Titre: Effet papillon
Auteur: Leviathoune
Genre: Romance. Yaoï, couple Draco Harry. Rating M. Fic à chapitres. POV de Dray. Pas de spoiler du tome 6.
Résumé: Une seule décision, un choix dérisoire, un unique instant est toute une vie se voit transformer - pas forcément pour le meilleur. Draco a appris par une rumeur que Harry et Ginny ont fait vœu de chasteté jusqu'à leur futur mariage. Déjà que le Serpentard méprisait le fait que le super héros du monde sorcier soit avec la jolie petite princesse, cette nouvelle achève de le dégoûter. Voilà ses pensées… et ce qui découlera de ses décisions.
Note: J'ai d'abord voulu écrire cette histoire en One Shot pour pouvoir parler de mon sentiment de révolte face aux filles qui veulent garder leur virginité jusqu'à leur mariage, surtout lorsque ce vœu est motivé par la religion. C'était assez délicat d'en parler par rapport à Harry et à Drago et j'ai pas vraiment l'impression de mettre bien exprimée sur le sujet.
Puis cette histoire a pris plus d'ampleur dans mon cœur et finalement, j'écris une nouvelle fic, elle sera assez courte, environ cinq chapitres, et elle ne sera pas vraiment rose pour le couple Harry Dray. Voilà.
Maintenant, bonne lecture vous - enfin, si ça vous intéresse toujours après la lecture de cette note.
Bisous à tous.
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EFFET PAPILLON
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CHAPITRE I
Je serai ton premier
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Ça m'a réellement rendu malade.
Je vous le dis, j'en aurais vomi si je ne savais pas parfaitement me tenir.
Je me rappelle de mon dégoût, je le ressens encore. J'étais tellement écœuré et… déçu.
Déçu est le mot exact, car cela ne m'a pas étonné le moins du monde. Ça coulait tellement de source, Harry Potter et Ginny Weasley. Le couple idéal !
Elle l'aimait déjà avant de le rencontrer et quand elle l'a vu pour la première fois, la pauvre fille en a souillé sa culotte raccommodée d'une grosse pièce de tissu écossais sur le cul. Comment je le sais? Si vous croyez que je suis allé jeter un coup d'œil sous sa jupette mal plissée, vous vous trompez lourdement, mais qu'est-ce que je la vois bien avec ce genre de truc immonde.
La petite sœur chérie du meilleur ami, la belle en détresse à secourir, la princesse rousse aux grands yeux verts. Sublime du haut de ses seize ans - vraiment sublime pour une pauvresse à l'accent campagnard.
Quand ce gros niais de garde chasse s'est écrié à quel point elle ressemblait à Lily Evans, pouvait-on faire scène plus répugnante?
Je me demande encore comment Potter n'a pas pu s'enfuir à toute jambe sous le regard larmoyant de toute sa cour d'amis tellement heureux pour lui… pour eux.
C'était il y a des mois.
Le couple Potter Weasley a passé l'été sans encombre aucune et cette dernière année s'annonce longue si je les ai sans cesse sous le nez en train de se baver l'un sur l'autre comme des gros chérubins salivants.
Je les exècre à un point tel que je n'aurais jamais cru pouvoir dépasser un jour ce stade critique sur l'échelon de la haine. J'en ai un de ces maux de crâne !
Ce matin, précisément, Pansy m'a avisé d'une certaine rumeur qui circulait depuis le début de la rentrée.
Potter et Weasley sont encore vierges tous les deux!
Déjà que l'an dernier je les trouvais lourds au possible à patienter tant de temps pour se retrouver dans le cadre idyllique des vacances d'été pour passer à l'acte.
Il est vrai que peu de personne bénéficient du privilège d'avoir une chambre de préfet en chef - en fait, il y a moi et puis une autre personne qui ne mérite pas que je la nomme, même dans mon esprit. Il est vrai que la plupart des gueux qui habitent cette école sont obligés de déployer des trésors d'ingéniosité pour pouvoir baiser en paix dans un couloir glacial, humide et pas très confortable dans lequel Miss Teigne finit toujours indubitablement par surgir - ou bien moi car j'avoue adorer les débusquer.
D'accord, ce n'est pas la classe et pour une première fois, on peut faire mieux! Mais on est à Poudlard ici, merde! Ils auraient pu trouver une solution, je ne sais pas moi! S'enfermer dans le dortoir des mecs! Le vestiaire de Quidditch! La salle commune la nuit ! Emprunter la chambre de Gran… l'autre! Qu'est ce que je la hais, celle là aussi.
Il paraît même qu'il existerait des salles sur demande dans ces murs et je suis certain que Potter les connaît par cœur - il n'a que ça à faire la nuit depuis des années : se balader dans le noir avec sa cape d'invisibilité comme un demeuré. Parfaitement, un demeuré!
Bref, je n'ai jamais eu l'infini honneur de contempler la maison des Weasley, peut-être n'est ce pas la petite bicoque tordue, pourrie et décrépie comme je me l'imagine. Peut-être que la petite rouquine a une chambre magnifique de romantisme, dégoulinante de cœurs et de posters de Potter - ça doit sûrement exister - avec des nounours dans tous les coins. Peut être que tous les deux se sont allongés et enlacés sur un joli petit lit à couette rose et fleurie. Peut-être que Potter l'a déshabillée lentement avec ses petites minimes tremblantes de jeune puceau. Peut-être que la petite connasse a couvert ses seins quasiment inexistants quasi-inexistants de ses mains dans un sursaut pudiquement mignon.
Putain, je ne sais pas vous, mais, personnellement, j'en ai des hauts le cœur et des frissons désagréables le long du dos.
Je vais abréger cette vision d'horreur puisque ce matin j'ai appris que cela ne s'est jamais produit.
Potter et Weasley sont encore et toujours vierges! Puceaux quoi ! Aussi connement frais et purs que la rose au matin recouverte de sa rosée.
Et pire encore, ces bouseux moyenâgeux le resteront jusqu'à la concrétisation de leur union: leur mariage!
Après la cérémonie, il emportera sa petite princesse, habillée d'une grosse meringue bradée, bien serrée dans ses bras et il l'allongera dans la meilleure loge d'un hôtel miteux payé par papa Weasley. Il arrachera la dentelle ayant appartenu à la grand mère de l'arrière grand mère ou de la grande tante éloignée de maman Weasley.
Et c'est comme ça que Harry Potter fera l'amour… pour la première fois. Uni par les liens sacrés du mariage, uni à la vie à la mort et même au delà, uni par la toute puissance de l'amour véritable et éternel.
Oh, que c'est… beau - j'ai de nouveau envie de vomir, est-ce normal?
Putain, je vois déjà toutes ces vieilles mégères chialer en lisant le futur et merveilleux article qui annoncera cette passionnante idylle dans tous les chiffons imprimés sur cette terre.
Et moi, Draco Malfoy, pourquoi est-ce que ça me rend malade pour lui?
Ne me demandez pas pourquoi, je ne me comprends pas, je n'ai pas encore trouvé de réponse acceptable.
Bon sang, je déteste ce type! Je l'ai toujours détesté - avant même de le connaître je le détestais déjà. C'est bien simple, je ne peux pas le supporter, me l'encadrer, le voir en peinture, entendre seulement parler de lui. Tout ce qu'il est m'insupporte, ses gestes, ses expressions, sa façon de penser.
On est tellement différents ! C'est fondamental.
Je sais que ce n'est pas sain de penser ainsi, je sais aussi que c'est trop passionnel - si je puis dire - et que ces pensées me causent du tord.
Si je ne détestais pas Potter, je m'en porterais tellement mieux. Croyez-moi, je suis le premier au courant. Je sais très bien que je perds toute classe à chacun de nos affrontements. Mon image morfle à ses côtés alors je fais des efforts pour éviter de trop m'y frotter.
Mais vous… vous savez bien que c'est plus fort que moi.
Je le déteste!
Je te hais, Potter, mais aujourd'hui, au delà de ça, j'ai de la pitié pour toi, de la pitié et aussi une rage sans nom! C'est tellement injuste!
Et c'est là que je me comprends le moins, Potter, tu es en train de faire une énorme connerie - je sais : tu es con, limité, débile, c'est dans ta nature de faire ce genre de choses - pourtant cette connerie là, je n'arrive pas à l'accepter… cette fois.
Je n'arriverai pas à te regarder tranquillement foncer droit dans la vie de merde insipide qui t'attend.
J'ai beau me résonner, me dire que dans dix ans je serai toujours aussi beau et classe, aussi riche et prisé par tout le beau monde tandis que toi, tu auras vieilli de vingt ans… Que ton boulot t'aura ravagé. Que tes superbes yeux arrogants seront devenu ternes et ridés derrière tes loupes encore plus épaisses. Tu sais, ta femme sera devenue une grosse vache hystérique entourée d'une ribambelle de morveux rouquins et échevelés… vos morveux.
J'ai beau me dire qu'à ce moment tu auras perdu toute gloire, tout charisme et que je te toiserai de tout mon prestige, encore plus grandi...
J'ai beau me dire qu'à ce moment là, je te mépriserai à un point tel que je serai à tout jamais vengé.
J'ai beau me dire tout cela, je n'arrive pourtant pas à me résonner.
Potter, Potter… Incroyable, mais je ne veux pas te laisser faire cette connerie.
Tu ne comprends pas, pauvre fou. Tu ne comprends rien. Pas encore, je te le ferai comprendre. Tu verras…
Tu es innocent, inconscient, tu es amoureux. Ça je le sais : tu es complètement fou amoureux. C'est la femme de ta vie, elle est complètement faite pour toi, c'est clair. Mais pourtant, je ne te laisserai pas faire.
Je ne te laisserai pas te marier, t'unir à elle aussi pur, parce que c'est mon rôle et que je le veux. Je suis un Serpentard, je suis ton ennemi, je suis celui qui s'oppose à toi et c'est grâce à moi si tu es toi, abruti.
Il y a une chose que tu dois absolument savoir, Potter, et cette chose, c'est moi qui te l'enseignerai. Je te l'enseignerai et tu ne pourras rien y faire, ta chasteté de pacotille volera en fumée. Et plus jamais tu ne seras pur.
Tu ne lui diras rien, tu ne diras rien à personne, tu auras trop honte, tu te marieras avec elle, ta petite princesse, tu l'épouseras, oui, et tu lui feras l'amour entouré de tes amis pour fêter l'heureux évènement. Oui, tu feras tout ça, mais plus jamais tu ne seras pur et, crois-moi, tu n'auras aucun regret. Quoique, tu regretteras peut-être de ne pas recommencer encore et encore. Tu regretteras de ne pas avoir profité de ton cul quand tu en avais le temps. Et qui sait, Potter, peut-être que tu la tromperas dans dix ans, dans vingt ans.
Je m'en moque.
Moi tout ce que je dois faire, c'est t'ouvrir les yeux. Tout ce que je dois faire, c'est te baiser, Potter.
Je vais te baiser, jusqu'à plus soif et je serai ton premier. Moi !
Tu te crois indestructible!
Tu te crois fort?
Pitoyable que tu es!
Si ta Weasley prenait la peine de te chauffer deux secondes, tu lui sauterais dessus, tu lui écarterais les cuisses, tu lui arracherais son corsage, tu lui ferais l'amour comme un damné, la tête entre ses seins, mais de toute façon… n'importe laquelle pourrait te ferai céder, bébé.
N'importe laquelle qui te toucherait un peu, qui t'embrasserait profondément, qui te branlerait et qui ouvrirait les cuisses… N'importe laquelle te ferait céder. Il suffit de pas grand chose. Simplement d'une étincelle.
Tu es excité et c'est fini, ton cerveau se déconnecte et tu te laisses aller.
Seul le plaisir compte.
Comprend que tu n'es qu'un paquet de chair pétrie de nerfs sensibles.
Toi, un jeune puceau, un ado, tu en as envie, tu ne rêves que de ça.
Je suis sûr que tu as mal au poignet à force de te branler la nuit.
Je sais tout cela.
Tu peux me croire j'ai une solide expérience côté débauche sexuelle, pourquoi se gêner?
Potter, pourquoi tu t'en empêches?
Est ce que ce sont tes origines Moldues? J'ai entendu dire que les sans magie croyaient encore en un Dieu tout puissant qui les regarderait du haut d'un petit nuage en les menaçant de les écraser de ses foudres ou de les priver d'une sorte de paradis après leur pitoyable mort.
Sérieusement Potter, ne me dis pas que tu crois en ces conneries? Il faudrait être débile pour se priver de vivre pleinement les plus belles années d'une vie pour une raison aussi obscure. Tu es un sorcier, tu sais maintenant ce qu'est vraiment cette force que les moldus on longtemps prise pour un Dieu. Ça ne peut pas être ça.
Mais quoi alors ? Pour la beauté du geste? Pour le romantisme de la privation enfin récompensé? Mais qu'est ce que tu crois ! Qu'au plus tu attends au plus ce sera beau et fort? Tu te trompes lourdement. Tu vas rater ta nuit de noce, tu ne sauras pas comment faire et tu vas jouir sans lui procurer le plaisir tant attendu et tu lui diras que vous avez toute la vie pour apprendre. Évidement que vous serez déçus, mais sérieusement à quoi tu t'attends d'autre?
Je ne te laisserai pas faire cette connerie, Potter. J'ai pris ma décision, je vais te séduire, ce sera facile. Tu sais, Potter, je ne suis pas n'importe qui. Tu le sais?
Quand je te chaufferai, tu ne sauras plus qui tu es. Tu ne pourras pas même bouger, tu seras tellement interloqué et intrigué par mon comportement.
Tu te diras : je ne fais rien de mal, moi. Alors au début, tu te contenteras de regarder, d'attendre, de comprendre. C'est là que je t'embrasserai et tu n'auras jamais reçu un baiser pareil de toute ta vie. Tu auras chaud, très chaud. Et tu te diras encore : je ne fais rien de mal, c'est lui qui m'a embrassé, je n'ai rien fait, rien demandé. Et tu te perdras à ce moment exact, Potter.
Tu ne pourras plus m'arrêter, de toute façon, tu n'en auras plus envie du tout. Tu essaieras pour la forme, tu crieras : non, tu me repousseras mais tes yeux crieront, supplieront : reviens, continues ce que tu me fais, Malfoy!
Et je continuerais, je veux détruire ta putain de pureté, tu te rappelles?
Je te plaquerai sous moi, je te toucherai partout à la recherche des points qui te font frémir et gémir. Je te lécherai, je t'embrasserai encore et encore. Tous mes sens, tout mon corps seront tendus vers un seul et unique objectif: te donner du plaisir.
Du pur plaisir, du sexe, de la baise voluptueuse.
Tu gémiras si fort, tu désireras si fort que je continue, que je te fasse voir les étoiles, que je te délivre de cette tension qui envahira tout ton corps et qui te brouillera l'esprit.
Tu sais, à ce moment la, tu ne penseras même plus à ta petite princesse, tu ne seras plus qu'un corps impatient, tendu, prêt à exploser au moindre frôlement. Je sais parfaitement comment faire pour te faire lentement monter sans te faire venir. Tu crieras, tu m'ordonneras de continuer et tes mains bougeront sur moi impatiemment, tu me déshabilleras, tu prendras mon sexe et tu répondras à mes baisers en le guidant en toi. Comme je t'aurais bien préparé à cela, tu ne crieras pas de douleur, tu hurleras de plaisir sous cette nouvelle sensation pour toi.
Tu crieras sous moi, Potter. Tu crieras pour que je bouge en toi et je le ferai pour toi. Parce que je veux que tu saches combien c'est bon de baiser, combien tu avais eu tord de vouloir te priver de ça avant de t'engager pour la vie avec ta pauvresse.
Tu jouiras dans ma main, tu jouiras dans mes bras et le souffle te manquera dans mon cou.
Potter, je vais te voler ta virginité, j'ouvrirai la cage de ta chasteté. Mais tu peux me remercier car, crois-moi, tu ne peux pas rêver meilleure première fois. Je te fais une énorme faveur, tu sais?
Évidemment, après, petit à petit, quand tu reprendras ton souffle, ta raison reviendra, au fur et à mesure que l'oxygène réapprovisionnera ton cerveau encore embrumé de délices. Là, tu auras honte. Tu me repousseras, tu m'insulteras, me traiteras de grand malade, de pervers, de détraqué, tout en te rhabillant rapidement. Tu me menaceras de ne rien dire à personne. Tu me frapperas peut être.
Et puis… tu t'enfuiras, loin de moi.
Tu reprendras ta vie là ou tu l'avais laissée avant que je m'occupe de ton pitoyable cas. Personne ne le sauras, ne t'inquiète pas. Je garderai pour toujours cette victoire pour moi.
Par contre, ne t'attend pas à ce que mes regards ne soient pas lourds de sous entendus lorsque je croiserai le tien. Mon regard te dira toujours que, toi et moi, on était nus l'un contre l'autre et que jamais personne ne te donnera autant de plaisir.
Alors marie-toi, Potter. Je te regarderai faire, enfin satisfait parce que je t'aurai pris ta pureté et que, ça, jamais tu ne l'oublieras.
Pansy m'a dit ce matin, au petit déjeuner, que la petite bergère et son prince comptaient rester vierge jusqu'à leur mariage. Il aura lieu quand la mini belette deviendra adulte, dans quelques mois à peine. Ce sera pour le Noël de cette année.
Ce soir, je sais que tu as un entraînement de Quidditch. Comme tu es le capitaine de ton équipe, tu resteras un peu plus longtemps que les autres dans le vestiaire. Ce soir, je viendrai te trouver dans ton vestiaire.
Ce soir, je vais te baiser, Potter, et plus jamais tu ne seras pur.
Je suis impatient…
C'est fou comme ces cours d'histoire sont propices à laisser vagabonder l'imagination. Mais qu'est ce qu'il est merdique ce prof, tout de même - c'est l'école toute entière qui est merdique, j'aurais mieux fait d'aller à Durmstrang, j'aurais eu cent fois moins d'emmerdes. Et je ne te connaîtrais pas, Potter!
Vivement ce soir, bébé…
A suivre…Note finale: Est ce que tout va se dérouler comme se l'imagine Draco? Est ce que la pureté de l'amour que Harry porte à Ginny triomphera? Peut-on résister à un roi serpent décidé à faire passer du lion à la casserole? Et que va-t-il résulter du choix de Draco ?Vous le saurez en lisant la suite… si ça vous motive bien sûr. Et comment puis-je savoir si ça vous motive? Attendez, je cherche… Ah oui! Le petit bouton en bas à gauche! Nia!
J'espère que ça vous a plu - c'est mon premier POV! On dirait pas vu que Draco's Deturn a été publié avant, mais c'est celui là le premier, si si ! Alors ?
Bisous!
LeviaPS : Un grand merci à Mel'Amarain pour m'avoir corrigé ce chapitre. Un autre pour toi, Lupa Luly Chan. Tu me l'as inspiré, cette fic est pour toi. Je continue toujours à penser que tu devrais t'affranchir…
PPS : Avec ce chapitre, je lance ma quatrième fic en cours. Il y a Rappelle-toi, Draco's Deturn et Parchemess également dans ma tête, alors ne vous étonnez pas si la suite tarde un peu à venir. Je m'en excuse d'avance, mais allez vous consoler en lisant mes autres fics, elles sont bien.
