Bonjour tout le monde !
Voilà, ma première fanfic ! Une parodie de Harry Potter parmi tant d'autres. Je dois avouer que je suis quand même content d'avoir terminé la première partie.
L'histoire se passe à Poudlard, vers la 5e année, visiblement, et retrace une VERITABLE journée dans la vie de Harry Potter n'ayant pas été arrangée, coupée au montage ni romancée par les attachés de presse de Mr Potter. ;-)
Au fait, si vous trouvez que c'est un peu la folie dans l'école des sorcier, disons que c'est parce que Poudlard n'est en réalité pas qu'une école mais un immense plateau de tournage ( enfin un truc dans le genre ).
Surtout n'hésitez pas à me REWIEVER pour me donner votre avis -si ça vaut la peine que j'écrive la suite ou non et tout ça.
Voilà, je vous laisse. Amusez-vous bien !
Une journée dans la vie de Harry Potter ( la vérité vraie ).
Chapitre Un : Le réveil.
Ce matin-là, une sonnerie stridente réveilla Harry Potter qui se hâta de chercher à taton son téléphone portable sur sa table de chevet et de décrocher.
-Allo ? Mr Potter ? C'est Joanne à l'appareil !
-Ah, marmonna Harry en reconnaissant la voix de son agent de presse au bout du fil, quoi de neuf ?. Quoi ? Ma cote a encore baissé dans les sondages ? Mais c'est votre boulot à vous, de trouver des histoires pour intéresser le publique !
Le bruit avait réveillé son meilleur ami, Ron Weasley, qui s'étirait dans son lit à baldaquin en regardant d'un ?il dénué de toute expression Harry hurler dans le combiné. Une fois que Harry eut raccroché, Ron lui demanda d'une voix forte, grinçante et sans nuances :
-Alors, qu'est-ce qu'il y a ?
-Oh, rien, répondit Harry.
Le cerveau de Ron ne pouvant visiblement pas pousser l'effort jusqu'à reposer une seconde fois la même question, celui-ci se contenta de bailler en lançant un regard torve à son ami quand un grand « BOUM ! » retentit : Hermione Granger, l'autre meilleure amie de Harry venait d'essayer d'entrer dans le dortoir des garçons et venait de se prendre la tête dans le seuil de la porte. Elle gisait allongée sur le pallier.
-Hermione, voyons, lui dit Ron, tu sais très bien que ta tête est trop grosse pour la porte de notre dortoir.On n'a pas fait de trou dedans pour toi.
-Oui, attend-nous en bas des escaliers, tu veux bien ? demanda Harry. Trop intelligente, cette fille, si tu veux mon avis, ajouta-t-il quand elle fut partie.
Une fois habillés, les garçon descendirent et Harry vit Hermione en grande conversation avec Parvati Pattil et Lavande Brown, deux filles de sa classe.
-Oui, j'ai décroché un rôle pour tourner dans la pub pour ce dentifrice, annonçait-elle fièrement, je ferai le castor.
Lorsque Parvati et Lavande virent Harry, elles cessèrent aussitôt d'admirer la superbe dentition de leur amie pour aborder Harry et lui demander comment il allait. Celui-ci prit alors un air de grand malade et répondit d'une voix tremblante que sa cicatrice lui faisait terriblement mal.
-C'est parce que Voldemort est content, murmura-t-il tandis que Lavande s'évanouissait dans les bras de Parvati, parce que.il va.euh.manger des nuggets à la volaille ce soir !
Harry descendit ensuite dans la Grande Salle avec Ron et Hermione pour y prendre le petit déjeuner. La Grande Salle était en permanence filmée par l'équipe de S'Cool Story, l'histoire de Poudlard (« C'est vous qui la vivez, c'est vous qui votez, c'est vous qui décidez ! » ), une émission au terme de laquelle, à la fin de chaque année, le publique décidait du renvoi d'un des professeurs. Depuis quatre ans, une véritable haine des professeurs de défense contre le forces du Mal semblait avoir gagné le publique et Harry se félicitait d'avoir, avec l'aide de Joanne, monté des canulars contre ses professeur de première et quatrième année et de les avoir fait passer pour des sbires de Voldemort alors que sa cote de popularité était au plus bas. Le professeur de 2e année avait réussit à se faire éliminer tout seul en sortant un single en duo avec Priscilla diffusé tous les soirs après l'émission pendant un an -le publique n'en pouvait plus- et celui de troisième année était parti de lui-même à la fin de l'année après une crise de larmes et d'hystérie assez spectaculaire. Il devait maintenant travailler à vie pour rembourser les dégâts, ce qui représentait le comble de la mauvaise fois pour la prod' , pensait Harry avec satisfaction, étant donné l'audimat obtenu ce jour-là grâce à lui.
Harry remarque qu'une seule caméra le filmait en permanence, aujourd'hui.
Alors qu'ils étaient attablés, une chouette vint comme d'habitude livrer la Gazette du Sorcier à Hermione, laissant tomber au passage une fiente dans la tasse de café de Ron qui, comme d'habitude, regardait ailleurs et ne s'aperçu de rien. Hermione disparut derrière son journal et n'en réapparu qu'après l'avoir lu du début à la fin, de la fin au début, et à l'envers. Harry s'en empara alors pour le parcourir au hasard quand il trouva un article qui l'intéressa vaguement :
«UN MOLDU A AZKABAN !
Hier soir, notre ministre de la Magie, Cornélius Fudge, qui soupçonnait depuis longtemps un complot de la part de Moldus pour le renverser nous a enfin exclusivement révélé avoir arrêté le chef de la bande. « Il s'agit du petit chef de cette sorte de communauté Moldue, a-t-il déclaré, Il se faisait appeler la Soupape.euh non.le Parpin.attendez.le Papou, non ? Comment ? Ah oui ! Le Pape, merci, Weaslay. En tout cas, il a bien évidemment tout nié mais nous ne nous y sommes pas trompés. Il avait si peur qu'il n'en finissait plus de trembler. De toute façon, sa culpabilité ne fait vraiment pas l'ombre d'un doute : il n'arrêtait pas d'appeler son « père tout puissant ». Le pauvre était terrifié. » .»
Harry reposa La Gazette du Sorcier à coté de lui. On ne parlait plus de lui dans les journaux depuis au moins une semaine ; la situation devenait catastrophique. Il espérait sincèrement que Lavande allait très vite se remettre de son malaise pour pouvoir aller aider sa copine Parvati à raconter se petite histoire à tout le monde.
-Ron, dépêches-toi, on va être en retard au cours de métamorphose. Bois vite ton café et on y va.
-Tout de suite, Harry J'arrive.
Malheureusement, au moment même où Harry se levait, il fut abordé par Cho Chang, qui le regardait fixement, les lèvres retroussées :
-Salut, Harry, lui dit-elle, ça va ?
-Très bien à part que ma cicatrice me fait très mal en ce moment. C'est génial, non ?
-Oh, oui ! répondit Cho qui ne le quittait pas des yeux. Alors je voulais savoir, euh.si tu voulais bien venir faire un tour avec moi.J'ai.euh.quelque chose de très intéressant à te montrer.
-Tous les deux ? Tous seuls ?
-Ouiiiii, susurra Cho dans une sorte de gémissement.
-Ben.c'est que.
Avant que Harry ait eut le temps de répondre « Désolé mais j'ai cours »,Marietta, l'amie de Cho, surgit de nul part et se précipita vers elle en criant :
-Ca y est ! Ca y est ! Je l'ai !
Pour toute réponde, Cho étouffa un petit cri et se mit à glousser.
-De quoi vous parlez, lui demanda Harry
-Du calendrier des Dieux du Stade, répondit Cho, un filet de bave dégoulinant de sa bouche. J'te laisse.
Et elle s'en alla, gloussant et gémissant avec Marietta. Harry poussa un long soupir.
-Harry, on va être en retard, lui rappela Hermione.
Harry soupira de nouveau mais parce qu'il n'aimait pas beaucoup les cours de métamorphose, cette fois-ci.
-Ron, tu viens ?
-Oui, répondit celui-ci.
Il engloutit son café (« Délicieux ! ») pour la plus grande joie de Harry et s'empressa de les rejoindre pour se rendre en cours de métamorphose.
Voilà, ma première fanfic ! Une parodie de Harry Potter parmi tant d'autres. Je dois avouer que je suis quand même content d'avoir terminé la première partie.
L'histoire se passe à Poudlard, vers la 5e année, visiblement, et retrace une VERITABLE journée dans la vie de Harry Potter n'ayant pas été arrangée, coupée au montage ni romancée par les attachés de presse de Mr Potter. ;-)
Au fait, si vous trouvez que c'est un peu la folie dans l'école des sorcier, disons que c'est parce que Poudlard n'est en réalité pas qu'une école mais un immense plateau de tournage ( enfin un truc dans le genre ).
Surtout n'hésitez pas à me REWIEVER pour me donner votre avis -si ça vaut la peine que j'écrive la suite ou non et tout ça.
Voilà, je vous laisse. Amusez-vous bien !
Une journée dans la vie de Harry Potter ( la vérité vraie ).
Chapitre Un : Le réveil.
Ce matin-là, une sonnerie stridente réveilla Harry Potter qui se hâta de chercher à taton son téléphone portable sur sa table de chevet et de décrocher.
-Allo ? Mr Potter ? C'est Joanne à l'appareil !
-Ah, marmonna Harry en reconnaissant la voix de son agent de presse au bout du fil, quoi de neuf ?. Quoi ? Ma cote a encore baissé dans les sondages ? Mais c'est votre boulot à vous, de trouver des histoires pour intéresser le publique !
Le bruit avait réveillé son meilleur ami, Ron Weasley, qui s'étirait dans son lit à baldaquin en regardant d'un ?il dénué de toute expression Harry hurler dans le combiné. Une fois que Harry eut raccroché, Ron lui demanda d'une voix forte, grinçante et sans nuances :
-Alors, qu'est-ce qu'il y a ?
-Oh, rien, répondit Harry.
Le cerveau de Ron ne pouvant visiblement pas pousser l'effort jusqu'à reposer une seconde fois la même question, celui-ci se contenta de bailler en lançant un regard torve à son ami quand un grand « BOUM ! » retentit : Hermione Granger, l'autre meilleure amie de Harry venait d'essayer d'entrer dans le dortoir des garçons et venait de se prendre la tête dans le seuil de la porte. Elle gisait allongée sur le pallier.
-Hermione, voyons, lui dit Ron, tu sais très bien que ta tête est trop grosse pour la porte de notre dortoir.On n'a pas fait de trou dedans pour toi.
-Oui, attend-nous en bas des escaliers, tu veux bien ? demanda Harry. Trop intelligente, cette fille, si tu veux mon avis, ajouta-t-il quand elle fut partie.
Une fois habillés, les garçon descendirent et Harry vit Hermione en grande conversation avec Parvati Pattil et Lavande Brown, deux filles de sa classe.
-Oui, j'ai décroché un rôle pour tourner dans la pub pour ce dentifrice, annonçait-elle fièrement, je ferai le castor.
Lorsque Parvati et Lavande virent Harry, elles cessèrent aussitôt d'admirer la superbe dentition de leur amie pour aborder Harry et lui demander comment il allait. Celui-ci prit alors un air de grand malade et répondit d'une voix tremblante que sa cicatrice lui faisait terriblement mal.
-C'est parce que Voldemort est content, murmura-t-il tandis que Lavande s'évanouissait dans les bras de Parvati, parce que.il va.euh.manger des nuggets à la volaille ce soir !
Harry descendit ensuite dans la Grande Salle avec Ron et Hermione pour y prendre le petit déjeuner. La Grande Salle était en permanence filmée par l'équipe de S'Cool Story, l'histoire de Poudlard (« C'est vous qui la vivez, c'est vous qui votez, c'est vous qui décidez ! » ), une émission au terme de laquelle, à la fin de chaque année, le publique décidait du renvoi d'un des professeurs. Depuis quatre ans, une véritable haine des professeurs de défense contre le forces du Mal semblait avoir gagné le publique et Harry se félicitait d'avoir, avec l'aide de Joanne, monté des canulars contre ses professeur de première et quatrième année et de les avoir fait passer pour des sbires de Voldemort alors que sa cote de popularité était au plus bas. Le professeur de 2e année avait réussit à se faire éliminer tout seul en sortant un single en duo avec Priscilla diffusé tous les soirs après l'émission pendant un an -le publique n'en pouvait plus- et celui de troisième année était parti de lui-même à la fin de l'année après une crise de larmes et d'hystérie assez spectaculaire. Il devait maintenant travailler à vie pour rembourser les dégâts, ce qui représentait le comble de la mauvaise fois pour la prod' , pensait Harry avec satisfaction, étant donné l'audimat obtenu ce jour-là grâce à lui.
Harry remarque qu'une seule caméra le filmait en permanence, aujourd'hui.
Alors qu'ils étaient attablés, une chouette vint comme d'habitude livrer la Gazette du Sorcier à Hermione, laissant tomber au passage une fiente dans la tasse de café de Ron qui, comme d'habitude, regardait ailleurs et ne s'aperçu de rien. Hermione disparut derrière son journal et n'en réapparu qu'après l'avoir lu du début à la fin, de la fin au début, et à l'envers. Harry s'en empara alors pour le parcourir au hasard quand il trouva un article qui l'intéressa vaguement :
«UN MOLDU A AZKABAN !
Hier soir, notre ministre de la Magie, Cornélius Fudge, qui soupçonnait depuis longtemps un complot de la part de Moldus pour le renverser nous a enfin exclusivement révélé avoir arrêté le chef de la bande. « Il s'agit du petit chef de cette sorte de communauté Moldue, a-t-il déclaré, Il se faisait appeler la Soupape.euh non.le Parpin.attendez.le Papou, non ? Comment ? Ah oui ! Le Pape, merci, Weaslay. En tout cas, il a bien évidemment tout nié mais nous ne nous y sommes pas trompés. Il avait si peur qu'il n'en finissait plus de trembler. De toute façon, sa culpabilité ne fait vraiment pas l'ombre d'un doute : il n'arrêtait pas d'appeler son « père tout puissant ». Le pauvre était terrifié. » .»
Harry reposa La Gazette du Sorcier à coté de lui. On ne parlait plus de lui dans les journaux depuis au moins une semaine ; la situation devenait catastrophique. Il espérait sincèrement que Lavande allait très vite se remettre de son malaise pour pouvoir aller aider sa copine Parvati à raconter se petite histoire à tout le monde.
-Ron, dépêches-toi, on va être en retard au cours de métamorphose. Bois vite ton café et on y va.
-Tout de suite, Harry J'arrive.
Malheureusement, au moment même où Harry se levait, il fut abordé par Cho Chang, qui le regardait fixement, les lèvres retroussées :
-Salut, Harry, lui dit-elle, ça va ?
-Très bien à part que ma cicatrice me fait très mal en ce moment. C'est génial, non ?
-Oh, oui ! répondit Cho qui ne le quittait pas des yeux. Alors je voulais savoir, euh.si tu voulais bien venir faire un tour avec moi.J'ai.euh.quelque chose de très intéressant à te montrer.
-Tous les deux ? Tous seuls ?
-Ouiiiii, susurra Cho dans une sorte de gémissement.
-Ben.c'est que.
Avant que Harry ait eut le temps de répondre « Désolé mais j'ai cours »,Marietta, l'amie de Cho, surgit de nul part et se précipita vers elle en criant :
-Ca y est ! Ca y est ! Je l'ai !
Pour toute réponde, Cho étouffa un petit cri et se mit à glousser.
-De quoi vous parlez, lui demanda Harry
-Du calendrier des Dieux du Stade, répondit Cho, un filet de bave dégoulinant de sa bouche. J'te laisse.
Et elle s'en alla, gloussant et gémissant avec Marietta. Harry poussa un long soupir.
-Harry, on va être en retard, lui rappela Hermione.
Harry soupira de nouveau mais parce qu'il n'aimait pas beaucoup les cours de métamorphose, cette fois-ci.
-Ron, tu viens ?
-Oui, répondit celui-ci.
Il engloutit son café (« Délicieux ! ») pour la plus grande joie de Harry et s'empressa de les rejoindre pour se rendre en cours de métamorphose.
