Titre: Cap ou pas cap

Sous-titre: Prologue

Rating: K+

Disclaimer: Hetalia Axis Power n'appartient qu'à Hidekaz Himaruya.

Note de l'auteur: Bonjour à tous, ceci est ma première fanfiction posté. J'espère que ce prologue vous donnera envie de connaître la suite.


Dans une fin de journée pluvieuse (comme souvent en Angleterre), dans un manoir à l'écart de la ville vivait Arthur Kirkland, soit l'Angleterre. Il était comme très souvent en train de préparer un de ses nouveaux plans de vengeance. Cette fois il visait Alfred F Jones, l'Amérique. Ces derniers jours l'américain venait de fêter une nouvelle fois son anniversaire d'indépendance et ça l'Anglais ne pouvait (toujours) pas le supporter. D'ailleurs en même temps qu'il préparait sa vengeance on pouvait l'entendre marmonnait des injures en anglais à l'égard de la jeune nation.

Il continua jusqu'à ce que tous les petits papiers où l'on voyait des écriteaux écrit en encre verte soient mis dans une boite noire où on ne voyait pas son contenu de l'extérieur. Il alla poser la boite sur une petite table basse et fit un sourire digne de sa période de pirate en pensant aux misères qu'aurait son ingrat d'(ex-) fils demain. Il partit dans une des pièces de l'étage de la maison toujours avec un rictus qui apparaissait sur son visage.

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Quelques heures plus tard au beau milieu de la nuit une ombre de forme humaine s'approcha de la boite et rajouta d'autres bouts de papier, on voyait ses cheveux roux/rouge qui dépassaient de sa capuche, il repartit d'un bon pas, satisfait de la nouvelle blague qu'il allait faire à l'encontre de son cher petit frère...


Le lendemain, dans les environs de midi et demi, Alfred vînt toquer à la porte de la maison du britannique. Celui-ci vint le recevoir, couvert de suit. Vu le manque d'intérêt que portais l'américain sur l'accoutrement de son ancien tuteur, ce dernier ne trouva même pas l'envie de lui expliquer qu'il y avait eu un problème dans la cuisine. D'ailleurs Alfred ne fut pas non plus surpris de trouver la Nation française au fourneau pour essayer de rattraper les échecs culinaires de l'anglais. Mais Angleterre puis voir sur le visage d'Amérique un certain soulagement et même sa mauvaise fois légendaire ne pouvait pas empêcher son cerveau de faire la conclusion qu'il ne voulait pas manger sa cuisine.

Alfred n'ayant pas remarqué le soulagement qui c'était inscrit sur son visage ne comprit pas pourquoi Arthur ce mit à insulter copieusement le français, bien qu'il avait depuis longtemps des doutes qu'en au fait qu'il fallait vraiment une raison à ces deux là pour se disputer. Mais il devait bien admettre que ça l'amusait bien de les voir s'assassiner sous ses yeux avec l'aide d'insulte culte entre eux deux, telles que le fameux « stupid frog » pour le côté anglais et « rosbif » pour le côté français.

Les laissant continuer leurs amabilités et après que Francis lui ai souhaité la bienvenue en coup de vent trop accaparé par son anglais, Alfred alla s'installer dans le salon. Il s'étonna de voir une étrange boite posée sur la table basse du salon, mais préféra ne pas s'avancer pour voir ce que c'était peur d'une vengeance de l'anglais, bien qu'il ne voyait pas ce qu'il aurait (encore) put faire. Arthur le rejoint assez vite en maugréant des choses obscures à propos de grenouille, d'escargot et d'indigestion à cause de la cuisine française. Alfred ne releva pas sentant un combat perdu d'avance en essayant de faire entendre raison à l'anglais (bah oui la mauvaise foi à ce niveau ça ne se soigne pas). Ayant attendu que le plus vieux finissent ces multiples affirmation, l'ex-colonie reprit gaiement en demandant des nouvelles de la famille royale sachant que l'anglais serait flatté. Ce dernier effectivement fut d'un coup de bien meilleure humeur et lui répondit même avec un léger sourire en parlant des progrès du jeune prince.

Alfred n'écouta que d'une oreille discrète, mais ne put s'empêcher de se faire la réflexions que son ex-tuteur faisait vraiment penser à un papa-gâteau comme ça . Il eut une pensée qu'effectivement lorsqu'il était jeune Arthur l'avait ensevelie de jouets, peluches et autres cadeaux en tous genres. Sans compter qu'il lui faisait faire n'importe quoi tant la nation anglaise était permissif. Il avait même réussie une fois à l'époque ou Angleterre était encore un pirate craint, à le faire céder pour qu'il puisse prendre la barre bien évidemment le bateau avait vite finie par revenir entre les bonnes mains anglaises vu que la jeune nation avait bien du mal à le faire aller au bon endroit

C'est en étant dans ces souvenirs qu'Alfred vu le français apportait l'entrée et leurs demandait de s'installer. Ils mangèrent dans un certain calme, du moins autant que ce dernier puisse être possible avec les trois nations, car entre un anglais et un français qui se faisaient des remarques plus absurdes les une que les autres et un américains qui riait très fort sans raisons apparentes en disant périodiquement qu'il était un héros...

Non, le calme ne pouvait exister dans le manoir anglais. (Sans conter sur le fait que quand ce n'était pas une "bataille" France/Angleterre cela partait en un Angleterre/Amérique).

C'est quand leur dessert respectif furent finis qu'Angleterre repensa à sa ''terrible'' vengeance et que ce crétin d'américain allait le regretter. Il commença à ricaner et il est connu de toutes les nations que quand Angleterre ricane un mauvais quart d'heure se prépare pour un ou plusieurs d'entre eux. Justement depuis qu'il refaisait son rire de mégalomane, la pièce avait perdu quelques degrés, Angleterre était entouré d'un halo sombre, France resta stoïque trop occupé à écouter son alarme interne qui disait « attention, l' Albion prévoit encore un mauvais coup! », et l'américain eu l'envie subite de retourner dans son cher pays, sentant que ça allait être sa fête se souvenant miraculeusement de tout ce qu'il avait fait ces derniers temps pour énerver son Dad... euh ex-tuteur (colonisateur même et pas ce qu'il avait faillit dire OUBLIAIENT) et que son anniversaire venait de passer et que connaissant le spécimen il n'avait toujours pas dû avaler la pilule.

Malheureusement pour Alfred (mais heureusement pour cette histoire), Arthur ne lui laissa pas le temps d'exploser la fenêtre et de prendre la fuite, il l'attrapa et lui dit d'une voix mielleuse « But America, do not leave so quickly. I've designed especially for you a new game, and you who love our latest news you can not leave now ... is not it ». Sentant ce qu'il allait arriver France dit qu'il allait faire les courses pour le dîner et qu'ils allaient les laisser jouer ensemble, pour leur rappeler le bon vieux temps... ça n'a pas marché. A peine avait-il finis sa phrase qu'Angleterre l'attrapa de sa main libre et lui dit d'une voix d'outre tombe « Dear France, you not invited, but now that you're here, you will stay with us, after all there at there not a saying in France that says ''Plus on est de fous plus on rit'' no? »

Là d'un coup France se gifla mentalement d'être venu squatter la demeure anglaise ce jour-là.


Volià, voilà... en espérant que cela vous ai plu! Si vous avez un commentaire à faire que cela soit négatif ou positif n'hésitaient pas, après tout je suis là pour m'améliorer donc tous est bon à prendre.

Pour ceux qui ont du mal avec l'anglais, ou alors que mes phrases ne sont pas clair voici la traduction:

But America, do not leave so quickly. I've designed especially for you a new game, and you who love our latest news you can not leave now ... is not it: Mais Amérique, ne part pas si vite. J'ai conçu spécialement pour toi un nouveau jeu, et toi qui adore les nouveautés tu ne peux pas partir maintenant... n'est ce pas.

Dear France, you not invited, but now that you're here, you will stay with us, after all there at there not a saying in France that says ''Plus on est de fous plus on rit'' no?: Cher France, tu n'étais pas invité, mais maintenant que tu es là, tu va rester avec nous, après tous n'y à t-il pas un dicton en France qui dit « Plus on est de fous plus on rit »non