, passant devant les Sénateurs.

- Hey bébé je dois y aller… Dit-il en lui baisant encore la joue.

- M'appelle pas comme ça je déteste ce surnom ! Grogne t-il.

- Tu préfères, M. le Président ? Dit-elle en riant.

- En publique, oui avec vous. Dit-il en raclant sa gorge. Bref, pourquoi tu dois y aller ?

- Le Pentagone à besoin de moi pour qu'on puisse établir certaines base sur ta sécurité, sur les codes d'armements… Sur moi mon serment… Bref, il y a encore tout un tas de chose qui se met en place pour M. Le Président et son Vice-Président. Dit-elle en lui souriant.

- Bon bah… Vas-y alors. Dit-il en lui faisant une accolade.

Blaine se retrouva un peu seul, Kurt étant un peu pris à l'écart par des Sénateurs au vue de sa fonction de représentation de ses derniers pour les amendements et tout ce qui s'en suit, il finit par être rejoint par des membres importants.

- M. Le Président, bravo pour votre discours…

- Merci, merci mais s'il vous plait… Pas de politique aujourd'hui, pas de félicitation, rien, juste… Ce dîner et je m'en vais. Marmonne t-il avec un petit sourire.

- On dit que ce n'est pas la journée la plus excitante pour un Président… S'exclame un autre.

- Je suppose qu'il faudra que je m'y fasse. Dit-il en souriant avec mépris. Et puis, si je ne suis pas à la hauteur, lors de mon discours sur l'Union, on ne votera pas en ma faveur. Dit-il en souriant.

Il s'écarte de ses gens là et fut accueillit par le Président de la Cour Suprême et il prit place au côté de Kurt, enfin. Durant ce repas ils écoutent attentivement tout ce qui se dit, et commence enfin à manger en étant très distinct et très raffiné.

- Vivement qu'on rentre à la maison, j'en peux plus de voir tout ces faux-cul… Chuchote t-il à Kurt.

- Et ce n'est pas fini… Dit-il doucement en riant. Où est Santana ?

- A la Maison-Blanche, ou au Pentagone… Je ne sais pas trop en fait… Dit-il en toute franchise, vidant son verre de vin et fixe les gardes du corps un peu partout.

- Il va falloir t'y faire Blaine, tu es le premier homme de ce monde, mais aussi l'ennemi numéro un de millions de personnes. Soupire Kurt en sentant son malaise.

Après quelques heures dans l'enceinte du Capitole, ils finissent tous le deux à quitter le bâtiment et monte ensemble dans la Cadillac One ultra escorté et prirent la direction de la Maison-Blanche. Le trajet est silencieux, trop silencieux à son goût, alors il prit la main de Kurt et la lui sert fortement.

- Détend-toi Blaine… Tout va bien se passer. Murmure Kurt.

Il lui sourit et s'approche de plus en plus de ce qui est désormais, sa nouvelle maison. « Le Château » comme elle est surnommée. La voiture arrive dans la pelouse Nord de la maison et se gare sous l'immense perron blanc à colonnade. Une escorte se met en place et on ouvre la porte aux deux hommes.

- M. Le Président, Bienvenue, c'est un honneur pour moi de vous guider au sein de votre maison. S'exclame un agent.

- M. Le Vice-Président, Bienvenue. S'exclame un autre agent à Kurt.

- Messieurs… Marmonne Blaine en entrant dans la grande pièce.

Ils entrent dans le hall ultra marbré. Tout y est brillant et la pièce est majestueuse. Il s'agit de la partie ambassadrice. L'étage servant principalement pour les visites d'Etats et non à l'usage privé du Président. Ils prirent la direction de l'East Room et en profite pour couper la maison et passent dans les pièces de couleurs pour revenir au principal hall.

- Vous savez… J'ai déjà visité la Maison-Blanche. Dit-il en riant. Mais c'est tellement… Incroyable… Wow… On monte ? Demande t-il comme un enfant.

- M. Le Président, nous avons… Beaucoup à voir. Nous vous laissons vos appartements privés à vous seul, le chef du protocole tient à ce que nous visitions les sous-sols ainsi que les bâtiments de l'administration. C'est là-bas que le Président sortant vous attend par la même occasion. Rappelle t-il.

- On l'avait oublié celui-là. Rigole Kurt.

- Putain arrête ! On n'est pas seul ! Dit-il en rigolant.

- Mhm… mhm…

Ils marchèrent vers le sous-sol et découvrent quelques pièces charmantes comme la Map Room ou la librairie qui est souvent vue comme l'entrée du bunker de la Maison-Blanche. La question lui démangea mais après tout, ce genre de chose ne saurait tarder à se faire savoir. Ils prirent la direction de la West Wing. Les choses deviennent de plus en plus sérieuses à cet instant. Il leur est présenté les salles de presses et les bureaux. Kurt alla dans son bureau non loin de là pour obtenir les codes de l'armement nucléaire dans la plus grande discrétion. Blaine lui alla vers le bureau ovale et y attend l'ancien président. Les portes s'ouvrent et il entre.

- M. Le Président. Disent-ils en même temps.

- Comment trouvez-vous la maison ? Demande l'ancien.

- Magnifique… Dit-il les yeux pétillant de joie.

- On s'y fait à tout ça… Les choses sont énormes à encaisser d'un coup, mais d'ici quelques minutes, le Vice-Président ira dans son bâtiment, vous, vous resterez ici et le travaille commencera.

- Mais il commence déjà. Avec vous M. le Président. C'est à ça que sert notre entretien. Dit-il sèchement.

- Si jeune et si déterminé… J'étais pareil à ton âge… Mais jamais je me serais présenté à une Présidence. Dit-il en riant.

- Parce que je n'ai pas la même idéologie que vous. Ce pays est trop habitué comme tous d'ailleurs à n'y voir que des gens plus vieux. Le changement est en marche. Si je dois être franc avec vous… Vous avez un bon boulot quand même. Toutefois… Nous ne partageons pas la même politique c'est certain, mais merci d'avoir gardé le silence à mon sujet.

- Je n'étais plus en course, qu'est-ce-que ça peux me faire de savoir que tu es gay ou non ? Je m'en moque moi, si tu ne sais pas t'apprécier et t'affirmer ce n'est pas ma faute ni mon problème. S'exclame l'ancien Président et se poste à côté de lui.

- Je sais…

- Ecoute, la tâche sera rude et ta vie privée va en prendre un coup. Le Pentagone et le Secret Service protégerons toute ta vie privée, néanmoins tu sais que chez nous ils aiment qu'on est quelqu'un à nos côtés, qu'on se livre à eux. Alors… Si tu as l'ambition d'un second mandat, car un mandat c'est court ou la simple envie d'affirmer qui tu es… Ne cache pas la vérité au monde entier et devient celui que tu es dans la vie privée, et… Bats toi comme je me suis battu pour vous donnez vos droits.

- Wow… Vous venez vraiment de me dire ça ? Dit-il les larmes aux yeux.

- Blaine… Je ne suis plus rien pour la Nation, je fais partis de l'Histoire désormais, l'étiquette politique n'a rien à voir avec tout ça. Tu es un gamin pour moi, je suis ici pour t'aider une dernière fois pour te laisser l'autonomie, certains vont plus parler des dossiers en cours, moi ça m'intéresse pas.

- Vous êtes l'Histoire Monsieur. Dit-il en lui souriant.

- Allez, mettons nous au boulot, on a encore un peu de chose à faire. Dit-il en riant et le faisant s'installer dans le siège du Président.

Ils lient une petite complicité entre eux, et discutent désormais des plus grands sujets de l'Etat, mais également des sujets en cours au Congrès. Pas un seul sujet ouvert n'est pas évoquer. Blaine cru perdre la tête, mon Dieu tout cela c'est trop d'un coup et pourtant il se doit de faire avec et d'y aller, puisqu'il n'a plus le choix désormais. C'est un long entretien, très long, puis un garde du corps entre dans le bureau ovale.

- Messieurs, Marine One est en approche.

- Ah, l'heure pour nous de sortir et faire la traditionnelle photo de la passation de pouvoir. Dit-il en lui tapant l'épaule et redressant sa fine cravate. Tu t'habilles très slim toi !

- Et vous trop large… Rétorque Blaine en riant.

C'est une entorse lourde à l'étiquette qui vient d'être faite. En théorie le Président sortant et le Président élu sont présent au Capitole, mais pas cette fois. Le Président sortant étant souffrant, la sécurité de celui-ci préféra faire une entorse à l'étiquette et continue ainsi de le faire mentionner dans l'Histoire de la Nation. Ils marchent alors dans les sous-sols de la Maison-Blanche ensemble, tout en discutant et arrive sur la pelouse Sud du Château. Marion One se poste enfin sur la piste et les gardes se mirent en position et Blaine serre la main de l'ancien Président.

- Bon courage et… Que Dieu te vienne en aide. Dit-il en montant dans l'hélicoptère.

Blaine lui sourit simplement et se poste, la main sur le cœur et fixe l'hélicoptère partir de ce qui est désormais, sa maison. Une fois l'hélicoptère partit de sa ligne de mire, il rentre dans l'aile de l'administration et s'installe à son bureau et commence, l'air de rien à ouvrir quelques dossiers et déjà du monde vint à sa porte.

- M. Le Président, veuillez nous suivre s'il vous plait. Dit l'homme d'une voix froide.

Il se lève, inquiet et suit les hommes qui le conduisent dans un local très spécial et le fit descendre dans le bunker via un escalier serrer qui s'enfonce dans la terre a des centaines de mètres de là. Ils tournent en carré encore et encore et atteignent une lourde porte blindé.

- Transmission du poste SERVAL, modification autorisé. M. Le Président, veuillez scanner votre œil devant l'écran.

Il s'exécute.

- L'autre.

Et il répète le mouvement.

- Vos mains, poser les sur le scanner. Dit-il alors qu'un scanner sort du mur. Bien, avancer. Dit l'homme.

Il s'avance doucement et les lourdes portes s'ouvre à nouveau et découvre ce qui est, le bunker de la Maison-Blanche. Une salle de réunion avec au fond derrière un mur épais d'au moins cinquante centimètre, un loft de 20m². Il s'installe dans le fauteuil le plus haut et en cuir et regarde l'écran qui s'allume et y découvre Kurt, et Santana au Pentagone.

- M. Le Président nous n'attendions plus que vous. M. Le Vice-Président est déjà équipé de l'armement nucléaire du pays. Nous avons établit, durant votre entretien avec l'ancien, la liste des dossiers et des sujets que M. Le Vice-Président aura à sa charge. Nous lui avons aussi montré l'intégralité de ses bureaux et présenter à ses conseillers qui changeront prochainement sous votre aval. M. Le Président, ouvrez cette mallette, elle contient le capteur de vos codes d'armement nucléaire. Puissiez-vous les détenir toujours avec vous, ou que vous soyez. Ce mini ordinateur qui se range dans la poche vous permettra ainsi d'agir pour la protection de la Nation et du monde entier.

- M. Le Président. S'exclame Santana. J'ai contacté en votre nom, vos futurs conseillers ainsi qu'à vous M. Le Vice-Président et ils seront en poste d'ici demain matin à huit heures. Nous avons revus les effectifs de protection de vous deux et ils sont en hausse. Je vous informe également, que vous serez obligé de séjourner jusqu'à nouvel-ordre dans vos logements de fonction. Aucune sortie sans escorte, aucune vacation ne sera tolérée si la situation du pays est en jeu. Le discours sur l'Union est écrit et vous sera mis à la lecture demain matin M. Le Président et je vous demande de bien valider mon entrée dans votre administration pour la représentation du Pentagone à la Maison-Blanche.

- Accordé. Dit-il simplement en devenant pâle.

- Bien. Fin de la conférence. S'exclame l'Etat-Major du Pentagone.

Blaine souffle et s'avachit dans son siège, comprenant enfin son enjeu. Il remonte alors à la Maison-Blanche et s'isole dans son bureau ovale et y fait les cent pas. Une femme vient à lui et se présente amicalement.

- Je voulais savoir si… Comme chaque Président vous souhaitez faire refaire la décoration de la Maison-Blanche et de votre bureau ? Demande t-elle.

- Je ne suis pas ici pour refaire la décoration d'une maison historique et riche en histoire. Les Kennedy ainsi que les Obama ont fait de cette maison un chef d'œuvre. Je ne m'attarderais pas dessus. Toute fois… Dit-il en se levant de son siège chesterfield.

- Oui monsieur ?

- Les appartements privés dans les combles… moins historiques… Pourriez-vous me faire un couleur un peu comme… Les appartements de Marie-Antoinette au Trianon ou dans Versailles même ? J'aime beaucoup cet endroit en France et… J'aimerais avoir mon Versailles. Dit-il simplement.

- Oh, oui… Oui très bien, j'irais voir au trésor national et je ferais les travaux lorsque vous serez ici. Dit-elle en souriant.

- Je vous fais confiance allez-y dès maintenant faite vos croquis, je n'ai pas encore mon camion qui est arrivée pour emménager. Dit-il en riant.

- Mais M. Le Président, vos affaires sont déjà là et installés. Dit-elle en partant du bureau.

Où donnait de la tête, il ne le sait pas. Il à l'impression que ça tête va exploser, les gens s'enchainent dans ce bureau et ils se présentent tous un à un avec leur cartons à la main. Il s'avachit de longues heures sur le canapé et cherche quoi faire, il n'a pas ses conseillers alors bosser sur les dossiers rimerait à rien. Il attend et le téléphone vint sonner.

- Hé merde putain… Oui ? Dit-il.

- M. Le Président… J'ai M. Le Président de la République Française au téléphone.

- Oh. Dit-il simplement.

- Bonjour M. Anderson, félicitation !

- Merci M le Président. Dit-il en souriant au téléphone.

- Je suis fier de savoir qu'un Républicain reprend le contrôle sur le pays amis de la France. Vous savez, notre Histoire est longue et je vous suis reconnaissant de toute votre présence et amitié.

- Je sais M. Le Président, chaque jours les américains vous bénissent de nous avoir aidé pour devenir ce grand pays. J'espère que vous n'êtes pas un peu jaloux qu'on soit plus côté que vous. Dit-il en plaisantant.

- Non, non pas du tout… J'avais pensé à vous convier en France, au Palais de l'Elysée et… J'ai entendu dire que vous aimiez notre Château de Versailles… Une visite privée rien que pour vous, ça vous dit ? Propose le Président français.

- Wow… Vous êtes sérieux ? Dit-il en étant ébahit.

- Et bien oui, cela nous permettrait d'envisager en plus de ça, quelques contrats de partenariat et de pactes entre nos deux pays.

- Je, je suis d'accord ! Je suis d'accord ! Euh… Je suppose que je dois voir ça avec mon administration pour mon agenda mais… Ils font tous leur cartons donc…

- Alors fixer cela dans votre agenda vous-même ? Après tout vous êtes Le Président, c'est vous qui décidez… Marmonne t-il.

- Wow et bien… Je vais… Oh merci ! Dit-il en voyant une femme lui donnant un agenda et lui prit le téléphone.

- M. Le Président… Oui bonjour… Nous fixons cela pour le mois de juin, le parc de Versailles sera magnifique à cette période. Oui voilà au 15, exactement… Oui, au-revoir… Dit-elle en raccrochant.

- Euh… Quinn tu fais quoi ? Dit-il en la dévisageant.

- Je fais mon job ? Dit-elle en souriant.

- Mais on m'a dit que…

- Que les conseillers arriveront dès demain à huit heures… Bien sûr que oui en majorité, mais tu en as déjà qui sont là tu crois quoi ? Tu es Le Président des Etats-Unis, les gens sont à tes pieds hein ! Il faut qu'on soit réactif. Dit-elle en lui tirant la joue.

Il soupire amicalement et s'étale sur son bureau et voit quelques cartons arriver. Du personnel les ouvre et y sort quelques cadres photos et les disposent un peu partout, notamment derrière lui sous ses yeux sans dire un mot.

- J'ai demandé à ce qu'on mette aussi quelques photos ici… J'ai choisi tout ce qui est installé. Marmonne Kurt.

- Tu t'occupes de moi… Comme si j'avais quatre ans, tu as peur que cette maison me bouffe ? Dit-il en riant.

- Entre vivre dans un 80m² et vivre dans un complexe de plus de 300m²… Oui j'ai peur pour toi.

- Alors reste ici avec moi ? Comme nous faisions avant tout ça… Dit-il en écartant ses bras pour montrer la pièce.

- Non. Je suis Vice-Président et toi Président. Pour notre sécurité, pour le bien du pays nous devons être très souvent dans des lieux opposés. Pendant que toi tu resteras ici, moi je serais dans Air Force One à sillonnait le pays pour représenter l'administration et t'obtenir la faveur du peuple.

- Je sais… Je sais… Soupire t-il en se levant de sa chaise. Fais-moi au moins le plaisir de dîner avec moi ? Santana se joint à moi… Quinn aussi… Dit-il en posant son cul sur son bureau.

- Ok, allons-y ! Dit-il en souriant.

Ils quittent la West Wing et parte dans le bâtiment principal et prirent les grand escaliers et arrivent aux appartements privées du Président. Ils allèrent sur la gauche et visite les appartements de la Reines et les appartements de Lincoln, des pièces magnifiques, figé dans le temps. Au centre du grand hall, ils allèrent vers le Nord et découvre deux petites chambres pour adolescents, des pièces qui ne serviront pas. En face se trouve le Salon Jaune, une pièce magnifique qui donne sur la chambre du Président.

- Oh putain ce lit… S'exclame Kurt en se jetant dessus.

- T'es con c'est qu'un lit… Dit-il en retenant sa joie.

- Tout ça rien que pour un seul homme… Et bah putain, je suis jaloux ! Grogne Kurt en quittant le lit.

- Toi tu as une baraque victorienne aussi belle ! Rétorque Blaine.

- Mais ce n'est pas la Maison-Blanche. Rétorque Kurt.

- Allez vient, va falloir qu'on fasse de quoi manger. Marmonne Blaine en quittant la chambre l'air de rien et part dans la cuisine juste en face.

Kurt s'arrête en plein milieu et vit Santana arriver dans une robe noir très moulante et arrive vers lui et lui embrasse la joue et part, l'air de rien dans la cuisine.

- Alors comment tu trouves ma maison ? Demanda Blaine.

- Oh, bah ça va je suis sûr que tu n'as pas remarqué les cadres photos, l dressing plein de tes vêtements… M'enfin pas grave !

- C'est toi ? Demande t-il.

- Et moi ! Répondit Kurt en s'installant à côté de Santana.

- Vous êtes adorables avec moi. Dit-il en souriant vers eux, continuant de cuisiner. Vous êtes vraiment… Merci… Marmonne t-il simplement d'un faible sourire.

- J'ai d'ailleurs une excellente nouvelle pour toi ! Mais tu dois l'accepter et signer… Ce document ! Dit-elle en sortant une feuille officielle de son sac.

- Rho putain ça commence dé… Il s'arrête et repose ses yeux sur elle. Tu veux… Emménager ici, avec moi ? Demande t-il l'air choqué.

- Bah je ne suis pas sous mandat officielle… Et… Les Américains apprécieront de voir le Président pas tout seul. Dit-elle en riant.

- Donc je vais devoir jouer l'hétéro devant les médias ? Demande t-il un peu nerveux.

- Le Pentagone m'a demandé de jouer ta muse. Et j'en ai parlé avec Kurt…

- Quoi ? Vous vous foutez de moi la ou quoi ? Dit-il en mettant le plat au micro-onde.

- Ne t'énerve pas… Soupira Kurt.

- Je suis Gay et alors ? Je m'en bas les couilles de ce qui peut se dire à mon compte c'est clair ? Je ne veux pas que tu sois First Lady, je ne veux pas t'avoir comme fausse femme, je suis très bien tout seul c'est clair ?

- Tu peux te détendre et me laisser t'expliquer ? Demande calmement Santana en se levant. Je te suivrais partout ou que tu iras, je suivrais le protocole de la First Lady mais il n'y aura pas de baiser ou forme d'amour dévoilé. Le pays n'est pas prêt après plus de cinquante ans de couple au Château à voir un céliba…

- Je m'en fous ? Tu m'entends ? J'en ai rien à foutre je suis qui je suis putain ! Pourquoi vous me faîtes ça ? Hurle t-il dans la cuisine.

- Parce que les unes de la presse demain vont t'assassiner ? Dit-elle en soupirant.

- Co… Comment ça ? Demande t-il en baissant ses yeux.

- Il est clair qu'ils n'aiment pas le célibat dans une telle maison alors on prend des précautions. Tout est mis en place et la sécurité est d'accord alors tu ne discuteras pas. A l'intérieur de la Maison-Blanche tout sera normal, et en sortie publique vous vous tiendrez la main. Ni plus ni moins. Assura Kurt.

- Blaine… S'il te plait… Accepte… Soupire Santana.

- Je n'ai pas le choix et visiblement on commence déjà à me contredire et me faire des choses dans le dos.

- Bienvenue à la Maison-Blanche. Rigole Quinn arrivant escorté par un garde du corps.

- Euh… Juste. Ces gens là ont libre accès à l'intégralité de la Maison. Je refuse qu'ils soient escorté jusqu'à ma porte. Insiste Blaine.

- Bien Monsieur. Marmonne l'homme et quitte l'étage aussitôt.

- Bon… Et si nous fêtions… Ce jour ? Comme il se doit… Dit-elle en sortant de la poudre de son sac.

- Ouh… Mister Président, tu es prêt ? Dit Santana en riant.

- Je suis…

- Rho ta gueule un peu tu es aussi un jeune ! S'exclame Kurt en lui tapant le dos.

Ils se mirent à rire et Quinn fit la préparation avec une carte sur la table et se mirent chacun à aspirer avec le nez les filaments de poudre et se secoue la tête. Ils n'iront guère plus loin. Préférant fouiller pour prendre le champagne alors que Blaine alla dans la salle à manger juste à côté poser le plat rapide au centre de la table. Kurt lui dressa la table avec Santana et ils prirent tous place autour de la table et commence à manger avec le champagne et du vin « Côte de Blaye Bordeaux ».

- Sinon tu as des nouvelles de ton père Kurt ? Demanda Quinn.

- Il va bien. Il est toujours à la clinique de Lima, j'espère qu'il va s'en sortir. Soupire Kurt.

- Il t'a téléphoné aujourd'hui ? Demanda Blaine.

- Non, mais je sais qu'il nous a regardé à la télévision il n'aurait raté ça pour rien au monde. Dit-il d'une voix un peu émotive.

- Après le discours de l'Union si tu veux… Prend Air Force One et rend-toi là-bas. Dit-il simplement.

- Je ne vais pas abuser du contribuable… Soupire Kurt.

- En même temps la Constitution et le Pentagone te laissera pas le choix. Rigole Santana.

- En fait… t'es quoi Santana ? Demande Quinn.

- Je suis Secrétaire d'Etat et je suis porte-parole du Pentagone à la Maison-Blanche quoi. Et toi tu gères son agenda et ses invités. Dit-elle.

- Comment tu sais ? Demanda Quinn.

- Pentagone… C.I.A… Dit-elle en lui faisant un clin d'œil.

- Et merde… Tu sais tout sur ma vie… Dit-elle en riant.

- Non ! La CIA ne sait pas qu'on a fait le ciseau. Dit-elle en riant.

- Quoi ? S'exclament les garçons.

- Dégueulasse… Ajoute Blaine.

- Nauséeux… Ajoute Kurt.

- Genre vous vous n'êtes jamais embrassé entre potes ! Lâcha Quinn.

- Euhh… Pas à mes souvenirs. Marmonne Blaine en regardant Kurt.

Une homme vint frapper à la porte de la salle à manger et entre avec un autre homme. Blaine se lève et les dévisage un peu.

- M. Le Président, nous avons reçu un communiqué de la base militaire au Moyen-Orient et… Un drone à survolé la zone et nous n'avons pas pu l'intercepter.

- Vous pensez qu'il s'agit d'un drone d'espionnage visant à trouver nos failles de défense et attaquer la zone ? Demande Blaine.

- Pouvez-vous nous suivre s'il vous plait ? Demande l'homme.

- Vas-y… On va t'attendre pour manger, tu en as pas pour longtemps… Soupire Santana.

Il regarde ses amis et se réinstalle à sa chaise ce qui surprit un peu tout le monde.

- Ordonner aux équipes de la base de rester vigilant et envoyer huit drones dans une forme des points cardinaux. Je veux que l'on quadrille la zone a 45km à la ronde, je veux également qu'un rapport me soit établit demain matin à mon arrivé au bureau. Bonne soirée. Dit-il sèchement et observe ses amis.

- Ok bon euh… Sinon la déco elle est sympa ! S'exclame Quinn pour changer de sujet.

- Je ne touche à rien en fait, sauf les combles… Ce sont des salles de jeux en majeures parties avec des chambres… Donc je vais dégager les lits là-haut et y faire des salles de jeux complètes sous un décor de Versailles. Dit-il simplement.

- Tu as tellement de pièce rien que pour toi…

- Tu sais Quinn… Le rez-de-chaussée est accessible à tous, et sert pour les visites des politiques ou étrangers. Le sous-sol est un coin détente pour le président mais il est très souvent pris en passage. Donc en gros il n'y à qu'ici que c'est réellement privée. Dit-elle en guise d'explication à Quinn.

- En fait… Est-ce-que c'est possible d'avoir une vie privée ici ? Demande t-elle.

- Non ! Disent-ils tous en riant.

- Mais cela ne va pas m'empêcher de vivre ce que je veux dire, c'est-à-dire ma vie ici. En bas je suis le politique, le Chef d'Etat, ici je suis… Moi. Dit-il timidement en mangeant un peu.

- Tes parents seraient fiers de toi. Marmonne Kurt en posant sa main sur celle de Blaine.

- J'espère que tu dis vraies… Soupir t-il en fixant le plafond et ferme les yeux.

- Allez, mangeons qu'après on aille faire une visite de la Maison-Blanche la nuit ! S'exclama Santana.

- Elle, elle veut se faire virer du Pentagone ! Rigole Kurt.

Ils rirent tous ensembles et se regardent simplement en souriant et mangeant pour le reste de la soirée, ou du moins d'une partie de la soirée. Une fois le repas prit, ils mirent tout au lave-vaisselle et allèrent dans chacune des pièces de la maison et observe les murs, les sculptures et les tableaux. Tout y est si historique et si lourd. Ils finissent par descendre et visitent les appartements principaux du rez-de-chaussée tout en étant observé par les gardes du corps.

- Cette pièce c'est la plus magnifique je trouve ! Marmonne Santana.

- J'ai prévu d'y faire mettre le piano à queue, je l'aime pas dans la East Room, ce n'est pas ce que je veux.

- Le reste c'est tellement magnifique… Tu es tellement chanceux. Soupire Quinn.

- M. Le Président, où allez-vous ? S'exclame un agent de sa sécurité.

- Nous allons faire un tour de la propriété en intégralité. Nous allons aller jusqu'aux annexes dans la pelouse. Dit-il en ouvrant la porte fenêtre.

Des gardes vinrent aussitôt se mettre en ligne et le salue et marche à ses côtés et ils regardent le parc de nuit avec l'Obélix en face totalement illuminé, Washington est une si belle ville…Ile allèrent jusqu'à la fontaine puis, jusqu'aux annexes de la piscine et du stade de tennis ou des gardes les saluent par celui du militarisme. Blaine sourit timidement à ses gens.

- J'aimerais tellement aller en haut de l'Obélix… La vue doit y être magnifique… Soupire Blaine.

- Tu sauras quoi faire avec Marine One. Marmonne Santana en riant.

- On verra ! Faut déjà que j'aille en France en juin… Marmonne Blaine.

- Oh déjà ton premier voyage à l'étranger de fixer ? C'est géniale ça ! Sourit Kurt.

- Le Président m'a dit bloqué Versailles pour moi, que je puisse le visiter tout seul. J'ai tellement hâte ! Dit-il en riant.

- C'est sûr, m'enfin y'aura tout le protocole bien chiant ! Souria Santana.

- Oh mon Dieu j'ai oublié Puck m'attend… Soupire Quinn. Faut vraiment que j'y aille ! Soupire la jeune femme embrassant tout le monde. D'ailleurs je crois qu'il va falloir que tu ailles bosse Blaine. Dit-elle en voyant un agent venir à eux.

Il sourit à ses amis et part avec l'homme laissant ainsi Santana avec Kurt, allant vers l'aile Ouest de la maison pour partir. Ils marchent ensemble doucement sous escorte et discutent un peu de tout et de rien et puis vient un sujet qui se démarque, Blaine.

- Je sais que tu l'aimes Kurt, ça se voit… Soupire Santana.

- Mais ce n'est pas réciproque et c'est mieux pour lui qu'il ne le sache pas. Insiste Kurt.

- Je sais que tu veux te protéger et surtout le protéger, mais c'est quelque chose qui finira par se savoir au fur et à mesure de votre étroite collaboration. Kurt je te jure que personne ne se doute de ça, seul les amis peuvent le sentir, mais vraiment… On le sent que tu es amoureux de lui et que tu as peur qu'il change…

- Parce qu'il changera Santana. Depuis le lycée je suis collé à lui malgré mes quelques idylles, je lui suis… fidèle amicalement et politiquement, mais je ne veux pas que lui et moi on se brise. Je tiens trop à lui. Ce serait lui nuire de le lui dire ce que je ressens pour lui. Surtout qu'il ne m'aime pas…

- Oui c'est sûr il n'est pas amoureux de toi, ça c'est une chose évidente et que personne n'osera dire le contraire, mais crois moi Kurt… Ne te voile pas la face et reste celui que tu es, tu vaux plus que d'être dans le placard. On tient tous à toi ici… Pourquoi tu crois qu'il nous a choisi nous et pas les autres de l'école ? Hein ?

- Parce qu'on est ses amis ? Dit-il d'un ton hésitant.

- Et parce qu'ils nous aiment Kurt. Il tient plus que tout à nous, et nous perdre toi comme moi, ça lui détruirai tout son métabolisme. On est sa kryptonite.

- Je ferais mieux d'y aller… De toute façon, j'ai encore des lieux à découvrir moi… Ma maison de fonction ! Dit-il en souriant doucement.

- Kurt ? Dit-elle en s'avançant au perron.

- Santana ?

- L'impossible n'existe pas. Seul Dieu sait ce que nous réserve l'avenir. Et… Si tu te sens trop seul… Alors on fait rapatrier ton père avec toi ici à Washington. Et… La Maison-Blanche t'es ouverte H24. Ce n'est pas que le lieu du pouvoir ok ?

- Ok… Tu diras bonsoir à Blaine. Dit-il en s'enfonçant dans la Cadillac One et part sous escorte.

Santana elle, rejoint Blaine dans son bureau ovale et s'installe tranquillement et écoute la discussion sur le sujet du repas. Blaine, au téléphone observe Santana et lui fit signe de s'approcher pour qu'elle entende.

- Nous ne pouvons pas savoir à qui était le drone donc ? On ne sait rien du tout ? Demande Blaine.

- Non Monsieur. Répond l'interlocuteur.

- Alors débrouillez-vous pour remonter jusqu'à lui. La base est en plein désert ce n'est pas un gamin qui jouait avec un drone surtout dans un tel pays. Vous avez vingt quatre heures, sans quoi j'enverrais la secrétaire d'Etat. Dit-il en raccrochant.

- Pas très diplomatique… Dit-elle en souriant face aux autres conseillers du Président.

- M. Le Président je pense que nous devrions être moins exigeant et moins impériale dans les propos, souvenez vous que c'est votre premier jour et que…

- Ils sont sur le terrain depuis plus de dix ans, croyez-vous qu'ils s'attendent à être clément envers le nouveau Président ? Vous pensez réellement qu'ils sont capables d'être indulgent envers moi ? Je suis Président depuis quelques heures c'est vraies, mais je suis Président et mes mots sont les miens, pas ceux de mon prédécesseurs. Dit-il en se levant de son fauteuil et baille.

- On devrait rentrer tu ne crois pas ? Demande Santana.

- Si, oui. Maintenant que j'ai réglé entre guillemet cette affaire, je peux retourner à mes appartements privés… Marmonne t-il en quittant le bureau avec elle.

Ils marchent jusqu'au grand hall et allèrent au premier étage et se réfugie dans le salon ovale autour d'un feu de cheminée et d'une boisson chaude. Santana lui sourit simplement et le regarde se perdre dans ses pensées.

- Vous disiez quoi pendant mon absence ? Demande t-il au bout d'un temps.

- Nous parlions de toi pour être franc. Nous voulions un peu discuter de toi et du passé.

- Ce n'était pas trop ennuyant ? Demande t-il en riant nerveusement.

- Non, pas le moindre du monde c'était constructif.

- Tu sais… Je suis content que tu sois ici finalement… Je ne pense pas que quatre année dans cette maison, seul… M'aurait fait du bien… Au moins je ne suis pas tout seul j'ai quelqu'un avec moi.

- Tu n'es jamais seul tu as les gardes du corps tout sais… Ils sont sexys en plus. Dit-elle en riant.

- Pas mon genre. Répondit-il simplement.

- Le principal étant, que tu te sentes bien et puis que tu prennes tout ton temps. Je suis sûr que tu seras casé avant les prochaines élections. Dit-elle en souriant.

- Peut-être… On verra. Dit, pour changer de sujet… J'avais pensé à faire rapatrier Burt ici pour qu'il soit auprès de Kurt… En hospitalisation à domicile.

- C'est justement ce que je lui ai dis en plus ! S'exclame Santana. J'ai justement fait cette proposition vu qu'il est tout seul dans un manoir, cela ne doit pas être cool quoi…

- Ce soir va être chargé pour lui, ils vont le lui montrer la propriété, où sont les cachettes, les armes, le bunker… Marmonne t-il.

- Donc y'a vraiment un bunker ? Demande t-elle.

- Bush en a fait faire un après les attentats du World Trade Center, ce n'est un secret pour personne.

- C'est à ce moment que tu as su ce que tu voulais faire n'est-ce pas ? Demande Santana.

- Ouais… Soupire Blaine. A la minute où mes parents sont morts dans les attentats, j'ai tout de suite voulu devenir Président. Pour que plus jamais cela n'arrive et que je contribue à l'arrêt de tels actes…

- Tu devrais aller te reposer… Demain sera une longue journée pour toi… Soupire Santana.

- Je vais y aller ouais… Soupire t-il.

- Je prends la chambre de la Reine ! Dit-elle en lui faisant un baiser sur la joue. Bonne nuit, Blaine.

- Bonne nuit… Santana… Murmure t-il faiblement en restant devant le feu de cheminée.

Blaine resta la une longue partie de la soirée et finit par quitter la pièce vers les trois heures du matin pour partir dans ce qui est désormais, sa chambre. Si simple mais si luxueuse tout de même. Il n'en est pas vraiment dépaysé, sa famille est l'une des plus riches du pays mais tout de même, rien n'égale la Maison Blanche. Au petit matin c'est Santana qui vient à lui, vers six heures du matin.

- Allez debout, tu as footing ! Dit-elle en tenue et sautillant sur place.

- Rho putain… Grogne t-il en se cachant dans les draps.

- Debout ton V P nous attend ! Dit-elle en le sortant du lit.

- Tu fais chier ! S'exclame t-il en recevant ses vêtements de sports qu'il enfile aussitôt.

Ils descendent tous les deux en tenues de sport et cours dans les escaliers et partent aux aurores à l'extérieur de la propriété de l'Etat, s'élançant dans les rues de Washington qui s'éveille peu à peu, sous une escorte discrète mais toujours impressionnante. Ils courent tous les deux et se rendent au pied du Lincoln Mémorial ou les attend Kurt qui fait quelques étirements, ils arrivent à sa hauteur.

- Hey ! S'exclame Kurt en voyant Santana. Mister President… Dit-il en faisant un clin d'œil à Blaine.

- Me faire courir au réveil… Vous êtes fou… Souffle Blaine.

- Et attend, on va jusqu'au Capitole et on rentre pour le bureau ! Dit Kurt en partant d'ores et déjà.

- Allez, bouge ton cul Anderson ! Rigole Santana en partant.

- On peut les envoyer à Guantanamo ? Demande Blaine à un garde du corps.

- On ne plaisante jamais avec Guantanamo Monsieur. Lui répond l'homme.

Il se mit à courir et les rejoint en courant et firent le tour ensemble du grand parc en face de la Maison Blanche, allant donc jusqu'au Capitole avec les estrades des journalistes encore présent. Ils regagnent le boulevard principal en courant toujours et passent devant le Trésor puis emprunte l'entrée de la East Wing pour pénétrer la maison. Blaine s'agrippe contre une commode à l'intérieur du bâtiment et souffle comme un bœuf.

- On va faire ça tous les jours ? Soupire t-il.

- Evidemment, on ne veut pas que notre sexy Président perde ses abdos de fous ! Je vois déjà les titres quand tu iras à Hawaï ! « Sexiest President » Rigole Santana.

- Ouais ouais bon… Je file à l'étage me laver moi parce que… J'en peux…

- Oh putain le vase ming… S'exclame Kurt.

Blaine le regarda se briser en mille morceau et regarde un peu tous le monde et tire la gueule, mais ne le ramasse pas, il part aussitôt à l'étage dans ses appartements rapidement suivis de ses amis et prirent tous une douche, la maison étant largement équipé. Après une demie-heure, il sort de la salle de bain et découvre que personne ne l'attend, alors il descend et marche vers ses bureaux et entend comme une réunion, il pénètre la salle et tous se lève.

- M. Le Président ! S'exclame un a un ses conseillers choisi par Kurt et Santana.

- Mesdames, Messieurs les conseillers, bienvenue à la Maison-Blanche dit-il et fixe Kurt dans son costume bleu nuit et Santana en rouge et noir. Jolies vos tenues. Dit-il en prenant place dans son fauteuil.

Un plateau de petit-déjeuner lui est aussi servit et ils commencent par la lecture de la presse mondiale par la Secrétaire d'Etat adéquat.

- On constate que la presse mondiale est plutôt positive et en faveur de votre discours mais attendent beaucoup sur la poursuite de l'Obamacare et la constitution d'une bourse plus grande encore dans ce domaine. Votre discours à été déposé sur votre bureau et un prompteur sera installé au Congrès pour le retranscrire. Dit-elle.

- Le Vice-Président sera dans votre voiture Monsieur et, s'installera avant vous dans la chambre du Congrès. Ajoute Santana.

- Après quoi je serais disposé à vos premiers ordres M. Le Président. Conclu Kurt.

- Très bien alors… Putain trop bon ces croissants ! Dit-il la bouche pleine. Ok donc… Pour ma part appeler moi Blaine, et… M. Le Président qu'en présence du Pentagone, de la CIA, FBI, Sénateur ou étrangers. Dit-il dans un premier temps. De plus, j'ai feuilleté hier après-midi les dossiers en attentes donc je réunirais après le Congrès chacun de mes Ministres et je leur donnerais personnellement les affaires en cours avec mes conditions sur le Congrès valide mon discours évidemment… Après cela, M. Le Vice-Président vous irez en visite à la clinique de Lima en Ohio pour soutenir le corps médicale et vous y tiendrez un discours des vœux en cette nouvelle année.

- Tu iras chercher ton père aussi… Murmure Santana à l'oreille de Kurt.

- Blaine, vous devrez aussi vous entretenir avec le Secrétaire d'Etat pour fixer vos déplacements à l'internationale, notamment en France, en Chine et très bientôt auprès de Sa Majesté la Reine Elizabeth II à Buckingham Palace. Ajoute Quinn Fabray.

- Il faut que nous mettions votre biographie sur le site internet et que nous fassions également les photos de chacun… Préparer pour aujourd'hui la transition sur le site internet. Commente le membre de la communication.

- Très bien, je propose de faire les photos cet après-midi pour les Secrétaire d'Etats et d'administrés, pour ce qui est de moi et du Vice-Président, je propose de prendre une photo depuis un endroit historique, pour montrer le rassemblement et l'unité nationale. Donc au Congrès. Ce sera très bien, non ?

- Trop Sénatoriale. Il faut dans le bureau ovale. Insiste l'homme.

- Très bien, dans le bureau alors. Soupire Blaine un peu agacé.

- M. Le Président… Enfin, Blaine… Nous allons aussi devoir réviser notre accréditement à la Maison-Blanche pour certaines presses. Je vous conseille de renouveler ceux de la France et de l'Allemagne en particulier, ce sont deux grands soutiens à la Nation des Etats-Unis et ont fait leur preuve depuis plusieurs années. Commente Santana.

- Madame Lopez je ne pense pas que c'est à vous de me rappeler cela mais j'apprécie votre engouement. Vous pouvez aussi voir pour la préparation du dîner des correspondants à la Maison-Blanche que je maintiens, j'aimerais obtenir vos avis à tous plus tard pour savoir qui inviter en chanteurs et chanteuses pour faire le show. S'exclame Blaine en souriant à ses collaborateurs.

- C'est tout pour aujourd'hui. S'exclame Kurt en souriant à Blaine et observe tous le monde partir.

Ils se retrouvent qu'à trois et eurent le même reflexe, se cogner la tête à la table et en rigole par la même occasion d'agir ensemble, synchro, et surtout se comprendre à tout instant, ou presque. Dixit le petit recadrage de Blaine à Santana.

- Bon bah ça commence bien. S'exclame Kurt.

- Tu t'imagine bien que ton père va être rapatrié avec toi pour que tu te rendes la bas non ? Demande Blaine.

- C'est suer ce que tu fais pour lui… Soupire Kurt. Merci…

- Il est comme mon père alors… Et puis, il sera mieux en étant proche de son fils que si loin. Il va s'en sortir, je te le promets. Dit-il en se levant.

- Bon… Je suis vraiment désolé mais j'ai pas mal de choses à faire, je dois valider auprès du Pentagone la disponibilité de Air Force One tout en débloquant Marine Two pour conduire le VP là-bas… Fou… Pourquoi ai-je accepté ce foutu poste. Dit-elle en riant.

- Attend Santana… Je veux qu'avant qu'on se sépare et partons à nos fonction. Je veux que vous sachiez que sans vous, tout ça serait qu'un rêve et que… On aurait rien réussit. Vous avez été la quand j'ai du faire mon deuil, vous avez été toujours présent à me soutenir. Je veux que vous en sachiez l'importance alors, merci. Merci pour tout. Dit-il en souriant.

Ils se séparent de la salle de réunion et Blaine alla dans son bureau, Santana quitta la propriété pour se rendre au Pentagone à treize minute de là. Kurt lui alla avec Blaine et s'isole sur les canapés en face du grand bureau qui fait le charme du bureau ovale. Ensembles ils établissent un peu la ligne politique en interne et surtout, relisent ensemble l'allocution devant le Congrès de cet après-midi.

- Ça me semble bon pour un premier jet… De toute façon je n'ai pas le choix, pas le temps je vais devoir prendre ça et faire de l'impro après… Soupire Blaine.

- N'oublie pas de mentionner les attentats du pays, c'est important. Le monde n'a pas oublié.

- Je sais… Je sais… J'évoquerais l'émotion d'être à la Maison-Blanche, lieu où se sont décidés tous les plans contre le terrorisme pour obtenir les résultats et la défense que nous avons sur notre territoire.

- Toute façon… Là ce n'est pas le Vice-Président qui te parle mais l'ami. Tu es plus que prêt Blaine, tu vas réussir ton mandat et surtout, tu vas les faire taire, tu vas y arriver je te le promets. Soupire t-il.

- Merci beaucoup. Dit-il en s'approchant de lui et le serre dans ses bras. Merci d'être mon meilleur-ami et d'être mon bras droit dans toute cette histoire…

- C'est à ça que servent les amis. Dit-il en souriant alors qu'on vient frapper à la porte du bureau ovale.

- Oui ? S'exclame Blaine en se dégageant des bras de Kurt.

- M. Le Président, il s'agit du Président du Sénat sur la Une.

- Merci. Dit-il en s'installant à son bureau et mit le haut-parleur. M. Le Président.

- M. Le Président. Mes félicitations à nouveau. J'aimerais savoir si vous accorderez des permanences à nos Sénateurs ?

- C'est quoi cette question… Dit-il en riant. Je n'ai jamais refusé cela enfin… C'est le Vice-Président en Officio qui s'en chargera voyons c'est… Un bruit de couloir j'imagine… Quoi qu'il en soit j'ai plus important à gérer que cela pour l'heure. Les chambres changeront bientôt de toute manière alors bon. Vous savez…

- Et comptez-vous mettre en application de nouvelles mesures contre l'homosexualité ? Vous savez… Les gens notamment à l'Ohio n'apprécie pas qu'il soit possible de légaliser le mariage désormais… Réfléchissez à revenir sur cela rapidement. Beaucoup attende des résultats à ce niveau.

- Merci Monsieur le Président de me rappeler que vos Sénateurs sont contre et que tout ce qui est de la sexualité dérange. Toutefois j'étudierais cela en temps voulu, pour l'heure je prépare mon allocution dans votre chambre et j'effectuerais mes prochains déplacements très vite. J'espère que d'ici là rien n'arrivera a ma personne et au Vice-président, j'aurais eu le mandat le plus court de l'histoire. Dit-il en raccrochant.

- Lui, on va pas l'aimer. Grogna Kurt un peu furax.

- Un con parmi tant d'autres qu'est-ce-que tu veux que je te dise. Un gars qui se croit politique alors qu'il a juste six ou sept zéro sur son compte en banque… M'enfin c'est comme ça. Soupire Blaine en attrapant son discours et le relis en ayant mit ses lunettes.

- T'es mignon avec tes lunettes… Murmure Kurt.

- Mhm, pardon ?

- Rien… Je disais que j'aime bien ta paire de lunette, elle te va bien. Soupire Kurt.

- Oh… M…Merci. Dit-il en devenant rouge. Moi j'adore ton costume. Je sens que tu vas être la First Lady de la mode dans cette baraque ! Dit-il en riant.

- Tu n'es pas moche hein, tu te fringue pas comme tous ses politiques et j'aime cela. Vraiment !

- Alors tu sais quoi ? Chaque fois qu'on fera des sorties dehors on se mettra des costards colorés, des trucs qui changent du bleu marine ou du noir et gris ! Chiche ? Propose Blaine comme deal.

- M. Le Président, c'est un plaisir de faire affaire avec vous. Rigole Kurt en lui serrant la main.

Ils se sourient timidement et se mettent à travailler sur les points importants dans la déclaration sur l'Union au Congrès mais également sur les vœux que tiendra Kurt à l'hôpital de Lima. Blaine en profite largement pour le lui expliquer que Santana s'occupe de tout et que personne n'en saura rien de cela, qu'il sera dans l'avion bien avant l'arrivée des caméras et sera transporter par la Cadillac pour que ce soit le plus discret possible. Ils tiennent à la vie privée qu'ils ont, parce qu'ils savent que si une faille à lieu, cela pourrait mettre en danger toute la vie intime du Président, de Blaine en d'autres terme plus clairs. Ils passent toute la matinée au téléphone avec divers gouverneurs des Etats et également avec des politiques du Canada et des pays du Sud, ce qui ne leur laisse guère le temps pour manger. Bien après, Santana revient à la Maison-Blanche à bord de Marine Two, l'hélicoptère du Vice-Président et pénètre dans le bureau de Blaine.

- Tout est prêt absolument tout, on va pouvoir aller au Congrès dès que vous êtes prêt. On peut soit y aller en voiture soit en hélicoptère mais la presse serait heureuse si c'est en voiture.

- Alors choisissons la voiture, de toute manière il a été fait état de la voiture en réunion ce matin.

Ils partent alors vers la porte de la West Wing et montent tous les trois dans la Cadillac One et prirent la direction sous escorte vers le Congrès ou Blaine subit un dernier lavage de cerveau et de récitation alors qu'il signe quelques documents, ses premiers sur son bureau pliable dans la voiture ultra équipée. Quelques minutes après ils arrivent au Capitole et Blaine salue la foule dehors et pénètre en même temps que ses amis et lui s'isole tandis que Kurt alla directement dans son siège. Santana suivit Blaine.

- C'est ton dernier grand discours avant la semaine prochaine et les interviews que fixera Quinn, après tu pourras juste travailler comme tu le faisais à l'époque il y a quelques mois d'accord ? Tout va bien se passer, c'est le plus lourd discours qu'un Président à a faire.

- Et si je le rate ? Demande t-il simplement.

- Tu feras une blague, personne n'ose ne pas rire au Président de ce pays tu m'entends ? Tu peux le faire je crois en toi, tout autant que Kurt croit en toi. Dit-elle en l'embrassant sur la joue.

Il lui sourit et s'isole un peu encore et relie sans cesse son discours et une fois prêt il le donne a un Chambellan qui alla lui mettre au pupitre. La fanfare présidentielle retentit dans le Congrès et il fait alors son entrée et se poste devant son pupitre. Dernier soupire et il s'élance dans son discours de plus de quarante cinq minutes devant les trois cent et quelques Sénateurs. Un discours ferme et très Républicain. Santana bien caché en haut l'observe et lui fait des petits signes pour qu'il fasse des gestes précis ce à quoi il s'adonne et procure plus de majesté à son discours solennelle. Une fois finit et sous les applaudissements de tous, il quitte le Congrès et repart à la Maison-Blanche ou Marine Two attendit Kurt. Tous les trois partent à la pelouse et Kurt se tient sur les marches de l'hélicoptère.

- Santana, tu pars avec lui ? Demande Blaine étant étonné.

- Non j'avais juste oublié de prendre mon sac tout à l'heure. Dit-elle en se frottant le crâne et quittant l'engin et partit dans la Maison-Blanche les laissant seul.

- Bon et bien… Je vais devoir y aller pour pas me mettre en retard… Marmonne Kurt.

- Je veux juste que tu sache que ton père compte pour moi et que je ne veux pas que tu te sente obligé de m'être reconnaissant de le voir ici.

- Il va mourir et tu fais tout pour qu'il soit avec moi… Dit-il les yeux larmoyant.

- Je te promets qu'il va le vaincre ce cancer d'accord ? Dit-il en fixant toute a sécurité autour d'eux. Kurt… Je te fais la promesse que jamais je te ferais du mal, et jamais il n'arrivera malheur à ton père. Je ne supporterais pas de le perdre tout autant que toi, mais je crois en son combat, je crois qu'il peut le vaincre, j'en suis certain.

- J'espère que tu as entièrement raison Blaine, parce que je n'accepterais pas de perdre mon père et ne pas pouvoir lui dire adieu par ma fonction.

- Hey… Jamais tu m'entends… Jamais ta fonction t'empêchera de voir ton père. Je te donnerais toujours mon aval pour que tu passes du temps avec lui tu m'entends ? Je tiens à vous deux… Dit-il en le serrant dans ses bras.

- Je ferais mieux d'y aller maintenant… Dit Kurt en reniflant un peu.

- Je passerais te voir avec lui demain à ton retour d'accord ? Assura Blaine.

- Tu feras ton premier tour avec l'hélicoptère au moins. Dit-il en riant.

- Ouais, c'est ça voilà. Dit-il en souriant.

- Blaine je…

- Shhh… Va retrouver ton père d'accord ? Dit-il en souriant. Ne me remercie pas ! Dit-il en partant en arrière.

Kurt sourit et monte dans l'hélicoptère et s'attache, observant Blaine qui le salue et s'éloigne de plus en plus par l'altitude que prend l'engin.

- Je t'aime… Murmure d'une voix inaudible Kurt qui redresse sa tête et regarde droit devant lui avec ses conseillers à bord de Marine Two et qui ne dise pas un traite mot.

Kurt signe des documents, Blaine lui rentre dans son bureau et fut déjà harceler au téléphone par des pays européen encore pour le féliciter de son élection, de ses premiers discours, des appels forcés et chiant il n'y à pas à dire. Kurt lui arriva à la base militaire et regarde les yeux ébahit le monstre. Air For One. Il monte en saluant les militaires et eue droit a une visite rapide de l'avion.

- Pire qu'un hôtel… Ne cessait-il te dire à bord, et s'installe dans le bureau du Président

Air Force One prend son envol dans le ciel américain et Kurt lui regardait son téléphone remplis d'image de lui et de Blaine dans les parcs et en soirées à se faire des saletés de jeunes. Des photos qui le fit sourire et lui mette un peu la larme à l'œil. Kurt à toujours été amoureux de Blaine et devoir collaborer avec lui est une technique de se rapprocher encore plus de lui sans trop savoir si cela marcherait mais également des conséquences. Du moins il connait les conséquences, mais les renient au fond de lui-même, parce qu'il est tout simplement amoureux de lui, mais Blaine ne l'est pas. Et s'il y a bien deux personnes qui le pousseront à avouer ses sentiments c'est bel et bien Santana et son père. Eux qui ont toujours cru que malgré le complexe de Blaine, tout serait plus simple pour eux s'ils feraient un premier pas. Mais il ne s'agit désormais plus que d'un simple pas, il en va aussi d'une image et d'une importance nationale et ça, c'est quelque chose que Kurt ne se pardonnerait pas. Nuire à l'image de Blaine, son meilleur-ami, le nouveau Président des Etats-Unis d'Amérique.