Psychologie indéfini.
Relation : Kyô X Yuki , Shiguré X Ayamé , Tohru X Momiji.
Résumé : Le chat et la souris ne sont pas des êtres pouvant co-habitée, donc je ne dois pas t'aimer, même seulement t'apprécier. Il y a même un proverbe : « Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. » Alors laisse moi, et danse sans moi.
______________________________________________________________________________________________________
Chapitre 1 : Malheur
Kyô s'avança, et fit face à la dure vérité ... sa glace. Il vit ses cheveux oranges en batailles, ses prunelles rouges surprise et son pijama, immonde. Kyô leva les yeux au ciel et quitta sa chambre. Il se dirigea vers la salle de bain et apprécia une bonne douche brulante. Il se sécha, se coiffa, s'habilla et enfin quitta la salle de bain pour la laisser à son tendre cousin ... Yuki. Celui-ci le regarda intensément et lui fit remarquer :
- Gros minet, je n'avais jamais remarquer que tes cheveux se réverbéraient sur ta peau.
- La ferme sale Rat !
- C'est vrai que tu es tout rouge kyô-kun, fit remarquer Shiguré qui entra dans la salle de bain devançant le pauvre Yuki.
Kyô heureux que Yuki puisse être de nouveau en retard grâce à Shiguré, descendit et mangea en sifflotant son petit déjeuner que Tohru leur avait déjà préparer. Il prit son sac et ouvrit la porte, il entendit un cri strident, OH ! Shiguré avait encore épuisée l'eau chaude ! Pauvre Yuki ! (Niark... Niark)
Tout heureux Kyô s'en alla et arriva au lycée (attention) en avance ! Tout le monde le regarda incrédule, le jeune homme rayonnait de bohneur. Tout le monde sut alors quelque chose que tous ignorait : Kyô n'avait pas de rides ! Il n'avait pas les rides de " l'énervement " les symbolique rides de lions. Tout le monde voyait et faisaient éloge à la beauté envahissante du chat. Même les professeurs étaient tombés sous le charme, tout les professeurs, féminins comme masculins. Et le sourire de Kyô s'élargit quand le pauvre rat arriva en retard et reçu ... une heure de colle.
Mais comme la vie n'est pas merveilleuse, Kyô n'échappa pas à la règles.
Cour de Philosophie :
- Monsieur Soma Kyô, pourquoi souriez vous bêtement ?
Kyô sourit largement et pointa du doigts son cousin et dit d'un ton victorieux :
- Je me délecte du malheur de mon cher cousin.
Le professeur (qui soit dit en passant hyper fan de Yuki) frappa gentiment la tête de Kyô avec ses feuilles. Il marqua au tableau quelque chose. Personne ne vu quoi, le professeur le cachait tant bien que mal. Malheureusement, les premiers rang commençaient à voir, et ils s'explosaient de rire. Ils se tournaient vers Kyô en pouffant ce qui embêta le rouquin. Il les regarda méchamment et siffla entre ses dents :
- Qu'a t-il de si bidonnant ?
- Cela. répondit le professeur en laissant son "cher" élève lire son écrit.
« Ainsi donc l'élève arrogant se délecte du malheur des autres,
alors pendant une heure de colle partagé avec son pauvre cousin
il va nous écrire un merveilleux écrit sur
les malheurs. »
Kyô abandonna son sourire et se mis debout en plein classe. Il leva un index accusateur vers son professeur et hurla :
- VOUS FAITES CELA PARCE QUE VOUS ADOREZ CE SALE RAT !!! C'EST INJUSTE !!!
Le professeur mis une croix sur le tableau, et Kyô ne compris pas pourquoi. Cela l'énerva encore plus et il continua son monologue :
- ET VOUS VOUS EN FOUTEZ DE CE QUE JE PEUX DIRE ! VOUS ÊTES TROP OCCUPEZ A FAIRE DES CROIX RIDICULES !!!
- Ce n'est que tes heures de colles qui s'accumule, j'ai appris que Monsieur Yuki avait trois heures de colles, si je compte celle que je viens de vous donnez plus mes deux belles croix, comment déjà ? Ah oui ! Ridicules. Cela vous fait mon cher, trois heures de colles. Bonne chance !
Dring ! Dring !
Kyô sortit de la salle en trombe et hurla de colère dans le couloir. Il entendit juste son professeur s'adresser à Yuki, pour s'excuser qu'il doive supporter son cousin, avant de s'enfuir en courant, pour se cacher loin, au plus haut, sur le toit de chez Shiguré.
~XxX~
Kyô ne vint pas en court avant ces heures de colles. Grâce à son cher Hatori, Kyô n'en eu pas de nouvelles colles en plus, parce que le médecin avait appelé le lycée disant que le pauvre jeune homme était tombé malade. Pur invention, mais le médecin de la famille Soma savait que Kyô devait se reposer, et oublier, oublier qu'il s'était fait humilier une fois de plus, qu'on avait gâcher sa journée, et à cause de qui ? Ce sale rat !
P.O.V Kyô.
« Ainsi donc l'élève arrogant se délecte du malheur des autres, alors pendant une heure de colle partagé avec son pauvre cousin il va nous écrire un merveilleux écrit sur les malheurs. »
Le phrase lu m'était encore douloureuse. Pourquoi tout le monde était toujours là pour Lui et pas ... pour moi ? Je ne supportais plus l'idée d'aller au lycée, pourtant j'étais sur la route. J'avançais pas par pas vers cet idiot, ce bouffon, ce misérable, ce rat infecte ! J'en RAGEAIS !!!
J'étais à la porte de mon cour de Philo. Ce satané professeur c'était arrangé avec celui qui a donner la colle à ,celui qui porte mon sang dans ses veines et que je hais, pour pouvoir me mettre avec. J'ouvrais la porte. Je le vis. Détournais les yeux. M'assis. Pris une feuille. Un stylo. Et pris pour que des idées fuses. Alors je le regardais à nouveau. Il était couché sur la table, triste, mal à l'aise. Je ne le comprenais pas. Il semblait comme un loup en cage. J'arrêtais de le fixer et écris. Au bout de vingt minutes, je tendit mon papier à mon cousin. Il me regarda étrangement, je m'expliquai :
- J'ai besoin de ton avis sur la chose. Et en plus comme ça tu feras autre chose que dormir et me donner envie de m'assoupir moi aussi.
- Bien !
Le rat prit ma feuille et la lut, son regard était triste. Il lisait et je le voyait de plus en plus au bord des larmes. Je ne savais pas comment agir, alors je le laissais faire. Il me tendit ma feuille et me dit :
- C'est parfait, tu peux dormir maintenant !
Je regardais ma feuille et vit de petite gouttes humides sur mon écrit. Les lignes m'étaient comme inconnu, je relu mon écrit pour mieux me souvenir :
« Personne ne peux comprendre un malheur, sous différente forme, il est obsession, mauvaise humeur, cœur brisé, désir refoulé, mauvais souvenir, tant de cause au malheur. Je crois que toute personne à toujours été malheureuse dans sa vie. Elle a exigée quelque chose et ne la pas eu, était de bonne humeur et on l'a rendu triste, perte d'un être cher. Tant de chose pour qualifié ce mot. Les souvenirs dus à un malheur sont souvent les souvenirs où vous vous disiez que cela été un cauchemar, que vous alliez vous réveillez. Malheureusement rien n'y faisait. Puis un jour il y a eu une lueur d'espoir, vous avez connu le bonheur, quelque chose à l'inverse du sombre dans le quel vous étiez cacher. Parce que le malheur est une salle où l'on s'enferme, plus ou moins longtemps, plus ou moins souvent. Soit on y est enfermé soit on s'enferme dedans. Cela dépend aussi des tempérament. Pour ce sortir du malheur impur à la vie, c'est une personne extérieur, qui souvent, vous tend la main et vous dit : " Tiens bon je suis avec toi." Alors dans votre malheur vous attendez ce bonheur. Voilà une nouvelle source de malheur, l'attente. Le bonheur en lui même est malheur. Car il est très sournois, c'est ce sentiment de bien-être qui s'enfuit aussi rapidement qu'il est apparu. C'est ce manque de confiance en soit qui en ai souvent la cause. Mais aussi la confiance perdu qu'on avait pour quelqu'un. C'est un châtiment, une accusation à la vie, c'est intense et cela vous fuit, c'est détestable et parfois cela donne envie. Les personnes trop heureuses demandent parfois le malheur, car ils veulent ressentir ce que d'autres redoute. La vie est malheur c'est pour cela que le suicide existe. C'est pour cela qu'on est entouré de mort vivant, de personnes que tu croyais forte et qui disparaisse à jamais le lendemain. Ainsi le malheur est une chose désirable et redoutés. Mais personne n'ai indifférent au malheur. »
Fin P.O.V Kyô.
Le lendemain, cour de Philosophie :
- J'aimerais que tout le monde applaudisse Monsieur Kyô Soma pour sa merveilleuse philosophie. Finalement les colles vous rendent plus intelligent ! C'est très bien ! Mais pourquoi deux gouttes se sont écrasés à côté de ce passage ? « Les souvenirs dus à un malheur sont souvent les souvenirs où vous vous disiez que cela été un cauchemar, que vous alliez vous réveillez. Malheureusement rien n'y faisait ... Parce que le malheur est une salle où l'on s'enferme, plus ou moins longtemps, plus ou moins souvent. »
Kyô hésita à vendre son cousin, il pesa le pour et le contre, pendant qu'on le regardais intensément et il choisit de bien agir :
- Je trouve ce passage émouvant, je suis ému moi même. Que voulez vous, quand je me suis relu ... j'ai été choqué par mes propres lignes. J'étais dans un état second quand j'ai écris cela.
~XxX~
Yuki retrouva son cousin à son casier. Il lui ferma doucement la porte pour lui indiquer sa présence. Le rouquin ne bougeait pas, alors le garçon aux beaux cheveux argentés dit :
- Je te remercie énormément de ne pas avoir dit que c'était moi qui avait pleuré sur ta feuille.
Kyô ferma son casier et fit un signe désinvolte à son cousin. Il commença à partir en disant :
- Je veux pas qu'on croit que c'est toi qui a écrit mon papier, et puis ça le fait pas de te faire voir mon travaille ! Allez ciao la souris !
Yuki soupira et marmonna juste pour lui :
- Quand est ce que tu vas arrêter de faire semblant ?
______________________________________________________________________________________________________
Qu'en pensez vous pour mon premier Kyô X Yuki ?
Review ?
