Galipettes dans les bois

On roule en direction de la forêt nationale Angeles, Jasper conduit, Alice à côté de lui, Bella et moi-même nous sommes à l'arrière. Elle m'embrasse dans le cou pendant que j'essaye de rester stoïque, exercice qui est naturel pour nous sauf dans ce cas-là. J'ai l'impression de bruler beaucoup d'énergie pour ne pas posséder ma femme ici et tout de suite.

—On arrive, dit Alice, alors que la voiture s'immobilise. Damon a été cool de nous prêter sa voiture, en tout cas c'est moi qui conduit au retour.

—On chasse ensemble, demande Jasper.

—Je crois qu'on va plutôt chasser par couple, lui dit Alice.

Je prends ma femme par la main et nous partons en courant loin d'eux, vers l'inconnue. Elle s'immobile et je m'arrête à sa hauteur. Immobile on se regarde l'un l'autre, je la regarde au fond des yeux, mais ses pupilles restent immobiles. Quant où à coup : fait moi l'amour.

Comment résister ? J'avais du mal à résister à Bella, mais quand j'entends ces pensées je suis transporté de bonheur. Je déchiquette ses vêtements avec mes dents laissant apparaitre son corps parfait, je l'attrape par la gorge et la colle contre la falaise, je sors la verge et la pénètre violemment. Notre coït est bref, mais intense, cela permet de faire tomber la pression.

—Et si tu te déshabillais comme moi.

Elle attrape mes vêtements et les déchire.

—Mais ...

—Edward as-tu vu dans quel état tu as mis les miens ? Va chasser pour moi.

J'acquisse d'un signe de tête et je me mets à courir. Je n'avais jamais couru nu, le vent chaud couvrant mon corps était si bon si doux. Je croise un loup solitaire, mais je sais que cela ne plairait pas à ma belle. Un ours serait bien, mais trop volumineux, j'attraperais donc un daim. C'est un herbivore, cela à moins de goût, mais cela devrait faire l'affaire.

—Ma belle, j'ai trouvé un joli daim, cela te plait-il ?

—Bien sûr, je ne suis pas certaine que cela suffisse, mais c'est un bon début.

—j'en ai attaché trois autres à l'arbre.

—Très bien alors approche-toi de moi, mets toi à genoux et assois-toi sur tes talons. Entaille sa carotide et commence à boire.

Je commence à boire l'animal assommé et je sens sa main sur ma verge montant et descendant doucement. Elle veut diriger et je ne l'empêcherais pas, je ferais tout ce qu'elle me demandera.

—Stop arrête de boire. Laisse couler du sang sur ton torse.

Le sang coule maintenant sur mon torse, entre mes seins sur mon ventre, sur ma verge et enfin dans la bouche de ma femme qui a pris en bouche mon sexe. De temps à autre elle la sort pour boire le sang qui s'écoule. Je reprends le cou de la bête dans ma bouche pour sucer sa force vital. Je sens la bête rendre son dernier souffle au même instant je jouis et éjecte mon sperme avec force dans la bouche de la femme que j'aime le plus. Cette jouissance me donne envie de crier, mais le son est étouffé par le daim. Bella s'arrête et viens m'embrasser goulument me faisant partager ma propre semence. J'aime ce goût, nos bouches sont soudées l'une contre l'autre, mais cela n'empêche pas de faire perler de nos lèvres une substance teintée de rouge.

Bella se laisse tomber sur le dos, je reste immobile attendant ces ordres. Ceux-ci arrivent rapidement, mais en silence. Elle plie les genoux, sépare ces deux pieds, écarte les genoux le plus possible. Ses mains descendent le long de son corps parfait, arrive vers son sexe, écarte ses lèvres et commence à se caresser. Je tente une approche, mais me dit non de la main, elle montre alors les crocs. Je vais chercher un des daims, l'assomme et le donne à ma femme. Elle commence à boire, tout en continuant à se caresser, je l'admire. Puis d'un geste de la main qui est dans son entrejambe elle m'invite à la remplacer. Je me positionne entre ses jambes et doucement je commence à lécher son clito, je sais qu'elle aime. J'écris avec ma langue une phrase « Je te veux à genoux ».

—Si tu le mérites, me dit-elle.

Il faut que je me surpasse, je lèche passionnément son clito. J'entre ma langue dans sa fente, mais je continue à caresser son bouton avec mes doigts. Je souffle dans son vagin, elle se cabre. Mais j'aimerais l'entendre gémir, j'aime ça, ça me motive encore plus. Je remonte vers son clito pour lui écrire « lâche-toi, oublies qui est dans la forêt » et j'enfonce deux doigts. Elle a compris mon message, je l'entends gémir, doucement au début, mais mes vas et vient l'incite à continuer. Je sens un liquide chaud tomber sur ma joue puis sur son sexe, c'est le sang du daim. Le mélange de ses sécrétions et du sang est sublime. Ma langue est toujours sur le clito, ma main droite à maintenant quatre doigts dans son intimité. Je rentre maintenant un doigt dans son autre orifice, elle arrête de gémir pour commencer à crier. Cela me motive pour en mettre deux, j'essaye de coordonner mes mains pour qu'elle la pénètre en même temps et de plus en plus vite. Ma bouche ne suce plus son clito, mais l'aspire et le mordille.

—Oui ... je viens ... je viens ... attend ... pas tout de suite ... attend ... attend ... oui ... oui ... maintenant ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.

J'appuis fortement mon pouce sur son clito, je sens se contracter son vagin et son petit trou sur mes doigts. Elle commence à se calmer, j'enlève mes mains et je reviens vers sa bouche pour l'embrasser tendrement.

—As-tu soif, ma belle ?

—Oui.

Je prends les deux daims, je lui en donne un et j'en garde un pour moi. Nous sommes assis en tailleur l'un en face de l'autre. Une fois nos victimes vidées de leur sang, je m'allonge contre Bella, son dos contre ma poitrine, ma bouche dans sur sa nuque.

—Alors, ma beauté suis-je méritant ?

—Comme toujours, mais il va falloir remettre cela pour plus tard.

—Pourquoi ?

—Car on a de la visite.