Voici une petite fanfiction sur Harry. C'est ma première fanfiction que je publie si on oublie une autre publiée avec un autre compte dont j'ai complètement oublié le mont de passe, s'il vous plait soyez indulgents je sais que tout n'est pas parfait, j'essaye de faire le moins de fautes possibles mais certaines ont pu m'échapper (surtout des fautes de conjugaison).
Dans le prochain chapitre il y aura une partie en rapport avec les attentats que Paris vient de subir (je suis parisienne) mais en rapport avec l'histoire ( je prendrais des atentats commis au Royaume Uni en 1998 (je crois)
je vous laisse avec l'histoire et on se retrouve en bas
Harry Potter ratissait les feuilles devant le 4 Privet Drive lorsque soudain quelque chose attira son attention. Sous l'un des rosiers préférés de sa tante Pétunia un objet était posé. Jamais sa tante n'aurait toléré cela ! Lorsqu'il s'en approcha il remarqua que l'objet en question avait des cheveux. Il rentra alors précipitamment et dit à sa tante :
-il y a quelqu'un allongé dans un des rosier !
-chasse le !
-c'est une petite fille ! Et elle dort sous tes rosiers !
-espèce d'incapable
Pétunia Dursley sortit dans son jardin et se pencha vers le rosier que son neveu lui montra. Elle attrapa la fillette par le bras et la retourna face à elle quand soudain elle s'éloigna. La fillette inconsciente était couverte de sang. Elle se retourna alors et dit à Harry :
- Va chercher une couverture et ton cousin !
Harry obtempéra et revint peu après avec son cousin et la couverture. Pétunia enveloppa la fillette dans la couverture et avec l'aide de son fils la porta jusqu'au salon. Là, elle la soigna et attendit que son mari rentre pour agir. La fillette se réveilla au bout d'une heure de soins de Pétunia. Cette dernière essaya de la faire parler seulement la petite fille resta muette.
Lorsque Vernon Dursley entra dans la maison, il fut surpris que personne ne vienne l'accueillir. Il alla alors au salon où il trouva sa femme en compagnie d'une petite fille blonde comme le soleil. En s'approchant, il vit le regard effrayé de la petite et ses blessures. Sa femme lui expliqua alors la découverte d'Harry. Vernon demanda alors à sa femme :
-pourquoi ne l'as tu pas emmené à l'hôpital ?
-je ne savais pas quoi faire, je n'ai pas de voiture et une ambulance aurait attiré l'attention des voisins.
- au diable les voisins ! Il faut l'y emmener !
Il appela alors son fils et son neveu qui arrivèrent au salon assez rapidement.
-les garçons on va à l'hôpital ! Toi Harry si quoi que ce soit d'anormal se produit tu ne mangeras pas pendant deux semaines ! Compris ?
- oui oncle Vernon !
-bien ! Maintenant un dernier détail ! Si quelqu'un vous demande on vient de trouver la petite et on a regardé ses blessures puis on la emmenée à l'hôpital et vous allez faire semblant d'être tous les deux très bien traités d'accord Harry ?
-oui oncle Vernon !
-bien ! Pétunia je vais chercher la voiture ! Prépares un sac avec quelque tenues pour les garçons et prends des tenues à la taille du morveux et si tu trouves une ou deux tenues pour la petite prends les ! Prends aussi un ou deux jouets de Dudley ! Et prends à manger ! La nuit sera longue !
-d'accord ! Harry va préparer des sandwichs pour tout le monde et prends des bouteilles d'eau ! Dudley cherche un jouet pour toi et un pour Harry ! Il faut paraître normaux ! Qu'est ce que je raconte nous sommes normaux sauf lui mais ça on n'y peut rien !
Harry prépara trois sandwichs pour son oncle un pour sa tante et deux pour son cousin les emballa et les mis dans un sachet avec des bouteilles d'eau. Sa tante arriva inspecta le sachet et lui ordonna d'en faire trois autres ce que le garçon fit sans hésiter. Avec un peu de chance il aurait le droit d'en avoir un pour lui ou alors ils étaient pour son cousin mais cela l'importa peu et il se dépêcha. Il ramena le sachet dans lequel il avait rajouté les sandwichs supplémentaires à sa tante qui lui ordonna de le ramener dans la voiture. Vernon lui prit le sachet des mains et le mis dans le coffre avec les sacs de vêtements et de jouets que lui ramenèrent sa femme et son fils. Il leur dit alors de monter dans la voiture, Harry au milieu Dudley d'un côté et il installa ensuite la fillette de l'autre côté dans un siège pour enfant. Il ferma la maison et sa femme et lui montèrent dans la voiture. Il conduisit toute la famille aux urgences.
En arrivant, il expliqua la situation à un urgentistes qui prit en charge la fillette et leur demanda d'attendre dans la salle d'attente. Pétunia prit le sachet de sandwichs et en donna trois à son mari deux à Dudley deux à Harry et en prit deux pour elle. Lorsqu'ils eurent tous fini de manger, elle envoya les enfants jouer dans le coin jeux en leur rappelant d'être sage et gentils avec les autres. Harry prit des Lego est joua avec une petite fille dont la mère était malade alors que Dudley joua avec des voitures en compagnie de deux autres garçons.
Une infirmière vint voir la famille Dursley pour les informer que la petite fille n'avait pas été signalée comme disparue et que les blessures venaient de coup de ceinture et de bâtons. Elle leur expliqua alors que c'était certainement ses parents qui avaient fait ça ce qui horrifia les deux adultes. Elle alla ensuite parler aux garçons et leur demanda :
- les garçons, comment vous appelez vous ?
-je m'appelle Harry
-et moi Dudley
-d'accord, vous avez quel âge ?
-8 ans répondirent ils en cœur
- vous êtes jumeaux ?
- nan je suis le cousin de Dudley mes parents sont mort quand j'étais bébé. Répondit Harry
- je suis désolé trésor.
L'infirmière retourna à son travail et Pétunia mît les garçons en pyjama et les força à se coucher sur les bancs de la salle d'attente ce qui ne les dérangea pas car ils étaient tout deux très fatigués.
Le lendemain, Harry fut le premier à se réveiller et remarqua que quelqu'un avait déposé une couverture sur lui. Il se leva et remarqua que son oncle sa tante et son cousin dormaient encore. Il alla alors voir l'infirmière qui lui avait parlé la veille pour avoir des nouvelles de la petite fille. Elle le rassura sur l'état de santé de la fillette lui dit qu'il pourrait la voir avec un adulte. Harry retourna jouer en attendant que quelqu'un se réveille.
Vernon fut le suivant à se réveiller. Il vit que son neveu était déjà en train de jouer. Il alla voir l'infirmière pour lui demander des nouvelles de la petite et elle lui répondit :
-vous pouvez emmener votre neveu la voir comme ça vous pourrez le savoir par vous même. Votre neveu était impatient de la voir. D'ailleurs j'ai remarqué qu'il était très maigre même en sous-poids. Pouvez vous me l'expliquer ?
-euh ...
-quand j'ai appris que mon papa et ma maman n'étaient pas Vernon et Pétunia j'ai été très triste et en colère contre eux et je voulais plus manger ! Dit soudainement Harry qui avait écouté la conversation et qui ne voulait pas que son oncle ait des problèmes car cela lui retomberait dessus.
-tu l'as appris il y a combien de temps ? Demanda l'infirmière
- 1 mois
- d'accord. Vous pouvez aller voir la petite fille elle est dans la chambre 218
-d'accord merci ! Répondit Vernon
Quand ils furent loin de l'infirmière il remercia Harry qui ne s'y attendait pas et qui fut très surpris. Ils entrèrent dans la petite chambre d'hôpital où la fillette dormait paisiblement. Vernon prit une chaise et s'installa près du lit de la fillette et Harry fit de même de l'autre côté du lit.
La petite fille se réveilla au bout d'une heure et sursauta en apercevant Vernon assit près d'elle. Lorsqu'elle comprit qu'il ne lui voulait aucun mal elle s'installa plus confortablement dans le lit et le regarda. Vernon lui demanda comment elle allait pour la faire parler mais elle se contenta de hocher la tête. Lorsqu'il lui demanda son âge et son prénom elle se cacha sous les draps.
Une infirmière vint les informer que la petite avait besoin d'une opération pour remettre son bras en place et qu'ils devaient donc quitter la chambre pour que des internes puissent la préparer. Vernon prit donc la main de son neveu et l'emmena en salle d'attente. Là il retrouva son fils et sa femme qui se réveillaient avec beaucoup de difficultés. Il leur expliqua que la petite fille allait se faire opérer et Dudley eut une réaction qui étonna beaucoup Harry. Il dit :
-nous pourrions aller lui acheter un cadeau elle n'a aucun jouet !
- oui tu as raison, répondit Vernon, tu vas y aller avec ta mère et pendant ce temps je vais emmener Harry chercher quelques affaires à mon travail car je dois continuer à travailler mais avant cela nous allons tous prendre un petit déjeuner.
-oui bonne idée répondit Pétunia.
Toute la petite famille sortit de l'hôpital et alla dans un petit café pour manger et même Harry pût manger à sa faim. Ensuite Dudley et sa mère allèrent acheter le cadeau et Harry et Vernon allèrent au travail de ce dernier. Là Vernon récupéra ses dossiers et expliqua sa situation et prévint de son absence. Puis ils retournèrent à pied jusqu'au parking pour récupérer la voiture quand ils passèrent devant un magasin pour enfant et Vernon pût voir dans les yeux de son neveu l'émerveillement et l'envie. Il comprit que son neveu n'avait jamais pu rentrer dans un tel magasin et décida alors d'y entrer. Là il emmena Harry au rayon jouets et lui permit de choisir une peluche. L'arrivée de la petite fille lui avait permis de comprendre qu'un enfant ne méritait pas d'être maltraité et même si sa femme ne l'avait pas encore compris il se promit de le lui faire comprendre. Lorsqu'il sortit de ses pensées il remarqua que le petit le regardait étrangement. Il se mît à sa hauteur et lui demanda ce qui se passait. Le petit lui répondit :
- je ne suis pas Dudley tu le sais ?
-je sais Harry ! Mais quand cette petite fille est arrivée on s'est tous inquiétés et on lui fait des cadeaux alors qu'on ne la connaît pas alors que toi tu es notre neveu et on n'a jamais rien fait de tel pour toi. Et une personne n'a pas été gentille avec elle et ça me fait penser à tout ce qu'on t'a fait subir et je pense qu'il est temps que ça change. Et même si ta tante refuse de le faire moi je vais le faire. Alors choisi toi une peluche !
-merci Vernon ! Dit le petit garçon en se jetant dans les bras de son oncle
Vernon le serra fortement dans ses bras et l'emmena vers le rayon peluches. Là il vit un petit lion en peluche et la montra à son neveu. Il lui dit alors
-je n'ai pas beaucoup connu tes parents mais dans leur école il y avait 4 groupe et le leur était représenté par un lion je crois !
- je peux la prendre ?
-bien sûr Harry. Maintenant on va aller te trouver des vêtements !
- c'est vrai ?
-oui vient on y va !
Il l'emmena vers un autre rayon et lui choisi trois jeans un pantalon noir simple pour les occasions et lui pris une quinzaine de t-shirt quelques polos deux chemises (une noire une blanche) quatre pulls pour l'hiver qui arrivait à grands pas et lui pris également une tenue de sport des baskets des chaussures de sport et des chaussures de ville pour aller avec les chemises. Enfin il lui pris un maillot de bain pour les vacances d'automne qui arrivaient une serviette de plage rouge deux serviettes de toilettes une jaune et l'autre bleue il lui acheta également des draps pour son lit. Lorsqu'il passèrent a la caisse Harry faillit avoir une crise cardiaque en voyant le prix mais Vernon paya et Harry le remercia tant de fois que Vernon riait doucement devant sa réaction. Ensuite ils allèrent récupérer la voiture et rejoignirent Pétunia et Dudley.
Là, Pétunia leur annonça qu'elle avait acheté une peluche (un chat) et une robe pour leur petite inconnue. Vernon les emmena déjeuner dans un petit restaurant près de l'hôpital et il s'assit à côté de son neveu et en face de sa femme. Son fils était en face de Harry et s'amusait à lui donner des coups de pieds sous la table. Lorsque Vernon le remarqua il entra dans une colère noire et décida pour la première fois de sa vie de punir Dudley qui se mît à faire une crise que sa mère tenta de calmer sans succès. La serveuse arriva pour prendre la commande de toute cette petite famille. Pétunia choisit une salade, Vernon un steak, Dudley prit un hamburger et lorsqu'elle demanda à Harry il n'avait aucune idée de ce qu'il voulait manger alors Vernon lui conseilla un Fish and chips qui donnait envie au petit survivant. En attendant que les commandes arrivent, Vernon envoya les enfants jouer dans l'aire de jeux du restaurant. Il expliqua alors à sa femme :
- on a tous tout fait pour cette petite fille sans rien savoir d'elle et c'est très bien mais regardes notre comportement vis à vis de notre neveu ! On le connaît et on ne fait rien pour lui on le traite comme un monstre alors qu'il fait partie de notre famille !
-mais c'est un monstre ! Il n'est pas normal !
- mais qu'est ce que c'est que d'être normal ? Tu crois que c'est normal d'enfermer son neveu dans un placard sous l'escalier ? Qui te dis que cette petite n'est pas comme lui ?
-elle est trop mignonne pour être un monstre !
-mais regarde Harry il a l'air d'un ange et ta sœur c'était une petite fille très mignonne tu ne peux pas le nier !
-il ne ressemble en rien à ma sœur !
-il a les mêmes yeux qu'elle tu l'as dit toi même !
-c'est le portrait craché de ce batard qui servait de mari à ma sœur !
-réfléchis un peu à ce qui se serait passé si ça avait été nous qui étions morts !
-Dudley n'aurait pas été bien traité ! Tout le monde l'aurait ignoré parce qu'il aurait été différent d'eux !
-ta sœur n'aurait pas fait ça ! Les autres l'auraient fait mais pas elle. Elle l'aurait aimé autant qu'Harry et elle ne l'aurait jamais fait dormir dans un placard !
-tu n'en sais rien !
-si je le sais on est les seuls monstres dans cette histoire avec Dudley ! Il a perdu ses parents et nous tout ce qu'on a fait c'est le traiter comme un esclave
-on n'est pas des monstres !
-si ! Ce n'est qu'un enfant ! On ne sait même pas si il sera comme ses parents !
-si ses parents étaient des monstres il sera un monstre
- et tes parents à toi ils étaient normaux et ta sœur est bien ce que tu appelles un monstre ! Qui te dit que l'inverse n'est pas possible ?
-c'est un monstre !
-et si Dudley devient comme ta sœur tu arrêteras de l'aimer ?
-nan c'est mon fils et il ne sera pas comme elle !
-donc ton fils peut être un "monstre" mais tu continueras à l'aimer alors que ton neveu n'est même pas encore comme ça et tu ne peut pas l'aimer ? C'est toi le monstre !
Pétunia se mit à pleurer, elle savait que son mari avait raison mais c'était lui qui n'avait jamais voulut traiter Harry comme un membre de la famille. Lorsqu'elle le lui fit remarquer, il lui répondit qu'il avait fait une grave erreur ce qui acheva Pétunia qui reconnut ses erreurs.
Le repas arriva et les enfants revinrent. Lorsqu'ils eurent fini de manger, ils retournèrent à l'hôpital où ils virent des policiers en train de parler avec les médecins. Lorsqu'ils virent la petite famille, ils vinrent à leur rencontre et un policier prit la parole :
-la petite fille que vous avez trouvé n'a pas été déclarée dans le fichier des enfants disparus ce qui nous laisse penser que c'est ses parents qui la frappaient. Elle refuse de parler et semble apeurée dès que quelqu'un qu'elle ne connaît pas s'approche d'elle, c'est pour ça qu'on voudrait que vous alliez la voir pour tenter de connaître son prénom et son âge mais allez y les uns après les autres.
Vernon proposa à Harry d'y aller le premier et lui expliqua que pendant qu'il y serait il parlerait avec Pétunia et Dudley. Harry entra dans la chambre fit un sourire qui se voulait rassurant et s'installa sur une chaise à côté du lit et essaya d'engager la conversation :
-salut je m'appelles Harry et toi ?
La fillette le regarda mais ne répondit rien alors le petit garçon reprit :
-j'ai 8 ans ! Mon papa et maman sont morts dans un accident de voiture et c'est dans cet accident que j'ai eu cette cicatrice dit-il en relevant ses cheveux.
La fillette le regarda surprise et lui répondit timidement :
-j'ai aussi 8 ans.
Ce fut la seule information qu'Harry réussit à avoir et il ressortit de la chambre et alla vers son oncle et lui dit :
-elle a 8 ans mais c'est tout ce qu'elle a accepté de me dire
-c'est très bien Dudley vas-y et essaye d'avoir son prénom et ramènes lui son cadeau répondit Vernon
-d'accord papa répondit le blondinet
-Harry nous devons parler ! Dit soudainement Vernon
- je suppose que tu vas vouloir que je te rendes tout ce que tu m'as acheté une fois qu'on sera de retour à la maison et que c'était juste pour paraître normaux à l'hôpital ne t'inquiètes pas je te rendrais tout dit Harry déçu
-HARRY ! Dit Vernon choqué.
-Harry, repris doucement sa tante, ton oncle m'a fait comprendre que ce n'est pas toi le monstre mais moi. Aussi nous en avons parlé avec Dudley et je voudrais que tu sache que je suis vraiment désolée de tout ce que je t'ai fait vivre par pur jalousie de ta maman ! J'espère que tu sauras me pardonner dit Pétunia en pleurant
Alors, Harry eu un geste qui surpris tout le monde, il serra sa tante dans ses bras et lui dit qu'il lui avait déjà pardonné.
Ce câlin auquel c'était joint Vernon fut interrompu par l'arrivée de Dudley tout content. Il cria :
-papa papa ! Elle s'appelle Madison !
-c'est génial trésor dit Vernon en prenant son fils dans ses bras, qu'as-tu tu appris de plus ?
- Elle a 8 ans, elle aime les lions et elle a peur des serpents et elle m'a dit que son papa n'arrêtait pas de parler de quelqu'un qui est son maître et qui est mort et elle dit que cette personne lui fait très peur parce que il était très méchant et elle pense qu'il n'est peut être pas mort mais son papa fait tout pour qu'elle admire cet homme et elle elle ne veut pas et c'est pour ça qu'il la frappe et elle dit aussi que son papa et sa maman ne l'aiment pas parce qu'elle n'est pas normale et pas comme son frère et aussi parce que c'est une fille
-mais c'est horrible s'exclama Pétunia
-Madame, l'interrompus un des policiers, cette jeune fille doit habiter dans votre quartier elle ne peut pas venir de bien loin vu l'état dans lequel elle était l'avez vous déjà vu ?
-non jamais c'est bien là le problème et pourtant je vais au parc tous les jours et je passe beaucoup de temps dehors
-bon il faut que nous sachions son adresse
-je peux y aller si vous voulez, proposa Harry,
-tu peux essayer
-et si je prends mon lion en peluche peut être qu'elle aura moins peur ?
- bonne idée Harry, répondit Vernon, je vais la chercher dans la voiture
-d'accord
Cinq minutes plus tard Vernon revint avec la peluche de son neveu qui la prit et partit dans la chambre de la fillette. Là, il s'approcha du lit de la petite Madison et lui dit :
- salut, je suis Harry
-je sais tu es venu juste avant
-oui c'est vrai, regarde ma peluche, Dudley, mon cousin, m'a dit que tu aimais les lions, tu veux la garder avec toi ?
-nan c'est ta peluche
-ça ne me dérange pas de te la donner !
-tu es sur ?
-oui tiens !
Harry pût voir l'émerveillement dans les yeux de Madison et se rendit compte qu'elle non plus n'avais pas eu une enfance facile.
-écoute il y a des messieurs qui cherchent tes parents pour les punir mais ils ont besoin de savoir a quel endroit tu habites
-je ne sais pas c'est une grande maison toute sombre et mon père dit que c'est le manoir de la famille Malfoy et qu'il faut en être fier.
-mais comment est tu venue jusqu'à chez nous ?
-je ne sais pas...
Alors votre avis ?
Est ce que quelqu'un avait deviné qu'il s'agissait d'une Malfoy ? Selon vous quels seront les changements que Madison va apporter dans la famille Dursley ? Est ce que l'hisoire vous plait ? Je ne sais pas encore quand je posterai la suite mais j'espère bientôt
bonne soirée
