Blabla de l'auteuze :
Coucou ! :D Me revoilà avec une nouvelle fic, pas si nouvelle que ça puisque je l'ai écrite il y a fort fort longtemps, avant même de créer mon compte. Je l'avais oubliée jusqu'à tomber dessus par hasard et... bah j'ai pas voulu la laisser végéter inutilement sur mon disque dur ou la supprimer - nan, j'aurais pas pu ! Donc voilà ! À la base, c'était un OS - euh, un one-shot de 14 800 mots siouplé ! - mais je l'ai coupé en 6 chapitres pour maintenir le suspense (et mendier mes reviews à chaque chapitre ^^' ).
Donc cette fic. Et bien, quand il y a très très longtemps, je lisais des fics HP avec des 'pairings non-canoniques' (yaoi ou non), j'étais toujours en manque de scènes d'annonce. Mais si, vous savez, quand le couple tordu dit à ses amis/famille :
"Bonjour, voici cette personne que vous haïssez profondément, moi aussi avant mais maintenant je l'aime à en crever et je vais l'épouser et/ou porte son enfant (euh... assez déroutant en cas de yaoi -'). Si vous êtes pas contents, faites avec : on s'aime, on se roule des pelles en public et on vous emmerde !"
Bref, ces scène sublimes et poétiques se faisaient trop rares à mon goût, alors sur un coup de tête, j'ai pondu cette chose qui leur est entièrement dédiée. J'ai exagéré un peu certains caractères, donc ça frôle la parodie mais y a que deux choix de genre à mettre ! T_T
Sinon, on se serait retrouvé avec une fic 'Romance / Family / Friendship / Mystery / Humor / Parody' ^^
Voilà, je crois qu'on en a fini avec l'histoire (fascinante il faut le dire) de cette 'petite fic'.
Disclaimer : Le monde d'HP appartient à celle qui a tué Remus, Sirius, Severus et Fred... :'(
Dédicace : À WakeUpMe qui m'a convaincue de poster cette fic (en me traitant de sadique, mais au moins ça marche !) et dont les reviews et MP sont un pur bonheur !
Bonne lecture ! ;)
/!\ Important ! Lisez la note de fin, il y a un petit jeu avec un Drabble/OS à gagner ! ;)
L'art et la manière d'officialiser son couple
Chapitre 1
Harry était fou de joie. Il ne s'était pas senti aussi libéré depuis qu'il avait mis KO le plus puissant tordu de l'Histoire du monde magique. Donc, en ce samedi matin ensoleillé, notre Survivant national se promenait gaiement – et non pas gayment ! Enfin… presque pas – dans les couloirs de Poudlard, sautillant presque. La raison de cet élan subit de guimauve comportementale ? Il avait enfin accepté d'officialiser leur relation. Lui, cet homme dont il partageait la vie – même si au début, il ne partageait que son lit… et sa salle de bains, son canapé, quelques salles de classes vides, les arbres de la forêt interdite, et même… ou là, mais je m'éloigne, revenons à nos hippogriffes. Donc cet homme - et quel homme ! - venait enfin de lui donner son accord pour qu'il en parle à ses amis. Et avec sa remise de diplôme dans à peine une semaine, tout le monde magique serait bientôt au courant !
Mais si pressé qu'il était – il faut dire qu'il courrait maintenant comme un dératé – il ne vit pas la silhouette qui avançait à la même vitesse dans sa direction. Et il se cogna violemment contre ce qui s'avéra être le divin corps de Draco Malfoy. Il fut d'ailleurs surpris de n'entendre qu'un vague « Dégage Potter, je suis pressé ! » avant que l'autre ne s'éloigne sans ralentir le pas. Très étrange. D'habitude, Malfoy ne manquerait jamais une si belle occasion de lui montrer à quel point il ne l'aimait pas. Et à voir le rose qu'Harry aperçut brièvement sur les joues du jeune homme, il se demanda s'il n'avait pas le même type de rendez-vous que lui-même un peu plus tôt. Si c'était le cas, il plaignait sincèrement la pauvre âme sur qui le blond avait jeté son dévolu. Reprenant sa course effrénée, il arriva rapidement devant le portrait de la Grosse Dame, derrière lequel des sanglots se faisaient entendre. Il entra immédiatement dans sa salle commune et découvrit avec stupeur qui pleurait ainsi…
Ron était anxieux. Il allait enfin lui faire sa demande. Mais il avait beau savoir par cœur ce qu'il avait à dire et à faire, cela ne l'empêchait pas de douter. Car malgré toutes les preuves d'amour qu'ils s'étaient déjà donné, il craignait un refus, voire des moqueries et même la mise en péril de leur couple…
Non, c'est stupide !, se ressaisit-il. Jamais ils ne se sépareraient pour ça, ils s'aimaient trop. Et puis il fallait qu'il tente le coup, il en avait tellement envie qu'il s'en voudrait toute sa vie s'il ne se lançait pas maintenant. En effet, cela faisait aujourd'hui quatre mois exactement qu'ils s'étaient avoué leurs sentiments, et plus de cinq qu'ils étaient ensemble. Il était à Gryffondor, merde, alors qu'il fonce ! Il aurait tout le temps de se torturer l'esprit après. Arrivé face au mur devant lequel – ou plutôt contre lequel – ils avaient échangé leur premier baiser, notre rouquin préféré frémit d'anticipation. Il passa et repassa trois fois de suite, prit son courage à deux mains et poussa la porte qui venait d'apparaitre…
« Hermione ? », s'écria Harry, interloqué, avant de s'asseoir auprès de sa meilleure amie et de passer son bras autour de ses épaules. « Qu'est-ce qui t'arrive ? »
Séchant immédiatement ses larmes avec sa manche, la jeune fille tenta de reprendre contenance, sans trop de succès. Elle eut un sourire forcé qui ne convainquit en rien son ami et tenta de le rassurer :
« Rien, ne t'en fais pas. Je vais bie… »
« Arrête Mione », la coupa Harry. « Je vois bien que c'est pas rien ! »
« Je peux rien te dire pour l'instant. C'est juste… la fatigue et… j'ai quelques soucis… personnels. », précisa-t-elle en voyant que son ami ne voulait pas lâcher le morceau.
« Si tu le dis… »
« Bon, où est Ron ? » On notera la subtilité du changement de sujet. Bravo Hermione !
« Je ne sais pas, je ne l'ai pas vu depuis le déjeuner. »
« Ah bon ? C'est bizarre, il m'a dit qu'il jouerait au Quidditch avec toi. D'ailleurs, où étais-tu ? »
« Euh », répondit Harry avec philosophie. « Ben ça tombe bien que tu demandes parce que je voulais vous parler d'un truc, mais…
« Hey, salut la compagnie ! », lança joyeusement Ron, qu'aucun des deux n'avait entendu rentrer dans leur salle commune – pourtant déserte. « Hermione, qu'est-ce qui se passe ? », s'écria-t-il soudain en voyant ses yeux rougis.
« Rien de grave, mais tu tombes bien, Ronald. Harry voulait nous annoncer quelque chose… »
« Ouais, enfin je suis pas sûr que vous soyez prêts. En fait, je suis… je suis en couple et… »
« Avec ma sœur ? »
« Hein ? Non ! Mais… c'est pas super facile à annoncer… »
Harry cherchait le meilleur moyen pour leur dire. Il scruta la pièce, comme si la solution était écrite sur les murs. Soudain, un détail le frappa.
« Ron », interpela Harry, « Pourquoi ta cravate ressemble à celle de Serpentard ? »
« Quoi ? », s'affola le roux en constatant qu'il portait effectivement une cravate vert et argent – pas très Gryffondor comme look ! « Ah merde, il doit avoir gardé la mienne ! »
« Il ? », répétèrent d'une même voix ses deux meilleurs amis. Apparemment, ils n'étaient pas les seuls à faire des cachotteries…
« Je… euh… j'allais vous en parler », bafouilla le dernier fils des Weasley. « Et arrêtez de me regarder comme ça, je vous rappelle que vous aussi, vous avez vos secrets ! »
Personne ne trouva rien à redire à la réplique pour le moins pertinente du jeune homme, et un silence - aussi léger qu'une armée de centaures s'initiant au trampoline - s'installa. Cependant, la chaleur suffocante de fin juin les empêcha de continuer leur roi du silence si constructif…
« Vous savez quoi ? », fit soudain Harry qui venait d'avoir une illumination. « Plutôt que de vous dire avec qui je suis, je vais vous le montrer ! »
Sur ces douces paroles, ils sortirent faire un tour dans le château. Alors qu'ils se promenaient dans les cachots – par pur hasard, dirons-nous, où peut-être à cause de leur faible température – ils furent interpellés par une voix grave et trainante, juste derrière eux. Une voix qui avait pour habitude d'enlever des points à leur maison. Une voix qui avait aussi le don de provoquer des frissons chez l'un d'entre eux. Une voix enfin qui, en cet instant, leur disait, non sans ironie : « Mais quel dommage, pour des septième année, de ne pas profiter de leurs derniers jours parmi nous dans le parc avec leurs camarades…
« Vous savez professeur », répondit Harry avec provocation, « je ne crois pas avoir besoin d'aller au parc pour profiter… »
Et là, sous les yeux médusés de ses deux amis, il se retourna, enroula ses bras autour du cou de son cher professeur de potions, et l'embrassa à pleine bouche Il avait apparemment entrepris de lui dévorer les lèvres avec bien plus d'application que pour ses cours.
Ce qui surprit le plus Hermione fut sans doute le fait que Snape réponde aux baisers et aux caresses avec autant de fougue et de passion que son élève. Il alla même jusqu'à placer ses mains sur les hanches de ce-dernier, pressant l'un contre l'autre leurs deux corps échauffés.
Ce qui surprit le plus Ron fut sans doute le fait que Snape soit un être sexué Chose qu'il ne pouvait nier vu les obscénités qu'Harry lui demandait – sans aucune discrétion – de lui faire avec son « énorme baguette magique » (dixit Ryry).
Les deux témoins de la scène eurent la bonne idée de se racler bruyamment la gorge lorsque leur ami commença à déboutonner la robe du professeur. Ce qui eut pour effet de faire revenir ces deux-là sur Terre, le souffle haletant et les joues pivoine. Oui, même Snape ! D'ailleurs, ce dernier choisit de s'éclipser, non sans avoir murmuré « À ce soir » à l'oreille de son jeune amant.
« Ben quoi ? », commença-t-il en arborant un immense sourire. « Vous savez bien que j'ai toujours préféré les actes aux paroles, non ? C'est beaucoup plus explicite ! »
« Je veux bien te croire ! », s'empressa de répondre Hermione. « J'ai juste une question », ajouta-t-elle après un temps. Te rend-il heureux Harry ? »
« Oh que oui ! Je suis comblé… dans tous les domaines. D'ailleurs si tu veux savoir, au lit il est très… »
« Je ne veux pas savoir ! », le coupa-t-elle à nouveau. « Tant que tu es heureux, c'est tout ce qui importe. »
« Oh merci Mione », se réjouit-il en la prenant dans ses bras. « Et toi Ron ? », ajouta-t-il. « Ça te dérange pas ? »
« Bien sûr que non ! », s'emporta-t-il, même s'il souriait lui aussi. « On peut pas vraiment dire que je m'y attendais, mais après, c'est comme Hermione a dit. Et puis je suis rassuré, si un couple comme le tien est accepté aussi facilement, le mien passera quasiment inaperçu ! »
Ron lui fit un clin d'œil.
Soudain, sans prévenir, Hermione plaqua les deux mains sur sa bouche et se mit à foncer dans les couloirs. Les deux Gryffondor eurent beaucoup de mal à la suivre, il faut dire aussi qu'elle courrait plus vite ce cher Severus poursuivi par une bouteille de shampoing – ce qui, soit dit en passant, était tout à fait impossible car, Harry pouvait en témoigner, les cheveux de notre professeur préféré étaient tout simplement soyeux, loin des vapeurs de potions. Mais arrêtons de nous éloigner du sujet. Donc, Hermione courrait toujours aussi vite et ses amis n'arrivaient pas à la rattraper – et encore moins à comprendre ce qui se passait. Enfin, jusqu'à ce qu'elle ne s'engouffre brusquement dans une pièce qui s'avéra être les toilettes des filles, et que les deux garçons n'entendent le doux bruit du petit-déjeuner de la jeune fille se précipiter dans une cuvette – bref, trop la classe ! Ils s'empressèrent d'entrer, Ron lui maintenant les cheveux en arrière tandis qu'Harry faisait apparaître un verre d'eau fraîche, qu'elle vida d'une traite lorsqu'elle eut terminé.
« Hermione est-ce que ça va ? », commença le roux.
« Oui oui, ce n'est rien », répondit-elle précipitamment.
« Tu es sûre ? », ajouta le brun. « Tu veux pas qu'on aille te chercher quelque chose à manger ? »
« Non, inutile… »
« Ça suffit », s'emporta Ron. « Non mais tu t'es vue ? Même Remus après une pleine lune a meilleure mine que toi. Alors maintenant, on t'emmène aux cuisines et tu nous suis sans faire d'histoires…»
Trop faible pour lutter, elle obtempéra, Harry la soutenant pour marcher. Dire qu'ils étaient sidérés par les mots de leur ami était bien en-dessous de la vérité. Harry avait le pressentiment que le propriétaire de la cravate que portait Ron n'était pas étranger à ce changement de caractère. Quoi qu'il en soit, ils se retrouvèrent tous les trois attablés, la vision emplie de plats succulents que les elfes leur servaient. Evidemment, Hermione voulut se servir elle-même, protestant contre cet « esclavage inqualifiable » auquel elle ne voulait pas participer, mais les petites créatures ne lui en laissèrent pas l'occasion : elle leur avait tellement rebattu les oreilles avec sa S.A.L.E qu'ils avaient fini par l'apprécier, et la voir si pâle les inquiétait eux aussi. Elle finit donc par céder et commença à manger, sous les yeux éberlués de ses amis.
« Dis-moi Hermione, s'inquiéta le rouquin, c'est normal que tu trempes cette fraise dans du beurre de cacahuète ? »
« Euh », répliqua-t-elle en rosissant avant d'avaler sa bouchée. « Oui, c'est normal… »
Aucun des deux n'ajouta de commentaire, et ils quittèrent les lieux dès qu'elle eut fini la coupe de fraises (et le pot de beurre de cacahuète, par la même occasion). Des tas de questions se bousculaient dans leurs têtes quand ils passèrent soudain devant un placard au contenu pour le moins bruyant… et soupirant… gémissant aussi. Hermione reconnut immédiatement les voix et, son énergie retrouvée, elle tenta – vainement, mais reconnaissons tout de même l'effort – de pousser son rouquin de meilleur ami loin de la source du bruit.
« Ronald, s'il-te-plait ! », supplia-t-elle. « Ne reste pas là, tu vas le regretter. »
« Je suis sûr que je connais cette voix », pensa-t-il à voix haute, ayant à peine remarqué les efforts de la brune.
« Oh oui ! », renchérit une voix féminine depuis le placard. « Plus fort, mon cœur… »
« Hum », répondit une autre voix, d'homme cette fois, et tout aussi familière.
« Ron ! Maintenant, on s'en va. Harry, aide-moi, fais quelque chose ! »
Hélas pour elle, Harry était dans le même état d'apathie que son meilleur ami, et tous deux avaient les yeux écarquillés. Et là, un prénom fut crié. Un prénom que Ron n'aurait jamais voulu entendre dans un contexte pareil. Et pour cause, c'était celui de sa sœur !
« JE-VAIS-LE-TUER ! » hurla enfin le rouquin. « Qui que ce soit, il est MORT ! Comment il ose faire ça à ma Ginny ? Il lui a pris son innocence dans un placard ! »
« Oh rassure-toi », lança le boulet à lunettes (oui "boulet", absolument ! Désolée pour les fans mais il faut rétablir la vérité). « Son innocence n'est plus qu'un souvenir depuis déjà un bon moment. »
« Quoi ? », s'égosilla le roux, tournant ses yeux bleus emplis de rage vers son soi-disant ami. « Ne me dis pas que tu as… que vous avez… »
« Stop ! Ronald, ça ne te regarde pas ! Nous on l'a bien fait et, à ce que je sache, ni Harry ni ta sœur ne nous a demandé de comptes. »
« Remuuuus ! », hurla Ginny depuis le placard.
La santé mentale de son frère était grandement en danger. D'ailleurs, il frappait contre la porte en essayant vainement de l'ouvrir.
« Ron, maintenant ce serait une bonne idée d'y aller. À moins que tu ne veuilles vraiment voir ce qu'ils sont en train de faire… »
Ledit Ronald s'empourpra violemment et se décida enfin à bouger. Il dévala couloirs et escaliers sans se rendre compte où il allait… Enfin, jusqu'à ce qu'il se retrouve en face de deux gorilles et d'un pékinois qui le dévisageaient d'un air mauvais.
« Oh, mais que vois-je ? », commença Pansy Parkinson de sa voix grinçante. « Un Weasley sur le territoire des Serpentard. Tu espères peut-être nous rejoindre », poursuivit-elle en avisant la cravate qu'il portait toujours. « Hélas pour toi, les traîtres à leur sang ne sont pas les bienvenus parmi nous.
« Ron, qu'est-ce que tu fous ? », s'exclama un Harry haletant qui venait de les rejoindre, accompagné d'une Hermione dans le même état.
« Génial, le Balafré et la Sang-de-Bourbe », grinça à nouveau Pansy.
« … À-la-fré ? », s'étonna Crabbe.
« … Boubourbe ! », renchérit Goyle.
« C'est moi où ils sont de plus en plus cons avec l'âge ? », remarqua Ron.
« C'est pas tes affaires, le bouseux ! Qu'est-ce que tu fous là, d'abord ? »
Ron allait lui sortir une réplique cinglante et colorée de sa création lorsqu'une voix cassante qu'il ne connaissait que trop bien intervint : « La ferme ! Et puis dégage de là, j'ai des choses à leur dire ! »
« Quoi ? », s'égosilla Pansy qui venait de comprendre que c'était à elle que Malfoy s'adressait ainsi. « Mais enfin Drakitchou, pourquoi me parles-tu comme ça alors que tu m'aimes tant ? Attends, tu dois être tout tendu, je vais te faire un massage… »
« Ne me touche pas », s'opposa le beau blond. « Et je t'ai demandé de t'en aller. »
Et là, ce fut le choc. Parce qu'en gigotant pour échapper aux griffes de cette sangsue, Draco avait fait tomber quelque chose de sa poche. Quelque chose qui n'aurait jamais dû se trouver dans la poche de Draco. Tout simplement parce que ce quelque chose n'appartenait pas à Draco. Harry et Hermione restèrent quelques instants interdits, fixant la cravate rouge et or qui gisait aux pieds de Malfoy comme s'il s'agissait de Rusard en collants de danse (avec le tutu rose, bien sûr !). Et tous furent brusquement frappés par le fait qu'en cet instant, Malfoy ne portait pas la moindre cravate verte…
Blabla n° 2 :
Alors ? Je sais, je suis une sadique de couper ici ^^ Mais si vous tuez l'auteure, JAMAIS vous n'aurez la suite ! :P Pour vous motiver, il y a... euh... un LEMON au chapitre 3 ! Voilà, maintenant que j'ai assuré ma survie, passons au plus important :
Les 2 secrets d'Hermione (et ouais, elle en a 2 ! Elle est gâtée, hein ?) ne seront dévoilés qu'au chapitre 4, mais j'ai déjà commencé à semer les indices ;) Aussi je vous propose un petit concours : le premier ou la première à trouver un des secrets gagne un drabble ou un OS (c'est moi qui décide !). Et si la même personne trouve les deux secrets, bah elle gagne les deux OS (la veinarde !). Bien sûr, le pairing est au choix, tant qu'il appartient à l'univers de Harry Potter, Glee, Queer as Folk, Twilight ou Vampire Diaries (tout simplement parce que ce sont les seuls que je maîtrise ^^' ). Le genre aussi (Crossover, Drama, Parody, Deathfic, Poetry, Romance, etc...) est libre.
J'attends vos reviews avec impatience et espère que ce petit concours vous aura motivé =D
À bientôt !
Dark Roz.
