Pour toi qui n'avait de regard que pour nous tous,
Pour toi qui n'a de regard que pour les mots,
Le lien qui nous unissait était aussi fort que cela,
Le lien nous uni est peu a peu ronger par ces sentiments,
Toi qui avait un regard affichant la plus belle aura,
Toi qui a un regard n'ayant plus que monotonie,

L'horloge tourne, et toi tu continue encore,
Certains disent que la fenêtre de nos âmes sont nos yeux,
Tu voyais parfaitement la mienne,
Je voyais parfaitement la tienne,
Tu est aveugle a mon égard,
Je vois que ta fenêtre est fermé a tous,

Je tombe,
Tu ne te lève même pas,
Si tu continue, je te remplacerais par mes ailes,
Tu dois courir,
Car tout les gens que tu connais s'échappent à ton entourage,
Ils se mettent a ignorer ceux qui leur semble inutile,

Bientôt,
Celle que tu a sauver,
Celle qui t'a sauver en même temps,
Fera de même que tout les autres,

Mes oreilles ne se retournerons plus au son de ta voix,
Je redeviendrais ce que j'étais pour ne plus être triste,
Tu fera de même puisque nous sommes acrochées a la même corde,
Je m'hérisse déjà lorsque que tu est harassante et bruyante,
Mon regard deviens flammes bleus lorsque tu ne sais même plus ce qui ne va pas,

Mais,
Tu devrais encore le voir,
Puisque tu ne m'a pas encore perdue,
Je n'ai pas encore déployer mes ailes,
Mais tu ne t'est pas encore levée,
C'est lignes sont des abboiments tandis que je suis sur le point de mordre,
Se sont les derniers d'une longue série,

Dis-le moi,
Crie-le moi,
affirme-le moi,
confirme-le moi,
Prouve-le moi,
Que tu l'est,
Que tu me ratraperas peu importe,
Oû je tomberais,
Le moment ou je tombe,
Pourquoi je tombe,

Me sourira-tu comme les premières fois et comme toujours,
Ou tu vas continuer à déposer ton regard sur ces mots,

Vas-tu sourire pour moi et pour nous,
Ou sourire pour ce qui ne t'est pas réellement chère.

Pour toi qui ne comprend que les mots,
Pour toi qui doit réapprendre a comprendre le sens de nos émotions et des miennes,

Oû est celle qui me souriait,
Lorsque j'étais triste,
Lorsque la lueurs dans nos yeux faisait fusion,

Oû est celle qui me défendait,
Lorsque j'étais trop faible pour le faire,
Lorsque je devais affronter une armée me reniant,

Oû est celle qui me partageait,
Ses goûts et son avis,
Ses sentiments et ses faiblesses,

Oû est l'amie que j'ai connue,
Oû est celle qui m'aurait rattraper depuis une éternité,
Oû est celle qui aurais pus voir ma tristesse au premier cris de détresse,