Dans une forêt :

« Sakura, que fait-tu encore debout ? Va te reposer ! C'est un ordre. »

Les quelques bougies qui éclairaient vainement la tente, manquèrent de s'éteindre quand le vent glacial de la nuit fût apporté par la rose. Cette dernière était dans un état second. Mélange de la fatigue psychologique et physique, du au rythme vigoureux auquel elle forçait sont corps de résister, et de la peur. La fatigue et le surmenage, lui laissait un corps affaibli. Son visage avait perdu ses belles couleurs, à présent elle était livide, aussi blanche que la lune.

« Shikamaru, c'est une urgence ! » Tenta de raisonner Sakura.

« Non Sakura, l'urgence c'est toi, tu le sais bien. »

Shikamaru, était dépité. En dépits du fait que c'était la première foi en trois jours qu'il avait réussis à fermer l'œil pour se reposer et que ce soit Sakura qui vienne l'importuner, le poussa à bout. Il lui avait donné l'ordre de se reposer, et elle était encore éveillée au milieu de la nuit. Elle avait besoin de repos, lui aussi d'ailleurs. La guerre à laquelle ils prétendent les avaient tous consumé.

Puis le brun se rapprocha de Sakura pour lui faire entendre une bonne foi pour toute que si elle n'allait pas se coucher maintenant il allait se devoir de l'assommer. Au moment de parler, il se ravisa, sentant la dureté du visage de son amie. Il avait l'impression que quelque chose de grave se produisait sur leur camp.

« Je te suis Sakura. »

Sur ses mots et sans plus de fioritures, ils quittèrent la tente en silence. Elle l'accompagnait jusqu'à la tente de soins ou gémissaient plusieurs blessés. Mais Sakura ne s'arrêta pas devant les ninjas estropiés mais poursuivit son chemin jusqu'à une antichambre. Dans la pièce, deux infirmières s'affairaient autour d'un corps inanimé. Sakura leur ordonna de les laisser seuls, elles s'exécutèrent. Shikamaru allait demander a Sakura pourquoi elle l'avait amené voir ce corps, qui par l'odeur, devait être celui d'un mort. Plutôt d'une morte, remarqua-t-il quand ses yeux croisèrent le visage de la morte. Une petite blonde, squelettique, aux habiles de haillon sale et troué. Puis le cœur de Shikamaru fit un bon dans sa poitrine. Il se retourna brusquement vers Sakura.

« Elle n'est pas morte » tenta de rassurer Sakura.

« Qui est au courant de sa réelle identité ? » S'enquit Shikamaru.

« Personne, je voulais avoir le cœur sûre avant de nommer cette personne »

« C'est parfait, que personne ne sache, qui elle est et d'où elle vient »

Shikamaru et Sakura se laissaient ainsi, et regagnèrent leurs tentes respectives pour tenter de se reposer quelques heures avant que le soleil n'apparaisse. Mais tout deux ne purent se reposer durant ses minutes de répits. L'ennemi était sur leur territoire.

A l'orée d'un bois, à quelques lieux du campement de Konoha.

« Qui est l'incompétent qui l'a laissé partir ? » S'énerva le Kazekage.

« Maitre, elle c'est portée volontaire, sans son sacrifice, la guerre ne finira jamais »

Le Kazekage, Gaara du Désert, était chef militaire du Pays du Sable. Ayant appartenu aux Pays de l'alliance il y a quelques années. L'homme aux cheveux couleur vermeille, fronça les sourcils. Il était furieux. En quelques années sa côte de popularité était tombée bien bas. Ses concitoyens qui avait vu en lui -au début de sa procuration- un sauveur, le considèrent aujourd'hui pour un lâche. La raison ? La quatrième guerre ninja.

Gaara était alors chef des armés. Aimé de tous. Béni.

Mais ce ne sont pas les Hommes tombés au combat qui avaient affirmé la retirance de ses confrères à l'épauler. Non, malgré le lourd nombre de perte pendant cette grande guerre, il en était sorti victorieux. Si Gaara avait perdu la confiance de ses compagnons c'était pour une raison futile. Les mauvaises langues de Suna, la capitale militaire du Pays de Désert, avaient laissé entendre des rumeurs de cette guerre. Ce chuchotement, avait prit de l'ampleur. Ouvertement les personnes critiquaient sans réfléchir à si ce qu'ils répandaient était vrai. De toute façon, nul besoin de spéculer longtemps à ce sujet, ce qui est fait est fait. La guerre avait bel et bien débutée.

Le peuple du Pays du Sable se sentait souillé et trahie par les grandes nations, Konoha entre autre. Suna était le village militaire possédant le moins de ninja. Il n'y a pas que son infériorité numérique, il y a aussi son éloignement des grande nations, qui elles fleurissent. La prospérité des autres nations laissaient un gout amer aux habitants du désert. Vivant uniquement sur l'importation pour la survie des villages, leurs ressources naturelles n'intéressaient nullement les autres nations. Le prix des matières premières avaient gonflé les derniers mois. La goute d'eau qui fit déborder la coupe. Bien qu'il n'y est pour rien, Gaara influencé par les belles paroles de ses conseillés et par la détresse de son village céda. Et ceux pour le bien de son village. Il avait surement eu tord. Ceci dit, la situation de siège durait depuis trop longtemps. Les militaires n'attendaient que le départ de l'assaut. Dans l'attente, le moral des troupes s'amoindrissait de jour en jour. Mais quelques personnes avides de vengeance et de sang, lançais des spéculations qui accroissait la haine, livrée à l'ennemi.

« Shirogane, vos mensonges ont suffisamment duré. Où est Temari ? »

« Maitre, elle s'en est allée. »

Shirogane, était le Juunin qui s'occupait de la bonne conduite des camps. Marionnettiste de renommé. Temari était la sœur du Kazekage, elle n'avait plus donné de ses nouvelles depuis un mois déjà. Cela correspondait approximativement au début du siège mené entre le pays des feuilles et celui du sable. Au début de la stratégie du siège, Temari était chef de la division. Mais rapidement elle fût remplacée par Shirogane. Dans l'ombre et le silence, on la préparait à ce qui allait être la seule et l'unique attaque de Suna envers Konoha. Pendant un mois elle avait été dressée parmi des aveugles et sourd. Non pas qu'ils ne voyaient pas et qu'ils n'entendaient pas en sens premier du terme, mais ce qu'il c'était passé durant ce mois de préparatif, personne n'en su rien. Et nul ne le saura. A présent Temari n'était plus là. Gaara se doutait de ce qu'elle avait fait et d'où elle se trouvait. Mais était loin d'imaginer ce qu'elle avait enduré pour.

Au campement de Konoha

Shikamaru avait fait aménager l'antichambre, et son contenu dans sa tente. A présent lavée et changée, la blonde squelettique, avait bien changée, et ne sentait plus le cadavre. Il n'y avait que Sakura qui pouvait venir s'occuper de la femme, toujours inanimée. La rose était debout au côté de Shikamaru les yeux rivé sur le corps inerte.

« Quoi qu'il se soit passé au campement de Suna, ils ont été monstrueux avec elle. »

« C'est une femme rusée, et puissante, quoi qu'il se sois passé elle en reste le maître »

« Puissante ? » rit nerveusement Sakura en regardant le légume étendu sous ses yeux.

Sakura avait diagnostiqué le corps, qui lui semblait être celui de Temari. Personne d'autre ne pouvait l'approcher. Sakura avait du dire aux infirmières présente ce soir là sous la tente médicale, que le corps ayant été retrouvé dans la forêt était celui d'une villageoise, à présent morte de ses blessures.

La médecine avait décelée des chocs et des hématomes sur plusieurs endroits de se corps. Notamment qu'elle avait eu les poignets et les pieds liés pendant plusieurs semaine. Depuis autant de temps qu'elle n'avait pas changée ses haillons. La blonde n'avait eu droit à aucun soin d'hygiène corporelle depuis. Et il y avait eu la sous-nutrition et la crispation de bon nombre de ses muscles.

Elle avait été salie physiquement, qu'en était-il psychologiquement ?

Ce fût tout ce que Sakura eu été capable de dire à Shikamaru sur le diagnostic de l'ennemie. Mais il y avait eu plus de maltraitance physique, elle n'était pas encore sûre de ce dont il s'agissait, alors elle s'abstint.

Au campement de Konoha, les soldats lutaient tant bien que mal dans l'attente d'un combat. En attendant, les renseignements sur les positions et les plans des camps ennemis manquaient. Seules des petites unités de reconnaissances quittaient le campement.

Les Hommes avaient remarqué les passages de Sakura de plus en plus fréquent à la tente de leur chef. Ils se firent méfiant envers les deux protagonistes à qui ils soupçonnaient de passer du bon temps ensemble en temps de guerre. Les missions de reconnaissance partaient de plus en plus nombreuses, les hommes reprenaient espoir. La certitude que cette guerre ne durerait plus longtemps. Encore fallait-il que les chefs de parlent et agissent, au lieu de passer du bon temps en charmante compagnie, comme ils le reprochaient à Shikamaru.

Mais un jour de plus le soleil se couchait, et la situation restait inchangée. Dans son demi-sommeil, Shikamaru cherchait une stratégie de défense en cas d'attaque de nuit. Brusquement il ouvrit les yeux, la dernière bougie encore en animation, s'éteint. Elle s'était réveillée. Il chercha à sortir de son lit, quand une lame d'acier lui caressa la gorge. Dans le noir le plus total, il ne pu distinguer aucune ombre. Sans faire de bruit, il bougea ses bras pour tâtonner le vide et chercher d'où venait cette lame aiguisée. La pression sous sa gorge se fit de plus belle. Il arriva in-extremis à saisir les fin poignets qui tenait l'arme blanche avant qu'une entaille ne se forme sur sa peau. D'une main il arriva à maitriser son ravisseur, de l'autre il chercha de quoi le ligoter. Aucune contestation, de la part du frêle agresseur. Une foi l'assaillant complètement maîtrisé, Shikamaru alla chercher des bougies et en alluma plusieurs. Et là, il vit des yeux remplis de rage, désireux de vengeance. Ce qui le laissait plus de doute à Shikamaru, c'était ceux de Temari. Elle était ligotée sur une chaise. Vêtue d'une simple chemise blanche et de nombreux bandages. Shikamaru ressentie une profonde empathie pour Temari. Mais avant d'aller chercher Sakura pour savoir si la blonde s'était bien remise de son coma il lui posa une question.

« Pourquoi ne m'a tu pas tué ? »

Les yeux dans le vide, Sakura écoutait le bruit du vent caressant les feuilles. Elle percevait les rumeurs qui couraient autour d'elle. Non pas car elles étaient sortie de la bouche d'un imprudent, mais à cause des regards suspicieux que lançait de bon nombre de ses alliés. Elle s'efforçait de sourire quand elle croisait des camarades, mais étrangement les muscles de son visage peinaient à se détendre. Et puis toujours aucune nouvelles de Suna, aucune attaque à proprement dire n'avait été lancée. Et puis il y avait Temari, cela avait-il un rapport ? Qui plus est, cette dernière était amnésique. La situation désopilante dans laquelle ils se trouvaient n'était pas prête d'évoluer. Mais aujourd'hui Shikamaru vint voir Sakura alarmé.

« Elle a retrouvé la mémoire, fais vite. »

Quand Sakura arriva dans la tente de Shikamaru, elle trouva Temari une seconde fois ligotée à une chaise. Ses sens en alerte elle semblait prête à bondir à chaque instant pour fuir sa geôle de fortune. Sakura lui fit un rapide sommaire avec des questions banales. Temari avait entièrement retrouvée sa mémoire, à une exception près. Elle n'avait aucuns souvenirs de toute la partie du début de la guerre qui opposait les forces militaires de Konoha et Suna. L'entrée de la tente s'ouvrit brusquement. Ino Yamanaka arriva essoufflée, un air grave scindait son visage. Ino Yamanaka n'était pas sur se camp, ni même de cette division, elle appela Sakura et quitta la tente sans même remarquer Temari. Sakura alla voir son amie d'enfance, puis déclara qu'elle quittait le camp pour une urgence et prit congé.

Ce qui selon Shirogane allait être la perte de Konoha, était tout simplement et purement la perte de la sœur du Kazekage. Gaara avait fait un remaniement extraordinaire de ses troupes, envoyant en mission de plus en plus d'espions. Shirogane n'eut pas la chance de se faire corriger par Gaara, ce fût le conseil des anciens qui s'empara du dossier. Temari vif ou morte, cela n'avait pas d'importance à cette heure. Il avait réussi à éloigner de leur camp l'un des meilleurs éléments que tenait Suna. Et ça en temps de guerre, c'était inexcusable.

« Shikamaru, que se passe t'il pourquoi m'as-tu ligoté à cette chaise ? »

« Nous sommes en guerre.»

Shikamaru se mit à expliquer à Temari les évènements de ses derniers mois. Les soupçons de vols de techniques secrètes des stratagèmes de Konoha durant la quatrième grande guerre, la mauvaise gestion des ambassades de Konoha et Suna, le coup d'état à Suna… Et qu'un dénommé Shirogane avait monté le village de Suna contre le Kazekage et Konoha. En attendant les camps attendaient lequel attaquerait en premier. Les raisons de cette guerre n'étaient pas très claires et s'ils voulaient l'aide d'autres pays, mieux fallait-il ne pas être celui qui attaque le premier.

« Pourquoi ne pas me rendre au Kazekage ? » Demanda Temari.

« Amnésique et dans l'état physique dans lequel tu te trouves, nous n'aurions eu aucune crédibilité. »

Temari à présent déligotée, se leva et s'avança jusqu'au miroir qui trônait dans la pièce. Elle constata avec effroi, l'image que lui réfléchissait la glace. De la tête aux pieds, la blonde jugea avec dédain sa nouvelle apparence. Elle resta de longues minutes à regarder ses bras amaigris, les bandages qui s'imposaient sur ses jambes. Elle cessa de se dévisager quand Shikamaru se plaça derrière elle. A travers le miroir elle croisa ses yeux. Ils échangèrent un regard alarmé.

« Qui m'a fait ça ? » Siffla Temari, sur le qui-vive.

Shirogane, enfermé et seul, sourit. Bientôt le Kazekage allait perdre toute crédibilité, et son mandat allait prendre, purement et simplement fin. Quand Temari reviendra a parmi les siens, Konoha sera inculpé de séquestration. La sœur du Kazekage n'avait été vue de personne depuis bientôt deux mois. Quand elle repartirait du camp des ennemis, sa parole ne serait pas écoutée. Temari sera soupçonnée manipulation ou de complot. Qui plus est sa condition, d'être de sexe féminin, fera jazzer les spéculateurs. Elle sera placée en quartenaire et interrogée. Pendant ce temps les grandes nations se relieront à Suna et ils pourront faire mordre la poussière à Konoha.

Temari savait qu'elle pouvait faire confiance à Shikamaru, mais elle ne savait pas que penser de la situation. Elle avait du mal à concevoir que Suna et Konoha puisse se vouer à une guerre, qui plus est pour une raison peu crédible. Et que Shikamaru et Sakura acceptent de se battre sans rechigner. Certes les ordres sont les ordres, mais Temari avait toujours mis ses valeurs et principes en avant, et laisser les ordres dernière quand ils ne lui semblaient pas juste et bon. Qui plus est, elle en avait assez de rester cloitrée dans la tente de Shikamaru qui lui avait formellement interdit de quitter celle-ci. Bien sûr elle était apte à quitter sa prison dorée quand bon lui semble. Mais Shikamaru était un homme trop méticuleux dans ses stratégies, et cela frustrait hautement Temari. Personne ne savait qu'elle était là, et personne ne devait en avoir la connaissance. Seule toute la journée elle s'ennuyait à mourir. Elle recevait les repas que lui apportait son ravisseur trois fois par jour, et reprenait des forces petit à petit. Pendant ses longues journées de solitudes elle en profita pour faire des exercices de musculation et de souplesse. Elle voulait retrouver son corps de dangereuse Shinobi. La seule compagnie sociale qu'elle avait était celle de Shikamaru et de temps à autre celle se Sakura qui s'assurait une fois tous les deux jours qu'elle se portait bien.

La Shinobi aurait aimée regagner ses troupes, mais elle avait trop peur de quitter le camp de Konoha. Ici, elle se sentait en sécurité, loin de ceux qui lui avait fait devenir méconnaissable. A moins que ce ne sois une mascarade de Konoha à son égard, mais elle préféra ne pas y penser. A chaque foi que son regard tombait sur le miroir elle se donnait envie de vomir. Son corps était celui d'une anorexique en manque de soleil. Et sous ses bandages cicatrisait des blessures faites à l'arme blanche. Les monstres qui lui avaient fait ça allaient recevoir le revers de la médaille, elle serait sans pitié.

Shikamaru était rentré tard, un soir de plus. Dans ses bras un carton remplis de vivres. Le visage fermé, fatigué. Il avait tenté d'envoyer une lettre au Kazekage. Mais il n'avait pas l'autorité pour et s'était vu retirer sa lettre. A table, quand il annonça la nouvelle à sa son otage, elle perdit l'appétit et mis fin au repas.

« Je souhaite réellement quitter ce camp, et rentrer auprès des miens » soupira Temari.

« Tu es libre, et tu le sais parfaitement. Rien ne te retient plus longtemps ici. »

Le visage de Temari de transforma. Une étincelle naquit dans ses yeux. Alors que Shikamaru, au contraire, commença à respirer avec difficulté. Il ne voulait pas en faire un otage. Il la respectait trop pour en demander une rançon. Cela ne servait donc à rien qu'elle reste plus longtemps cacher sous sa tente. En la laissant libre, les risques étaient énormes. Il savait qu'elle ne le trairait pas, elle mettrait tout en place pour l'innocenter, et innocenter Konoha. Cela pourrait changer le cours des choses et mettre fin à cette aberrante guerre. Mais cela pourrait être au contraire, le théâtre d'un fiasco total. Temari était une personne respectée et populaire, elle leurs ferait entendre raison. La blonde, sentit le malaise de Shikamaru. Elle aussi commençait à penser à ses scénarios plus ou moins plausible de son retour. Comment allaient-ils réagir ?

« Et il y a le problème de tes blessures. Je ne souhaiterais pas qu'il t'arrive de nouveau ce genre de mésaventures. Mais ce sont les tiens, je ne peux pas t'empêcher de rejoindre tes compagnons d'arme. »

Temari acquiesça. Le cœur sur le point d'exploser, elle se rapprocha de Shikamaru et lui fit comprendre qu'elle voulait une embrassade. Shikamaru ouvrit ses bras, souriant. La blonde s'y installa confortablement, et serra chaleureusement l'étreinte du Ninja. Avant son départ Shikamaru lui remit son bandeau frontal, que Sakura avait prit soin de retirer dès qu'elle avait vu Temari. Il lui indiqua aussi quelle direction prendre. Elle le remercia, puis prit place vers la sortie.

« Prend soin de toi, bonne chance. »

Temari se retourna une dernière fois, et quitta la tente. Shikamaru sentit un vide immense tout au font de lui. Vide accompagné d'un terrible pressentiment. Se reverraient-ils un jour ?

Bonjour ou Bonoir, camarade ! Premier chapitre clot. Pour information Shirogane est le nom de famille de personnages ayant fait une appartition dans un des nombreux jeux Naruto. Donc il n'est pas trop crée par moi. Mis à part ça le reste c'est l'histoire originale de Maitre Masashi Kishimoto. Voilà voilà...

A bientôt pour de nouvelles aventures dans le second chapitre ! Bisous, bisous

Ah ! Et n'oubliez pas de laisser un petit commentaire si vous avez des questions, si ça vu à plus ou non ! A vos claviers !