DISCLAMER : Rien n'est de moi, tout est de JK.Rowling! Mais quand même, cette histoire ptêt un peu loufoque vient bien de mon piti cerveau (endommagé très certainement, mais bon...)!
Pour une fois je vais faire assez court, c'est-à-dire 10 chapitres... on ne se moque pas!
Donc j'en profite pour faire un GROS bisoux à Sam88 et Dr.Gribouille et Bidibou qui m'ont encouragée, ça fait super plaisir! J'espère que je ne vous décevrai pas (en tout cas je vais essayer, promis!). Je fais aussi une bise à tous les autres! - ainsi qu'à Sweetie et Susu... of course! -.
Susu au bout du clavier : je tiens à préciser que la phrase qui sert de titre vient de moi ! ha oui, il n'y a que moi qui puisse faire des trucs aussi beaux et poétiques ! Moi aussi je t'aime !
Endors-toi petit ange, dors pour ne plus jamais te réveiller:
Chapitre 1: La mort le temps d'une nuit:
«Avada kedavra!»
Harry vit avec horreur Cédric tomber, lentement. Sans un cri, sans un murmure, sans un souffle. Son visage se raidit pour l'éternité, dénué d'expression et de toute vie. Le Survivant se jeta sur le corps inanimé de son pseudo rival, dans l'espoir fou de le protéger si jamais il vivait encore. Mais mort, il était mort. Voldemort ne lui avait laissé aucune chance de s'en sortir ou simplement de se défendre. Ainsi, la vie de Cédric se trouvait effectivement anéantie, détruite injustement. Mais lui ne l'était pas forcément. Son esprit n'avait été qu'endormit, plongé dans un état proche du coma. Il allait bientôt se réveiller, dans un autre monde pour poursuivre la route dans laquelle sa mère l'avait engagée depuis sa naissance sur la Terre.
«Endors-toi petit homme, dors pour ne jamais te réveiller...»
Cette phrase se répercuta dans ses tympans pareille à une mélopée. Les mots ne s'arrêtaient plus, tournoyaient dans sa tête de manière lancinante. De toute façon, dans ce noir et ce froid, Cédric finirait bien par s'endormir. Déjà il sentait ses paupières lourdes, la fin définitive le consumait doucement. Mais si la vie peut être comparée à une journée, alors la mort peut l'être à une nuit. Et comme toute nuit, il y a toujours une aube annonçant un jour nouveau. Ainsi chaque statut, état ou modification ne dure pas dans cette perpétuelle mouvance.
Voldemort venait de mettre un terme à la condition d'Homme de Cédric, et celui-ci traversait à présent la phase de la première mort durant laquelle il s'était séparé de son enveloppe corporelle. Le soir, sous une pleine lune blafarde, l'ensorceleur d'esprit, l'Etikôn, avait emmené celui de Cédric avec des centaines d'autres tous encore endormis, vers le lieu où débuterait une variante de la Vie.
La mort, le néant, la séparation du corps et de l'esprit.
L'éveil, le froid, la renaissance.
Des reviews sont bien sûr les bienvenues! A vous de jouer! (ça fait pas un peu Yu-Gi-Oh, c'te phrase?), mais bon vous avez compris le sens, non?
