Bonjour les gens, pour vous un petit Drabble de 480 mots et des poussières, sans prétentions, par ce que c'est mon humeur de cette heure-ci, tapé entre deux spleens. Ne vous en faites pas, rien de triste même si je suis bien tentée! Pas de M non plus, en 480 mots c'est dur, mais quand même huhu

Dites moi ce que vous en pensez!Le titre vient de la petite musique de Davy Jones, pirates des caraïbes.

Ps : Rien ne m'appartient à part l'intrigue, comme ça c'est dit!

Bisous Elleay, ce texte n'avait pas vraiment besoin de correction, même s'il reste des fautes, c'était vraiment par ce que je voulais le poster là tel quel.


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La boîte à musique

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Je suis un homme, et j'en aime un autre.

Voilà toute la farce de ma vie.

J'ai vu celui qui a prit mon cœur alors que j'avais onze ans à peine. Ce jour là je l'avait vu comme une lumière, un être sans failles et beau comme l'astre solaire. Il était droit, fier et royal. Jamais cette image ne partira de mon esprit.

Et puis je grandis, et mon esprit se fit à l'idée que parfois le cœur à ses raisons que la raison elle-même ignore. Je l'aimais toujours d'un amour inconditionnel, jubilant lorsque je le voyais, me retenant avec peine de lui demander un regard, une simple seconde de sa vie. Et puis ce jour merveilleux arriva. J'avais quinze ans.

Je me retrouvais avec lui, il était le dernier à partir, et ce jour là, il eu simplement pitié de moi. J'étais en mauvaise posture et il pouvait me tuer si l'envie lui prenait. Mais il ne l'a pas fait.

Alors, pensant ma mort proche je lui avouais ce que je ressentais pour lui, tout ce que j'avais espéré des années durant, sachant pertinemment que cela ne serait jamais possible.

Ce jour là, il ne réagit pas, et se contenta de me ramener à Poudlard, sans un mot, sans violence, il me déposa dans mon lit, et lorsqu'il allait franchir la porte, revint sur ses pas pour embrasser mon front. Il avait prit ce risque d'être vu pour moi.

Nous fûmes séparés quelques temps, mais nous nous revîmes lorsque j'eus seize ans.

Nous parvînmes à trouver un endroit connu de nous seuls, et les mots, les gestes furent libérés. Nous fîmes l'amour pour la première fois, et je pleurait de joie que celui que j'aimais m'aimasse aussi. Il fut tendre, doux et amoureux, comme je l'avais imaginé. Jamais nous n'avions parlé des différences qu'il y avait entre nous, de ce que le monde pourrait penser en nous voyant, de l'après.

Et puis souvent nous nous retrouvâmes par la suite. Jusqu'à cette date où je du partir, et revenir seulement pour la fin de la guerre. Il le su, et m'offrit une petite boîte à musique, qui, il me disait, contenait son coeur.

Lorsqu'enfin nous gagnâmes, je le vis. Assis dans un coin, serrant sa femme et son fils contre lui. Il avait toujours été de mon côté, et je le savais. Il avait toujours aimé sa famille, et je n'étais pas ignorant de cela.

Mais lui comme moi savaient que nous nous retrouverions après, loin des regards pour consumer notre amour interdit, faire ce que personne n'aurait soupçonné de nous. Ce que personne n'a jamais imaginé et n'imaginera jamais.

Car Lucius me l'a dit depuis notre première fois. « Je t'aime Harry Potter ».


Et voilà c'était mon instant romantico-tristounet =)