Note de la traductrice

Ciaossu !

Voilà une traduction d'une fic que j'ai lu en anglais. Dès que je l'ai lu, je l'ai adoré et j'ai pratiquement tout de suite demandé la permission à l'auteure de la traduire. Ce qu'elle a accepté et je la remercie ! Donc voici « When Primo Encounters Neo Primo » (j'ai décidé de garder le titre anglais, je l'aime beaucoup comme ça ^^, je garderais aussi le noms anglais des chapitres) de PurpleCielo1117. Aussi, vous aurez compris, cette fic ne m'appartient pas

Note de l'auteure :

Disclaimer : Je ne possède pas Katekyo Hitman Reborn !

Salut à tous

C'est la troisième fic que j'écris. J'ai pris l'idée de la fic « Primo meets Decimo », écrit par Fate Camishwill. Alors, merci à elle.

"discours normal"

Pensées

Juste une petite explication : Même si le titre parle de Neo Primo, mais Tsuna n'est pas le Neo Primo. Il est le fils de Giotto de dix ans plus tard. C'est juste un titre.

Juste pour informer les lecteurs, voici les âges de la première génération

Giotto – 21

G -21

Asari -21

Knuckles -22

Lampo -16

Daemon -23

Alaude -23

Et Tsuna a 4 ans !

J'espère que vous apprécierez cette histoire !

Commençons donc !

Chapitre 1

Neo Primo arrives.

C'était une journée normale dans le manoir Vongola. Toutes les personnes dans le dit manoir faisaient ce qu'ils étaient supposés faire normalement. Dans un bureau, un homme aux cheveux blonds et aux yeux d'un orange vif était concentré sur sa paperasse. Il posa son stylo quand quelqu'un entra dans la pièce.

-Giotto, as tu fini la paperasse ? demanda celui-ci en s'approchant du bureau.

-Pas encore, G, dit Giotto alors qu'il s'adossa sur le dossier de sa chaise.

Il ferma les yeux pour prendre une pause. Giotto laissa échapper un léger soupir. La pile de papier semblait interminable. Giotto était un boss de la mafia de la famille Vongola, famille qu'il avait créée juste quelques années auparavant. En y repensant, Giotto sourit aux souvenirs qui remontaient : sa rencontre avec ses gardiens et comment ceux-ci l'avaient aidé pour la formation de sa famille.

-Besoin de café ? proposa l'homme aux cheveux rouges - presque roses – allant jusqu'au menton.

-Oui. Merci.

G sortit après avoir entendu la réponse de Giotto.

Celui-ci se redressa et reprit son stylo, se concentrant sur sa paperasse. Mais juste quand Giotto écrivait quelque chose, il entendit des bruits de pas derrière la porte. Alors il posa le stylo une nouvelle fois et attendit que celui à qui appartenait les pas entre.

-Giotto~, se lamenta un adolescent aux cheveux verts en pénétrant dans la pièce.

-Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Giotto.

-Je m'ennuies~

-Ne me dis pas ça quand c'est moi qui fait toute la paperasse ! soupira Giotto.

Il était tellement surchargé : traiter la pile de feuilles qu'il détestait faire et là, Lampo s'ennuyait et ne faisait rien. La vie n'était pas juste.

-Alors, pourquoi es-tu là ? continua Giotto.

-Joue avec moi~ pleurnicha l'adolescent.

-J'ai beaucoup de travail à faire, Lampo. Va ennuyer quelqu'un d'autre, rejeta Giotto.

-Eh~ Mais, il n'y a personne d'autre... Et ore-sama n'ennuie personne ! dit paresseusement Lampo.

-Alors retourne dans ta chambre et ne fais rien. Regarde les murs ou autre chose, je m'en fiche. Juste ne me dérange pas.

-Mais~...

Avant que Lampo ne soit capable de terminer sa phrase, quelqu'un les interrompait.

Knock Knock

-Giotto, désolé, si je vous interrompe, commença un homme avec des cheveux noirs et des yeux yeux sombres en entrant. Mais je viens pour te donner des informations sur ma mission.

L'homme s'approcha du bureau de Giotto, où il posa une pile de papier.

-Oh, Asari, c'est bon... Alors la mission ? A-t-elle été couronnée de succès ? demanda Giotto.

-Oui, tout s'est très bien passé, rassura le gardien de la pluie tout en souriant doucement à Giotto.

-Très bien. Merci pour ton dur travail, déclara Giotto, en lui retournant le sourire.

Les sourires de son gardien de gardien de la pluie mettait toujours Giotto de meilleur humeur.

-Erm... Au fait... Qu'est-ce que cette pile de papier fait ici ?

-Oh, c'est... pour la propriété que j'ai détruit quand je m'occupais de ma mission, sourit de nouveau Asari.

-...Combien de propriété as-tu détruit as-tu fait pour produire cette montagne de paperasse, Asari ? sourit Giotto, mais Lampo et Asari pouvait voir clairement une veine palpiter sur sa tempe.

-Je suis désolé, Giotto ! rajouta précipitamment Asari. Je t'aiderais avec la paperasse.

-Haa, peu importe... Tu dois être fatigué de ta mission, tu devrais partir et te reposer, abandonna Giotto en laissant échapper un autre soupir.

-Vraiment ? Ok alors... Je suis vraiment désolé, déclara Asari en quittant ensuite la pièce, après avoir laissé quelques détails sur sa mission.

-Primo, appela une autre voix.

Un homme aux cheveux bleus entra.

Pourquoi tout le monde arrive un par un ? pensa Giotto.

-Que veux-tu, Deamon ? demanda Giotto. Par pitié, ne me dis pas que tu as plus de paperasse pour moi.

-Nufufu, pas d'inquiétudes, Primo. Il n'y en a aucune. Je viens pour te dire que Alouette-kun revient juste de sa mission lui aussi.

-Hm ? Ok, c'est bon à entendre... déclara Giotto détendue, se sentant soulagé.

-Mais il y a la paperasse qu'amène Alouette-kun.

-Même si ce n'est pas toi, mais Alaude, C'EST LA MÊME CHOSE ! ARRÊTEZ DE M'AJOUTER DU TRAVAIL ! cria Giotto alors qu'il se leva. Lampo ! Dis à Alaude de venir ici immédiatement !

-O-oui ! balbutia Lampo en sortant rapidement pour trouver Alaude

Il revint avec lui quelque minutes plus tard.

-Alaude, pourquoi as-tu détruit inutilement des propriétés ? Ne peux-tu pas faire tes missions avec moins de violence ?

-Hn, répondit juste Alaude.

-Ne me dis pas "Hn" ! cria Giotto de rage, demandant une explication.

-Elles étaient sur mon chemin, répondit finalement et normalement Alaude.

-Tu ne peux pas détruire toutes les choses qui sont sur ton chemin ! répliqua Giotto rageant intérieurement..

-Hn, fit Alaude en détournant la tête.

-Sortez tous, maintenant. Je dois faire la paperasse, soupira Giotto

Tout le monde sortit de son bureau comme le voulait Giotto. Celui-ci laissa échapper un autre soupir, une fois qu'ils furent tous sortis. Il avait beaucoup soupiré aujourd'hui.

Il avait maintenant d'autres piles de papiers qui l'attendaient. Il détestait cette partie de son boulot.

-Haa... Pourquoi tout mes gardiens sont comme ça... soupira Giotto.

Juste à ce moment-là, G arriva avec une tasse de café chaud.

-Voilà, Giotto, fit G en posant la tasse de café.

-Merci, G, dit Giotto en prenant une gorgée de café, avant de sourire. Le café que tu prépares a toujours été le meilleur.

-Je te laisse.

G embarqua quelques piles de papiers du bureau de Giotto et marcha vers la sortie.

-Attends ! C'est- essaya de stopper Giotto.

-Je vais t'aider, c'est trop pour une seule personne, répliqua G sans s'arrêter.

-Merci beaucoup G ! Tu es le meilleur ami que j'ai ! s'exclama Giotto, heureux.

-…

G ne dit rien et ferma la porte, derrière lui.

Giotto regarda à nouveau la pile de paperasse. Même si G en avait pris quelques unes, il restait toujours celle que Asari avait rajoutée. Giotto soupira et prit une autre gorgée de café quand la porte s'ouvrit de nouveau.

-Qui est-ce encore ! s'écria Giotto immédiatement quand il entendit le son de la porte.

-J-je suis désolé... répondit une petit et douce voix

Giotto regarda attentivement et vit un petit garçon qui lui ressemblait. À part pour la couleur des yeux qui était marron à la place de l'orange de Giotto et la couleur des cheveux, marrons aussi. Il portait un pull bleu avec une capuche et un short marron. Il était si mignon. Giotto avait toujours aimé les enfants.

-Ah, je suis désolé aussi. Je pensais que tu étais quelqu'un d'autre.

Giotto se leva et marcha vers la porte.

-Pourquoi es-tu ici ? Quel est ton nom ? demanda Giotto en s'accroupissant devant l'enfant.

-J-Je suis perdu... et Reborn m'a dit de ne pas dire mon nom aux étrangers

-C'est adorable, tu es un garçon bon et intelligent, sourit Giotto avant de tapoter la tête du petit garçon. Quel âge as-tu ?

-… Q-quatre ans, dit nerveusement le petit garçon alors qu'il tripotait ses doigts.

Giotto sentit son stress dû à sa paperasse s'envoler juste en regardant cet adorable petit garçon.

-Qui est ce Reborn dont tu me parlais ? continua Giotto.

-Ça doit être moi, sonna une voix d'homme derrière Giotto.

Celui-ci se retourna et fixa le nouveau venu. Un homme avec un costume noir et orange, un fedora sur sa tête et lui couvrant les yeux était debout dans la pièce.

-Reborn !

Le petit garçon courut vers le dénommé Reborn.

-Tsuna, je t'avais dit de rester tranquille et de ne pas sortir, non ?

Alors son nom est Tsuna ? pensa Giotto en entendant leur conversation.

-J-je suis désolé... J'ai eu peur alors je suis sorti pour te chercher...

-Bien. Buongiorno, Primo, salua alors Reborn en se tournant vers Giotto.

-Hm ? Qui êtes-vous ? Et pourquoi êtes-vous ici ? demanda Giotto.

-Est-ce que cela réponds à vos question ?

Reborn sortit alors un objet de son costume. Giotto regarda attentivement et remarqua un pacificateur.

-Un pacificateur ? Ce qui veut dire... vous êtes un Arcobaleno.

-C'est correct. Je suis également un hitman professionnel.

-Quelle affaire amènerait-elle un Arcobaleno vers moi ?

-Je ne suis ici que pour un instant, je n'ai pas beaucoup de temps. Je vais donc faire court. Je suis venu juste pour laisser Tsuna, le petit ici présent, à vos bons soins.

-Lui ? Pourquoi ? Que voulez-vous dire seulement que "pour un instant" ?

-Je viens du futur et vous devez avoir remarqué que ce garçon présent vous ressemble. C'est parce qu'il est votre fils, Sawada Tsunayoshi.

-Futur ? Ça n'a aucun sens... mais il est vrai qu'il me ressemble. Mais je ne suis même pas marié, comment pourrais-je avoir un fils ?

-Comme je l'ai dit, nous venons du futur.

-…, fit Giotto, une expression confuse peinte sur son visage.

-Tsuna, montre tes flammes.

-Ah, O-ok...

Juste après avoir répondu, Tsuna ferma les yeux et des flammes apparurent sur son front.

Une pure flamme du ciel... Je crois qu'il dit la vérité.

-Je me fiche que vous me croyez ou non. Le futur est maintenant dans le chaos alors je dois le laisser ici. Il n'y a personne d'autre à qui je pourrais le laisser.

-Bien, je vous crois, mais quel genre de chaos ? Que s'est-il passé dans le futur ?

-Je ne peux pas vous le dire.

-Pourquoi pas ?

-Parce que le futur pourrait en être changé et cela pourrait être mauvais.

-Bien. Combien de temps cela prendra-t-il avant que ce chaos ne prenne fin ?

-Je ne sais pas. Mais ça ne devrait pas être long.

-E-eh ? Reborn, tu me laisses ici ? Je ne veux pas ! A-amènes-moi avec toi ! pleurnicha Tsuna.

-Non, je te laisse ici. Tu comprends que la situation au manoir est instable maintenant, n'est-ce pas ?

-O-oui...

-Et cet homme ici est ton père.

-E-eh ? Père ? Mais personne m'a dit que j'avais un père...

-C'est un mensonge. Maintenant, habitue-toi à lui, mais ne t'attache pas trop. Je reviendrais bientôt. Arrivederci, Primo.

Reborn disparut alors dans des flammes de couleur orange, après avoir fait ses adieux.

-Ah ! Reborn ! Ne me laisse pas ici ! s'écria Tsuna en commençant à pleurer lorsque Reborn disparut. Sniff... Sniff...

-Tsuna, ne pleure pas, je serais gentil avec toi, ok ? Il reviendra bientôt, il l'a dit lui-même, non ? Giotto s'accroupit et prit Tsuna dans ses bras. Giotto sourit à Tsuna et celui-ci s'arrêta de pleurer.

-Hm... Alors, tu t'appelles Tsuna ? C'est un nom adorable...

Giotto aimait en effet le nom du petit garçon.

-O-oui.

Tsuna semblait effrayé. Mais il ne sentait confortable contre Giotto. C'était la première fois que Tsuna se sentait comme ça quand il était avec un étranger.

Son père. Il n'avait jamais su qu'il avait un père. Tout le monde lui avait dit que son père était mort quand il leur posait la question.

-Mon nom est Giotto, tu peux m'appeler Papa, si tu veux, sourit chaleureusement Giotto.

Il aimait les enfants, spécialement les enfants aussi mignon que Tsuna.

-P-papa ? essaya Tsuna.

-Oui ? répondit Giotto alors que son sourire s'élargissait.

Il tapota la tête de Tsuna. Celui-ci finit par sourire.

Bang

Giotto posa Tsuna sur le sol quand quelqu'un fit irruption dans le bureau. C'était G, son bras-droit, toujours avec cette mine inquiète sur le visage.

-Giotto, j'ai entendu du bruit à l'instant ! s'écria avec inquiétude G. Des femmes de ménages disent qu'elle ont vu quelqu'un entrer dans ton bureau par la fenêtre. Est-ce que tu vas bien-Huh ! Qu'est-ce que cet enfant fait ici ?

Giotto réalisa que tout ses gardiens étaient derrière son bras-droit. Même Alaude.

-Hey, vous ne trouvez pas qu'il ressemble à Primo ? remarqua Lampo quand il vit Tsuna.

-Hmm, maintenant que tu le dis, ils se ressemblent. À part la couleur des cheveux... dit Asari, d'accord avec Lampo.

-Giotto, tu as un enfant ? À ton âge ? Tu es trop jeune pour avoir un enfant ! dit Knuckle, le gardien du soleil de Giotto.

-Oya... Oya... Primo, qu'as-tu fait... commença Deamon en souriant narquoisement.

Alaude regarda Giotto sans rien dire.

-Giotto... appela G tout en regardant son boss, choqué.

-Hey ! Arrêtez ça, les gars ! Écoutez-moi d'abord ! dit Giotto, arrêtant les propos de ses gardiens et continua. Bien, il est mon fils.

-Quoi ?! C'est vrai ?" réagit rapidement G.

"Je suis déçu par ton comportement, Giotto... Comment as-tu pu faire ça... Tu es incontrôlable... soupira Knuckle

-Hey ! Écoutez-moi jusqu'à la fin. Il est mon fils mais il vient de 10 ans dans le futur, expliqua Giotto immédiatement pour éclaircir le malentendu.

-Quoi ? Futur ? Ça n'a aucun sens. Es-tu souffrant, Giotto ? demanda G, anxieux.

Comme toujours, G était inquiet à chaque instant pour Giotto.

-C'est la vérité ! Un des Arcobalenos est venu et l'a laissé ici, expliqua avec plus de détails Giotto.

-Hmm, mais ce n'est pas très convaincant... marmonna Asari.

-… Ah ! fit Giotto en pensant soudainement au moyen de faire disparaître le quiproquo. Bien. A l'instant, Tsuan a allumé sa flamme devant moi. Ce sont des flammes pures du ciel, comme les miennes. Tsuna, peux-tu les montrer une autre fois ?

-O-oui.

Tsuna le fit une nouvelle fois et des flammes apparurent sur son front.

-W-wow, c'est vrai ! S'exclama Lampo en regardant attentivement les flammes.

-Eh bien, ils se ressemblent vraiment... marmonna G.

-N'est-ce pas ce que je viens de dire ! s'écria Giotto à l'adresse de tous ses gardiens.

-Ok, ok, désolé, s'excusa G, pas très sincèrement.

-Alors, voici Tsuna, Swada Tsunayoshi, présenta Giotto.

-Bonjour, Tsuna-kun. Tsuna est un beau nom, dit Asari, souriant à Tsuna.

Cet homme semble gentil.

-Tsunayoshi ! Ravi de te rencontrer à l'extrême ! s'exclama Knuckle en envoyant un punch dans le vide.

Cet oncle est un peu bizarre.

-Nufufu, Bonjour, Tsunayoshi-kun, salua Deamon, accueillant le petit garçon.

Une personne avec un style capillaire bizarre.

-Yare, yare, Tsuna, huh. Maintenant nous avons besoin de prendre soin d'un gosse.

Une personne avec des étranges cheveux verts.

-Nous en avions déjà un... marmonna doucement G, mais Lampo l'entendit.

-Que dis-tu Rosichon ? Ore-sama n'est pas un gosse !

-Est-ce que j'ai dit que tu étais un gosse ? Et mes cheveux sont rouges ! Pas roses ! Combien de fois ais-je besoin de me répéter ?! s'écria G en courant après Lampo.

-De toutes façons, le dîner est servi, Giotto, veux-tu manger maintenant ?

Giotto regarda sa montre puis reporta son attention sur Tsuna.

-Tsuna, as-tu faim ? C'est l'heure de manger... Je te présenterais tes oncles là bas.

-U-um, ok... répondit Tsuna doucement.

Il n'était pas habitué à voir autant de monde autour de lui.

-Bien, allons dans la salle à manger.

Giotto prit Tsuna dans ses bras et marcha vers la salle à manger avec ses gardiens.

Notes de l'auteure :

Fin du premier chapitre. Merci d'avoir lu ! Je mettrais en ligne le prochain chapitre bientôt. Je me concentre sur mon autre fanfic « Lucia ». Allez voir, si vous avez le temps.

S'il vous plaît, pardonnez moi pour les fautes grammaticales.

On en saura plus sur Tsuna dans le prochain chapitre

Et les autres enfants apparaîtront bientôt, peut-être quelques chapitres plus loin S'il vous plaît, commente et dîtes ce que vous pensez de cette fic .

A bientôt.

Notes de la traductrice :

Alors, bien sûr, là ce n'est pas des fautes de PurpleCielo1117 que vous devrez pardonner, mais plutôt les miennes ^^. Je ne sais pas trop quoi penser de la traduction. J'ai peur d'avoir parfois fait des répétitions. Dîtes moi ce que vous en pensez.

La version originale arrive au cinquième (plutôt quatre, le quatrième chapitre étant une note de l'auteure, je ne sais pas trop si je dois la traduire...) je verrais bien. Si je la traduits, je mettrais en même temps le cinquième chapitre ^^ pour pas que vous ayez à attendre trop longtemps.

Alors... reviews ?