Bien le bonsoir! Je mets ici une fanfiction qui fait partie d'un arbre à drabble sur le forum Sherlock dans lequel je suis inscrite,c'était ma première fanfiction,soyez donc indulgents,d'autre suivront plus tard.
« ...Dernier jours de pluie pour Londres... »
Sherlock se saisit de la télécommande et éteignit la télévision.
Bon sang, qu'il s'ennuyait,4 jours qu'il était dans cet endroit qu'il s'était mis à détester dés qu'il y avait mis les pieds. Il le détestait! Tout blanc, plein de microbes, aucune enquête à résoudre et plein de gens...Et dans ces gens présents, John.
John...Allongé, inconscient, plus pâle qu'un mort, sur ce lit d'hôpital.
Car oui, il était à l'hôpital...Sherlock s'était promis de ne pas y venir, que de toute façon, un comateux n'a pas besoin de compagnie! Mais il était quand même là, assis, à tenir la main de cet idiot pas fichu de se réveiller! Car oui, au bout d'une journée à essayer de le faire sortir de sa tête, il s'était résigné et il était revenu tout en se traitant mentalement de tout les noms.
Il traina une chaise jusqu'au bord du lit et s'y assit et tenant toujours la main de John, il posa son front sur le matelas.
« T'es vraiment un idiot... »murmura t-il à l'adresse de son ami.
Il ferma les yeux et se remémora les derniers jours.
Toutes ces bombes...Au moins maintenant, il savait de quoi Moriarty était fan.
Il se souvenait aussi du stress et de la trahison qu'il avait ressentit en croyant que John était Moriarty pour enfin découvrir qu'il était la nouvelle bombe humaine, et de sentir le stress augmenter d'un cran.
«- Je n'ai pas de cœur...
-Nous savons tout les 2 que c'est faux... »
Foutaises!
...Ou pas.
Il soupira et tourna la tête vers son ami... « Ami »? Il soupira de nouveau
Probablement.
Il était repartit dans son monologue intérieur quand il sentit le main qu'il tenait bouger, il se releva d'un mouvement et pencha la tête sur le côté, tout en regardant le visage pâle en face de lui.
« John? »
Des paupières qui tremblent pendant encore quelques secondes et enfin, des yeux qui s'ouvrent. Sherlock retient de justesse un soupir et un sourire de soulagement et, à la place, cria un tonitruant; «- Espèce d'abruti! » Avant se de lever et de parcourir la pièce en long, en large et en travers.
John sursauta, encore dans le gaz, ses yeux papillonnèrent un instant, puis fixèrent dernier parlait, ou plutôt monologuait vitesse fois mille, sans se rendre compte que John ne tiltait pas un seul mot, comprenant vaguement un charabia insensé, agrémenté de noms d 'oiseaux plus subtils les uns que les autres.
Après 5 minutes de babillage intense, le détective se tut et s'arrêta net, remarquant que John le fixait , les yeux encore un peu dans le fronca les sourcils, détourna les yeux et regarda par la fenêtre, devinant après quelques secondes l'énorme sourire que son coéquipier avait sur la figure.
« Ça va? » Fut la seule phrase que le consultant put sortir, regardant toujours par la fenêtre.
« -Je suis content... »Répondit John,la voix pâteuse et enrouée de ne pas avoir parlé pendant plusieurs jours.« ...que tu sois là. »
Les traits de Sherlock se dé soupir traversant finalement ses lèvres.
Il décida finalement de regarder John dans les yeux,ce dernier avait un doux sourire sur le visage.
« Bien,alors je suis content aussi. »
Et il lui rendit son sourire, revient s'assoir sur sa chaise, reprit la main de John et ralluma la télévision.
Sherlock n'oubliera probablement jamais l'instant où John avait sauté sur lui, au moment où il avait appuyé sur la gâchette de son arme, pour le jeter dans la piscine, pour qu'il évite de se blesser,pour qu'il évite de mourir.
Pour éviter de perdre un ami.
