Disclaimer : Il y a une partie du monde de JK Rowling. Mais pas que !

Genre : Romance/Humour, mais je dirais une touche de drama ! Vous verrez !

Note de L'auteur : Tout d'abord, cette fiction est basé sur un manga que j'affectionne pas tout particulièrement, mais tout de même ! Mais c'est une histoire à la sauce Drago/Hermione ! J'espère ne pas vous décevoir ! J'accepte bien sûr toutes critiques aussi mauvaises soit elles, si elle sont justifiées ! ENJOY !


Cette école se trouvait aux abords de la ville londonienne. Elle mettait à disposition des élèves des sortes de minis entrepôts éparpillés un peu partout dans la ville.
L'un d'eux était enveloppée d'une aura quasi magique d'où s'échappait une étrange odeur de sucrée rappelant celle des boulangeries de Londres, sur les murs construit en briques rouges cognait une musique hystérique. Il y avait un comptoir, où s'alignaient derrière celui-ci différentes bouteilles, un jukebox, un vieux billard et trois machines à coudre. C'est cette pièce qui n'avait plus rien d'une salle prêté par une école, c'est ce lieu aux allures de repaire caché qu'ils appelaient « l'Atelier ».

Elle attendait, un livre à la main, que le feu passe au rouge.
« Paris, la ville des Lumières », elle rêvait d'aller à Paris, après ses études c'est sûrement là qu'elle irait. Elle, petite londonienne, trouverait ça place là-bas. C'est alors qu'elle en apprenait un peu plus sur la ville de ses rêves, qu'on l'interpela.

« Hé, toi ! La fille aux cheveux bruns ! Hé ! Regarde-moi ! »

La dite fille sentit qu'on agrippait son sac, elle se retourna vivement criant à son potentiel agresseur qu'elle était pressée.

« Cool ! Elle est jolie », fût ce qu'il répondit.

Ce qui laissa la jeune fille sans voix. Elle écarquilla les yeux puis sans un mot détala.
Il va me voler ! Il va me violer ! Il va me tuer !
Il est complètement taré ! En plus il est percé! Et puis ces vêtements ! Ils sont tous déchirés ! Tandis qu'elle se perdait dans ses folles pensées et sa course effréné, elle percuta une jeune femme.

« Ha ! Excusez-moi ! Je ne vous avez pas vu et… »

« Caroline ! Attrape-la ! »

« D'accord. »

Quoi ? Ils se connaissent ?

« Lâ…chez-mo…oi », parvint à articuler la jeune fille en tentant de se dégager des bras de cette « Caroline ».

Ce qu'elle fit, sauf qu'elle n'avait pas calculé la distante entre sa tête et le poteau se trouvant derrière elle. Elle se cogna et... s'assomma de plus belle.


Où… Où suis-je ? Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle vit penchés sur elle deux iris roses et remplit d'inquiétude.

« Bienvenue à l'Atelier ! Tu te sens mieux ? Je m'appelle Andrea, mais tu peux m'appeler Andy ! Tu t'es évanouie, Carry et Cal t'ont amené ici. »

Derrière Andrea se trouvait un jeune homme d'à peu près 1m60, les cheveux noirs en batailles, les oreilles couvertes de piercings et deux grands yeux gris innocents, mon « potentiel agresseur » conclu la jeune fille. A ces côtés, il y avait une fille avec de longs cheveux blonds et bouclés habillée avec extravagance, Caroline.
Ses yeux revinrent sur Andrea, assez petite, les cheveux roses de même que ses yeux, elle était adorable.

« Je m'appelle Hermione. »


« Vous voulez que JE défile, moi ! ? S'étrangla à moitié Hermione dans sa tasse de thé. »

« Oui ! Tu connais POUDLARD ? » Lui demanda Andrea.

Cette école de fous ? Bien sûr. Elle passait devant chaque matin croisant des personnages plus originaux les uns que les autres.

« Oui, je connais. »

« Il y a un défilé annuel, en juin. Et tu corresponds exactement à ce qu'on recherche, t'es bien foutue quoi. »

« Ha c'était pour ça que tu me courrais après ? Tu n'aurais pas pu le dire avant ? J'ai cru que tu voulais me voler ! ; Hermione se garda bien de dévoiler ses autres pensées. »

« Tu acceptes ? » S'émerveilla Andrea.

« C'est hors de question. »

« Quoi ? Mais pourquoi ? »

« Andy, elle a dit qu'elle ne voulait pas c'est son choix » Déclara Caroline avec sagesse.

Hermione commença à ranger ses affaires puis se dirigea vers la porte de sortie. Cal qui s'était assis au bar pivota sur son tabouret.

« Hum dis-moi c'est l'uniforme de Lacock. Tu dois être une tête dis moi, j'ai tort ? T'as le même âge que nous non ? Tu vise quelle fac ? »

« Qu'est-ce que ça peut te faire ! Fiche moi la paix ! »

Un lourd silence s'installa dans la pièce. Un silence qu'Hermione décida de briser.

« De toute façon, je suis très occupé ! Je n'ai pas le temps pour vos enfantillages ! »

Le sang de Cal ne fit qu'un tour.

« Nos… « Enfantillages » ? Non mais qu'est-ce que tu crois ? Que parce-que tu es dans une grande école et que tu passe des concours tu a le droit de nous juger ? »

Caroline et Andrea tentaient vainement de retenir Cal qui s'avançait dangereusement vers une Hermione totalement paralysée dos à la porte.

« Saches que ce que l'on fait avec ces machines à coudre, ce n'est pas des enfantillages ! On crée ! De nos propres mains ! Qui te dit que ce que tu porte en ce moment, ce n'est pas nous qui l'avons confectionné ? Bon OK… vu ce que tu porte, c'est peu probable. Mais quand bien même ! Nous nous sommes gentils avec toi et tu vide ton sac. »

« Je… je ne voulais pas… »

« Tu nous méprise, mais regarde toi ! Tu vaux mille fois moins que nous. D'ailleurs, va te faire voir. »

Sur ces derniers mots, Cal retourna s'assoir. Hermione reprit ses esprits, tourna la poignée de la porte et sortit, sur le point d'éclater en sanglots. Andrea la rattrapa.

« Tu sais, je suis ici tous les soirs après les cours. Tu peux passer quand tu veux. »

Hermione ne lui adressa même pas un regard et partit.
Les yeux d'Andrea se posèrent sur un petit carnet abandonné sur les marches. Une carte de lycéenne, celle appartenant à Hermione Jane Granger.


Il entra dans l'Atelier. Il vit la carte de lycéenne, il l'ouvrit, lâcha un simple « elle est pas mal. »En regardant la photo d'identité puis referma le petit carnet.

« Drago ! Tu es là ! » S'exclama Andy qui ne l'avait pas du entrer.

« Non » Dit-il avec un ravissant sourire en coin. « Alors, c'est elle qui va défiler ? » demanda-t-il en désignant la photo.

Personne ne répondit, tous mal à l'aise étant donné ce qu'il s'était passé.

« Huum et bien… pas vraiment, commença Caroline, disons que… »

« Je vois » La coupa Drago. « Cal l'a engueulé et le poisson que vous aviez pêché a filé, par sa faute. »

« … Bon ! Ce n'est pas tout ça mais je dois aller faire des courses » s'exclama Cal en se tortillant.

Drago ne prêta pas attention au petit jeune homme, il se tourna vers Andy.

« Et toi ? Ca ne te dit pas ? Hum tu sens la fraise » Murmura-t-il en jouant avec une mèche de cheveux.

« Je suis trop petite ! »

« Ne la touche pas, misérable ! »

Cal arriva derrière Drago avec un glaçon, chipé dans le bar, qu'il laissa tomber dans la chemise du grand blond. Celui-ci poussa un rugissement de rage et se lança à la poursuite de Cal. Ils tournèrent au moins pendant dix minutes autour du billard avant que Cal ne trébuche et s'étale de tout son long. Drago sauta sur l'opportunité qui s'offrait à lui, et sur Cal par la même occasion, il attrapa plusieurs chutes de tissus et il attacha fermement Cal à un des pieds du vieux billard.

« Tu ne vas pas me laisser là ! » Gémit le petit farceur.

« Oh que si ! Et crois moi, je m'en fais une joie ! »

Drago attrapa sa veste et sortit.

« Où va-t-il ? » Demanda innocemment Andrea.

« Drago n'a jamais était patient » Soupira Caroline en secouant la tête avec exaspération.


Hermione était assise à sa place, comme d'habitude. Elle avait un livre devant elle, comme d'habitude. Sauf qu'elle n'écoutait rien du cours. Non, elle se torturait l'esprit afin de se souvenir où elle aurait pu laisser sa carte. Un endroit revenait sans cesse. Inconsciemment, Hermione savait qu'elle l'avait perdue là-bas. Mais elle ne voulait pas y aller.
La sonnerie annonçant la fin des cours retentit enfin.
Pendant toute la journée elle avait imaginé milles et uns plans pour ne pas retourner chez ces fous. Appeler et demander qu'on la lui ramène ? Non. Envoyer une lettre et qu'on lui en renvoi une avec sa carte ? Non. Envoyer quelqu'un d'autre ? Non.

« Hermione Jane Granger ? »

L'interpelée se retourna vers l'homme qui l'avait appelé. Un grand blond, le plus beau blond qui lui fut permis de voir, des magnifiques yeux bleus azurs et moqueurs, un sourire en coin.
Ce bel apollon laissa Hermione cloué sur place, les bras ballant.

« Drago Malefoy. Ravi. Mes amis t'ont quelque peu… brusquée, il me semble. Je voulais m'excuser en leurs noms. »

Quoi ? Il en restait un ? S'affola Hermione.
Il fit alors un geste qu'aucuns garçons qu'elle connaissait n'aurait eut l'idée de faire. Il lui prit délicatement sa main et l'effleura de ses lèvres parfaites. Hermione manqua un battement de cœur et faillit s'étouffer.
C'était le genre d'homme a classer dans la catégorie charmeur et atrocement sexy, qu'il faut éviter à tout prix sous peine de le payer très mais alors très TRÈS cher.
Le genre manipulateur, mais malheureusement une fois prise dans son filet il n'est plus nécessaire de se débattre car l'idée même ne viendrai pas à l'esprit.
Mais cet homme avait un autre atout, une fois perdue dans l'océan azur de ses yeux, on se noyait irrémédiablement. Ses yeux étaient hypnotiques, on pouvait voir tant d'émotions y défiler.
Drago Malefoy était à coupé le souffle.

« Euhm… et bien, non c'est…moi qui » Balbutia Hermione dont les joues tournaient au rouge.

« Allons. » Il balaya d'un geste de la main ses paroles. « Il me semble que tu as égaré quelque chose. »

« Ma carte ! Tu l'as avec toi ? Oh merci ! »

« Et bien, pas exactement, elle se trouve bien au chaud à l'Atelier ! Viens, monte ! »

« Comment ça « monte » ? Monter où d'abo… Ah. »

Drago avait prit place dans une magnifique Porsche bleue. Il ouvrit la portière à Hermione qui monta sans rien dire. Lorsque la portière claqua, Malefoy démarra en trombes et fila à toute vitesse.

« HAAAAAAAAAAAAAA » était le cri de d'horreur et de désespoir qui résonnait dans les rues londoniennes.

« Voyons ! Pourquoi cries-tu ? Nous ne sommes qu'au premier chapitre, tu ne peux pas mourir ! » Cria Malefoy en riant pour couvrir le bruit du vent.

« Où est-ce que tu m'emmène ? Ce n'est pas la route de l'Atelier ! » Hurla Hermione les mains scotchées au tableau de bord.

« Au Paradis ! » Lui répondit Drago avec un large sourire.


Bon, si le coeur vous en dit, et j'espère, rendez-vous au deuxième chapitre mes enfants !